
Elle entend dans sa tête ‘You can leave your hat on’ de Joe Cocker pendant qu’elle danse sur la siège, tenant les barreaux métalliques au-dessus d’elle. Parfois elle plie les genoux pour se pencher en avant afin de montrer davantage sa poitrine.
Et tout ce temps, elle ne quitte pas des yeux l’homme en face d’elle. Lui qui observe son corps de haut en bas. Lui chez qui elle sent monter la tension et le désir. Lui qui profite de ce moment intense de voir une belle femme en talon, soutien-gorge et jupe danser rien que pour lui.
Mélanie amplifie ses mouvements, tourne sur elle-même et ondule en montant et descendant. Et chaque fois qu’elle retrouve les yeux de Marc, l’envie qu’il a dans son regard lui fait battre le coeur encore plus vite. Et le picotement qu’elle sentait tout à l’heure au bout de ses seins l’envahit désormais tout entière.
En bougeant, elle sent que son sexe commence à devenir humide. Une sensation à la fois gênante et plaisante. C’est chaud, ça colle et se décolle à chaque mouvement de hanche.
Elle fait alors un demi-tour pour lui montrer son derrière. Elle se cambre de telle façon qu’il voie bien l’arrière de ses cuisses légèrement musclées, jusqu’à la naissance de ses fesses. Tout cela en continuant de danser, de se déhancher.
Elle entend le cuir de la banquette crisser doucement et sent alors les mains de l’homme remonter du bas de ses cuisses jusqu’à ses fesses, qu’il caresse d’abord voluptueusement, puis plus fermement. Alors qu’elle ralentit ses mouvements, elle le sent poser un baiser sur chacune de ses fesses, puis sa langue les lécher.
Elle ferme les yeux et se soumet aux sensations. Elle sent les mains de l’homme quitter ses fesses pour remonter le long de ses hanches, de ses côtes, jusqu’à la hauteur de sa poitrine. Alors qu’il va atteindre ses seins, ils entendent furtivement des bruits de conversation. Quelqu’un est monté dans le wagon au dernier arrêt.
Les caresses ralentissent et ils sont désormais tous deux aux aguets. Le bruit des voix se confirment. Il semble même se rapprocher. On entend distinctement deux voix. Un homme et une femme qui discutent, sans pouvoir saisir les mots qu’ils emploient.
En plus des voix, on entend alors leurs pas, qui vont dans la direction de leur compartiment. Les deux amants se figent et Mélanie regarde vers Marc qui a un regard impuissant. Au son des voix et des pas, les nouveaux voyageurs doivent être à moins de 5 mètres de leur compartiment. Trop tard pour trouver une contenance permettant de sauver les apparences.
Les voyageurs se rapprochent encore jusqu’à se retrouver devant la porte du compartiment où se trouvent Mélanie et Marc. S’ils regardent à travers une ouverture du rideau ou s’ils décident d’entrer dans leur compartiment, ils seront pris.
Alors qu’ils retiennent leur souffle, les amants entendent les pas se poursuivre. Pris dans leur discussion, les deux voyageurs n’ont pas prêté attention au rideau baissé. Ceux-ci ouvrent, plus loin, une porte et s’installent. Mélanie et Marc, qui ne s’étaient pas quittés des yeux poussent un gros soupir de soulagement et tombent dans les bras l’un de l’autre en se serrant. Ils sentent ainsi la chaleur du corps de leur compagnon.
Malgré la situation, le risque de se faire surprendre, le fait qu’elle soit avec un inconnu, elle se sent en sécurité dans ses bras. « On a eu chaud » dit-elle en se remettant de ses émotions. Sans un mot, Marc suce deux de ses doigts pour les nettoyer, puis il les glisse entre les cuisses de Mélanie et sous sa culotte.
Il la regarde droit dans les yeux en tutoyant son vagin. « Vous avez toujours chaud » réplique-t-il finalement. Elle se mord la lèvre. Elle ne sait pas quoi faire. Il se penche pour embrasser son cou, le mordre. Il descend sur sa gorge, sa poitrine. Elle le pousse plus bas. Il s’agenouille.
Elle relève sa jupe. Il caresse ses cuisses, remonte doucement vers l’élastique de sa culotte, l’att**** des deux côtés et va pour la descendre. Mais Mélanie l’interrompt. Elle veut la garder. Elle aime garder ses sous-vêtements. Elle fait un pas, deux pas en arrière et s’assoit sur la banquette. Elle n’écarte pas les jambes, elle veut que ce soit lui qui le fasse.
Il s’avance à quatre pattes, pose ses mains sur ses genoux et, en remontant vers ses cuisses, les ouvre. Il baise leur intérieur et remonte doucement. L’accès à l’intimité de Mélanie est gêné par le tissu. Il la regarde. Elle saisit la dentelle, la tire et la tiens sur le côté. Marc peut alors gouter son intimité, ce qu’il fait très bien.
Elle se laisse envahir par le plaisir provenant de la douceur de cette langue qui parcourt le pourtour de se lèvres, puis glisse entre elles pour effleurer son clitoris. A ce moment, elle a un sursaut nerveux, tellement la stimulation est intense. Et elle laisse échapper un gémissement. Lui, poursuit son action de tourner autour des zones érogènes en alternant les petits coups brefs, puis les passages appuyés, puis la prise à pleine bouche de tout son sexe. De plus en plus, il entend Mélanie soupirer au fur et à mesure qu’il insiste sur son clitoris.
Ces sons, la texture du sexe féminin dans sa bouche, l’odeur qui s’en dégage, tout concourt à l’exciter. Il commence à sentir que son sexe croît dans son pantalon et presse ses testicules.
Tout en léchant les lèvres et le clitoris de sa partenaire, il glisse désormais ses doigts autour du sexe qu’il sent humide. Mélanie est alors totalement livrée aux actes de Marc. Elle sent les doigts proche de son sexe. Elle n’a qu’une envie, qu’ils la pénètrent. Et en même temps, elle ressent déjà tellement de plaisir qu’elle appréhende l’entrée de ces doigts en elle. Pourra-t-elle supporter tant de jouissance ?
C’est alors que les doigts entrent en elle. Ce ne sont que l’index et le majeur, mais l’effet est extrême. Elle inspire fortement et relâche un fort gémissement. « Oooooh, c’est bon! ». Il n’avait pas besoin de cette confirmation pour le comprendre à sentir la contraction du vagin autour de ses doigts. Il se met à caresser la paroi intérieure du sexe qui s’humidifie davantage chaque seconde. Des appuis doux, puis alternativement plus forts. Avec la pulpe de ses doigts, qu’il fait glisser l’un après l’autre. Il sent le plaisir monter en elle. Il l’entend aussi, à l’accélération de sa respiration. Il en sourit et poursuit, de sa langue et de ses doigts, jusqu’à ce qu’il sente, autour de ceux-ci, les contractions fortes et répétées de la jouissance, en même temps que parvient à ses oreilles un râle de plaisir de sa partenaire.
Après cela elle le fait se relever et, gourmande, ouvre sa braguette pour le sucer sensuellement, de tout son coeur.
Puis, lorsqu’elle le sent le prêt, elle saisit son sac, sort une boite de préservatifs et lui en met un. Toujours assise elle l’invite à venir s’occuper d’elle. Il rentre doucement, délicatement, elle l’accueille en un soupir chaud et profond.
Mélanie passe ses bras derrière la nuque de Marc et l’attire vers elle. Elle sent son odeur sur ses joues, sa bouche, elle le lèche, le lape comme une chatte laperait du lait et l’embrasse. Cependant, elle sent que Marc n’est pas à l’aise dans cette position.
Alors elle se lève et se retourne. Elle rejette sa jupe sur ses reins. Marc peut ainsi admirer ses jolies fesses, rondes et fermes. Mélanie les pose sur son sexe et l’allume.
Elle recule doucement. Soudainement Marc se tend. Le contrôleur annonce sa gare. « Je dois descendre !! » s’exclame-t-il. Mais Mélanie, toujours reculant, le fait s’assoir à son tour et grimpe sur lui, dos à lui. « Tutututut, pas question. J’ai une dette et je m’acquitte toujours de mes dettes » dit-elle
Elle prend alors le sexe de Marc et le dirige entre ses cuisses, en elle. Elle prends les mains de Marc et le pose sur son ventre avant de les faire remonter sur ses seins. « J’ai une chambre d’amis, je pourrais t’accueillir pour la nuit, ne te fais pas de soucis »
Elle sent qu’il a une hésitation, jusqu’au moment où le train quitte la gare à laquelle il devait descendre. Comme il ne peut plus faire demi-tour, il décide alors de se lancer dans l’aventure et, tout en étant attentif à sa partenaire, de se concentrer sur ses sensations et son plaisir.
Il sent bien le sexe serré autour de son membre désormais le plus dur et tendu qu’il puisse avoir. Et chaque coup de rein qu’il donne fait frotter les parties sensibles de son sexe. Il adopte un rythme régulier, il accélère parfois pour faire monter son plaisir, il ralentit un peu pour faire durer ce moment intense.
Et d’entendre sa partenaire souffler plus fort, puis soupirer, puis gémir, cela le rend encore plus excité. Il remonte ses mains vers les seins de Mélanie, qu’il prend dans ses paumes.
Les fesses de Mélanie sont si fermes et rondes. Ses seins si chauds et lourds. Son sexe si humide et serré. Il n’a jamais eu autant de plaisir à faire l’amour à une femme, d’autant plus de façon inattendue et dans un lieu aussi risqué.
Son plaisir ne cesse de croître et même s’il contrôle ses coups, il sent qu’il est proche de l’orgasme.
Alors il se penche, il lèche le cou de Mélanie et lui souffle à l’oreille : « je suis proche de jouir »
A suivre ?
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