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HEP TAXI !

HEP TAXI !



La semaine a été longue, notre séminaire parisien terminé, la société pour qui je bosse avait prévue une soirée pour fêter nos nouveaux contrats. Je me suis habillée sexy et court pour l’occasion, pensant m’amuser un peu, mais la soirée s’éternisait avec tout ses rabats-joies et je pensais maintenant qu’à une chose, rentrer à l’hôtel.
Arrivée ici en voiture avec mes collègues qui étaient tous à moitié bourré et ne voulant bien sûr pas rentrer, je n’avais plus que l’option de trouver un chauffeur pour partir de cet endroit paumé en banlieue.
Après un moment à scruter les hommes de la soirée et ne voyant aucune cible potentielle pour me raccompagner, je sors donc direction le boulevard, mon téléphone en main pour appeler un uber.
Mais heureusement, coup de chance, un taxi passe à ce moment là, je lève la main pour lui faire signe. Je monte, rassuré qu’il soit libre et qu’il s’arrête.
Je donne l’adresse de l’hôtel au chauffeur et la voiture démarre direction Paris.
Voyant mon air dépité d’avoir été abandonné par mes collègues, le chauffeur engage la conversation.

« Alors ça va mademoiselle, pas l’air terrible votre soirée ? »
C’est un homme fort assez trapu d’une cinquantaine d’années environ. Il n’est pas français et a un fort accent que je n’arrive pas à définir, slave possiblement. Il me dévisage dans le rétro. Un peu trop peut-être, car il me semble qu’il me regarde plus que la route.
« Non, rien de grave, merci. Mais les hommes sont tellement…pffff !! »
Il sourit derrière sa grosse moustache.
« Ha ! J’en étais sur ! À cette heure de la nuit ce sont toujours des peines de cœur. Bah ! Faut pas vous en faire, jolie comme vous êtes vous ne serez pas seule très longtemps. Eheheh »
« Merci, c’est gentil. »
« Vous vous appelez comment ? »
« Claire. »
« Et bien, jolie Claire, si vous êtes encore seule dimanche prochain, je fais plus taxi, Hahaha ! »
Il est sympathique et je sens bien qu’il est un peu dragouilleur mais il cherche au moins à me faire sourire, alors je lui en donne un, agrémenté d’un petit clin d’œil comme pour lui dire « Merci de vous montrer si gentil. »
Je pose ma tête contre le carreau pour y trouver un peu de fraicheur.
Je regarde les feux rouges défiler, je vois des couples bras dessus dessous, des hommes ivres…bref, la ville.
Soudain, je perçois le reflet du chauffeur. Discrètement, il baisse légèrement son rétroviseur.
Je souris intérieurement.
A son âge il a du en voir des cuisses et des culottes, mais il ne semble pas blasé pour autant.
Il m’amuse à tendre son cou discrètement pour essayer de voir un petit quelque chose sous ma jupe.
Alors, l’air de rien, je joue la rêveuse, celle qui pense à autre chose et j’écarte doucement les cuisses comme par inadvertance.
Toujours dans le reflet, je le vois nettement plus satisfait et ça me donne l’envie d’aller plus loin, cela m’amuse et je m’ouvre encore un peu.
Maintenant, il ne fait aucun doute qu’il doit apercevoir le bout de tissu de ma petite culotte. Ca m’excite et fait pointer mes tétons au travers de mon chemisier.
Le jeu m’amuse beaucoup, mais hélas pour lui, nous arrivons à destination.

« Voilà ma jolie ! Ca nous fait trente huit euros tout rond. »
« Hein pardon ? Vous devez faire erreur ? »
« Ha non ! C’est le compteur qui parle. Vous savez ça va vite. Nous avons traversé Paris, puis un peu de banlieue et de plus c’est le tarif nocturne. Ca s’additionne vite. »
Je palis. Au lieu de faire n’importe quoi pour lui montrer mon culotte, j’aurais mieux fait de surveiller le compteur.
« Heu ! Vous prenez la carte bleu ? »
« Ah non désolé juste de l’espèce, je n’ai pas d’appareil. »
Etant donné qu’il s’est arrêté derrière l’hôtel dans une petite rue où il y a une petite entrée pour y accèder, je ne vois pas de banque à proximité.
La voiture gêne et il avance dans la petite cour sombre en attendant que je le règle.
Une idée germe dans ma tête, vue qu’il n’arrêtait pas de me reluquer pendant tout le trajet, je lui propose de me faire la course gratuite en plaisantant.

« Franchement monsieur, vous m’avez l’air gentil et compréhensif, je n’ai vraiment pas d’espèce sur moi et je ne vois pas de banque ici, qu’est-ce que vous diriez si je vous montre mes seins en échange de la course ? »
« Bah c’est vrai que vous êtes très jolie ma petite, mais moi je dois gagner ma vie, je ne travaille pas à l’œil, vous comprenez ? »
« Oui, je comprend, bien sûr. Mais j’ai vue que vous me regardiez dans votre rétro pendant tout le chemin, vous ne pouvez pas faire un exception pour une fois ? »
Il se retourne, me dévisage en sortant sa langue sur sa lèvre, malgré sa réticence, je suis sûre que ma proposition doit le bander comme un âne maintenant.
Je reprend alors ma négociation, j’ai remporté les plus gros contrats de la boite cette semaine, je vais bien réussir à traiter avec ce gros vicelard.
Je continue à parlementer, mais le vieux est dur en affaire, je sors alors mon porte-monnaie et sors ce qui en reste dedans.
« Bon alors écoutez, il me reste seize euros et en plus je vous montre mes seins pour la course, ça ira non !? »
Le chauffeur commence à baver en me regardant, et en même temps que je négocie je joins le geste à la parole et commence à déboutonner lentement mon chemisier pour le faire craquer. Je m’avance entre les deux sièges de devant et je presse mon soutien-gorge en malaxant mes deux dunes l’une contre l’autre.
Je lui fait mon plus beau sourire et lui dit « Ils sont beaux, non ? »

Il hésite un moment en contemplant ma poitrine, puis avec son regard exorbité n’y tenant plus il les att**** à pleine mains.
Je ne m’attendais pas à ça, je suis surprise qu’il me les touche, mais en sachant que je l’ai provoqué, j’ai gagné, je le laisse alors les sortir de leur balconnet, il les regarde et il fait maintenant rouler mes pointes et les pince doucement.
Est-ce le contexte, la douceur de ses caresses, je l’ignore, mais mon plaisir monte et je m’étonne de m’entendre lui dire.
« Hummm ! Ouiiiii ! Sucez les, léchez les, mangez les ! Ils sont à vous. Faite vous plaisir, faite moi plaisir ! »
Il ne se fait pas prier et se penche pour aspirer mon téton droit. Puis c’est le tour du gauche.
Ses lèvres, sa langue chaude, sa salive bouillante, tous les ingrédients sont réunis pour me faire m’exciter au maximum.
Mon ventre s’échauffe, je l’entends gémir, grogner comme un porc. Lui non plus n’y tient plus. Et à ma grande surprise…
« Ta chatte ! Ta chatte de salope, montre la moi ! »
Malgré la brutalité de ses paroles, je m’étonne de ma réaction, je m’affale sur la banquette au milieu pour retirer ma petite culotte et j’écarte les jambes.
« Humm ouiiiii ! Allez-y ! Prenez là ! Fouillez-moi ! Doigtez-moi fort ! »
Et j’ouvre encore plus les cuisses en remontant ma jupe jusqu’à ma taille.
Ses doigts me pénètrent sans forcer tant je mouille. Il me branle doucement d’abord et de plus en plus vite, tout en continuant de son autre main à me broyer les seins et les pointes.
Je me jette en arrière pour me tordre de plaisir.
Ne pouvant plus caresser ma poitrine, il s’occupe de mon clito, alors que les trois doigts qui me fouillent atteignent une vitesse et une force qui frôle la v******e.
La main semble vouloir me pénétrer toute entière.
Mon plaisir est au paroxysme et j’explose, inondant, éclaboussant les mains bienfaitrices et lâche un cri de satisfaction non retenu.
« Attend, je passe derrière, je vais te bouffer la chatte, tu vas voir sale pute ! »
Il sort précipitamment de la voiture, regarde au alentour, la rue est calme personne en vue, mon chauffeur ouvre la portière et monte, alors que moi, tout à coup je prend peur de la tournure que prend cette histoire alors je descends par l’autre coté avant qu’il n’arrive.
Je coure à toute vitesse vers l’entrée de derrière l’hôtel, les seins encore à l’air, cherchant en même temps les clefs de ma chambre que j’avais gardé dans mon sac.
Me voyant en panique, le vieux cochon m’appelle.
« Mais viens ici on a pas fini, qu’est-ce que tu fous ?! »
Je me retourne vers lui avant de rentrer, il s’est arrêté et me regarde, ses yeux m’implorant de rester.
« J’ai payé ma dette, nous sommes quitte. Désolée, mais laissez moi maintenant ! »

Le pauvre, il doit me traiter de salope, de putain et bien d’autres choses, et encore un peu et c’est lui qui m’aurait donné de l’argent.
Un quart d’heure plus tard, je suis sous la douche.
L’eau me détend mais des images tournent encore dans ma tête. le chauffeur de taxi…le pauvre.
Je fini par en sourire. Finalement, je m’en suis pas mal sortie et en plus j’ai eu un magnifique orgasme.
J’éclate de rire toute seule et att**** une serviette que j’enroule autour de mes cheveux mouillés.
Je déambule nue dans la chambre d’hôtel. J’ai la chance d’être face à un parc et donc de ne pas avoir de vis-à-vis.
Cela me donne envie de prendre l’air de la nuit sur le petit balcon. La nuit est agréable. Je me sens bien, détendue.
Je défaits ma serviette de mes cheveux en baissant ma tête, mais avec un geste maladroit, celle-ci tombe dans la rue. Je m’avance pour voir où elle atterri et là, à ma grande stupeur, elle finie sa course aux pieds de mon chauffeur de taxi, qui, attendant sûrement le client en bas de l’hôtel, les bras croisés, appuyé sur le capot de sa voiture, lève les yeux pour voir d’où vient cette serviette.
Je n’ai pas le temps de me reculer. De toute façon, je ne réagis pas de suite que je suis nue et que j’offre un joli spectacle encore à cet homme.
Il se penche, ramasse le linge, le respire et…il se dirige vers le hall d’entrée principal de l’hôtel.
Je suis prise d’une peur panique. Je suis consciente qu’il doit être au paroxysme de l’excitation.
« M’a-t’il vraiment reconnue ? »
Je sursaute lorsque quelques minutes plus tard, quelqu’un frappe à la porte de ma chambre.
Je sens les battements de mon coeur s’accélérer.
C’est sûre ça doit être lui, mais comment a-t’il fait pour réussir à me retrouver et à monter aussi vite !
Nouveau coup sur la porte.
Je me sens étrange, décontenancée.
Boum, boum, boum !
Je suis déroutée, troublée mais de nouveau cette chose qui envahie mon ventre. Chaleur sournoise, mélange de peur et d’envie.
La porte continue à tambouriner.
Je ne sais plus ce que je fais. Je me soumets totalement car j’ai l’impression qu’il va réveiller tout l’hôtel.
Les coups s’arrêtent, je tend l’oreille puis j’attends un peu. Est-il parti ?

« Claire, je vous rapporte votre serviette ! Houhouuu ? Vous n’avez rien à craindre, je ne vous veux pas de mal. Hey ? ouvrez moi je sais que vous êtes là ? »

Après réflexion et une envie au fond de moi qui me taraude, j’ouvre de peur qu’il ne recommence à tambouriner sur la porte et que les voisins ne se plaignent.
Je vois la vision de sa bouche grande ouverte, ébahi, quand il m’aperçoit que je suis nue au milieu de la lumière de la lampe tamisée de la chambre, il détaille mon corps de son regard lubrique, je lui fait signe de rentrer sans faire de bruit en mettant mon index sur ma bouche.
Il voit mes longs cheveux encore un peu humides couler sur mes épaules jusqu’au milieu de mon dos. Je balance mes petites fesses rebondies en avançant dans la chambre. J’imagine l’état de l’intérieur de son pantalon en voyant mon cul se déhancher devant lui.
Je vais m’asseoir sur le côté du lit en lui faisant signe d’approcher, puis j’éteins la lumière.
Je le sens passer devant moi.
Il contemple à présent mes seins dressés dans la pénombre de la lumière de la nuit éclairée, dures comme des poires pas encore mures. Mes tétons gonflés d’envie. Mon coquillage humide lisse entre mes cuisses légèrement écartées.
Perçoit-il les battements de mon cœur dans ma poitrine ?
Remarque-t-il ma respiration rapide qui creuse mon ventre plat à chaque expiration ?
L’obscurité lui permet-elle de percevoir le frisson que je ressens, la chair de poule sur mon corps ?
Mon chauffeur de taxi s’est approché. Il ne dit rien, je sens son souffle sur mon visage.
Je sursaute lorsque une de ses mains vient se poser sur mes lèvres.
Je ferme les yeux et je le devine se relevant et j’entends une fermeture éclair glisser.
Presque instantanément, je sens l’odeur spécifique du sexe de l’homme.
Son gland a remplacé ses doigts et vient caresser le bout de mes lèvres. Je les ouvre et laisse son membre gonflé prendre possession de ma bouche.
Il att**** mes cheveux à deux mains et accélère le mouvement. J’ai de plus en plus de mal à trouver ma respiration. Pourtant, je le sens très à l’écoute de mes réactions.
Soudain il plante son sexe au plus profond de ma gorge et reste sans bouger. Juste quelques secondes. Juste le temps nécessaire à faire remonter la bile de mon foie.
Il se retire sèchement et je tousse en crachant et en bavant un début de jus glaireux jaunâtre et amer.
Ce petit jeu semble lui plaire car il le refait plusieurs fois. Il cesse quand il me sent au bord du vomissement.
J’ai mal à la gorge et mes yeux pleurent.
Il saisit mon menton et me lève le visage.
« Ah salope, ouvre les yeux ! »
Je les ouvre et perçois sa silhouette de gros porc au milieu de mes larmes. Je vois aussi son long dard encore dressé à quelques centimètres de mon visage.
« Allez continue, bouffe moi la bite, sale pute. »
J’obéis et recommence à l’enfoncer jusqu’à sentir son gland au fond de ma gorge. Je me sens fragile et désappointée devant le comportement de cet homme qui me traite comme sa putain. Je m’attends à subir mille outrages de sa part, sans remord et sans vergogne. le fait de me faire insulter de la sorte à mon grand étonnement, m’excite encore plus, il semble un peu désemparé par mon attitude en continuant à baiser ma bouche de plus en plus fort.
Je l’écoute me traiter dans des grands bruits de succions. Je me laisse faire, moi la jeune cadre dynamique, la queue d’un minable chauffeur de taxi étranger dans la gueule.
« Oh oui ! c’est bon ! Vas-y encore sale pute. »
« Ho ! Cochonne ! Attend stop où je vais venir ! respire, respire ! »

Je le sens se retirer de ma bouche, puis tout en l’entendant faire sauter ses chaussures, il ôte son maillot dévoilant un torse velu, sa ceinture saute, son pantalon et son caleçon font de même.
J’avance mon visage vers son sexe. Je me sens encore plus salope, j’ai envie d’y goutter encore et encore.
Mais il s’écarte, s’allonge sur le lit, m’attire à lui et passe derrière moi. Il s’agenouille.
Moi je me met à quatre pattes en position de chienne. Je comprends que le salaud veut me prendre en levrette.
Je me penche et place mon visage contre le coussin.
Ses mains puissantes agrippent mes hanches, tandis que ses genoux se fraient un passage entre mes jambes, les obligeant à s’écarter et ainsi à offrir mes orifices.
Son membre effleure mon anus, glisse sur mon périnée pour finir sa course contre ma vulve humide.
Inconsciemment, je cambre mes reins, je sens ma chatte se remplir et ronronné de plaisir.
Je monte mes fesses autant que je le peux et je sens mes chairs gluantes s’ouvrir, se décoller.
Son sexe glisse maintenant entre mes grandes lèvres détendues et d’une simple et légère pression, il me pénètre enfin.
Un « Haaaa ! » de plaisir, tout dans le souffle, s’échappe de ma bouche.
Il me remplie, doucement, centimètre après centimètre et lorsque son gland vient en contact avec mon utérus, il fait marche arrière avec la même douceur et ressort entièrement.
Il reproduit le mouvement, toujours aussi délicatement, mais en augmentant la vitesse d’exécution petit à petit.
La cadence ne lui permet plus de ressortir et il reste désormais en moi.
Mon plaisir augmente crescendo au fur et à mesure que les coups de reins se font plus puissants.
Le chauffeur de taxi reste endurant mais la douceur à disparue et c’est une bête furieuse qui à présent me baise à tour de bras.
Je sens la sueur de son front venir s’écraser dans mon dos.
Il agrippe mes cheveux et tire ma tête en arrière. Il me monte comme on dresse un cheval. Quelques claques rougissent mes fesses. Les poings serrés, avec un rictus de bonheur, je cris mon plaisir.
Soudain, il pose ses mains sur mes épaules. La prise est puissante. Il s’enfonce autant que mon corps lui permet et n’en pouvant plus il lâche un flot démesuré de foutre chaud que je sens se déverser en moi. La quantité est si impressionnante que mon vagin ne peut tout contenir et un jus épais et gras coule entre mes cuisses jusqu’à mes genoux.
Nous nous effondrons tout deux, encore collés, essoufflés, transpirant de la chaleur de l’action, épuisés.
Nos visages se tournent l’un vers l’autre. Comblée, je me sens obligée de l’embrasser.
Nos langues tournicotes un bon moment avant que je ne ressente encore sa matraque se gonfler contre moi.
Je me décale alors, rallume la lumière de la lampe avant de me lever sentant autrement que je vais encore devoir passer à la casserole.
« Oh où tu vas ma belle ? Regarde ce que j’ai encore pour toi, regarde comment tu me fais bander comme un taureau ! »
J’ai l’impression que son engin est encore plus immense dans la lumière et cela me fait sourire.
Le chauffeur le remarque bien que je louche sur sa grosse queue toute poilue, mais je pense que j’ai largement réglée ma dette et qu’il est maintenant temps pour lui de retourner travailler.

« Hahaha salope, tu ne crois tout de même pas que l’on va s’arrêter là ? Allez file prendre une douche ! J’ai d’autres projets pour toi ! »

Je me dirige dans la salle de bain un peu interloquée. Tout le temps de ma douche le mot « projet » résonne dans ma tête. Que veut-il dire par projet ?
Alors que je me sèche, je l’entends me dire :
« Tes sous-vêtements, tu les range où ? ça te dérange si je regarde ? »
Amusée par ce qu’il mijote je lui répond.
« Non, pas du tout, ils sont dans le tiroir à l’intérieur de l’armoire. »
Je viens de me rendre compte que j’ai baisé avec un vieil inconnu, jusqu’ici, je n’avais jamais fait se genre de rencontre.
Lorsque je reviens, il est dans le fauteuil de la chambre. Près de lui, une paire de bas et un porte jarretelle que m’avait offert un ex. Il est noir et rouge, brodé de fil d’or. Je l’aime beaucoup, il est magnifique.
« Enfile ça pendant que je prend aussi une douche. »
Sa manière de me traiter comme si j’étais une vulgaire pute m’intrigue et en même temps m’émoustille.
Je gaine donc mes jambes de mes bas noirs et je les attache au porte jarretelle. Je m’assois dans le fauteuil et attend. Je n’avais pas remarqué le foulard déposé sur le bras de celui-ci. Il provient de mes affaires également. Ne sachant pas comment il veut que je le porte, je le laisse là.
La douche s’arrête, il a fait vite mais j’ai l’impression que je me suis refroidie. Ma libido a disparue et en réfléchissant je me dit qu’il faut stopper les conneries et que mon chauffeur de taxi s’en aille, c’est alors quand il réapparait, je lui dit :
« Bon maintenant arrêtons de jouer je suis fatiguée et j’aimerais que vous partiez. »
« Ca ma jolie, je ne le pense pas ! Tu vas baiser toute la nuit, et tu vas le faire. Je sais très bien que tu en as encore envie, tu es une salope, une pute, une chienne et tu vas le prouver. Il est encore tôt ma petite chérie, nous avons encore beaucoup de temps devant nous et je compte bien encore profiter de toi. Allez ne tant fait pas, tu ne le regretteras pas, détend toi, tout ira bien, crois moi. »
Il se dirige vers le petit bar de la chambre et en ressort une petite bouteille de Champagne, l’ouvre et me tend un verre qui traîne à coté. Finalement je trouve que c’est une bonne idée, j’avais besoin d’un verre, ça me revigore l’esprit, c’est plutôt attentionné de sa part et sympathique malgré ses propos, cela me redonne le sourire.
« Voilà qui est mieux ! »
Nous trinquons et nous buvons nos verres, lui toujours à poil les yeux dans les yeux.
« Je ne connais même pas votre prénom. »
« A quoi bon. »
« Si, j’insiste. »
« Ok ! Mais si tu rigoles, c’est la fessée. »
« Non, promis je me moque pas. »
« Mon prénom est…Bogdan. »
Bien sûr je pouffe de rire et éclabousse partout du champagne que j’avais dans la bouche.
« Oups ! Désolée. Hihihi ! »
« Il éclate de rire aussi.
« Je t’avais prévenu, ça, c’est la fessée ! »
Il se jette sur moi, prend ma place sur le fauteuil, me couche sur ses genoux et m’administre une fessée royale.
« Aie, Aie… »
« Tiens vilaine fille ! prend ça ! »
Clac, clac, clac…

Allongée sur lui, je sens son sexe qui gonfle contre mon ventre. Il a gagné, je suis trempée de nouveau. Les fesses bien rougit par ses grosses paluches, il me relâche enfin. Feignant la petite douleur de sa punition, je roule au sol, me place entre ses cuisses et me jette sur sa queue bien raide. Je le suce avec avidité et lubricité.
Tout en aspirant son gland, je plonge fixement mon regard dans le sien. Dans ses moments là, je dois vraiment avoir l’air d’une vrai pute.
Sentant qu’il va venir si je continue le va et vient de mes lèvres acharnées sur sa bite, il me relève, me tourne et m’assoie sur lui. De nouveau son membre bouillant me remplit entièrement de sa raideur.
Je m’en régale un bon moment. Puis, tout à son affaire, il prend le foulard et me bande les yeux.
Je me retrouve dans l’obscurité totale.
Il se délecte de ma chatte encore quelques instants et, bien avant de jouir il me fait relever.
Il me replace à genoux à quatre pattes face au fauteuil, bras et tête posés dessus. Comme tout à l’heure son gland effleure ma pastille et redescend vers la zone inondée.
Après un long moment à astiquer mon intérieur, je sens sa pine ressortir, mais il revient très vite, mais vers le haut et cette fois-ci force le passage de mon petit trou.
La sodomie n’a jamais été mon truc, mais je pense qu’il est inutile de lui faire remarquer, car c’est déjà trop tard.
Il se cambre, moi aussi et pousse sa grandeur au loin et fort. Il m’arrache un cri de douleur, mais étrangement, la douleur disparait très vite laissant place à un plaisir exquis auquel je n’avais jamais vraiment pris part.
Des claques retombes sur mes fesses déjà toutes rouges. Sans qu’il n’ait besoin de tirer mes cheveux, je tends ma tête en arrière en poussant des cris d’extases.
Je me me fais littéralement défoncer le cul, mes cris montent encore en intensités, mais je les étouffe très vite lorsque derrière moi j’entends des petits « bip » comme ceux que font les touches d’un téléphone portable.
Je n’en crois pas mes oreilles. Il téléphone tout en m’enculant !
Il parle dans une langue que je ne comprends pas. Il semble mi enthousiaste, mi en colère.
Je ne comprends qu’une chose, c’est le nom de l’hôtel et le numéro de la chambre Je prends peur et tente de me dégager. Mais ce n’est pas chose facile avec un homme de son poids agrippé dans mon cul.
« Bogdan qu’est-ce qui se passe ? Pourquoi le téléphone ? Je veux savoir pourquoi ! »
Il ne semble pas plus dérangé que ça et tout en continuant de me besogner les fesses, il me dit d’une voix calme :
« Ne t’inquiètes pas, ma jolie , tu vas jouir. Tu vas jouir comme jamais. Tu vas t’en rappeler toute ta vie, salope. Fais-moi confiance. »
C’est étrange, je l’avoue, mais je n’arrive plus à réfléchir, ballotée par ses coups de plus en plus violents contre ma raie, je ne réponds pas et retourne à la bonne douleur de mon plaisir sentant son ardeur décupler encore.
Pas très longtemps car un jet surpuissant et bouillonnant vient de s’écraser tout au fond de moi. Il jouit dans un râle d’homme des cavernes et m’entraine aussi dans un grand étourdissement de jouissance.

« Je veux que tu gardes mon foutre en toi. Serre les fesses, sale pute. »

Et il accompagne le geste à la parole en m’assenant une forte claque sur chaque fesse.
Moi toujours aveugle, le foulard sur les yeux. Il me prend par le bras et me relève. Je ne comprend plus rien à ce qu’il se passe, j’ignore ce qu’il prépare.
Le contact froid du verre sur mes lèvres me rassure un peu.
« Tiens, prend des forces, tu risques d’en avoir besoin, salope. »
Je bois mon verre de champagne cul-sec. Ce n’est pas mon genre, mais c’est utile quand on veut chasser ses angoisses.
Je me sens guidée par ses insultes, c’est une vrai découverte pour moi, avant personne ne m’avait jamais traitée ainsi et je n’aurais jamais imaginé que quelqu’un oserait.
Il prend mon verre et je me laisse tomber à genoux, mains dans le dos, serrant toujours les fesses pour ne pas faire couler son sperme encore prisonnier en moi.
Je l’entends s’assoir dans le fauteuil, grâce au craquement du cuir.
Puis…plus rien. Seul un bruit dans le couloir de l’hôtel vient troubler le silence.
La porte… J’entends frapper.
Je sursaute. Je me sens glacée de nouveau. Qui peut bien venir à cette heure ?
Bogdan pose une main sur mon épaule.
« Reste tranquille, c’est pour moi. »
Tranquille, je ne le suis plus là.
J’entends la porte d’entrée s’ouvrir et se refermer, des pas, beaucoup de pas qui se rapprochent.
Et soudain des voix.
Des voix qui s’extasient dans la même langue que Bogdan. Je ne comprend que des « Hummm ! » des « Hooo ! » des « Ha ! Haaaa ! »
J’arrive à distinguer quatre voix différentes au moins.
Je suis pétrifiée.
Tandis que j’entends des froissements de tissus, des fermetures éclairs et le bruit sourd de chaussures que l’on laisse tomber, j’appelle Bogdan.
« Bogdan ! »
Ce n’est pas Bogdan qui me réponds, mais plusieurs voix différentes.
Je frémis.
« Ca suffit ! Retirez-moi ce bandeau, s’il vous plaît ! »
« Fais-moi confiance, salope. Détend toi et prend du plaisir. Hahaha ! »
Sa voix est grave et j’ai envie de l’écouter et de me laisser aller aux plaisirs aveugle, mais je panique de sentir la présence de tout ses hommes autour de moi.
Je les sens, je les devine se déshabillant.
Une première main touche mon épaule, je sursaute, une autre qui effleure un de mes seins, puis trois, puis quatre sur mon corps, partout.
Je sens un gland humide qui force le barrage de mes lèvres sans trop de difficulté.
Je n’y tiens plus, la forte odeur du sexe entrant dans ma bouche me donne envie de recommencer à sucer comme une folle. Quelqu’un dénoue mes mains. Je tends les bras, cherche autour de moi. Elles rencontrent des cuisses nues. Je les remonte jusqu’à des sexes dressés d’envies.
Je n’ai qu’une envie, qu’un désir, celui de les sucer, de les masturber jusqu’à l’explosion.
La suite, vous le devinez.
Des mains qui courent partout sur mon corps, des baisers fougueux, des doigtés expert et vicieux qui augmente à chaque minutes mon envie de m’offrir, mon envie d’être belle, bonne et désirable.
Je m’abandonne à ces hommes que je ne vois pas. Je décide de ne pas enlever mon bandeau de peur de voir leurs sales visages. J’accepte leurs membres vigoureux dans ma bouche, mon sexe, mon cul.
C’est un feu d’artifice qui illumine mon cerveau, mes pensées, mes émotions.
Il me semble flotter sur un océan de foutre chaud.
Tout n’est plus que luxure et débauche. Je me sens comblée et épanouie comme jamais.
Puis vient le grand final. Douche de liqueurs bouillantes qui de mon visage coule sur mon corps, mes seins et de ceci à mon ventre, mes cuisses.
Ma bouche déborde du liquide sacré en longs et gras filets.
Comme promis je serais chose durant toute la nuit, objet de plaisir de toutes ses mâles qui éjaculent de partout, jusqu’à ce que leurs couilles se soient toutes bien vidées jusqu’à la dernière goutte.

Soudain, au petit matin, je me réveille en me demandant où je suis, tout se calme. Les sons sont plus feutrés, les discutions plus calmes, plus éloignées. Puis plus rien.
Je reste là, assise, dégoulinante, attendant, un ordre, une permission. Rien.
Plusieurs minutes se sont écoulées. J’ose enlever le foulard qui m’a laissé aveugle une grande partie de la nuit. Il est mouillé, gluant et odorant du sexe de mes inconnus.
Je suis seule dans la chambre, souillée sur moi et en moi. Je me demande combien d’hommes me sont passés dessus cette nuit. La lumière est éteinte. Le jour s’est levé.
Mon corps est couvert de striures blanchâtres, mon menton encore dégoulinant, mes orifices sont fontaines de lait masculin.
Fatiguée, éreintée, mais finalement heureuse de me sentir salope, pute ou bien encore chienne, je me lève lentement.
Un peu perdue tout de même, courbaturée, ayant du mal à retrouver des repères naturel, je me dirige vers le petit balcon.
La rue est en mouvement, la circulation dense et les piétons nombreux.
En face le parc est ouvert aux promeneurs.
C’est donc avec une grande prudence que je m’hasarde à me pencher de loin pour regarder le trottoir en bas devant l’hôtel. Il y a une ribambelle de voitures de taxis qui démarrent et qui s’éloignent.

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