
Je suis en études supérieures à Narbonne. Je ne rentre chez moi dans le Finistère que pour les vacances scolaires. C’est actuellement les vacances de Pâques, j’en profite donc pour rentrer deux semaines chez mes parents.
Je me retrouve chez eux avec ma jumelle, elle aussi en études supérieures mais du côté d’Antibes. Nous recevons souvent notre grande soeur, qui passe pour nous voir avant que l’on reparte.
J’occupe mes journées en préparant à manger pour mes parents, je vois un maximum mes copines, je travaille pas mal sur mes cours, je vais à la salle avec ma jumelle faire du fitness et de la zumba, je fais du trail dans les bois pour m’entretenir.
Je suis donc partie faire mon footing habituel (un mercredi ou un jeudi), un parcours de douze kilomètres dont huit en forêt. Je fais ce parcours depuis mes quatorze ans, j’en ai vingt et je n’ai jamais eu aucun problème.
Ce jour-là, je croise un homme bizarre sur un petit chemin. Il me regarde de haut en bas plusieurs fois et a du mal à s’écarter pour me laisser passer. Un mec immense qui je pense fait environ deux mètres et de forte corpulence.
Une fois passée près de lui, j’accélère et me retourne un peu plus loin pour me rassurer. Lui s’est arrêté et me relooke toujours, accentuant son regard sur mes fesses mais ça j’en ai l’habitude, donc je suis rentrée chez moi satisfaite de ma sortie running. Je ne pense d’ailleurs plus du tout à cet homme.
Le lundi suivant, vers dix-huit heures, je retourne faire mon footing habituel. Après environ trois quarts d’heure de course, je vois ce même homme au loin. Il me parait toujours aussi bizarre, il a une vraie tête de fou et m’impressionne par sa corpulence.
Là je me dis qu’il va vraiment falloir que je change de parcours le temps qu’il se promène ici. Heureusement, cette fois j’arrive à sa hauteur sur un chemin où il y a de la place pour passer à deux.
J’accélère en m’approchant de lui pour passer le plus vite possible. Il me dévisage encore de haut en bas mais j’ai moins peur que quelques jours plus tôt, où finalement je suis rentrée sans problème.
Mais il me saisit par le bras très fort avec une main. Puis me tire avec ses deux bras, me traîne dans les ronces et orties pendant environ une à deux minutes. Je crie de toutes mes forces.
On arrive dans un champ de maïs. On passe quelques rangs, il continue de me traîner par le bras et maintenant les cheveux. Puis il s’arrête, me met plus ou moins à genoux ou à quatre pattes et me sert très fort la gorge.
Je ne peux plus respirer, il me parle… si tu ne fermes pas ta gueule de pute je serre tellement fort que tu vas rester crevée ici. D’autres menaces, d’autres insultes. Son regard de mec bizarre est davantage devenu un regard de cinglé !
Je suis effrayée, je pleure de douleur, de peur, je tremble. J’ai peur pour ma vie, vraiment ! Je décide de me taire, je pleure juste. Il me tient à genoux avec une main et avec l’autre il ouvre le bouton de son jean et sa braguette.
Je vois la taille de son sexe augmenter devant mes yeux, à travers son boxer, je n’ose pas trop regarder. J’ai peur de prendre des coups et je prie de tout mon cœur pour que ce soit un mec frustré avec un micro pénis et très précoce mais son sexe a déjà beaucoup grandi.
Il baisse son boxer sous ses genoux. Il continue de me tenir le bras avec son énorme main et se met à appuyer très fort derrière ma tête avec son autre bras. Mon visage est collé à son sexe. Je fais tout pour éviter qu’il entre dans ma bouche.
Il me menace de nouveau pendant une bonne minute, je le supplie, je pleure. Mais je fais cinquante kilos, il doit en faire au moins le double. Je n’arrive à rien, je ne résiste à rien, la force me manque.
J’étais déjà fatiguée par ma course à pied. Je parviens encore et encore à éviter son sexe, deux minutes peu-être. Mais évidemment il finit par y parvenir et très violemment.
Il appuie toujours très fort derrière ma tête, maintenant avec ses deux bras et en même temps fait de gros mouvements de bassin. Comme si ma bouche est sans fin ! Il fait des aller-retour très rapides et très forts. Il cogne contre mon palais, déforme ma mâchoire.
Ma bouche est pleine, je n’arrive pas à respirer mais il s’en fiche et continue, je suffoque. Je tente de prendre de grandes respirations par le nez pour parvenir à tenir le coup.
Je trouve son sexe très large, avec pleins de grosses veines. Cela a duré je pense cinq bonnes minutes avant qu’il arrête. Je me remets à pleurer toutes les larmes de mon corps, à le supplier de me laisser partir.
Mais il m’allonge sur le dos, il m’étrangle à nouveau très fort quelques secondes en étant assis sur mon ventre.
Je pleure mais je ne hurle pas. Il remonte mon débardeur et ma brassière au-dessus de mes seins et les saisis très fort.
Je pleure encore et encore. J’ai toujours aussi peur. Puis il s’allonge sur moi. Il me tient un bras par le poignet et avec l’autre me retire entièrement mon short bien que je me batte pour l’en empêcher. Je n’ai rien sous mon short quand je cours pour être à l’aise et parce qu’il est très moulant.
Il s’énerve, il me parle… joue pas la maline avec moi, joue pas à ça tu vas perdre, je vais te défoncer grosse pute. J’ai peur comme jamais dans ma vie. Quelle horreur quand il cale avec sa main son sexe devant le mien !
Je me déçois, j’aimerai tant réussir à partir mais je n’ai plus la force d’essayer ! Il pousse avec bassin pour entrer en moi, le temps s’arrête, j’ai super mal, je suis sèche. Son gros membre frotte contre l’intérieur du mien en y entrant. En deux coups il est entièrement en moi puis directement fait des aller-retour profonds.
Il va au même rythme que quelques minutes tôt lorsque je l’avais dans ma bouche. Très rapide, surtout très fort ! J’ai les fesses sur la terre, ça me fait mal, j’ai mal partout, aux bras, aux fesses, au vagin. Je pleure, je subis en priant pour que ça s’arrête au plus vite.
Cela dure encore cinq bonnes minutes avant qu’il me retourne sur le ventre. Il cale de nouveau son sexe à l’entrée du mien, il est allongé de tout son poids sur moi, j’étouffe ! Puis il le rentre en moi, fort ! Et reprend ses aller-retour de grosse brute !
Il ne dit rien, juste de gros gémissements, j’entends ses bourses claquer contre mes fesses. Une fois encore, cela dure cinq bonnes minutes, qui sont une nouvelle fois interminables. Je pleure mais j’encaisse, j’attends la fin, je ne pense qu’à ça !
Il finit par éjaculer en gémissant très fort et en m’insultant de pute, de salope. Je me suis surprise à avoir moins mal dans cette position, je mouille même un peu. Certainement une réaction de mon corps qui semble avoir apprécié davantage que moi les aller-retour de ce gros chibre. A moins que ce ne soit qu’une simple réaction à la douleur tant mon vagin n’a pour habitude de recevoir un membre si imposant.
Je me dis que c’est fini, je pleure un peu en attendant deux ou trois minutes qu’il sorte enfin de moi. Mais en sortant, il prend son sexe et le place derrière, à l’entrée de mon petit trou. Je me mets à hurler, à le supplier de ne pas faire ça !
Il me met la tête contre la terre, me tient la tête très fort et me dit de la fermer, je le supplie encore et encore.
Je serre les fesses non-stop et son sexe, probablement trop mou depuis son éjaculation n’arrivera jamais à entrer par derrière.
Il finit par abandonner deux ou trois minutes plus tard alors que je bouge encore dans tout les sens pour me débattre.
Il se lève et balance mon short quelques rangs de maïs plus loin. Il m’insulte, se moque de moi et part en marchant.
Je me lève à mon tour, je baisse ma brassière et mon débardeur. Je file en marchant chercher mon short. Je sors du bois au plus vite et je vais me poser dans un endroit proche de chez mes parents, une petite heure pour me calmer.
Mes précédents récits sont tous des histoires qui me sont réellement arrivées. Cette fois, je me suis tournée vers mon imagination pour vous écrire ce billet.
Ajouter un commentaire