
Depuis que mon épouse avait pris son congé de maternité, elle faisait la grasse matinée. Depuis qu’on vivait ensemble, nous nous étions toujours levés à la même heure pour partir travailler.
Comme d’habitude, je m’étais levé à six heures et demi. Ma femme avait ouvert les yeux avant de les refermer et j’étais allé faire ma toilette puis je suis allé faire mon petit déjeuner. A sept heures et quart, je suis allé dire au revoir à mon épouse dans la chambre.
Ses seins et son ventre étaient devenus énormes. Elle avait repoussé les draps et sa main avait disparu entre ses cuisses. J’ai embrassé mon épouse sur le front, pensant qu’elle dormait mais elle m’a attrapé par le bras.
– J’ai envie, a gémi mon épouse !
Je lui ai répondu que je n’ai pas le temps parce que je vais être en retard au travail. J’ai ajouté que j’avais un rendez-vous dès que j’arriverai mais elle a insisté.
– Si tu ne veux pas, je me gode, a-t-elle ajouté en sortant un gode de sous ses fesses !
Je lui ai dit qu’elle devrait avoir honte.
– Je vais le faire, a ajouté mon épouse !
J’ai cédé et je lui ai fait l’amour. J’adorais la baiser depuis qu’elle avait le gros ventre. Elle a voulu se mettre à quatre pattes et je l’ai prise en levrette .Son gros ventre et ses seins frottaient sur le drap et mon ventre claquait sur ses fesses.
– Ah, j’aime ça, a gémi mon épouse ! J’ai l’impression d’être une grosse pute ! Je t’ai pas dit que c’est cent euros la passe ?
Ça faisait des années qu’elle plaisantait avec ça et il m’était arrivé de la soupçonner d’avoir fait la pute mais je n’avais aucune preuve de ça. Quand je l’avais rencontrée, j’avais trouvé que sa chatte ressemblait beaucoup à celle d’une vieille salope avec son clitoris gros comme mon petit doigt et ses petites lèvres qui n’avaient de petit que le nom. Ça lui faisait comme des ailes de papillon. En plus elle semblait avoir beaucoup d’expérience et elle avait presque toujours l’initiative sauf quand j’ai voulu la sodomiser mais elle s’était laissée faire.
J’ai tiré mon coup et je me suis lavé la bite avant de partir travailler. Ma secrétaire m’attendait et elle m’a reproché d’être en retard. Après la vieille qui m’avait aidé au début, j’avais opté pour une jeune qui sortait de l’école. Je lui avais posé quelques questions avant de l’embaucher et elle m’avait demandé pourquoi je l’avais embauchée, elle qui n’était qu’une débutante et je lui avais répondu que pour être franc, que c’était parce qu’elle était plutôt jolie.
– Et c’est pas plutôt pour mes gros seins, m’avait répondu la fille ?
Elle avait raison et d’ailleurs, elle avait mis une petite robe très décolletée ce jour-là.
Quelques temps après son embauche, elle m’avait avoué que ça ne la gênerait pas, au contraire, si j’avais envie d’elle parce qu’elle en avait soupé des hommes jeunes et qu’elle avait eu plusieurs expériences négatives avec eux et qu’elle méritait bien quelqu’un de plus expérimenté. Quelques semaines plus tard nous avons fait l’amour ensemble pour la première fois et nous avons continué. Jamais elle ne m’a demandé de divorcer pour l’épouser elle et tout ce qu’elle veut, c’est baiser, être prise par un amant qui s’y connaît.
Enfin, c’est ce que j’ai compris et je ne m’en prive pas. Baiser avec elle me permet de décompresser et puis j’aime bien baiser de la chair fraîche mais, de temps en temps, je me prends à rêver que mes deux femmes baisent ensemble.
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