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La lopette

La lopette



J’avais repéré sur un site de rencontre une petite annonce d’un homme de 40 ans qui recherchait « un homme entre 50 et 70 ans en région sud de Paris qui souhaitait être trait, masturbé ou sucé rapidement et discrètement ».
Cette annonce me titillait et comme je me reconnaissais dans ce profil, je me décidais d’y répondre. Après plusieurs mails échangés, il s’avéra en fait qu’il cherchait un Maître pour l’humilier et le servir uniquement. Il refusait par contre toutes caresses de le part de celui ci…
En principe, cela me convenait moins car j’aime aussi jouer avec le corps de l’autre… Cependant, je persévérais un peu et un premier rendez vous fut donné pour qu’il vienne chez moi. Mais au dernier moment, il l’annula sous prétexte d’un coup de froid.
J’avais fait une croix dessus, mais plusieurs jours après, un matin, il me renvoya un mail comme quoi il allait mieux,qu’il était désolé, qu’il était disponible et qu’il accepterait d’être puni. Un échange de mail s’instaura tout au long de la journée et un rendez vous fut fixé pour le soir même à 23h00. Son dernier mail fut pour me demander si il devait s’attendre à être inspecté . Je répondit bien évidemment par l’affirmative.
Comme il venait de loin, contrairement à la ville qu’il avait mis sur son annonce, je me mis à l’attendre… Mais toute cette correspondance tout au long de la journée m’avait terriblement excité et j’avais le sexe gonflé et d’une sensibilité extrême …
Pour m’occuper, j’ installais un fauteuil au milieu de la pièce de séjour ainsi qu’un lampadaire
avec une lampe puissante. J’avais décidé de bien l’inspecter et surtout de filmer tout de
cette rencontre.
Une demie heure plus tard, en guise de coup de sonnette à ma porte, il m’envoya ce mail :
« Maître, votre pute est arrivée  » ! Le ton était donné …
J’allais lui ouvrir et je découvris un homme plutôt petit, grassouillet,et il faut bien le dire,
pas très beau mais la question n’était pas là.
Je le fis entrer chez moi et le dirigeait vers le salon. Il ne disait pas un mot, regardait ses pieds et restait ainsi debout au milieu de la pièce. J’étais assez décontenancé, perplexe mais il fallait que je rentre dans mon rôle de Maître puisque c’était ce qu’il était venu cherché, et ce qui
au fond de moi m’avait excité.
Je le laissais ainsi debout un moment, allais chercher mon appareil photo et m’installais confortablement dans mon fauteuil . J’allumais mon appareil, le mis en mode film, actionnais l’interrupteur du spot du lampadaire pour le diriger vers son corps et seulement à ce moment là, je m’entendis lui ordonner de se déshabiller.
Sans un mot, il se dévêtit et je n’en perdais pas une miette…je filmais tout…
Il se retrouva ainsi nu en deux minutes face à moi, dans cette lumière crue. Il avait un corps râblé avec une certaine bedaine, et entre ses cuisses son sexe pendait : pas très long mais très épais, un beau diamètre et deux énormes couilles rondes. Je ne sais pas si elles étaient pleines mais elles étaient impressionnantes.
Alors je lui demandais de se décalotter et il tira fort sur son prépuce pour me faire surgir son gros gland tout rouge. Tout ça m’excitait énormément même si au fond de moi, je ne me sentais pas si sûr que ça ! Mais derrière mon appareil photo, j’étais en plus dans la peau du voyeur et j’aimais ça !
Je lui demandais de se retourner et de s’écarter les fesses. De lui même il se pencha légèrement en avant, très pro ! Il avait un beau trou du cul qui me paraissait bien souple et où je me voyais bien lui enfourner ma queue mais je me souvenais qu’il m’avait dis qu’il ne voulait pas qu’on le touche. Je lui fis écarter un peu les jambes et je m’approchais derrière lui pour le filmer en gros plan. Je tentais le coup malgré tout et lui attrapais sa bite pour la tirer vers l’arrière. Il se laissait faire, alors je m’enhardis et fit coulisser plusieurs fois son prépuce, décalottant et recalottant sa verge comme pour une auscultation, et surtout pas comme une caresse !
Je lui demandais de se retourner et face à moi, me mis à genoux et je lui soupesais les couilles : elles étaient vraiment très très grosses … Je me ressaisis de sa queue et le recalottais. J’eu soudain une irrépressible envie de l’avaler et comme j’étais à la bonne hauteur, j’approchais ma bouche. Mais aussitôt il se recula et me dis  » non, je suis hétéro  » . Je lui répondis que moi aussi et je n’insistais pas .
Alors je le fis mettre à quatre pattes et je me mis à le filmer ainsi vraiment offert, esclave, lopette comme il se définissait lui même … Je n’en revenais pas d’avoir un homme ainsi au milieu de mon salon et mon sexe battait fort dans mon pantalon. Je m’attardais sur ses fesses, sur son trou du cul où je m’imaginais à nouveau y enfoncer quelque chose, un objet quelconque…
Il m’avait écrit dans un mail que son ancien Maître lui introduisait dans cette position un entonnoir dans l’anus, et se branlait pour éjaculer dedans. Ensuite il se laissait ainsi jusqu’à ce que tout son foutre ait entièrement pénétré dans son cul et le laissait repartir chez lui en lui interdisant d’en laisser couler la moindre goutte ! ….
Je n’en étais pas là, une autre fois peut être …
Je le laissais donc ainsi en position et entrepris de me déshabiller à mon tour. J’allais chercher un coussin que je jetais à mes pieds et lui dis de venir se mettre à genoux devant moi. J’avais la queue gonflée de désir mais pas complètement raide. Il la posa dans sa main gauche et avec la droite se mit à la caresser comme on caresse la tête d’un chat, doucement, lentement, d’arrière en avant.
On ne m’avait jamais caresser ainsi et ça me fit bander ce coup ci bien dur. Alors il ouvrit la bouche, lécha tendrement le bout de ma bite encore encapuchonnée de mon prépuce et l’avala lentement. Sa bouche était chaude et vraiment bien humide, il suçait terriblement bien, et il se mit à accélérer son mouvement de va et vient ce qui eu pour effet de me décalotter complètement. Je voyais ses lèvres serrées autour de mon gland rougeoyant et luisant. J’étais trop excité. Je ne cherchais pas à résister plus longtemps et je lui jutais dans la bouche tout le sperme que je pouvais. Il avala tout sans rechigner et je le stoppais car dans son élan je crois qu’il m’aurait sucé ainsi tout au long de la nuit. Il était expert et on voyait qu’il aimait ça.
Mais pour moi c’était fini et je lui dis de se rhabiller. J’hésitais mais il m’avait avoué que son Maître précédent qui lui interdisait de jouir devant lui alors même si j’aurais bien aimé le voir juter, je le laissais se revêtir. Et puis comme il me l’avait fait remarquer, il était hétéro, alors libre à lui de se branler seul de retour chez lui.
Je le raccompagnais jusqu’à la porte, il me demanda si il pourrait voir les photos (je ne lui avais pas dis que c’était une vidéo que j’avais tournée, mais j’en tirerai des photos malgré tout ) et je lui dis que je lui enverrai le lendemain.
Voilà cette petite soirée de maître à dominé, une nouvelle expérience pour moi, à creuser certainement, mais je préférerais tout de même pouvoir jouer avec le corps du dominé … ce sens unique m’a malgré tout laissé un petit peu sur ma faim !

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