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La voisine tapine au bois

La voisine tapine au bois



J’ai le péché mignon d’aller traîner souvent le soir vers les fortifications. Merci Vauban. Cet aspect en effet distingue un peu notre ville moyenne d’Est de la France. Ce soir-là d’automne, la petite pluie eût du décourager le vicieux ou le moindre voyeur dont j’étais. Je n’attendis guère longtemps. Au bout d’un chemin entre deux groupes d’arbres je vis se glisser une voiture blanche veilleuses tout allumés. Peu après qu’elle se fut arrêtée je vis deux hommes s’approcher et s’y pencher. Je connaissais le rite. Je m’approchais moi-même m’adjoignant à ces deux vils gredins.

Dedans je distinguais une petite et jolie brune en lunettes. Je sursautais. Je connaissais ces traits. Il n’y avait pas de doute. C’était ma voisine du bout de la rue. J’eus le réflexe de reculer et de rester en retrait dans l’ombre. Il n’était point besoin qu’elle me reconnut et en devint toute troublée. Les deux hommes devant moi avaient sorti leur queue. Ils se branlaient frénétiquement. Elle pour le peu que j’en vu avait baissé à moitié le carreau. On lui voyait tant les seins nus et offerts qu’une chatte rasée lisse sous le rayon de lune. Elle se caressait au diapason des deux autres. Spectacle fort émouvant.

De temps à autre elle regardait vers moi tâchant de distinguer un peu de mon visage et peut-être à m’encourager à m’approcher et à montrer ma queue branlée tel celle des autres. Je me gardais à satisfaire sa curiosité et sûrement dus-je la frustrer. Soudain elle releva le carreau et fit rugir le moteur de l’auto. Elle signifiait du coup la garce la fin de la partie. Elle devait se rappeler soudain ses devoirs contractés à l’égard d’un mari et d’un foyer. Phares allumés elle recula dans cet étroit chemin et disparut. Les trois hommes que nous étions se dispersèrent sans dire un mot.

Je concevais toujours quelque honte après ce genre de circonstances. Les autres aussi semblent-ils ce qui expliquait que nous n’échangeâmes pas nos impressions. Ainsi se comportent ceux qui ont perpétré un crime, un viol ou un lynchage. Je songeais sur le chemin du retour que je viendrais à croiser sans doute cette femme en compagnie du mari et des bambins. Je ne savais la contenance adopter. Je n’en vins pas moins à me rappeler qu’elle ne m’avait identifié et que j’étais demeuré fort à propos dans l’ombre. Bref je savais à son insu son lourd secret. J’avais cet avantage sur elle.

Bien sûre je n’en fis confidence à personne. Je n’étais pas mécontent d’avoir prise sur cette jolie femme dont j’avais idée qu’elle me snobait aux bras de son mari. Je détestais en l’occurrence celui-ci, grosse huile de Préfecture et qui aimait le faire savoir. Ce con était cocu. C’était réjouissant. Sa femme n’en faisait pas moins le tapin. Du moins avais-je l’intuition qu’elle ne devait se contenter de s’exhiber et de se caresser. La salope devait sucer. Voire davantage. J’en voulais avoir le cœur net. Je me mis en tête de le savoir et de la pousser un jour dans ses retranchements.

Peu de temps après je la croisais à la boulangerie du quartier. Nous faisions la queue. Une grand-mère pérorait devant avec la boulangère et nous rongions notre frein. J’hasardais une plaisanterie m’adressant à la voisine placée juste derrière moi. Elle semblât surprise que je lui adressas la parole et me manifestât ensuite que mon humour était médiocre. En un instant je pus envisager tout le mépris que son mari et elle me témoignaient. Leur hostilité à mon égard était patente. Cela me mit en rage d’autant que je savais ce que faisait cette garce certains soirs dans un certain lieu. s

Je n’en poursuivis pas moins l’échange avec elle comme pour l’irriter. Je sais à dessein être pénible et lourd. Je poussais même mon insolence à proposer de lui céder ma place dans la queue pour peu qu’elle fut pressée. Heureusement la mémé décrochât à ce moment-là. Nous pûmes rapidement passer. Je crus devoir saluer ma bêcheuse en lui balançant un : « Au plaisir ! » Je n’obtins qu’un hochement de tête et un regard si furibard. J’étais maintenant résolu à lui rendre gorge. Quelques jours peu après je retournais aux fortifications. J’avais peu de chance cependant de l’y croiser.

Du reste d’autres femmes en leur voiture s’exhibaient. Je me branlais devant l’une avec d’autres mecs. J’étais sur le point de repartir quand je reconnus peu loin en une allée la fameuse voiture blanche. Je m’approchais. Ça s’astiquait autour. Machinalement me mis-je un béret sur la tête et des lunettes de soleil que j’avais préparé. Grimé ainsi je fus bientôt au niveau de la portière à me branler aussi. Je vis que mon stratagème opérait bien qu’elle fut intriguée de mes lunettes de soleil en pleine nuit. Mon incognito ainsi infligé la fit sourire. Elle avait sorti une main et branlait un mec.

J’eus voulu être ce privilégié. Elle ne l’avait pas choisi au hasard. Il avait une queue énorme dont je pus être légitimement jaloux. Elle le branlât avec la dernière énergie pour obtenir au bout de dix minutes l’éjaculation requise. Le sperme fut abondant. Une goutte de la giclée vint à frapper et maculer son visage jusqu’à ses lunettes. Elle sourit. Elle était ravie d’une telle humiliation et souillure. Elle nous fit un petit signe de la main tandis qu’elle remontait sa vitre et faisait démarrer l’auto. Je remballais penaud ma marchandise. Du moins m’étais-je approché de la belle putain.

Cette fois j’étais décidé. Je vins à la croiser de nouveau en la même boulangerie. Cette fois elle était à deux clients devant. Passant près de moi elle rentra la tête dans les épaules affectant de ne pas me voir ainsi que mon modeste salut. Je la rattrapais peu après sur le trottoir. Je balançais un tonitruant bonjour et vint carrément à son niveau plongeant mon regard en le sien. Elle dut percevoir mon agressivité ce qui semblât l’émouvoir. Elle eût le sourire timide et me rendit mon bonjour. J’enchaînais lui assénant un propos en coup de poing. Féru de Clausewitz je savais porter l’attaque.

Je lui dis sans ambages : « Vous savez je fréquente aussi le soir le lieu des fortifications. » Elle sursauta, fit une grimace. Elle affectait d’avoir mal compris. J’insistais. J’ajoutais : « J’étais l’autre soir l’un de vos admirateurs. Je me branlais. » Elle ne pouvait plus éluder. J’avais été explicite et grossier à dessein. Je crus devoir la rassurer. « Rassurez-vous, je sais tenir ma langue. Votre mari n’a pas à connaître vos fantaisies. » Elle arrêta du coup sa marche semblant s’enfoncer dans une douloureuse réflexion. Elle repartit et tournât à une rue où elle voulait manifestent discuter.

Je la rejoins. J’étais même en colère. Je ne voulais lâcher l’affaire. J’avais ferré le poisson. L’odeur du sang m’exaltait. Je la toisais. Je lui signifiais que si l’un des deux devait avoir peur, c’était elle et non moi. Je vis que ma fière pouvait être soumise et vulnérable. Peut-être se flattait-elle que je pus sortir de mon personnage insignifiant pour me révéler, un maître. J’augmentais dans son estime. Je tins à lui confirmer que je savais tenir ma langue et que je ne jugeais pas d’autant que moi-même j’étais versé dans le libertinage et fréquentait dans les mêmes lieux. Elle me parlât enfin.

« Oui tout cela est vrai. Cependant je ne me rappelle pas vous avoir croisé là-bas ? « Je lui expliquais le gus au béret et lunettes. Elle sourit. « Ah c’était vous ? » J’enchaînais. « Je regrette juste que ce soir vous ayez préféré un autre mâle que moi pour le branler. » La coquine répondit : « Vous savez, j’ai choisi par hasard. » J’eus envie de rétorquer qu’elle avait choisi le plus bel engin. Je précisais : « J’ose espérer que j’y aurais droit la prochaine fois. « Du même sourire elle répondit comme pour clore ce singulier entretien : « C’est promis. Je vous dois bien cela. »

Il se trouvât que pendant quinze jours toutes les fois où j’allais aux fortifications je ne vis pas la voiture blanche. Il était exclut qu’elle fut en congé car je m’assurais bien que sa voiture était bien rangée chaque soir devant son domicile. Manifestement elle voulait m’éviter. J’étais tout plein de rage. J’avais idée de me venger et de faire scandale. De même je ne pus la croiser à la boulangerie ou ailleurs. J’en vins à me résoudre à une démarche plus raisonnable. Un matin je laissais un mot ajusté à son essuie-glace et observait de loin son arrivée à la voiture. J’attendis fort peu.

Elle était en tailleur sombre juchée sur des escarpins à talons hauts affublée de bas noirs brillants tel qu’elle exposait au tout venant et quidam là-bas aux fortifications. Je ne pus réprimer une érection brutale. La salope me faisait envie plus que jamais. Marquant un temps d’arrêt je sus qu’elle avait remarqué le message. Elle mit du temps à démarrer. Elle devait le lire. J’y avais écris que je me morfondais ne pas la voir en notre petit bois. Que j’espérais qu’elle tint à sa fameuse promesse. A mots couverts je la menaçais. Il s’agissait bien d’un chantage. Je posais comme un ultimatum.

J’avais pris soin de laisser une adresse mail où elle pourrait me joindre et échanger. J’obtins un mail en fin d’après-midi. Elle s’excusait d’avoir été fort occupée. Elle me dit que le surlendemain elle escomptait aller à notre endroit et que cependant elle serait en autre contre-allée. Elle me signifiait par là qu’elle changeait ses habitudes pour m’agréer. J’étais ému et excité. Je semblais courir comme à un premier rendez-vous. La journée avait été belle inaugurant un beau début d’été indien. La douce température du soir dans ce bois inclinait à l’amour et sans doute à plein d’autres choses.

Au dernier moment j’eus comme un pressentiment. Et si elle m’avait posé un traquenard ? Peut-être m’attendait là-bas des sbires. Quelques-uns de ses solides amants qui m’infligeraient leçon et formidable raclée. Je l’en croyais bien capable. Pourrais-je alors me plaindre. Qu’expliquerais-je à ma femme que je traînais ce soir-là dans ce coin sulfureux. Ainsi hésitais-je et vins-je ainsi à pas comptés à la fameuse allée. Je vis de loin la voiture. Il semblait n’y avoir personne. Les voyeurs et obsédés n’entouraient comme d’habitude le véhicule. J’avançais en frémissant vers celui-ci.

Elle fumait et me lançât un regard vide et tout à fait inexpressif. Je compris qu’il ne fut pas sage que je demeuras tel un idiot debout devant son véhicule. Aussi sans qu’elle m’y invitât j’ouvris la porte du passager et entrais dans ledit véhicule. Elle écoutait de la musique. Elle était branchée sur radio Classique. Je reconnus des passages de la symphonie inachevée. Pour manifester ma culture mélomane, je lui dis : »La symphonie en mi mineur de Schubert est tout de circonstance. » Elle tourna la tête vers moi et dit : « Bien vu ! » Je me rappelais que je devais lui en imposer.

Je lui balançais : « Je savais que vous honoriez votre promesse. Seulement j’ai trouvé le délai trop long et ai témoigné mon impatience. Je m’en excuse. » Elle avait fini sa cigarette. Elle répondit : « C’est moi qui vous dois excuse. Je sais tenir mes promesses. Je suis là ce soir que pour vous. Disposez de moi ! » J’étais au ciel. Je goûtais cette reddition sans conditions. Je pouvais impunément me servir. J’écartais du coup les pans du manteau qu’elle portait bien qu’elle ne fit pas froid ce soir-là. Elle était quasi nue dessous. En fait elle ne portait en tout et pour tout que des bas.

Je pelotais ses seins. Je les léchais bientôt et mordillais ces beaux tétons. La belle statue enfin s’animât. Elle semblât exhaler comme des premiers gémissements. Ceux-ci ne parurent pas feints. Manifestement cette salope était venue se donner. De toute façon me dis-je devait-elle consentir cela des fois à quelques mâles. Si je n’avais été là, un autre eut sûrement fait l’affaire et l’eût foutu sur le champ ce soir-là. J’avais à discrétion une putain. Ce n’était pas tant fréquent. J’avais eu si peu ce genre de fortunes. Peu après j’obtins à ce qu’elle se penchât sur moi et commençât à me sucer.

Je me souviens qu’à ce moment-là je lui tripotais les orifices. Elle ne bronchât pas quand avec un doigt je titillais et enfonçais celui-ci dans l’anus. Elle ne s’insurgeait manifestement pas de mon intention à lui entrer en cet endroit. Pour m’assurer de mon ascendant définitif et marquer mon territoire je l’embrassais de force à pleine bouche. La garce me rendit les baisers fougueux. Nous en étions depuis au tutoiement. Elle dit : « Je veux ta bite. Fous-moi à fond ! » En un éclair nous passâmes aux sièges arrière. Là nous avions tout loisir de nous lancer dans nos ébats. Ce fut du rut.

Un moment je songeais qu’il y avait alentour des voyeurs qui sûrement se régalaient. Peut-être quelques-uns s’enhardiraient à venir se branler près de nos vitres. Je goûtais moyennement ce genre d’agora même si ingrat j’en avais été il y a peu. Elle à mon avis n’y avait rien à redire. S’exhiber en pute était son truc. Elle aimait manifester à la terre entière qu’elle était une chienne et que tout le monde impunément pouvait la prendre et la fourrer. Je ne me priais pas pour cela. Notamment je pus après que l’avoir entrepris en levrette, l’enculer enfin. Cela entrât facilement sans coup férir.

Je maudissais de n’avoir une queue plus longue et lourde car elle avalât la mienne avec son cul comme si de rien n’était. J’adorais la sodomie. Mon épouse ne me concédait jamais cela. J’avais renoncé cela avec elle. Les prostituées réclamaient fort cher et des amantes d’occasion répugnaient souvent à cela. Bref je bénissais de tomber ainsi sur une authentique salope qui cultivait ce don. Je pus la besogner toute une demi-heure dedans et jouis enfin en y lâchant mon foutre. Je regardais un moment à la lueur de lune son anus maculé dégorgeant le reste de ma substance blanchâtre.

Elle allumât peu après une cigarette qu’elle tint à partager avec moi. J’étais adoubé. Notre amitié étrange était scellée. Par la suite et dans l’intimité elle me dit pis que pendre de son mari si méprisant et bandant mou et qui l’avait jeté vite dans cette carrière de débauche et de libertinage. Elle ne comptait plus les amants qui l’avaient troussé. Elle convint que son vice depuis était poussé jusqu’au sordide et manifestait une propension indubitable à la soumission et au masochisme. Bref elle goûtât que je devins un de ses maîtres et la prostituât à d’autres. Je me convertis à cet emploi.

Je dus forcer ma nature mais m’en félicitais bientôt. J’obtins ainsi d’autres femmes et conquêtes. Un jour je crus devoir le lui avouer. Il est vrai que nous parlions peu de nous et de nos sentiments. Il était convenu que nous n’évoquâmes que sexe et cul. Elle me dit qu’elle m’avait méprisé pour cela au début. Crûment elle m’avait rangé en la catégorie des faibles et des branleurs. J’avais gagné à la mépriser et à la prendre en cynique. Elle avait adoré et avait décidé de céder pour cela. Bref elle trouvât commode que je fus discret et son voisin et put être à loisir complice de ses débauches.

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