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le maraîcher suite

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Nous avons convenue avec ma chère agricultrice, que je viendrai chercher les produits le lundi matin de bonne heure, et que si j’avais besoin, elle compléterai le jeudi midi, avant la fermeture.
C’est lundi matin il est 5 heures, je prends ma fourgonnette, et me rends chez mon amie-amante. Quand j’arrive le local de traite est éclairé, je m’y rends. Je la trouve nue avec juste une paire de bottines trayant les chèvres à l’aide d’une machine ultra moderne.
– Bonjour charmante coquine, tu es superbe ainsi en lui passant une main aux fesses.
– Bonjour charmant voyeur, je t’attendais, je fini la traite je suis à toi, ne te gène pas pour moi.
Je commence par la caresser, je passe mes mains dans sa longue chevelure noire, masse son cuir chevelu avec tendresse, je l’entends soupirer, je la serre contre moi, ses fesses au hauteur de ma queue, je me frotte contre elle, je lui dit des mots doux, j’explore son corps magnifique, de la tête à sa fente toujours humide.
– Tu as bien du boulot, un peu de détente te fait du bien.
– J’ai des étudiantes qui viennent m’aider pour les champs, elle sont sympas et travaillent bien.
– Tu ne les dévergondes pas.
– Si du moins j’essaie, si certaines sont amusées elles refusent d’entrer dans mon jeu, mais il y en a une qui promet, elle est aussi belle que vicieuse, les jeux végétaliens et le naturisme sont devenus de vrais plaisirs, même si je ne suis ni bi ni lesbienne, c’est un régal de la voir. Peut-être décidera-t’elle les autres.
– Avec une aussi belle est douée professeur, elles ne vont pas résister à la tentation longtemps.
– J’espère que tu as raison, surtout qu’il n’y a pas d’homme pendant ces longues journées, maintenant je t’ai toi pour assouvir mes envies, prends moi en levrette, je te tends mes fesses, mais prends ma chatte, je suis en manque d’une bonne queue.
– Superbe moment que tu m’offres ma chérie, ce sera toujours un plaisir de venir chercher mes légumes même d’aussi bonheur.
– Je n’en doute pas, en moi tu as trouvé la partenaire parfaite, toujours offerte .
– Je suis bien en toi, ta chatte humide est chaude, elle serre bien ma queue, c’est si bon d’aller et venir en elle, en te massant la poitrine.
– Ralentis un peu, ça vient trop vite, reste en moi un moment que j’apprécie l’instant d’une bite dans mon vagin, doigte moi le cul, j’aime trop cela.
– Comme Madame voudra, Madame est servie, son cul mérite un hommage il est superbe comme tout le reste d’ailleurs.
– Merci pour les compliments, et pour la baise ça me fait du bien d’avoir une queue dans mes entrailles, ça me change des végétaux.
– Reprends tes aller retours, il va falloir y aller, j’ai une longue journée aujourd’hui, même si j’ai de fréquentes coupures.
– Le temps que nous jouissions et tu pourra retourner à tes occupations.
– Je jouis, vas-y plus vite, finis-moi, j’en peut plus, donne-moi ton jus.
– Pas comme cela, tu vas avoir une faciale comme la dernière fois.
– Si tu le veux du moment que je suis comblée, mais ne prends pas mon visage pour un réceptacle à foutre.
– C’est de ta faute, il est si sexy, avec tes si beaux yeux.
– Bon allons-y pour ta commande, elle est prête dans la chambre froide, tu n’as plus qu’à charger, je t’accompagne.
Pendant que nous nous y rendons, je la prends dans mes bras, en l’embrassant, malheureusement le trajet est court. Elle me montre les cagettes à charger, me précise que celles avec un X sont pour mes clientes gourmandes de plaisir, avec un clin d’oeil malin.
– A jeudi midi chérie, je t’attends déjà.
– J’amènerez ma disciple, tu ne seras pas déçu, elle est chaude comme la braise.

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