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LA BELLE INSTITUTRICE

LA BELLE INSTITUTRICE



Je m’appelle C (34 ans), marié
depuis 13 ans avec N (31), jolie,
très fidèle et très résen/ée. Une intelectuelle, ma Nicole ! Depuis des années,
l’essaie progressivement de lui faire prendre
conscience de sa féminité. Petit à petit,
je suis parvenu à la rendre un peu plus
sensuelle, achats de sous-vêtements
sexy, culotte fendue, bas, porte-jarre-
telles, soutien-gorge ouvert, prise de
photos érotiques, etc. Elle ne prend des
initiatives que dans ces moments-là.
C’est une femme méticuleuse et autori-
taire dans sa vie professionnelle et fa-
miliale et il semblerait que la solution
efficace en amour soit la soumission to-
tale. Comment faire avec tous ses pré-
jugés? Dois-je être plus ferme, plus
male, dois-je toujours la mettre devant
fe fait accompli? Actuellement, je suis
fermement décidé à lui prouver que le
plaisir n’est pas uniquement cérébral !
Samedi, il y a huit jours, le hasard fit
bien les choses. Gilles, un ami d’univer-
site, vint nous rendre visite. Nous l’invi-
tons à dîner. Me vint alors une idée gé-
niale, mettre quelques gouttes de somnifère
dans le verre de Nicole. A la
fin du repas, nous nous retrouvons dans
le salon et quelques instants plus tard.
au moment du café, Nicole s’assoupit. ||
faut dire que j’avais arrosé le repas co-
pieusement. Gilles s’absenta un mo-
ment pour aller aux toilettes, s’apprêtant
à partir; j’en profitai pour installer Nicole
sur le ventre, les jambes suffisamment
écartées pour attirer une curiosité male.
Je lui retroussai la jupe jusqu’à mi-
cuisses, laissant ainsi entrevoir ses
caisses gainées de bas résilie noir, ainsi
que son string nylon noir. Lorsque Gilles
revint, je me trouvais dans la cuisine,
d’où je pouvais l’obsen/er discrètement,
masqué derrière un massif de plantes
faisant séparation entre le séjour et la
cuisine. Prêt à att****r son blouson de
cuir, son regard dévia sur l’entrecuisse
de Nicole. Il s’approcha lentement, puis
s’assit, surpris du spectacle gratuit qui
s’offrait à lui; de le cuisine, je l’invitai à se servir un dernier verre, le temps que
je finisse de ranger la vaisselle. Je lais-
sai volontairement le robinet couler pour continuer de [‘observer discrètement. Il
ne se fit pas prier. Très excité, je le vis
remonter la jupe de Nicole jusqu’à lui
découvrir les fesses totalement. Il sem-
blait surexcité devant ces fesses
fermes, à nu, laissant découvrir une
chatte disponible sous le voile de nylon
de son slip, légèrement masqué par un
porte-jarreteltes noir. Absorbé par le
spectacle, il fut surpris lorsque je revins
dans le salon. Je le rassurai tout de suite et lui dis : «Ça te ferait plaisir de la prendre?» Il semblait fasciné; je mis alors la vidéo en marche. Gilles s’installa légèrement accroupi dans l’axe du postérieur de Nicole, pendant que je reussissai à lui glisser deux coussins sous son ventre. Je donnai une paire de ciseaux à Gilles qui s’empressa de couper les ficelles
du string, dernier obstacle qui
tomba. Gilles semblait impressionné par cette chair tendre et ferme. La croupe
de Nicole et la chaleur qui s’en déga-
geait firent sauter les boutons du pan-
talon de Gilles. Une queue toute ruis-
sciante en sortit. Il la guida sur l’anus à
fleur de peau. Nicole au contact de ce
gland congestionné, sembla à demi in-
consciente. J’entretins quelques paroles pour ne pas éveiller le moindre soupçon.
Gilles en lui mouillant l’anus et les
fesses, semblait la faire communiquer
avec le plaisir. En effet, son derrière se
cambra, elle écarta ses fesses, sa fé-
minité toute gonflée et suintante était à
disposition, telle celle d’une femelle en
rut. Devant ce spectacle, dégagé de tout obstacle, Gilles ne résista pas davan-
tage, il lui enfonça sa queue profondé-
ment. Soudain Nicole se cabra et râla
sourdement. Les giclées de sperme que Gilles venait de lui décharger entre les
reins déclenchèrent son plaisir. Gilles
s’enleva et se réajusta discrètement
avant de me quitter en me disant
«quand tu voudras…» Nicole ne s était
pas réveillée, elle était toujours les
fesses en l’air, la chatte offerte. Tout
excité, je présentai ma verge à Centrée
de son anus à fleur de peau, j’exerçai
quelques pressions pour l’entrouvrir.
Petit à petit j’enfonçai mon sexe jusqu’à
l’introduction complète. Elle gémissait
de plaisir.

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