Histoire de sexe fétiche Histoires de sexe gratuites Histoires de sexe noir

Mûres23/j’encule la petite, la grosse me lèch

Mûres23/j’encule la petite, la grosse me lèch



J’ai envie qu’on retourne aux putes, me confie ma rousse amante.
Allongé sur le côté ,je l’encule.
– ah oui…j’aimerais qu’une fille me lèche les couilles en ce moment. Tu me sentirais tellement dur, cela te ferait du bien aussi.
-D’accord. Mais j’aimerais te voir quand tu la baises. Je pourrais aussi te lécher quand tu la prends.
-Celle à qui je pense ne me plaît pas tellement. C’est une portugaise assez grosse. Gentille, des seins qui tombent…Je ne vais la voir que pour sa langue.
-Alors, tu en baiseras une devant moi, une qui te plaît. Une toute jeune.
Sensation de jouissance depuis la base de la queue. Je vois l’épaule de Marlène, ses longs cheveux bouclés, son doux profil sur l’oreiller. Ses jambes fines se mêlent au miennes.
Je m’écarte en restant emboîté dans son petit trou. Je vois la courbe de son dos nacré. Je ne regarde ensuite que ma queue qui rentre dans ses fesses. C’est bien à moi, cette bite qui va et vient dans ce petit derrière? Petites fesses très féminines, mais dans un physique si délicat, des hanches si étroites. Soudain je ne pense plus que j’encule Marlène, juste un tout petit cul de jeune fille.
La jeune fille a bientôt 60 ans. Mais cela ne se voit pas. C’est une petite princesse. Incroyable comme son joli derrière avale bien la grosse bite. Et je ne suis pas le seul. Son mari l’encule régulièrement, elle me l’a dit.
La dernière fois que nous étions au bordel, c’était avec une hongroise blonde de trente ans, avec une poitrine généreuse.
Nous étions debout tous les trois. J’avais glissé mon gland à l’entrée du vagin de la blonde. Marlène me souriait, attendrie. Elle lui touchait les seins.
-Tu veux qu’on aille chez la petite grosse, la prochaine fois, me demande Marlène.
-Oui, elle est sympathique, tu verras. Et pas cher. Il y a plusieurs filles qui travaillent dans ces immeubles de la rue des…. On peut se parquer facilement tout près. Il y a trois ou quatre immeubles assez hauts que tu vois depuis la route, les putes sont dans l’un d’eux. C’est assez discret.
-Tu es allé plusieurs fois?
-Juste pour me faire lécher les couilles. Elle me tient elle-même les jambes en l’air, pendant qu’elle me lèche. Je crois qu’elle aime bien me voir en position offerte. Sa langue est assez large, et très souple. Je me suis dit que ce serait très bon de la sentir sur les boules pendant que je t’encule.
-Elle pourrait te le faire quand je te suce.
-Et le salon thaïlandais, tu n’y vas plus?
-La fille adorable qui me léchait si gentiment n’est plus là. Je l’ai découverte dans un circonstance un peu spéciale. J’avais répondu à une annonce privée, une dame plus âgée, très forte, qui travaillait chez elle, dans une vilaine petite maison au bord d’une grande route. Il me semblait que le bus qui devait me conduire devant chez elle n’arriverait jamais. Cette route est tellement longue, il y a des arrêts tous les cinquante mètres. Les gens lisaient leur journal, rentraient du boulot, les étudiants parlaient de géométrie, et moi j’étais impatient, et aux peu nerveux, à l’idée de sonner bientôt chez cette grosse dame qui allait me vider les couilles.
-Quel genre?
-Inbaisable. Grosse, des lunettes noires, vraiment pas belle. Pourquoi suis-je entré? Je n’avais même pas très envie de palper ses énormes nichons. Elle m’a demandé de m’allonger nu sur le lit. Son téléphone a sonné, elle a répondu. Elle faisait du téléphone rose. J’aimais bien l’obscénité de la situation, la grosse cochonne qui me bouffe le gland entre deux propos grivois, le téléphone à l’oreille.
Elle m’a demandé de me coucher sur le ventre. Cette grosse salope a commencé de me pommader la rondelle, dans un massage lent.
-Vous aimez ce que je vous fait?
-Oui, c’est bon, répondis-je en grognant vaguement, le nez dans l’oreiller.
Finalement, je suis venu sur elle, déjà stimulé par sa langue de pute.
En sortant dans la rue, j’ai repris le bus dans le sens inverse. Il me semblait que tout le monde devait voir que j’avais tiré une grosse pute.
Quelque chose de lourd, de gluant me collait à la peau.
Comme j’avais vraiment de l’argent à jeter en l’air à cette époque, et beaucoup d’inconscience, le remède me sembla clair: après une grosse pute, j’avais besoin d’une fine pute.
Je sonnai donc à la porte d’un salon thaïlandais situé en centre ville.
C’est ainsi que je fis connaissance avec une jeune dame d’une grande gentillesse et distinction.
Elle m’embrassait à pleine bouche, très tendrement.
Spontanément, après m’avoir sucé, elle descendant sur mes couilles, qu’elle léchait délicieusement. C’est vraiment avec elle que j’ai pris goût à cette caresse.
A chaque fois que je la pénétrais, elle crispait légèrement son visage, pas du tout par douleur, mais pour bien me dire de faire attention, d’y aller doucement. Son petit vagin finissait par accueillir joyeusement ma grosse bite.
A peine le gland enfoncé en elle, je ressentais déjà de la jouissance.
Je ne risquais pas de débander en prenant mon temps, il me suffisait de m’enfoncer chaque fois un peu plus loin, ce qui lui arrachait de jolis petits cris.
-J’adore les thaïlandaises, renchérit Marlène. Fines, douces. Comme elle m’a bien léché, la dernière…
-Je demanderai à la fille portugaise si elle aime les femmes. J’aimerais bien qu’elle te lèche aussi.
La visite chez la pute avec Marlène fut un demi-échec. La fille était d’accord de la lécher, mais elle le fit sans conviction, distraitement.
Marlène ne jouissait pas sous ces coups de langues inefficaces.
Par contre, cette cochonne trouvait très amusant de me flanquer des fessées pendant qu’à genoux, je suçais les petits nichons de Marlène.
Finalement, je me positionnai derrière Marlène, selon notre mode habituel pour l’enculade: couchés sur le côté, l’un derrière l’autre.
La fine femme rousse devant moi, avec ses tétons en fraises des bois, et la grosse brune derrière.
Idéalement, j’aurais souhaité que la fille me lèche le cul, mais elle n’était disposée à ne s’occuper que de mes boules, question de prix.
Je me suis tourné, une jambe un peu repliée, pour la jeune putain puisse me chatouiller de sa langue, pendant que mon sperme inondait une fois de plus le petit cul de ma princesse rousse.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire