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Désirs, souvenirs mêlés de truie

Désirs, souvenirs mêlés de truie



A 4 pattes, un pomme de pin dans la bouche, le manche d’un balet de chiotte dans le dans le cul, les narines retroussée par des pinces, tirées vers l’arriere…La chatte comblée d’un autre pigne de pin…Un rouge à levre grotesque mal mis, debordant autour de la bouche….
Du maquillage noir coulant sous mes yeux…. Je supporte la pomme de pin, ma bave coule au sol; les minutes s’écoulent, interminables… Tu me demandes de grogner… Comme une truie.. Plus fort, plus vite… Tu ris… Tu me demandes de faire 10 grognements d’affilée, tu les comptes sur tes doigts. Puis d’alterner un fort et un à peine audible, 20, tu comptes encore… Il y a des erreurs, tu me fais recommencer à zero… Je me trompe encore… tu es confortablement assis dans le canapé en cuir de ton salon, tu me filmes, et tu te regales, je le vois… Tu me recommencer encore.. Non il y aune nouvelle erreur, le grognement etait un medium, ce n’etait pas un grognement silencieux…Je dois encore monter la gamme des truies, la redescendre, tu prends une baguette pour me faire suivre le rythme que tu souhaites… Ca ne va pas, je ne suis pas attentive, on recommence encore… Tu me rends folle… Je sais que tu es tres, tres endurant à ce jeu là, un de tes favoris, la domination psychologique, la torture mentale… Je commence à pleurer, je suis fatiguée, tu te moques de mes larmes, je vois bien que tu t’en rejouis, le jeu infernal va durer plus d’une heure…J’en ai mal à la tête; à la fin, je laisse tomber, je ne contrôle plus rien, j’obeis mécaniquement, je lache mon orgueil, et c’est exactement ce que tu veux…
Puis tu me demandes enfin de recracher la pigne de pin… Soulagement de courte durée… Mes mâchoires me font mal, je ne parviens pas à articuler correctement, ça tombe bien, tu veux du silence…

Je dois à présent lécher lentement et avec application la semelles de tes chaussures … L’horreur m’envahit et pourtant, je le fais… Le besoin de ressentir cette déchéance, de descendre encore et encore, cela me fait peur mais ce tourbillon m’entraine et m’excite tant… Que devrai-je nettoyer encore? Je suis épuisée, à bout de nerfs, soudain la vision de moi même dans cette grotesque et lamentable déchéance me devient insupportable, je pleure, je crie, je veux que cela s’arrête… Je t’entends rire doucement… Tu caresses ma tête, comme on calmerait une bête, tu es au dessus de moi, moi par terre, au sol, les yeux baissés et plein de larmes… Chuut , chuuuut, allons allons… J’espere la fin de ma déchéance, ta voix grave et caressante apaise mon desespoir… Et tu me présentes la bonde de la douche….Elle est sale, des dépots de savon, de cheveux, de quoi d’autre encore, y sont accrochés… Tu te penches doucement vers mon oreille : Allez, nettoies-la… Elle doit briller…
Je refonds en larmes… Je veux fuir… Mais je sais aussi que je veux le vivre… Cette periode délicate entre la soumission et le renoncement, je suis en plein dedans, écoeurée, secouée de hauts le cœur… Et puis un premier coup de langue, timide… Un segond….Un troisieme, plus appuyé….Finalement c’est facile… Je suis presque vautrée au sol, vidée de moi, de toute energie, de toute dignité, et tu me contemples avec ce sourire mi narquoi, mi tendre, l’air satisfait… Tu me fais ecarter les cuisses, me retire la pomme de pin qui se trouve dans mon con, me fais couiner un peu à cette manœuvre, ce qui semble te remplir de satisfaction….
Reste le balet à chiottes….Il ressort de mes entrailles avec une grande facilité, il est propre sur la longueur du manche, malheureusement , il a un trou au bout qui dans mon ventre s’est rempli de merde… Non… NON….Là je ne peux pas….
Je ne proteste même pas, je te regarde, c’est tout.. je n’y arriverai pas, c’est au dessus de mes forces… Je reste muette… Tu prends le balais à chiotte en souriant tendrement, tu le nettoies sous mes yeux plein de reconnaissance, tu le desinfectes, tout ceci dans le plus grand silence… tu me laisses au sol, tu ranges tout, sans un mot… Tu ne me demandes plus rien… tu sais que j’ai donné tout ce que j’avais. C’est notre deal, aller jusqu’aux limites, les repousser jusqu’au point ultime de craquage, mais ne pas demolir la porte de ma psyché… Un jeu tres dur, tres cruel, tres sérieux, oui, mais un jeu. Pas un contrat de vie, pas une soumission h24, un jeu…
Le temps reste suspendu, tu reviens vers moi, tu me relèves. Tu m’emmènes sous la douche, tu me fais asseoir, tu me nettoies… Tu me couches et tu te couches à mes côtés…
Je m’endors dans tes bras… Tu ne me baises même pas… Tu sais que je n’en ai pas la force… Cette fois encore, tu as pris des morceaux de moi, tu ma cassée un peu plus, sans pour autant me demolir, tu y as pris un grand plaisir, j’y prends un tres grand plaisir à y repenser, d’autant plus qu’à travers tout cela, tu m’as respectée… En vrai maitre, que tu es… Hommage à toi, où que tu sois…

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