
Une ombre
C’est un bruit très faible qui m’éveilla malgré le rugissement de la tempête qui se déchaînait toujours, celui d’une poignée de porte que l’on tourne. Je sortis, encore une fois, d’un sommeil épuisant et sans rêve pour m’apercevoir qu’il faisait nuit et que j’avais dormi en cuiller plaquer contre Marie un bras sur sa poitrine. J’étais si bien comme ça à sentir son grand corps presser contre le mien, ma main gauche sur un sein si doux et mon nez dans son épaisse chevelure parfumée. Le paradis c’est ça; dormir nue avec une personne que l’on aime en la serrant dans ses bras. Que l’on aime ? L’esprit encore embrouillé par le sommeil, je réalisais tout de même que j’en étais amoureuse et depuis longtemps, qu’elle n’était pas juste un fantasme. Mais, c’était un amour à sens unique, elle, elle avait son mari et moi Mélany, pour le moment. Pour Marie je n’étais qu’une baise, mais je m’en contenterais. Oh que oui ! Je réalisais pleinement la chance que j’avais d’être dans mon lit avec elle. Je la serrer plus fort en sentant mes gros seins couverts de sueur s’écraser contre son dos et ses fesses si fermes poussées plus contre mon ventre un peut rond et elle ronflait doucement. Je soupirer longuement, me revoyant la regarder avec envie a la télé pendant toutes ces années. Qui l’eu crue, moi et Marie Lemieux dormir ensemble dans mon lit et nu. Je sentis mes mamelons durcir contre son dos et cela me chatouillait merveilleusement. On avait du baiser avant de s’endormir, mais, étrangement, je ne n’en avait aucun souvenir. J’eus beau réfléchir, rien, le trou noir. Je ne me rappelais même pas avoir nettoyé mon dégât d’eau avec ma mère ni même quand celle-ci était partie. Mais, si j’avais baisé avec Marie, ici, dans mon lit, je l’avais sûrement enregistré par la caméra que Mélany avait cachée dans la chambre, je ne m’en fis pas trop pour ce trou de mémoire. J’avais dû trop prendre de vin, encore. Mais la chambre, plongée dans la noirceur s’éclairait peut a peut. Je regarder ver la porte en clignant des yeux, quelqu’un l’ouvrait lentement, très lentement. Mais qui ? Sûrement pas ma mère, n’y Mélany en visite chez son père. Impossible qu’elle soit revenue par cette tempête.
« Si c’est ce maudit Gaston qui vient se rincer l’oeil en douce, me dis-je, je vais lui faire la peur de sa vie. »
Je me préparais a lui hurler après, quitte a faire sursauter Marie, mais soudain, je vis un membre imposant en érection complète et à contre-jour émerger de derrière la porte entrouverte. Ce phallus me semblait tout noir, comme une bite de démon. J’en rester interloquer un instant. Une bite légèrement recourber vers le haut qui me semblait aussi grosse que mon avant-bras et presque aussi longue et qui sursautait a chaque battement de coeur de son propriétaire. Ce membre me fit saliver bien malgré moi, je ne m’était pas faire mettre par un homme depuis si longtemps, sans doute trop longtemps. En tout cas, si c’était la bite de Gaston, je comprenais bien maintenant ce que ma mère fabriquait avec un gars comme lui. Seigneur !
— Gaston, c’est toi, murmurai-je.
La porte s’ouvrit qu’une fraction de seconde avant de se refermer rapidement et sans bruit. J’avais à peine eu le temps d’apercevoir une vague silhouette sombre se faufiler dans la chambre. Et maintenant, cette personne était là, avec nous, tout près, dans le noir absolu et bandé dur apparemment. Un frisson glacer me parcourut l’échine. Ma mère m’avait bien averti pourtant encore aujourd’hui de toujours barrer les portes. « Gare au violeur Luce, surtout avec les seins qu’on a ma fille. »
— Gaston ! Réponds, c’est pas drôle. Je vais appeler la police.
Un peut paniquer, je reculer mon ventre en lâchant le sein de Marie pour pouvoir lui taper les fesses mollement sous le drap les sentant si douce. Mes doigts s’y enfonçaient à peine.
— Marie, réveille toi, il y a un homme dans la chambre. Marie !
Rien, elle ronflait. Je taper plus fort lui faisant rebondir les fesses a présent. Toujours rien. Je l’agripper par un bras et la secouer en surveillant aux alentours. Elle ronflait toujours. Elle devait dormir au gaz.
— Marie seigneur, réveille toi !!! Hurlai-je presque en m’assoyant dans le lit dos au mur glacé en ramenant le drap au dessus de ma poitrine comme s’il pouvait me protéger tandis que mes yeux à demi fermer scrutait la chambre. Mon coeur battait à toute allure et je ne voyais même pas mes mains. Les rideaux tirer ne laissaient filtrer aucune lueur.
Je sursauter quand j’entendis une vois de femme douce et sensuelle juste à côté de moi me dire :
— Du calme ma belle Luce, je suis la pour te faire plaisir, je fantasme sur toi depuis que t’as vue derrière ton comptoir a la réception.
Cette voix féminine était si incongrue que j’en rester un moment sans voie, bouche ouverte. J’avais bien vu un pénis pourtant. Un couple, ils étaient deux. Mais qui ?
— Quoi ? Je vais appeler la police. Sortez de ma chambre.
Un rire léger se fit entendre. Un rire qui semblait flotter et me tourner autour comme s’il voulait entrer en moi.
— La police ! Mais c’est moi la police Luce. Rappelle toi, je suis la belle blonde avec une bite que tu as espionnée de là-haut, dans ton grenier, sur ta grande télé en te masturbant. Tu m’as vu me faire sucer par la belle Marie, voyeuse. T’as pas honte ?
Un doigt glacé m’effleura l’épaule au moment ou j’ouvrais la bouche pour lui demander comment elle pouvait savoir ça, comment elle pouvait être la, mais je sursauter si fort tout en frissonnant que je fus incapable de dire quoi que ce soit. Elle ne m’en laissa pas le temps de toute façon.
— Je devrais t’arrêter, tu sais. Mais j’ai tellement envie de fourrer ma grosse bite en toi ma belle, bien profond dans ton vagin ou ton petit cul, ou entre tes seins si plantureux, ou encore dans ta belle petite bouche. Ce n’est pas le choix qui manque avec une femme comme toi, ouverte à tout. Je pense même que je vais te faire tout ça, mais a commencé par ta bouche aux lèvres si sensuelles et si rondes. On dit que tu suces comme une vraie pro Luce. C’est vrai ça ?
Cette fois, le doigt m’effleura le menton, puis les lèvres comme si elle y voyait quelque chose, mais pas moi pourtant. Toujours incapable de répondre, je taper le doigt pour l’enlever, ça me chatouillait trop et ça me faisait peur. Encore ce rire tandis que je ne cessais de me demander qui avait bien pu lui raconter tout ça sur moi.
— C’est décider, je commence par ta bouche Luce. Ensuite je vais te besogner et te faire grimacer de plaisir a en devenir laide et gémir si fort qu’on va t’entendes jusqu’au village. Je sais que tu en meurs d’envie depuis que tu as vu ce que je suis : Une magnifique Shemale. Je suis ce qu’il y a de mieux pour une femme vicieuse bisexuelle comme toi, non ? J’ai des seins et une bite. Je connais tes désirs les plus secrètes Luce. Je sais a quelle point tu aimes te faire agacer le petit trou par une langue humide, un doigt fureteur ou quelque chose de bien plus gros. Comme une bite qui passe du cul au vagin pour revenir au cul ça, ça te fait te lamenter hein ? Depuis que tu te masturbes que tu aimes te passé le doigt dans le cul Luce pour augmenter ton plaisir, vicieux. Et je sais à quel point te faire mettre par un homme te manque. Te retrouver sur le dos à sentir de grosses couilles te frapper le vagin. Et je sais aussi à quel point tu aimes regarder et toucher les seins des autres femmes Luce. Et oui, je sais tout sur toi.
Mon coeur bondit, de peur et de honte. Je me sentais comme une fillette surprise les mains sous la jupe à se masturber en classe ou à l’église. Mais comment pouvait-elle le savoir tout ça, et surtout pour le grenier ? Et qui l’avait fait entrer ? Est-ce que Mélany la connaissait, si oui, elle aurait pu lui apprendre toutes ces choses si… si intime sur moi. Non, impossible. Jamais elle ne m’aurait trahit a ce point, je…
— Ne t’inquiète pas ma belle, je ne dirais rien sur tes vices, tes perversions ou ton petit côté voyeuse. On l’est tous au fond, non ? Prends ma bite !
Soudain je sursauter a nouveau, mais en lâchant un cri cette fois, car une main glacée aux doigts longs et fins, presque squelettiques, agrippa la mienne délicatement pour la poser sur un membre que je sentis énorme et si dur. Une grosse bite veiner, chaude, douce et palpitante que je ne pus m’empêcher d’enserrer et de caresser guider par cette main pourtant si féminine. Mes doigts en faisaient à peine le tour. Toucher ça me fit frémir des pieds à la tête et saliver abondamment. Toutes ces questions qui me passaient par la tête s’évanouirent soudainement comme par magie. Comme le vent emporte la poussière. Peut importe, après tout, elle n’était pas la pour me violer ni me brutaliser, bien au contraire j’en étais certaine. Mais jamais elle ne me mettra un engin pareil entre les fesses, ça non. Je ne pensais même pas pouvoir sucer ça. N’empêche, cette queue énorme allumait complètement mon corps de femme. Je mouillais déjà.
Dans le noir absolu, je sentais mieux sous mes doigts toute la douceur de la peau mince qui glissait sur des muscles gonflés par la pression sanguine, des muscles d’une dureté incroyable. Je sentais également mon petit doigt qui heurtait le gland toujours protéger par le prépuce et la légère courbure du membre en le masturbant tout du long. J’avais presque l’impression d’avoir des mains d’enfant tout à coup tellement ce phallus était gros et il me rappela quelque chose. Un souvenir de jeunesse.
Les parents d’une de mes amies d’enfance élevaient des chevaux et quand un étalon bandait, on se regardait les yeux petits moi et Guylaine avant d’éclater de rire, surtout quand il montait une jument. Et un jour, dans un box, on brossait un magnifique cheval noir et on n’avait pas pu s’empêcher de toucher ses grosses couilles noires si douces en riant et il avait bandé. Vue de si près l’organe n’en était que plus impressionnant et surtout attirant pour deux gamines curieuses. On c’était regarder en riant, en se disant des niaiseries : C’est toi qui le fait bandé Luce… non c’est toi… etc. Puis, un peut nerveuse toutes les deux, on avait osé toucher la longue bite qui sursautait, en riant, par curiosité et même le caresser les deux ensembles toujours en riant. Pour nous deux, à l’époque, c’était la première bite que l’on touchait. C’était quelque chose que l’on allait partager toute notre vie, sans en parler à personne. On l’avait masturbé avec plus de vigueur, car l’étalon semblait apprécier tout en flattant son flanc pour le calmer ou ses couilles sur lesquelles nos mains se rejoignaient parfois. Au bout d’un moment on cessa de rire, fasciner par cette bite si longue que l’on caressait les yeux petits et brumeux. Ce n’était plus juste par plaisir de la toucher, ça nous excitait. On se regardait faire les yeux petits, un peu gêner d’être si près l’une de l’autre à faire ça. Et soudain, Gylaine m’avait donné un petit baiser sur la bouche avant d’éclater de rire et je lui avais rendu en rougissant. Ca m’avait terriblement excité, j’avais senti mon sexe devenir humide et mes petits mamelons gonfler sous ma camisole tout comme les seins. Mais on avait du le lâcher par peur quand soudainement l’étalon avait henni et rué les yeux fous en éjaculant en abondance. Les fesses coller toutes les deux contre le mur du box, le coeur battant a tout rompre, les yeux ronds, on avait regarder, fasciner, le sperme jaillir pour tomber sur la paille jusqu’a ce que ça cesse et que le pénis ce contracte. Puis on c’était regardé et on avait éclater de rire encore jusqu’a ce que ça mère arrive en criant a mon ami de se préparer pour le dentiste.
Je me revoyais encore au soir de cette fameuse journée avec mon amie Guylaine, seul dans mon lit, sous les draps en position foetale. Sans savoir pourquoi, j’avais ressentir le besoin de glisser une main sous mon slip pour toucher et frotter mon sexe en essayant d’imaginer ce que l’on pouvait bien ressentir quand la bite d’un garçon se faufilait par la. De l’autre main je caressais mes seins naissant sous mon t-shirt d’Albator que je trouvais si beau. Des seins tout petits alors, que je pressais perdu dans mes pensées. C’était si agréable, si apaisant que je gémissais tout bas. Je me revoyais toucher avec mon amie cette bite chaude et si douce en riant et les couilles et surtout nos baisers chastes, mes premiers entre fille. J’avais trouvé ça, si… doux et excitant à la fois. Mais je revoyais surtout tout ce sperme qui avait jailli de la bite. J’avais ressenti alors en frottant mon pubis sans poil un étrange plaisir grandissant, un plaisir si puissant que je n’avais pas put cesser mes caresses, bien au contraire. Plus je frottais fort et vite, plus c’était agréable et plus je gémissais les lèvres pincer de peur que ma mère ne m’entende du salon même si je savais que c’était impossible. Je le fis jusqu’à atteindre mon premier orgasme. Un orgasme qui m’avait fait dresser les orteils, serré mes petites fesses et les cuisses et presque mordre mon oreiller pour étouffé mes gémissements en sentant mon coeur s’affoler. Mon premier orgasme, celui qu’on n’oublie jamais. Celui qui vous laisse pantelant, incrédule, celui qui vous change pour la vie. Puis, le souffle court, le coeur battant a tout rompre, je m’était retourner sur le dos en essayant de comprendre ce qui m’était arrivé sans avoir lâché mon sexe devenu très humide, ni mes seins. J’avais senti mes doigts avant de recommencé a me caresser, mais, cette fois, en pensant a mon amie Gylaine. Ses lèvres si douces, ses yeux brumeux, ses petits mamelons dresser et ses longues cuisses blanches. Mais surtout, jamais je n’avais oublié ce que j’avais ressenti en posant la main sur cette bite surdimensionner. C’était si doux ça aussi et si énorme.
Et la, je dû déglutir a nouveau tellement je salivais, en fait, je salivais sans doute autant qu’un naufrager perdu sur une île déserte qui, une fois sauvé, ce retrouve devant un buffet. Ce membre que je touchais alluma mon corps de femme totalement et me fit mouiller en abondance tellement mon sexe aspirait à le sentir en lui, profondément pour s’y agiter avec force. Je sentis même mes grandes lèvres gonfler en s’ouvrant comme les ailes d’un papillon et mes mamelons qui durcissaient au possible, me chatouillant sous le drap qui me fut soudainement arraché, pour s’envoler quelque part. J’eus l’impression de perdre ma seule protection, le dernier rempart entre ce phallus démesuré et mon vagin dont l’entrée se dilatait déjà. Je mouillais tellement que je sentais de la cyprine me couler sur l’anus me chatouillant. Même mes cuisses s’ouvrirent toutes seules, mon genou droit heurtant le dos de Marie qui ronflait toujours. Pas croyable ! Comment était ce possible ? Elle devait être dans le c***.
Ma cervelle engourdit par cette bite que je masturbais, me disait que j’allais me retrouver sur le dos jambes en l’air a crier de plaisir et j’en mourais d’envie. Et quand ça se produirait, Marie ne pourrait pas ne pas se réveiller et elle allait se joindre à nous, je n’avais aucun doute là-dessus. Imaginer ça me fit devenir toute molle, en chaleur complètement, prête à m’abandonner au désir de cette blonde et de son membre imposant. Mais ce phallus était si gros en fait que ça me faisait un peu peur. Peur d’avoir mal si elle essayait de me pénétrer avec ça, surtout trop vite sous le coup de l’excitation. J’avais l’impression que mon vagin ne pourrait jamais se dilater suffisamment. Mais en même temps, ce membre que je branlais me tournait tellement la tête que je n’arrivais plus à réfléchir correctement. Une fille avec une bite en plus, plutôt un homme devenu une jolie femme et très sexy. Je mouillais également juste a l’imaginer se coucher sur moi pour sentir son corps de femme entre mes cuisses, sa poitrine contre la mienne tandis quelle me besognerais en grognant de plaisir. En tout cas, pour une belle blonde elle était drôlement membrée et je n’avais pas touché de bite depuis si longtemps que j’avais oublié à quel point ça m’allumait. Et Marie qui ronflait toujours juste à côté. Je me sentais résigner a me laisser faire, je ne pouvais pas résister de toute façon et je renonçais même a comprendre comment elle pouvait être la, nue, dans ma chambre. Et surtout, comment elle avait pu savoir pour le grenier. Je réaliser tout à coup que cette Shemale pouvait me faire chanter et m’obliger a faire n’importe quoi et, cette idée me plaisait au fond. L’idée de devenir son jouet sexuel, mais surtout de partager la même amante que Marie et sûrement avec elle dans quelques minutes.
— Suce-moi, m’ordonna la voix soudainement, mais de manière si sensuelle si douce que j’en frémis. T’inquiète pas pour Marie, quand elle dort, rien ne peut la réveiller.
Elle avait déjà dormi avec elle, puisqu’elle savait ça. Ce n’était donc pas une première dans la toilette du motel. Et, sucer cette queue, seigneur ! Pourtant, si Marie y était arrivée, je le pouvais aussi, mais pourtant, dans la salle de bain, ce pénis m’avait paru normal, pas si énorme, même vu d’en haut. Un de mes ex, un poète anarchiste méconnu, l’avait si grosses que je ne pouvais que lui sucer le bout de la bite et elle faisait un bon 12 pouces de longueur. Quant il me pénétrait, seigneur, l’expression 7e ciel n’était même pas suffisante, mais celle-là, me paraissait encore plus énorme. Et, étant donné que je n’y voyais rien, même pas ma main, j’avais l’impression qu’elle était aussi noire que celle de l’étalon que j’avais touché gamine.
— Mais… je n’y vois rien. Protestai-je faiblement. Je…
— Ouvre la bouche et montre-moi ce que tu sais faire !
Docile et obéissante tellement je me sentais exciter malgré tout, j’étirer le cou tout en guidant le gland comme une aveugle pour le pointer vers ma bouche. Il glissa sur le bout de mon nez, ma joue, mais je le ramener vers ma mes lèvres déjà entrouvertes, prête a l’accueillir, mais pas assez ouverte. Pourtant, elles s’étirèrent suffisamment en s’arrondissant pour que ça passe. Ça me fit un peut peur, jamais je n’avais été emboucher de la sorte. En entrant, le gland écrasa ma langue en frottant contre mon palais et sans doute mes dents que j’écartai au maximum en sentant battre mon coeur. Je dus agripper la hampe a deux main pour l’empêcher de trop s’enfoncer dans ma gorge pour éviter de m’étouffer comme je l’avais fait avec bien d’autres hommes que j’avais connus. Je me mis à donner de la tête en salivant terriblement avec toujours l’image du phallus de l’étalon en tête que je n’arrivais pas à chasser.
— Oui ! C’est bon, fit la voix dans un murmure, me ramenant à la réalité.
Ma salive abondante me coulait déjà sur le menton y pendouillant pour tomber sur mes seins qui se balançaient mollement et sous les doigts rendant le membre glissant. Jamais je n’avais sucé un pénis de cette envergure, mais pourtant, je m’en sortais plutôt bien malgré ma petite bouche. Je penchais la tête en agitant la langue contre le gland, aspirait, sentant le prépuce complètement contracter maintenant. Curieuse, je descendis ma main droite sur la hampe jusqu’à toucher les testicules, que je sentis presque aussi grosses que des oranges pour les palper doucement. Elle était très lourdes, mais surtout si douce et sans aucun poil. Tellement agréable a toucher dans le noir que j’en salivai encore plus en les imaginant se balancer et me heurter l’entrejambe quand elle allait me pénétrer. Elle, Seigneur ! Une Shemale avec une queue qui risquait de me déchirer le vagin. Un autre frisson glacer me parcourut la colonne. Mais j’en ressentais tout de même une telle envie, une envie incontrôlable de me faire mettre que je la sortis de ma bouche au bout de quelques minutes en espérant que ce soit suffisant pour elle comme préliminaire, car s’en était pour moi, mais rarement pour un homme. Ça, une femme le comprend vite. Et, tandis que je reprenais mon souffle en la masturbant la blonde me dit :
— Tu la veux en toi, c’est ça ? Tu en meurs d’envie hein ? Tu dois être déjà toute mouillé, vicieuse !
— Oui, m’entendis-je dire tout bas avec une drôle de voix. Une voix de petite fille obéissante.
— Mais c’est trop tôt, lèche moi le gland, la hampe, les couilles et suce la moi encore. Allez, j’attends !
Déçut, mais toujours soumise a ses désirs, je le fis en y mettant toute ma science et mon expérience en sentant mon coeur battre et ma vulve palpiter. Je pointer la langue pour l’agiter sous le gland, puis tout autour avant de soulever la bite pour la lécher jusqu’aux couilles que je sucer l’une après l’autre avant de revenir au gland pour le mordre tendrement puis le ravaler goulûment. Toujours aucun gémissement de ça par, comme si elle ne ressentait rien. Je sentis une légère frustration, une atteinte a ma fierté, comme si je n’arrivais pas à lui faire plaisir. Cela me piqua au vif et me fit y mettre plus de coeur voulant absolument lui donner du plaisir sans l’amener à l’orgasme. Mais ça, c’était difficile, pas évident. Mais, d’un autre côté, plusieurs de mes amants avaient réussit a me besogner avec force et a jouir a nouveau après être venu dans ma bouche.
Dans le silence absolu, sauf pour le bruit de la tempête qui rageait toujours, je n’entendais que ma respiration saccader et les bruits gênants de succion émit par ma bouche débordante de salive. Mais cette fois elle me palpa un sein d’une main froide tout en agrippant mes cheveux de l’autre a m’en faire un peut mal pour me forcer a l’avaler plus, mais c’était impossible. Soumise, j’enserrai plus fort la hampe a deux mains en sentant mes lèvres heurter mes doigts. Et dire que Marie ronflait toujours. Je donnais de la tête, narine dilater, plus exciter que jamais, frémissante, en grognant par le nez, surtout quant elle me pinça méchamment le mamelon gauche a me faire mal. Je faillis lui mordre le gland pour me venger, mais j’en fus incapable. Au fond, ça m’excitait beaucoup plus d’être ainsi forcé, mais pas trop.
Au bout d’un moment, elle se mit à donner des coups de reins. Je rester la, la tête droite, les deux mains refermer sur la hampe qui y glissait bien à cause de ma salive, sentant le gland aller et venir coincer entre ma langue et mon palais. Un peut de liquide salé s’écoula du gland pour me tomber sur la langue, le goût délicieux m’emplit la bouche tout en me faisant un peut paniquer, car je savais bien ce que cela signifiait. Le prémisse a l’éjaculation. Je voulus la sortir de ma bouche encore une fois parce que je mourrais d’envie de me faire pénétrer, pas par peur d’avaler du sperme, je l’avais fait si souvent. Mais elle m’en empêcha par les cheveux avec force sans cesser de me tripoter les seins. Je compris qu’elle était bien décidée à me venir dans la bouche, les hommes aiment tellement ça et au fond c’est ce qu’elle était, un homme. Déçut, mais résigner, j’attendis quelle éjacule, m’y préparant, la laissant s’agiter, prête a avalé. Pourquoi pas ? Pourvu quelle ne me plante pas la après avoir eu son plaisir pour filer, ce que les hommes font trop souvent hélas.
— Serre les doigts plus fort, m’ordonna-t-elle à voix basse.
En le faisant je sentais bien le gros canal sous le membre par mes pouces, celui par le quelle le sperme et la pisse passe avant de jaillir par l’urètre et…
Et soudain, je sentis ce canal gonfler et… le sperme jaillit avec force jusque dans ma gorge me remplissant la bouche jusqu’à m’étouffer. Je sursautai tout même, surprise par la puissance du jet qui m’arrosait le palais. Le côté reptilien de mon cerveau me dictait de recracher tout ça, car ce foutre ne jaillissait pas au bon endroit, mais mon expérience me disait que je devais avaler rapidement le sperme salé jusqu’a ce quelle eu fini éjaculer sinon, cela allait me jaillir par le nez et m’étouffer. Ça me coulait déjà des coins de la bouche jusque sur le menton. Le foutre liquide n’était pas mauvais et passa plutôt bien. Cela me rebutait rarement d’avaler. On s’y résignait, pas toutes, mais la plus part des femmes pour faire plaisir a nos amant, pourvu que l’homme ne nous le demande pas trop souvent et puis cela m’excitait aussi parfois. C’était si peut naturel et.. Cochon, pas érotique, mais… avaler du sperme c’est, étrange, mais dans de bonnes conditions, comme maintenant. Je me sentais tout électrique en sentant les jets puissants jaillir contre mon palais et sur ma petite langue pour être aussitôt avalés. Quant la source se tarit je sucer encore un peut le bout de la bitte puis elle retira son sexe de ma bouche me laissant essoufflée, mais surtout horriblement déçut de ne pas avoir pu sentir cette bite en moi. Mais, tandis que je m’essuyais les lèvres en finissant d’avaler, le menton et les seins du dos de la main, elle me lâcha la tête pour se la secouer probablement. Je m’attendais a recevoir un peut de sperme au visage ou sur les seins, mais… rien et j’entendis tout à coup, juste contre mon oreille, ce qui me fit encore sursauter :
— Ne croît pas que j’en ai fini avec toi ma belle. Allez, sur le dos, cuisses écarter, genoux en l’air. C’est à ton tour d’avoir du plaisir Luce.
Entendre ça me fit frissonner de nouveau en déglutissant. Toujours obéissante, je m’étendis, tête sur l’oreiller, prête à me faire prendre exciter au possible, nerveuse, mais apeurer surtout. Je sentis mes gros seins s’aplanir pour me recouvrir le torse comme d’habitude et je me les caresser. Mais je me sentais surtout très vulnérable en écartant les cuisses pour lui offrir mon sexe en relevant les genoux, pieds à plat sur le lit comme elle le voulait tout en sentant le matelas remuer. Elle grimpait sur le lit, le faisant tangué au point ou Marie s’ébroueras en rallant comme agacer de se faire réveillé, enfin, et se retourna pour plaquer son visage contre le mien, une main sur mes seins, un genou sous ma jambe droite contre le dos de ma cuisse. Je sentais sa poitrine en sueur écraser contre mon flanc, cela m’excita encore plus. Je placer un bras sur sa hanche sentant toute la douceur de sa peau et de ses cheveux soyeux qui me chatouillait l’épaule et le nez. Elle devait même sentir mon haleine de foutre et ça me gêna, mais je n’y pouvais rien.
— Marie, t’es réveillée ?
Silence, respiration régulière et léger ronflement. Je soupirer exaspérer quelle ce soit apparemment rendormit. Mais peut être faisait-elle semblant et que cela l’excitait. C’était peut être même elle qui avait fait entré la policière pendant que je dormais, elle avait même du baisé en bas, sur mon sofa ou ma table de cuisine pour découvrir, je ne sais trop comment mon grenier et…
Au même moment des cheveux et un souffle chaud me chatouillèrent le sexe et l’intérieur des cuisses. J’en frémis de la tête aux pieds en réalisant que l’autre était sur le ventre entre mes jambes, son visage tout près de ma vulve qui n’aspirait plus qu’à se faire remplir par son membre après une bonne séance de léchage. Je l’avais sucé et j’avais même avalé son sperme, elle me devait bien ça, un bon coup de langue. Je laisser glisser ma main gauche sur mon ventre jusque dans ma toison pubienne pour me masturber lentement prête a m’abandonner a ses caresses buccales. Oh oui ! Je le voulais plus que tout; je voulais sentir une langue chaude et humide s’agiter sur et dans mon sexe en même temps qu’un doigt mouiller qui s’enfoncerait entre mes fesses pour agacer mon anus si sensible. Le doigt s’y agiterait jusqu’à toucher la langue par la mince paroi anale. Vu qu’elle savait à quel point cela me faisait plaisir de me faire jouer dans ce coin là, et ensuite…
Tout à coup, des dents me mordillèrent le pubis juste contre mes doigts, pas fort, mais suffisamment pour que tout mon corps se raidisse, surtout mes orteils. Au même moment, Marie me prit la main sur sa hache pour la déposer sur ses seins chauds contre mon flanc. Je serrer celui en dessous avec elle le sentant un peut mou, mais si doux. Les dents me raclèrent les poils du pubis tandis que le bout pointu d’une langue s’y baladait. Ça me coupa le souffle et me fit ramener ma main gauche sur mes seins pour me les caresser en abandonnant l’idée de me masturber. Je me presser délicatement les mamelons tendus a l’extrême et si sensible que je m’en mordillé les lèvres en gémissant. Toujours dans le noir absolu et sur un fond de tempête ce qui me faisait tout mieux ressentir, j’avais l’impression d’être en feux, prête a explosé des quelle s’en prendrait a ma chatte mouillée, a mon petit clitoris surtout bandé dur. J’avais chaud, terriblement chaud.
Sans le vouloir je presser plus fort le sein de Marie et l’un des miens si gros comparer au sien en ne sentant plus que la langue pointer qui s’agitait maintenant tout autour du chapeau du clitoris au sommet de ma fente, puis sur ma fente de haut en bas jusqu’a mon petit anus. J’en frémis terriblement à sentir le bout de la langue me le titiller un moment avant de remonter sur ma vulve grande ouverte. Je sentait aussi des épaules me chatouiller l’intérieur des cuisses et des doigts me pincer délicatement les grandes lèvres pour les étirer. Elle voulait un meilleur accès à mon vagin. Je me mis a gémir doucement, dents serrées en grimaçant tout en murmurant :
— Oui, oh oui ! C’est bon !
C’était grisant toutes ces sensations, mon vagin se contractait en sentant enfin la langue chaude et humide y pénétrer profondément en s’agitant. Si profondément en fait que cela me parût impossible, personne n’as de langue aussi longue et pourtant… Dieu du ciel ! Je me mis a gindre et a me tortille contre Marie en sentant cette langue pointue aller et venir en moi, me faisant mouiller a l’extrême. Mais le pire, c’était le bout du nez froid qui me frappait le clitoris. À chaque fois, c’était comme une petite décharge électrique qui me traversait le bas ventre. Sous le coup du plaisir, je lâcher mon sein pour lui prendre les cheveux en les tortillant pour la faire me pénétrer plus vite avec sa langue incroyable. Je sentais déjà un orgasme naître en moi, c’était trop bon. Mes soupirs et mes gémissements couvraient les râlements du vent. Mes fesses se resserraient toutes seules et mon anus pulsait comme s’il se plaignait d’avoir été abandonné celui-là. Et soudain, comme si la blonde lisait dans mes pensées un doigt toucha mes lèvres, me forçant à le sucer. Je le fis en l’enduisant de ma salive. Et elle le retira pour, soudainement, le faufiler entre mes fesses. Je lever les jambes pour croiser mes chevilles sur les reins de la fille pour lui donner un meilleur accès. Le doigt tapota mon anus si sensible et s’y enfonça très facilement en tournant et s’y profondément que j’en pleurer presque de plaisir. La langue chaude et humide remuait toujours dans mon sexe et je sentais très bien le doigt la toucher. J’allais exploser, pas de doute la dessus, mais, après quelques minutes seulement, alors que j’allais jouir, doigt et langue se retirèrent. Merde ! Je la sentis aussitôt grimper sur moi. Je lâcher ses cheveux, nerveuse, le coeur battant de peur, car elle se préparait a me pénétrer. Je sentis clairement ses seins glisser sur mon ventre puis sur les miens, ça bouche s’écraser sur la mienne en poussant sa langue presque jusqu’au fond de ma gorge et un gland énorme écraser mon sexe pour y glisser jusqu’a l’anus et pousser. Je frémis de peur. Seigneur !
— Non ! Plus haut !
Elle obéit en agrippant sa bite, trouva l’entrée du vagin et poussa à nouveau. Je me raidis en sentant la pression, mais elle n’y arriva pas. Elle me prit la main gauche pour la déposer sur sa hampe que je sentis ramollie, elle pliait. Je me mis aussitôt à la masturber pour lui redonner de la vigueur. Je sentis le membre se raidir sous mes doigts jusqu’à devenir dur comme une batte de base-ball et, curieusement, beaucoup plus mince tout à coup tout en entendant soudainement la voix de ma mère contre mon oreille.
— Luce ! Seigneur, mais qu’est-ce que tu fais la ?
Mon coeur bondit.
— M’man, mais toi, qu’est-ce que tu fais la ?
— Réveille toi ma fille, je travaille toute seule a nettoyer ton dégât. As-tu dormi cette nuit toi ? T’étais pourtant toute seule ici à ce que je sache vu que Madame Lemieux a dormi à l’hôtel, enfin, pas dormi, mais… Luce !!!
On me secoua l’épaule et… il fit jour tout à coup. Je cligner des yeux plusieurs fois avant de me rendre compte que j’étais assise sur le sofa du salon en tenant solidement le manche noir en plastique de la moppe.
— Luce… Réveille-toi !
— Quoi ? Je… Merde ! Je dormais ? Encore ?
— Oui, assise bien droite et tu rêvais, et sûrement un rêve sacrément cochon ma fille vue ce que tu faisais a cette pauvre moppe. Je regarder ébahit le manche.
Elle, elle regardait ma poitrine les yeux rieurs, j’y vis mes mamelons qui pointaient terriblement sous ma blouse et je sentais même mon slip humide et collant.
— Seigneur ! M’man, regarde ailleurs.
— Seigneur Luce, j’en ai moi aussi des mamelons. Tu devais t’asseoir 5 minutes et ça fait une demi-heure.
— Oui je… désolée. J’arrive.
C’est là que je me rendis conte que la bite de mon rêve que je branlais et dont je me rappelais cette fois, c’était se maudit manche. Je me rappelais vaguement m’être laissé tomber sur le sofa pour reposer mes jambes quelques minutes, mais.. C’est tout. Mais le rêve me semblait encore si réel que j’en rougis. Dieu du ciel. Je regarder ma jupe pour m’assurer qu’elle n’était pas relever. Non, merci mon dieu.
— Heureusement que Madame Lemieux est là pour m’aider. Elle est travaillante, elle.
— Comment, elle ne dort pas ?
— Non et….
Là, ma mère colla sa bouche à mon oreille pour dire :
— Je dois avouer quelle est très, he… troublant avec juste un t-shirt de Star Wars sur le dos. C’est jambes, oufffff… c’est quelque chose. Sais-tu ma fille, si je me décidais à essayer ça avec une femme… je la choisirais moi aussi. Et toi, à te voir tripoter ce manche pendant que tu dormais, je pense que je vais te passer mon Gaston, tu ne seras pas déçu. Apparemment, les femmes, ça ne te suffit pas.
J’en rester pantoise, bouche ouverte, les yeux tout ronds en regardant ma mère me faire un clin d’oeil complice avant de disparaître a la cuisine ou je l’entendis discuter en riant avec Marie. Je regarder le maudit manche en plastique noir que je serrais toujours a m’en blanchir les doigts. Seigneur ! Moi qui était si secrète, moi qui aimais plus que tout garder mes petits secrets par timidité, surtout ceux entourant mes histoires de sexe avec d’autres femmes, v’là que si ça continuait, toute la planète allait savoir que j’étais bi. Et j’avais branlé, en dormant, un manche et devant ma mère en plus. Puis, je vis qu’au moins, il n’était pas recouvert de salive. Fallait vraiment que je dorme un bon 12 h, même 24. Mais après avoir baisé avec Marie. Rien au monde ne me ferait manquer ça, même pas ma mère.
Je lâcher un long, très long soupir en regardant l’arbre de Noel. Je m’aperçus que le minuscule cadeau de Mélany avait disparu. La petite tabarouette, elle avait du l’emmener avec elle. Ça me fit sourire, car, si elle l’avait déballé, elle avait dû avoir une drôle de surprise. Puis je vis le sac de voyage de Marie à côté de moi me rappelant soudainement ce que ma mère venait de me dire. Qu’elle l’aidait à nettoyer avec juste mon t-shirt sur le dos, sans slip ni soutien-gorge apparemment ! Et ben, dire qu’elle se disait timide. Et j’aperçus des bas nylons noirs à large bande décorative qui traînaient par terre. Ceux de Marie sans doute, ou ceux de ma mère. On travaillait pieds nus à cause de l’eau.
— Luuuce !!! Arrive !
— Ouuuuiiiii !!!! Seigneur ! Hurlai-je en me levant, sentant une vide douleur dans mes reins et mon slip collant. Mes mamelons au garde à vous me gênaient, mais bon, le devoir m’appelait.
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