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Les vendanges

Les vendanges



Avec mon mari, pour la deuxième année, nous faisons les vendanges dans une propriété au vin réputé du département de la côte d’or. Ce n’est pas très intéressant financièrement mais c’est plaisant.
C’est une chose que l’on avait envie de faire depuis un bon moment et l’année précédente nous avons beaucoup aimé l’ambiance.
Mais cette année mon homme doit partir en déplacement avant la fin et il reste une bonne semaine de travail pour en terminer la cueillette du raisin
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Les gens du coin retournent chez eux après le travail, nous logeons sur place et en plus de nous cinq hommes (Paul, Alain, André, Marc et Pascal) partagent le même dortoir.
Une cloison mince sépare la partie femmes ou il y a deux lits d’une personne et ou je couche avec mon mari (je suis la seule femme à loger dans le dortoir), de ce fait nous faisons l’amour succinctement en évitant de faire du bruit car les lits métalliques grincent.
La dernière semaine commence et mon mari part de bonne heure pour l’Allemagne me laissant seule.

Il fait beau en ce mois de septembre et comme d’habitude je me rends dans la vigne vêtue d’un maillot ajusté, d’un short qui moule mes fesses et chaussée de tennis. Une tenue habituelle pour moi surtout pour passer la journée en plein soleil.
Le matin nous faisons une pose casse-croûte, maintenant que je suis seule je constate que des hommes s’approchent plus facilement de moi.
Les hommes deviennent beaucoup plus entreprenants et me draguent ouvertement, mon air de salope doit y être pour quelque chose. La présence d’une femelle seule dans le dortoir doit les exciter surtout qu’ils ne se sont pas soulagés de puis le début des vendanges.

Le midi comme tous les jours une table est dressée dans un chemin, les victuailles sont posées dessus et nous mangeons ensemble assis dans l’herbe.
Le repas terminé je vais dans un endroit tranquille entre les rangs de vigne pour satisfaire un besoin naturel.
Quand je me relève et rajuste ma tenue André, un homme qui partage le dortoir surgit devant moi.
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<<à ton avis, je viens faire avec toi ce qu'un homme et une femme font ensemble>>.
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Malgré que mes paroles ne lui laissent pas d’espoir il insiste se colle contre moi et finit par passer un bras autour de ma taille.
J’hésite, est ce que je crie, est ce que je me débats, est’il utile de faire un scandale.
Ses lèvres sont sur les miennes et de sa main libre il caresse ma poitrine.
Comme la chair est faible, je résiste un moment puis je capitule, j’ouvre la bouche et mêle ma langue à la sienne.
Une main s’insinue dans mon short et vient caresser mon sexe. il déboutonne mon short et le baisse puis il en fait autant avec ma culotte. Je lève une jambe puis l’autre pour me dégager des vêtements.
Il me positionne à genoux sur le sol puis il se met derrière moi et me pénètre en levrette après avoir sorti son sexe de son short.
Il s’active et son envie étant trop forte, rapidement il éjacule dans mon vagin.
Il se retire et se rajuste pendant que je m’essuie puis je me rhabille.
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Il sourit.
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Sans plus se soucier de moi il part retrouver les autres puis j’en fais autant après avoir un peu attendue.
Aux regards que me lancent les vendangeurs et à leur sourire je constate qu’ils ont compris ce qui s’était passé.

Le soir ceux qui dorment sur place dînent ensemble puis nous parlons un moment, je suis la seule femme avec cinq hommes, et je passe dans une salle de bain sommaire installée près des dortoirs avant d’aller me coucher en pyjama.
Je commence à m’assoupir quand on pénètre dans ce qui me sert de chambre, l’intrus se glisse dans mon lit et me dit tout bas:
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Je me débats un moment puis comme d’habitude je capitule.
Il soulève ma veste de pyjama et caresse mon corps sans s’attarder à un endroit précis.
Rapidement il se débarrasse de son caleçon qui est son seul vêtement et s’allonge sur moi après m’avoir retiré le pantalon sans que je résiste, je me soulève même pour lui faciliter la tache salope que je suis.
Il ne perd pas de temps en préliminaires.
Sa queue bute sur mon sexe et cherche l’entrée de mon intimité dans laquelle elle s’enfonce. Il se met en action et les va-et-vient de son pénis dans mon vagin sont rythmés par le bruit du lit qui grince.
Ses collègues ne doivent plus ignorer ce qui se passe s’ils ne le savaient pas déjà.
Rapidement il éjacule en moi, se retire et à genoux sur moi présente sa verge au dessus de mon visage attendant que je lui fasse une pipe, je m’exécute et ma bouche avale son membre que je suce énergiquement jusqu’à ce qu’il juge que c’est suffisant.
Il se rallonge sur moi, me pénètre de nouveau et me défonce pendant un moment à grands coups de reins ne se préoccupant pas du bruit maintenant très audible que fait le lit.
Je mouille mais le plaisir n’est pas très important. Il se soulage encore dans mon ventre puis se lève et s’en va après m’avoir souhaité bonne nuit.
Après avoir enfilé une chemise de nuit (je ne veux pas tacher de sperme le pantalon de pyjama) je retourne dans le coin toilette et me lave. Quand j’en sors Pascal est devant moi.

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Il insiste et me plaque debout contre le mur, jambes écartées et chemise relevée il me pénètre et remue en donnant de bons coups de reins pour rapidement inonder ma chatte.
Il me courbe et se positionne derrière moi puis me prend en levrette. Pendant qu’il me défonce je me cramponne au mur. Sa queue fait des aller-retour pendant un moment dans mon vagin avant de l’arroser.
Il remet son pénis dans son short et va se coucher.
De nouveau je me lave et retourne dans mon lit puis je m’endors.

Le lendemain matin les hommes font comme-ci rien ne s’était passé.
Pendant la matinée nous travaillons normalement.

Le midi une fois que nous avons mangé André me fait signe de le suivre, je ne bouge pas, il insiste et je finis par lui obéir de peur qu’il ne se manifeste bruyamment devant les autres.
Dans les vignes il s’assoit sur le sol et à genoux entre ses jambes je le fais éjaculer en lui faisant une fellation, je recrache le sperme puis à genoux il me prend en levrette et après peu de temps mon vagin reçoit les giclées de sperme. Je suis loin d’avoir pris du plaisir.
Correctement rhabillés nous retrouvons le groupe de vendangeurs en affrontant leurs sourires et les remarques, c’est surtout moi qui suis concernée car je passe pour une grosse salope qui a le feu au cul.

Le soir une fois couchés c’est Marc qui fait irruption dans mon lit. Comme je pressentais que quelque chose allait encore m’arriver je suis nue. Il caresse un peu mon corps puis je satisfais ses besoins en lui faisant une pipe, il éjacule dans ma bouche puis il pénètre mon vagin et ne met pas beaucoup de temps avant d’y cracher des jets de semence.
Il retourne se coucher et quelques minutes après Alain s’invite dans ma couche, il m’embrasse et se montre un peu plus caressant allant jusqu’à masturber mon clitoris.
Il me pénètre et remue. Quand la jouissance approche il vient se soulager dans ma gorge puis retourne en faire autant dans mon vagin après m’avoir défoncée avec fougue.
Je vais me laver et enfile mon pyjama puis je me couche.

J’ai compris sans peine qu’ils se sont entendus entre-eux pour passer à tour de rôle dans mon lit sans s’occuper de ce que j’en pensais ni si j’étais d’accord.
La semaine se passe ainsi:
Tous les midi c’est André qui me saute dans les vignes, dés qu’il se lève et me regarde je le suis résignée sans me poser de questions.
Le soir un jour ce sont Paul et Pascal puis le lendemain Marc et Alain qui me prennent faisant monter la température dans mon corps.
Ils se soulagent trop rapidement dans mon intimité ou ma bouche sans prolonger l’étreinte plus que nécessaire ayant eus ce qu’ils veulent de moi.
Je suis frustrée car ils ne cherchent pas à me procurer le plaisir que je suis en droit d’espérer mais je n’ose pas me caresser et ni me masturber de peur que le bruit du lit ne leur révèle ce que je suis en train de faire. Je reste avec mes envies inassouvies et chaque soir j’attends que le calme revienne dans mon ventre avant de m’endormir.

Libérés par mon exemple deux couples illégitimes se sont formés. Un qui s’isole le midi après le repas et qui copule dans les vignes et l’autre qui attend que nous partions en fin de journée pour s’accoupler.
Je ne suis plus la seule femme à être montrée du doigt et critiquée.

C’est la fin des vendanges, le midi un repas ou le vin ne manque pas nous réunit, les tables sont installées sous des arbres dans la propriété des viticulteurs. Pour l’ambiance on ne peut mieux et même celles et ceux qui étaient plus ou moins coincés pendant la cueillette s’y mettent.
Quand nous quittons le domaine je monte dans la voiture de Marc qui a proposé de me déposer dans la ville voisine.
En route il s’arrête dans un chemin et m’invite à descendre. Des autos stoppent derrière nous et les cinq hommes qui ont profité de mon corps sont là.
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En fait je ne comprends que trop bien.
Malgré mes protestations ils me déshabillent, rapidement je me retrouve nue couchée sur le dos contre le capot de la voiture de Marc puis pendant que André me pénètre et me défonce les autres me pelotent et torturent les tétons de mes seins.
Puis ils se succèdent dans mon vagin y éjaculant chacun leur tour.
Une fois leur envie assouvie ils m’embrassent sur la bouche pour me dire au revoir puis ils remontent dans leurs voitures et partent.

Je reste seule avec Marc à qui dépitée par ce qui s’est passé je dis:
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Il ne se le fait pas dire deux fois et s’adosse à une portière, à genoux je lui fais une fellation puis il me demande de me pencher en avant et placé derrière moi il me prend en levrette et s’active pendant qu’indifférente j’attends que mon intimité soit encore arrosée ce qui ne tarde pas à arriver.
Marc essuie sa queue avec un chiffon puis me tend une bouteille d’eau et un autre chiffon, je me lave les fesses puis je récupère ma robe et mes sous-vêtements qui ont posés sur le toit de l’auto et je me rhabille.
Il me dépose devant un hôtel dans la ville voisine et me quitte après m’avoir embrassée.

L’après-midi je passe dans une laverie ou je lave et sèche mes vêtements sales, surtout mes culottes.
Le soir mon mari arrive et me rejoint dans ma chambre, il me demande comment s’est passée ma semaine et je lui réponds que sans lui ce n’était plus pareil en omettant de lui parler que j’ai servie de vide-couilles aux occupants du dortoir.
De toutes façons une semaine de rapports sexuels sans éprouver de plaisir ça ne vaut pas la peine d’en parler.
il me dit que s’il inspectait mes culottes il y trouverait des traces suspectes. Sans hésiter j’ouvre ma valise dans laquelle il trouve mes vêtements propres et bien pliés, me connaissant il est étonné.

Nous allons dîner dans un restaurant puis revenus à l’hôtel il me fait l’amour et beaucoup jouir pendant la nuit.En manque de plaisir je me donne à fond, s’il y a des occupants dans les chambres attenante à la notre ils ont dus être dérangés.
Entre deux étreintes j’embrasse et lèche longtemps son dos qui est très sensible à cette caresse,ce qui le fait frémir, il adore ça.

Le lendemain matin nous prenons la route pour revenir chez nous tranquillement.
Notre expérience de vendangeurs s’est arrêtée là.

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