
Le réveil sonne, je l’éteins péniblement. J’ai la bouche pâteuse et une légère barre sur le crâne. Je réveille Jessica en douceur grâce à quelques caresses bien placées. Elle se retourne, m’embrasse et nous nous câlinons quelques instants. L’effet est immédiat, je bande et j’ai à nouveau envie d’elle, mais elle se refuse à moi sous prétexte qu’on n’a pas le temps. Un peu déçu, je la regarde sortir du lit et je mate son magnifique popotin. Je regrette sincèrement qu’elle ne pratique pas la sodomie car j’imagine que ça pourrait être génial avec un croupion pareil.
Je me lève à mon tour et je me colle derrière elle avant qu’elle ne sorte de la chambre. Ma poutre plaquée contre ses fesses, je lui manifeste mon désir en l’embrassant dans le cou et en caressant ses petits seins. J’ai bien fait d’insister car la jeune femme ne résiste pas à ma deuxième tentative. Elle se retourne et m’embrasse en posant sa main sur mon sexe pour le branler en douceur. J’expédie aussitôt ma main entre ses cuisses pour chatouiller son intimité qui s’humidifie. Pressés par le temps, nous nous mettons en situation rapidement. Jessica se met à quatre pattes sur un coin du lit et s’offre à moi pour que je la culbute en levrette. Posté debout derrière elle, je pointe mon dard et m’enfonce d’un seul coup en elle. Je la besogne soigneusement, sans être brusque, accélérant la cadence petit à petit. Excité par les plaintes de Jessica et son anus ridé que je visualise en écartant un peu ses fesses, l’issue fatale met quelques minutes seulement à arriver. Je grogne et déverse mon liquide blanchâtre dans son vagin.
Après ce petit coup de quéquette, nous retrouvons Céline et Bertrand qui terminent de se préparer. Nous prenons une douche et nous nous apprêtons pour la journée. Avant notre départ, je ne manque pas de complimenter les filles sur leur tenue. Jessica est très jolie dans sa courte robe multicolore et Céline est carrément sexy dans sa minijupe rouge et son chemisier blanc sans manche qui moule parfaitement sa poitrine généreuse.
500 mètres nous séparent de la salle des fêtes où a lieu le retour de noces. Nous marchons en silence, sans qu’aucun d’entre nous fasse allusion à notre petite partouze de cette nuit. Je décide donc de mettre le sujet sur la table.
– Pour en revenir à ce qu’il y a eu cette nuit, je voulais vous dire que j’ai trouvé ça super.
– Moi aussi, mais il ne faut pas que ça s’ébruite, lance Jessica.
– C’était top, c’est la première fois que je faisais ça et je ne suis pas prêt de l’oublier, annonce Bertrand.
– C’était trop bon, on pourrait même remettre ça ce soir, nous dit Céline. Qu’est ce que tu en penses Jess?
– Moi je suis toujours partante, tu le sais bien.
– Ca aurait été avec plaisir, mais je ne vais pas trop trainer aujourd’hui car je travaille tôt demain.
– Ok, tant pis pour toi Bertrand. Et toi Chris, tu ne travailles pas demain, tu peux rester?
– Bah c’est à dire que je suis venu avec un pote donc si je ne rentre pas avec lui, je n’ai pas de voiture pour demain.
– C’est pas grave ça, je te ramènerais, c’est pas un problème.
– Bon bah si ça ne te dérange pas de faire 3/4h de route, je veux bien rester.
– Cool! Comme ça tu nous auras toutes les 2 rien que pour toi, tu ne le regretteras pas, s’écrie Céline sous le regard déçu de Bertrand.
A notre arrivée à la salle, nous saluons les mariés ainsi que les quelques convives déjà présents. Puis j’attends avec impatience, l’arrivée de Gérald, mon ami avec lequel je suis venu. Au bout d’une demi-heure, il fait son apparition. Je lui raconte brièvement la nuit que j’ai passé et lui explique mes projets pour ce soir. Il ne s’offusque pas de devoir rentrer seul, il est même plutôt content de ne pas avoir à m’attendre, il pourra ainsi partir dès qu’il le souhaitera.
Après avoir mis les choses au clair avec lui, j’emprunte ses clés de voiture pour pouvoir aller me changer, car j’ai toujours mes habits de la veille, et mettre une tenue plus décontractée. Je me dirige sur le parking et ouvre le coffre de la voiture pour prendre mon sac. Je retire mon pantalon de costume, enfile un jean puis ôte ma chemise. Le temps que je mette un simple tee-shirt, j’aperçois Céline qui approche vers moi, clope au bec et coupe de champagne en main.
– Ca se passe bien? M’interroge-t-elle
– Ouais tout baigne, dis-je en cherchant mes baskets dans le fond du sac.
Son regard concupiscent se pose sur mon entrejambe, elle a remarqué que je n’ai pas encore boutonné mon jean.
– Je profite qu’on soit tous les deux pour te dire que j’ai adoré comment tu m’as prise par derrière cette nuit.
– Et moi j’étais bien content que tu pratiques car j’adore ça.
– Et bien vivement ce soir qu’on recommence alors, rien que d’y penser, hum, ça me donne chaud.
– Ca t’excite petite coquine.
Sans un mot, elle prend ma main et la glisse sous sa jupe. Elle n’a rien dessous et ma main découvre une chatte bien trempée.
– Ca répond à ta question?
– Oui, c’est très explicite, dis-je en enfonçant mon majeur dans sa fente brûlante.
– Je ne suis pas la seule visiblement.
Effectivement la bosse de mon boxer ne peut lui donner tort.
– J’avoue que tu m’excites aussi.
– Laisse-moi te donner un aperçu de ce qu’il t’attend ce soir.
Aussitôt, la belle brune jette sa cigarette, avale son verre d’une traite et s’accroupit entre les voitures.Elle baisse mon pantalon et mon boxer avec une aisance déconcertante, saisit mon manche à la verticale et s’attaque à mes roupettes à grands coups de langue. Je guette les alentours pour vérifier que personne ne nous surprenne et je me laisse aller à quelques gémissements car la demoiselle d’honneur me gobe les balloches magistralement en m’astiquant avec vigueur. Elle crache ensuite sur ma bite et l’engloutie entièrement au fond de sa bouche. Elle me pompe super vite en y mettant un maximum de bave. Je ne sais plus sur quelle planète j’habite tellement elle me fait du bien. En plus, elle me fixe avec un regard de chienne en chaleur en se caressant l’abricot et ça m’excite encore plus, ce que je ne manque de lui dire. Elle retire ma queue pour me répondre:
– Toi aussi tu m’excites trop et je veux que tu jouisse dans ma bouche.
Heureux de cette invitation, j’appuie sur sa tête pour qu’elle me reprenne en bouche. Elle me suce à nouveau comme une folle et lorsque je sens que je vais exploser, je tire sur ses cheveux pour basculer sa tête en arrière.
– Vas-y ouvre la bouche.
Elle obéit en tirant la langue pour obtenir son cadeau. Je me branle rapidement à quelques millimètres de sa cavité buccale et je gicle en manifestant mon plaisir par de forts soupirs. Ma liqueur recouvre toute sa langue et la cochonne avale le tout avec délectation avant de nettoyer ma tige de toutes traces apparentes.
De retour dans la salle, nous prenons l’apéro debout avec tout le monde, puis nous nous mettons à table. Je mange avec mes amis, pendant que les filles mangent avec les mariés. Jessica me lance souvent des sourires mutins. Elle est vraiment d’une beauté rare et ma consommation de vin me donne des idées perverses. Un peu avant le dessert, je lui fais signe pour qu’on aille fumer une cigarette. Une fois dehors, nous allons nous mettre à l’écart des autres fumeurs pour être un peu tranquille. Nous discutons un peu, puis nous nous embrassons. Nous jouons avec nos langues, notre désir monte petit à petit. Je caresse ses fesses par dessus sa robe et perçois un élastique. Je lui demande ouvertement:
– Tu portes quelque chose sous ta robe?
– Un string pourquoi?
– J’en connais une autre qui n’a rien…
– Et tu voudrais que je fasse pareil.
– Oui, ça me plairait beaucoup.
Elle glisse alors ses mains sous sa robe et fait descendre son string en me disant:
– Je ne sais pas pourquoi, je n’arrive pas à te dire non.
– Peut-être parce que je t’excite.
– Ca c’est clair. J’ai très envie de toi, vivement ce soir.
– Pourquoi attendre?
– On va pas faire ça ici, t’es fou, on pourrait nous voir.
– Mais non, personne ne viendra.
Je la plaque contre un mur, l’embrasse dans le cou et glisse ma main sous sa jupe.
Elle se débat légèrement.
– Non, arrête, pas ici je t’ai dit.
– Tu viens de me dire que tu avais très envie de moi.
– Oui mais, haaannn.
Mon majeur vient de s’enfoncer en elle et Jess s’immobilise. Je la regarde dans les yeux, elle me sourit.
– Tu es dingue.
Je commence à la doigter lentement. Elle tremble et ronronne timidement en cherchant ma bouche avec la sienne. Nos langues s’enroulent et la belle blonde s’abandonne à moi en écartant plus largement les jambes. J’ajoute un second doigt et la masturbe de plus en plus vite. Elle se cramponne à ma nuque, la tête posée sur mon épaule. Elle prend son pied, je le sais, car sa cyprine coule sur ma main. Afin de la terrasser, j’introduis un troisième doigt et augmente la cadence de mes va-et-vient. Elle ne résiste pas longtemps à ce divin supplice, puisqu’elle atteint l’orgasme en me mordant l’épaule pour étouffer les bruits de sa jouissance. Le temps qu’elle récupère, je savoure son nectar en me léchant les doigts, puis je l’embrasse.
– Tu vas payer ça ce soir, plaisante-t-elle.
– Mais j’espère bien, dis-je en rangeant son string dans ma poche.
– Je parie que vous avez été faire des bêtises, nous balance Céline à notre retour. Je la regarde avec un grand sourire.
– Je ne vois pas pourquoi tu dis ça ?
– Vous êtes partis depuis un petit moment et bizarrement Jessica à les joues encore rouges. C’était bien j’espère.
– Oh oui, s’exclame Jessica encore groggy.
– Tant mieux. Dépêchez-vous d’aller manger le dessert, on va faire un jeu avec les mariés.
Vers 18h, Bertrand est parti. Une poignée de main, suivi d’un »éclate-toi bien ce soir » qui a réveillé mon imagination. En le regardant dire au revoir aux filles, je me dis que dans quelques heures, ça va être la fête à Popol avec ses deux coquines. Enfin s’il nous reste assez de force car entre la fatigue accumulée et notre ivresse de plus en plus importante, je ne sais pas si on va être opérationnel.
Aux alentours de 22h, nous ne sommes plus qu’une poignée de survivants à fêter ce beau mariage. On chante, on danse, on picole et je sens les attouchements de plus en plus prononcés des demoiselles d’honneur qui me chauffent à tour de rôle. Au bout d’une heure, je précise à Céline qu’on va peut-être laisser les mariés se reposer et qu’on devrait y aller. Elle est d’accord. Nous rangeons une partie de la salle, faisons un brin de nettoyage et saluons nos hôtes qui ne se doutent pas de la suite, persuadés que je vais dormir avec Jessica uniquement.
Le chemin du retour nous paraît plus long car nous titubons tous les trois.
– Ca va aller les filles, vous n’allez pas être malade?
– Ne t’inquiètes pas, on a l’habitude, on tient la marée, dit Jessica.
– Et toi, j’espère que tu es en forme car j’ai très envie de baiser, annonce Céline.
– Évidemment que je suis en forme, j’attends que ça depuis ce midi.
– Tu vas voir, on va bien s’occuper de toi.
Les filles joignent l’acte à la parole. Dès que nous entrons chez Céline, elles retirent leurs chaussures et se ruent sur moi pieds nus. Elles m’embrassent, me caressent et me déshabillent entièrement avant de me faire asseoir dans le canapé. Je suis déjà au garde à vous et je sens qu’elles me préparent quelque chose. La propriétaire des lieux allume son poste radio pour mettre un fond musical et retrouve sa camarade. Devant moi, elles démarrent une danse sulfureuse. Elles s’embrassent, se sucent la langue et se tripotent joyeusement. Elles se dégarnissent mutuellement de leurs vêtements et poursuivent leur show. Elles se dandinent, se trémoussent de manière plus lubrique. Jessica tête les gros nénés de la brune, puis Céline bisoute les fesses de la blonde. Puis elles terminent leur prestation au sol. Toutes les deux jambes écartées, elles m’exposent leur fleur, un doigt se faufile entre les pétales, un autre énerve le pistil. Je ne sais plus où donner de la tête, mon braquemart que je cajole gentiment est de plus en plus dur. Enfin elles se retournent pour me montrer leur joli cul, qu’elles remuent en rythme. L’une se donne une petite fessée, l’autre me dévoile son anus en écartant ses rondeurs.
Mon excitation me pousse à les rejoindre au sol. Je caresse leurs fesses, les embrasse, les mordille. Ma main cajole la fente de la blonde pendant que ma langue s’active sur la rondelle de la brune. Mais elles ne me laissent pas le temps d’en faire plus. Elles m’allongent sur le dos et se placent toutes les deux entre mes cuisses. Je frissonne instantanément au contact d’une main sur ma hampe, d’une autre sur mes valseuses et d’une langue sur mon gland. Pendant plusieurs minutes, les demoiselles d’honneur coopèrent pour me rendre fou. Leur duo est extraordinaire, ma tige est branlée, léchée, sucée, mes couilles sont malaxées, gobées, aspirées. Je n’arrête pas de gémir de plaisir en me disant que les effets de l’alcool sont bénéfiques à mon endurance. Les filles se régalent mais elles en veulent plus. Céline maintient ma verge à la verticale, elle crache dessus et propose à Jessica:
– Vas-y, monte dessus.
La petite blonde ne se fait pas prier, elle m’enjambe et s’empale dos à moi. Ses genoux à côté de mes cuisses, ses mains posées sur mes tibias, elle ronronne en faisant de lents va-et-vient, pendant que sa copine l’embrasse, caresse ses fesses et ses seins. Puis la brune la laisse manoeuvrer en solo pour venir m’emballer goulûment avant de s’accroupir au dessus de mon visage. Les mains plaquées sur ses fesses, je me fais un honneur de savourer sa petite chatte pleine de mouille. Je lèche, je suce, j’aspire en écoutant les chants de mes deux sirènes qui me motive encore plus. Alors que Jess se baise de plus en plus vite sur mon glaive, Céline se penche en avant pour m’offrir son cul. Elle est plus cochonne que sa comparse et exige que je lui mange la rondelle. Je m’exécute immédiatement, ma langue parcourt le pourtour de son anneau puis s’introduit à l’intérieur, accompagné de plusieurs vocalises de Céline qui ajoute:
– J’ai trop envie que tu me prennes comme la nuit dernière.
Quelques instants plus tard, après avoir lubrifié de salive et dilaté son orifice avec mon majeur, nous nous retrouvons dans la même position que la veille, c’est à dire, Céline à quatre pattes qui broute son amie, jambes écartées devant elle et moi derrière la queue plantée dans son cul. Notre trio est terrible, chacun prend son pied, nous ne ressentons même pas la fatigue de ses deux jours de fête. Si seulement le temps pouvait s’arrêter…
Je la sodomise progressivement de plus en plus vite et de plus en plus fort. Elle crie bruyamment et n’arrive plus à s’occuper de sa copine correctement. Jessica décide alors de venir m’aider à la faire jouir en écartant ses fesses. La blondinette, qui ne pratique pourtant pas l’anal, semble très excitée de voir mon colosse qui bourre le fion de Céline. Elle m’encourage en me disant:
– Vas-y, défonce-la, elle va jouir.
Ca ne loupe pas, Céline ne maîtrise plus rien et part dans un orgasme dévastateur et finit par s’écrouler parterre. Le temps qu’elle récupère, je reprends Jessica en levrette, je la martèle à grands coups de reins et tente de la faire jouir à son tour, mais finalement c’est moi qui suis sur le bord d’exploser. La fin approchant, je me retire en leur confirmant que je vais bientôt gicler. Les demoiselles d’honneur se réunissent alors à genoux devant moi tête contre tête. Je m’astique en vitesse sous les yeux des deux gourmandes qui me sollicite avec envie.
– Allez balance ton jus.
– Oui, arrose nos petites gueules de salope.
Je crie alors ma jouissance en visant leur visage à chaque saccade. Elles en ont du front au menton et elles me sourient avant de me nettoyer la bite et de partager ma semence en se roulant une grosse pelle.
Nous avons remis ça sous la douche, puis nous nous sommes endormis, épuisés. Le lendemain, nous nous réveillons tard. On déjeune ensemble tous les trois, puis l’heure de départ est arrivée.
Jessica, qui repartait le lendemain, est allée rendre visite à ses parents puisqu’elle ne les avait pas encore vu. On a échangé nos numéros de téléphone et on s’est embrassé une dernière fois pour se dire au revoir.
Céline m’a conduit jusqu’à chez moi. Sur la route, je lui ai proposé de rester dormir, ce qu’elle a accepté avec plaisir. Mais avant notre arrivée, j’ai reçu un message de Marie, mon plan cul habituel, qui me demandait si elle pouvait passer me voir.
J’en ai informé la pilote, qui fut ravi de faire une nouvelle connaissance et je me suis dit que le repos ne serait pas pour ce soir, mais ça…c’est une autre histoire.
FIN
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