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Mon viol au motel

Mon viol au motel



Par une soirée froide, je suis chez moi à me promener sur mes sites de culs/rencontres et je suis en cam, pour bien me montrer. Je reçois un message d’un homme, je clique sur son profil. Les photos me montrent un bel homme et qui se donne un beau profil, doux, affectueux, tendre, gentil, généreux, bref tout ce que j’attends d’un homme et avec cela une belle queue de 9 pouces pas trop large, humm parfaite pour moi. Il est à Montréal pour quelques jours et si je veux, je peux aller le rejoindre au Motel Le Marquis sur la rue Sherbrooke, un peu à l’est de Dickson, ok. Le temps de prendre ma douche, bien me préparer l’intérieur. J’enfile mes bas collants blancs, mon string et ma brassière blanche, ma robe rouge et noire, dans une boîte, ma perruque. Je me rends au motel, prends l’ascenseur jusqu’au troisième, porte 312. Avant de cogner je regarde dans le corridor, personne, j’enlève mon jogging, mon manteau, mets ma perruque et cogne, la porte s’ouvre

– Tabernacle, encore plus belle qu’en cam

– merci

– entre

Il referme la porte derrière moi et je vois qu’il y a deux autres hommes

– Serge, nous allons avoir beaucoup de fun avec cette truie

Serge celui avec qui j’ai discuté sur le site, sourit

– du calme les gars, nous avons toute la nuit avec cette belle dame

– une dame, qu’une grosse vache qui va se faire défoncer le cul. tu veux dire

Je ne sais pas pourquoi je commence à avoir un peu peur

– messieurs je pense qu’il y a eu un petit malentendu, je pensais qu’il n’y aurait qu’un seul homme

– ta gueule salope

Je me retourne pour sortir de là

– non tu restes ici, grosse truie, me dit un des gars en m’empoignant la main très fort

– tu me fais mal

– t’inquiète, tu n’as pas fini d’avoir mal

Serge et un autre s’approche de moi et commence à déchirer ma robe

– ne me faites pas de mal

Une claque s’abat sur ma figure, je continue à être déshabillée, me retrouvant qu’en string et brassière

– avec son ventre on dirait une pute enceinte, j’adore, à quatre pattes sur le lit et vite

Je me sens vraiment petite et j’ai vraiment peur, comme je ne bouge pas, une nouvelle tape sur ma figure, je pleure

– oh la fifille pleure, à quatre pattes si tu n’en veux pas une autre

J’obéis en tremblant de peur, nouvelles séries de tapes mais sur mes fesses, tellement que je sens rapidement mon cul chauffer. Un des hommes se place devant moi en baissant son pantalon, sort sa queue

– suce-moi, connasse, aller, ouvre ta sale gueule de truie enceinte

À peine la bouche ouverte, il me prend la tête à deux mains et engouffre sa tige dans ma bouche, le plus profond possible, je m’étouffe presque. Je sens un doigt mouillé se coller à ma rondelle et se glisser en moi sans retenue. Puis un deuxième et un troisième. Une lanière de cuir s’abat sur mon dos, pas trop fort mais quand même, je la sens bien me laisser des traces. Les doigts se retirent pour laisser la place à un gland surdimensionné se coller à mon trou. Je prends une grande respiration parce que comme s’est parti là, je peux oublier la tendresse. Comme de fait, il me pénètre violemment sans ménagement, le con

– elle est bonne cette pute, je la sens bien, sa plotte est douce pour ma queue

Moi, prise par les deux bouts, je pleure ma vie, je voudrais mourir, tellement j’ai mal. Celui qui me baise la bouche, me la pousse le plus loin en me retenant et il éjacule tout son foutre dans le fond de ma gorge

– avale tout, grosse calice, sinon…

Je recrache son sperme, je reçois des coups de lanières mais plus fort que la première fois

– arrêtez, vous me faites mal

– ça t’apprendra à recracher son sperme

Son copain excité de la situation finit par jouir en moi, se retire en me donnant quelques tapes sur mon cul. Serge se place derrière moi et me transperce d’un coup et se met à me pilonner le fion. Mon enculeur se place devant moi toujours bander

– tu vas me sucer pétasse, ouvre grande ta gueule

Et il se met à me baiser la bouche. Serge y va à fond de train, à chaque coup qu’il me pénètre, je sens ses couilles frapper les miennes. il me baise tout en me donnant de bonnes tapes sur le cul et à un moment, ses ongles pénètrent ma chair, ne bouge plus

– aaaahhhhhhhhhhh

Il jouit en moi, me remplissant encore de foutre. Celui que je suce, retire sa queue, se masturbe et éjacule sur ma figure. Un des gars se met à me fesser le cul avec force, je crie, où j’essaye, parce qu’un oreiller vient se coller à ma bouche, puis tout s’arrête

– mets-toi à genoux, MAINTENANT

Je me place devant les trois, à genoux. Serge s’avance et avant que je n’ai le temps de réagir, me fout une de ces baffes, je me remets à pleurer, se mets de côté, un deuxième prend sa place

– voyons salope, tu es venue au monde juste pour ça

Et me taloche à son tour, le troisième ne dit rien, m’enlève la perruque, tire mes cheveux amenant ma tête par en arrière et à son tour me descend deux trois claques sur ma face. Serge colle sa figure à la mienne, sourit

– il ne faut pas toujours croire ce que l’on lit sur les profils, nous partons, tu as la chambre jusqu’à demain

Une fois seule, de peine et de misère, je me lève, je barre la porte à double tour, plus la chaine et retourne me laisser tomber sur le lit et je recommence à pleurer, je finis par m’endormir. Le lendemain, je me réveille, me coule un bon bain chaud avec des bulles, je m’enfonce dans l’eau jusqu’au menton et pleure à nouveau en réalisant que je bande, doucement je me masturbe, je me trouve bizarre.

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