Histoires de sexe mobiles Histoires porno Histoires tabous

Le Séminaire – Chapitre n°8

Le Séminaire – Chapitre n°8



Nous sommes le vendredi matin, dernier jour de voyage pour ce colloque si particulier.
Il est 7h10…
Sarah à côté de moi se réveille et me secoue afin de me tirer de ma torpeur…

Encore somnolente, je la regarde et lui demande comment je suis arrivée ici…mais elle ne me répond pas…
Son regard me fixe avec compassion… de sa main elle caresse mes cheveux, mon visage… mon épaule et mon dos au travers de la couverture… pour me cajoler et m’inviter à me lever.

J’ai mal au ventre ce matin, tout mon corps se réveille courbaturé et endolori…
Les souvenirs de la nuit martèlent mon esprit…
Comment ais je pus finir aussi bas… ?
Comment ais je pu accepter tant de supplices, moi qui d’habitude est une femme respectable et professionnelle, timide et mère de famille….
Cette torture cérébrale est aussi intense que celle subie physiquement, je n’ai même plus la force d’en pleurer.

Tel une zombie, je reste couchée, les yeux fixant le vide apaisant du parc… Repensant à la nuit, les images mentales se succèdent : Philippe et ses ordres, le local froid plongé dans cette lumière blanche criarde, le vieux PDG m’obligeant à avaler sa semence immonde. Mon corps livré sur cette table à ces hommes, que dis-je, à ces animaux affamés sans pudeurs, sans respects ni tendresses…exposée et écartelée a chacun de leurs désirs et délires sexuels.

Sarah, qui s’est levée, m’appelle depuis la salle de bain, mais je ne réagis pas…
Revenant près de moi, elle m’effleure pour me consoler et me donner du courage…
Simplement vêtue de sa nuisette, son corps fin et magnifique se dessine en soleil romain avec la clarté du jour passant par la baie vitrée. De ses cheveux a ses chevilles, ses courbes et formes sont simplement superbes… elle me rappelle ma jeunesse et mon innocence déjà lointaine et perdue.
Voyant ma tristesse, toujours en silence, elle se glisse a côté de moi pour m’enlacer…
Elle est douce et fraiche, comme à son habitude…comme son image….
Moi, je suis nue, sale, et sans force… vieille.

Nos corps liés se confondent sous le drap… sa chaleur me fait du bien, et je me laisse aller à sa douceur…
Presque sans le vouloir, j’accepte ses caresses dans mon dos et sur mon corps…
Le temps passe doucement, ses mains sont plus précises, je me laisse faire et masser. C’est doux, agréable et délicat…

Elle se lève à nouveau, me laissant au centre du lit…
Me regarde, et ne peux contenir un soupir d’admiration…

Sarah : « (doucement) Attends, je reviens… Tu es si jolie…, ma pauvre, il n’avait pas le droit de faire cela…»

Inerte, je la regarde s’éloigner encore…puis revenir avec plusieurs linges.
Très délicatement, elle me fait la toilette, essuyant la poussière collée et le sperme séché sur ma peau…
Contournant chacune de mes courbes, caressant mon ventre… essuyant mes jambes et mes bras méthodiquement…
Elle lave et masse chaque partie de mon corps jusqu’à avoir effacé toutes les traces et souillures de la nuit …
Mon sexe, mes fesses, mes seins et mon ventre… tout mon corps passe sous ses doigts… sa délicatesse réveille doucement mes sens et je me laisse porter par sa volupté.
Exposée et allongée sur le lit, je regarde Sarah qui retire sa nuisette et vient se blottir contre moi. Nos corps intimement liés l’un a l’autre, ses mains dessinant des fresques sur ma peau… ses seins fermes et rond effleurant les miens et mon ventre… je ne peux m’empêcher de soupirer de plaisir par tant de douceur offerte…
Puis, se sont ses lèvres qui se posent sur moi… d’abord timidement, puis avec plus d’insistance… c’est bon …
Sur mon épaule, ses baisers effleurent ma peau et glissent vers mon cou… ses mains jouant encore sur mon sein et descendant vers mon ventre puis ma toison… je me laisse faire complètement envoutée.
Enfin, nos lèvres se touchent… doucement… délicatement, nous échangeons un nouveau baiser…
Voulant s’éloigner par peur de m’offenser, Sarah se redresse et m’observe sous elle… Gêner de l’acte que nous avons échangé.
Ouvrant mes yeux, je ne dis rien …mais j’avance mes mains vers elle pour l’enlacer et l’embrasser à nouveau…
Nos bouches soudées l’une à l’autre, mes sens en éveilles, mon ventre frissonnant de sa douceur, nos corps roulent dans le drap, nos jambes s’entrelassants et se frottant.
La chaleur monte encore lorsque je la sens prendre fermement mon sein sans sa paume… Moi, comme téléguidé glisse également ma main sur elle et sur son ventre avant de plonger entre ses cuisses…
Son sexe est doux, les lèvres de sa vulve sont humides et fines, et mes doigts glissent sans effort sur son bouton qui se gonfle de plaisir…
De son coté, elle feule et se laisse porter par mes caresses.
Durant près de 10 minutes, nous nous masturbons mutuellement sur le lit, nos bouche passant de nos poitrines a nos ventres… nos mains glissant dans les moindres recoins de nos corps…
Puis, Sarah, comme possédée et ensorcelée se redresse, m’enjambe et vient au-dessus de moi présentant son doux mont de Vénus à mon visage…

Sarah : « (murmurant) Tu veux.. ???
Moi : Oui… mais je n’ai jamais…. Enfin tu sais bien….je ne suis pas…
Sarah : Je sais…. Laisses toi aller… tes désirs te guideront. … »

Sans réfléchir, je lui goutte, sortant ma langue pour jouer avec son clitoris, elle au-dessus de moi ondule, me tenant la tête d’une main pour appuyer chacune de ses sensations ou guider mon visage entre ses jambes ouvertes…Au-dessous, j’essais de m’appliquer et de lui tenir les fesses afin de sentir chaque vagues de ses reins et profiter de ma première expérience saphique avec délice.
De sa main libre, elle glisse sur mon ventre, saisi mon sexe trempé, et du bout des doigts joue avec mon bouton ou plonge dans mon vagin.

Soudain, ces reins s’activent plus fort et plus vite, me pressant de lui manger le sexe, et glissant ma langue dans l’entrée de sa grotte. Je la sens jouir…frémir et se crisper…mon nez collé dans sa fine toison…
Bonheur de sensation, plaisir absolu… je l’observe et lui att**** un sein et lui serre une fesse pour amplifier son orgasme…

A son tour, épuisée, elle me libère en silence… descend vers moi et nous échangeons un langoureux baiser…

Sarah : « haaaa… que c’est bon…. Mmmmm… à mon tour… laisse toi faire… »

Excitée par la situation, et pas très loin de jouir sous ses nouvelles sensations, je la laisse faire…Glissant sur moi, embrassant mon corps, tétant même les boutons dressés de mes seins… Puis finir entre mes cuisses pour un cunnilingus magistral…

Moi : «Arrêtes… non… je n’ai jamais fait avec une fille…mais… haaaaa… »

Je ne finis pas ma phrase, mon clitoris entrant dans sa bouche chaude me coupant le souffle sous la douceur de l’acte et du moment…
Ses mains contre mes hanches, son visage sur mon sexe, son regard qui me transperce… malgré moi, j’ai envie de jouir…
Mes reins se creusent et j’ondule sans le vouloir… je lui présente ma chatte grande ouverte pour qu’elle me butine encore ou me pénètre de ses doigts agiles.
Emportée par mon plaisir, ma main gauche caresse ses cheveux tandis que l’autre malaxe mon sein droit…Je me mords les lèvres afin de taire les gémissements de plaisir qui sortent de ma gorge…. Sous ses baisers, sous sa langue experte, je me laisse porter par un orgasme fulgurant aux creux de mon ventre….

Tremblante, épuisée, ruisselante de sueur, je l’observe et la remercie…
Cette nouvelle expérience, ces nouvelles sensations… rarement je n’ai vécu de moment si intense et fort dans ma vie… cette expérience lesbienne est pour moi une première : une découverte magnifique…

Sarah, remontant près de moi m’embrasse et se blotti sur mon cœur. Nous restons un moment ainsi, nues, collées l’une à l’autre, sans dire un mot… profitant juste de ce temps hors du temps.

8h40 : Apres ce moment de tendresse et cette première expérience câline partagée, je regarde Sarah allongée et endormie près de moi et lui embrasse le front avant de sortir du lit…
Me dirigeant dans la salle de bain pour prendre une douche et faire ma toilette, je suis interrompue par l’appel de la porte d’entrée au moment même où j’active l’écoulement de l’eau…

Moi : (grognant) « Bon sang !!! On ne peut jamais être tranquille… »

Saisissant rapidement un peignoir pour me couvrir, je me dirige pour ouvrir.
Ma surprise est totale : Cédric et Philippe me font fasses, et je sens monter en moi un instant de panique…

Philippe : « haha la belle Estelle, enfin réveillée…. La nuit a été bonne ?…
Moi : Que veux-tu ??? Qu’est-ce que tu fais ici ???
Philippe : Moi … rien… je t’apporte ce que tu sais… et mérites…
Moi : Comment cela ???
Cédric : Ben oui, ton petit déjeuner…pfff, tu n’étais pas en bas ce matin, alors on a décidé de venir vous l’apporter. »

Cédric, en parfait idiot du village, force le passage de la chambre et porte jusqu’au buffet un plateau avec des cafés et des mini viennoiseries afin de nous servir le petit déjeuner…
Derrière lui, son père lui emboite le pas et une fois entré s’installe dans le fauteuil faisant face au lit. Son regard pervers me toise un instant puis observe Sarah encore allongée et nue sous le drap.

Moi : « Que voulez-vous ??? Sortez et laissez-nous…
Philippe : Cédric… Va réveiller ta chérie… regarde comme elle est belle dans ce lit. Cela lui fera plaisir de te voir de si bonne heure…
Moi : Fiche lui la paix, tu as déjà eu ce que tu voulais hier… Maintenant laisse nous tranquille…
Philippe : J’ai quelque chose pour toi …alors calme toi si tu le veux… »

Mon sang ne fait qu’un tour, lorsque dans sa main, j’aperçois une nouvelle enveloppe. Peut-être la fin de mon Calvaire comme il me l’avait promis…
Je l’espère… mais j’imagine que ce Salop de Philippe ne la lâchera pas facilement…
De l’autre côté de la chambre, Cédric est déjà allongé à côté de Sarah et la caresse avec délicatesse pour la réveiller…
Le drap poussé au pied du lit, Cédric joue avec son corps disponible, effleurant ses seins et son ventre… ouvrant ses cuisses et touchant sa toison…le tout face à son père qui bave d’envie de lui sauté dessus…
Sarah encore fatiguée, se réveille et réalise soudain son exhibition forcée….
Cédric la ceinture rapidement et lui bloque le corps avant de ne prendre des coups de sa belle…Sarah se débat un moment, criant et insultant son agresseur et son chéri…puis se calme et s’assois docilement dans le lit à côté de lui, tout en essayant de cacher son corps au regard perçant du vieux Philippe hilare en face d’elle…

Moi : « c’est bon !!! Le spectacle te plait ???
Philippe : Parfait…
Moi : OK alors maintenant rend moi mes photos et tous les documents…
Philippe : je suis là pour ça….. Mais avant…. »
Moi : (furieuse) Quoi avant ???
Philippe : Retire ton peignoir….
Moi : Hors de question…. j’ai fait tout ce que tu voulais durant toute la semaine…respecte tes engagements aussi, donne-moi cette enveloppe et finissons-en !!! »

Philippe, l’œil vif et brillant, me toise mais ne dit rien…
Derrière moi, Sarah, en panique dans les bras de Cédric est contrainte d’ouvrir ses jambes et le laisser la toucher face à son pervers de père…

Sarah : « Est…..Estelle…obéie…
Cédric : Oui Estelle, obéie à mon père…n’oublie pas que c’est ton patron…. (rire) »

Me retournant, je vois que Sarah se débattant et frissonner de peur, Cédric ayant placé une corde autour de son cou et serrant son étreinte progressivement, prêt à l’étrangler si je n’obtempère pas…

Moi : « Mais on est où la ?? Cédric lâche la… !!! Arrêtez vos conneries…
Philippe : Ton peignoir….
Cédric : Obéie salope !!Montre-nous ton cul une dernière fois…
Sarah : Arhh Estel …ahh….Céd…Argh »

J’ai l’impression d’être dans un film noir, avec 2 mafieux et 2 victimes… le stéréotype d’un mauvais porno ou d’un navet des années 60 en noir et blanc avec Al Capone…

Moi : « OK…ok. Lâche là. Je le fais….
Philippe : Bonne décision… »

La main tremblante, j’ouvre la corde qui encercle ma taille et défait le nœud du peignoir… timidement, les pans de coton s’ouvrent et laisse apparaitre mon corps blanc au-dessous…
Au milieu de la chambre… entre tous, je laisse tomber le peignoir à mes pieds.
Je suis nue, complètement nue, mon corps blanc, mes seins ronds et lourd, ma toison, mes fesses et mon ventre sont exposés à leurs regards et leur perversité malsaine…
Baissant les yeux de honte… je reste planter là attendant que le temps passe. N’osant même pas camoufler ma féminité ou ma poitrine.
Stupidement, j’attends, je fixe Philippe et l’enveloppe dans sa main… je n’attends que cela… que cela finisse.

Philippe : « Parfait, viens me voir maintenant petite soumise… a genou.
Moi : Non !!! Donne-moi l’enveloppe… ca suffit.. et toi (Cédric) relâche Sarah..»

Philippe, ouvrant l’enveloppe, sort de celle-ci quelques photographie et me les tends tous en commentant les images…
Je suis humiliée et anéantie, les photos sont outrageantes et peuvent ruiner ma carrière et ma vie… l’un des photo montage présente même le PDG avec sa main entre mes cuisses mêlé a une photo de moi entrain de m’appliquer lors d’une fellation…
Sur une autre encore…on me distingue sur la table ou sur le sol souillée par plusieurs éjaculations sur ma poitrine et sur mes fesses… le corps entouré de plusieurs sexes masculin de toute ethnie et couleur… et la dernière…horrible parmi toute, le visage collé au sol, le fessier en l’air, en train d’accueillir dans mon intestin la bite énorme d’un homme qui me poignard littéralement le corps…

Les larmes montent à mes yeux, je tremble et je sens en moi la peine plus que la colère fasse a Philippe affichant toujours son sourire démoniaque.

Philippe : « J’en ai d’autre si tu veux…A genou maintenant… et viens… je veux que tu me suces encore une fois.
Moi (sanglotant) : Hors de question…non, pitié…
Philippe : Parfait… alors tu n’auras rien et je garde le reste.
Moi : Quel reste ?? Tu me dois tout. Et tout de suite… !!!
Philippe : tu auras tout… mais après…enfin si tu obéis…
Moi : Salop !!!! Menteur… escrocs !!!
Philippe : Arrêtes tes insultes, tu m‘existes… allez viens là maintenant… »

Je suis perplexe et anéantie. Sarah sur le lit se débat toujours avec Cédric pour essayer de respirer. Elle se contorsionne, ne cachant plus rien de sa féminité…
Cédric jubile à côté de la tenir ainsi en laisse, et profites de sa main libre pour lui saisir les seins et le corps avec v******e…

Soumise, perdue, je me laisse tomber à genou, et m’avance vers l’entrejambe de Philippe, avachie dans le fauteuil…
« Une pipe !!! Plus que cela et j’en aurais fini… » J’essaie de m’en convaincre pour me donner de la force…
Philippe devant moi, sort son gourdin… et me le présente au visage…

Moi : « Mes documents !!!!
Philippe : Suce pétasse… (rire) pardon ma belle Estelle…suces… tu les auras après… »

J’avance ma main, et comme hier, lui tiens le sexe depuis la base, découvrant son gland brun et lisse qui pointe vers le plafond….
Apres quelques aller-retour, je sens gonfler entre mes doigts son chibre, il est impressionnant de taille, dur et veinés, le gland ressemble à un gros champignon au sommet. J’en reste impressionnée…mortifiée
Je pense à Sam, pourvu qu’il arrive vite. Pourvu qu’il trouve une solution pour ma déchéance, pourvu qu’il ne m’en veuille pas….
Doucement, j’avance me lèvres et embrasse son frein. Je descends sur sa tige, jouant de ma langue et de mes lèvres pour l’exister rapidement…
Il me caresse les cheveux pour m’encourager et je ferme les yeux pour tenter de ne pas y penser…
Je l’embrasse, jouant avec son mat noueux, montant, descendant, allant lécher ses testicules poilus puis revenant a la corolle de son large gland…
Il soupir, je sais qu’il apprécie… et j’avoue que de sucer son sexe énorme me rappelle celui de Sam et ne me laisse pas insensible…
Puis, j’ouvre les yeux et le fixe…je le provoque…pour lui faire comprendre qu’il ne me possède pas malgré ma position de faiblesse.

Philippe : « Ouvres ta bouche Estelle, et suces moi…
Moi : Mmmmm… .
Philippe : Ouvre bien salope… tu vas tout prendre..»

Mes lèvres se referment sur son gland, ma salive venant humidifier son champignon brun, je l’entends soupirer d’extase lorsque la chaleur de mon antre l’enveloppe…
Doucement je le prends, tourne ma langue dessus, l’aspire entre mes joues et le fait glisser au plus loin de ma bouche…il me remplit.
Il pousse, râle, et gémit sous ma torture divine, il me tient la tête pour me forcer la gorge et s’enfoncer plus loin… plusieurs fois j’ai des haut le cœur par son intromission et sa grosseur, mais je m’applique, je veux le faire jouir rapidement, je veux en finir…
Pour se motiver et m’humilier davantage, son vocabulaire est riche d’insultes en tout genre (Suceuse, avaleuse de foutre, salope, pute…etc..), il me force et me baise la bouche tout en joignant le geste à la parole…ma salive déborde et coule sur mon menton, parfois même sur mes seins qui ballotent en dessous de moi à chacun de mes hochements de tête …Le visage plongé sur son ventre bedonnant…je me concentre pour ne pas vomir et poursuivre cet acte dégradant.

Derrière moi, Cédric a immobilisé et bâillonné Sarah sur le lit. Et n’y tenant plus, à baisser son pantalon pour venir me baiser. Sans prévenir, il m’att**** les hanches et me place en levrette…
La bouche pleine, je ne peux crier mon refus lorsque celui-ci me pénètre de toute sa longueur dans mon sexe humide et ouvre brutalement mes chairs….
Coincée entre le père et le fils, mon corps est secoué de toute pars, baisée et défoncée de force par ses males en puissance…
Cédric, arrive vite, claquant mes fesses contre son ventre, il me besogne avec intensité poussant loin sa poutre en moi, les mains serrées sur mes hanches, il me plante sa queue profondément et je sens ses jets brulants inonder et irradier tout mon ventre… sa semence au contact direct de mon utérus…mes larmes coulent de cette ultime humiliation…
Philippe, excité par la scène et mes gémissements étouffés, grossi encore, je sais et sens qu’il va me remplir la bouche d’un instant à l’autre…
Je ferme les yeux, le laissant aller à sa v******e, ses insultent et ses coups de butoir dans ma gorge…
Lui aussi vient brusquement, par puissants jets, il se retire et arrose mon visage crachant son sperme sur ma langue, mes yeux et mes cheveux…

Humiliée et à nouveau souillée de leurs foutres, je m’écroule au sol. Essayant e reprendre mon souffle avant de faire face.
Philippe, étourdi par son orgasme, la bite molle et collante salissant son pantalon. Reste avachi dans le fauteuil, et j’en profite pour lui arracher l’enveloppe des mains pour la vidant sur le sol…

Moi : « J’espère que tout est là !!
Philippe : heu…oui… oui tout y es…
Moi : je l’espère sinon ….
Cédric : Sinon Quoi… tu vas porter plainte ??? Tu as été baisé volontairement tu ne feras pas le poids…»

Ne pouvant répondre, je me retourne et gifle de toute ma force l’avorton qui ose encore m’insulter…

Moi :(en colère) « tu as raison… mais tu y perdras toi aussi beaucoup.. »

Philippe se rhabillant, ramasse son fils au sol, la lèvre en sang par le coup que je viens de lui porter…

Cédric : « Tu me le paieras, sale garce…
Moi : Viens je t’attends…
Philippe : Ca suffit… tu as tout…c’est finie… »

Toute nue et insolente, je me tiens prête à le frapper une seconde fois au centre de la chambre….
Quelques secondes s’écoulent encore…les esprits se calment. J’ordonne à Cédric de libérer Sarah et de quitter la pièce…
Philippe face à moi se sent piégé et menacé… le contenu de l’enveloppe au sol, j’y trouve un bout de papier, une dernière photo et une clef USB…
« Fin du JEU. MERCI » Le papier n’est guère explicite…
Philippe, m’explique que le colloque était le seul moyen qu’ils avaient trouvé pour abusé de moi et enfin profité de mes charmes… il m’explique que ce « JEU » a été commandité et qu’il n’est qu’un exécutant parmi d’autres…il me dit aussi que la clef USB est le seul enregistrement de toutes mes aventures et qu’a la base il ne voulait pas me nuire ou me faire de mal mais seulement s’amuser et me décoincer…

Apres quelques minutes d’interrogatoire, je laisse Philippe s’en aller… lui promettant de ne pas en rester là…
Je reste assise sur le bord du lit, la clef USB en main, les yeux dans le vague, je ne réponds plus, je ne pense plus…
Heureuse que cette machination se termine, malheureuse d’avoir été victime d’un chantage odieux durant toute une semaine…
Dans ma tête les informations se coupent et s’entrechoquent…je n’arrive plus à savoir ce qui est vrai et faux… les personnages, les actes, les lieux…moi, mon corps, mes sentiments et ressentis, le plaisir ou la douleur…je n’arrive plus a distingué la réalité de la fiction. Le bien du mal… Qui ou quoi ??? Sam… pourvu que lui puisse m’aider…

9h50 : Je me dirige vers la salle de bain…mais plutôt que de prendre ma douche, je vomi…. Sarah, remise de ses émotions aussi, m’aide et m’installe dans la baignoire pour me rincer et me faire reprendre conscience de la réalité et de la journée… Nous prenons notre douche rapidement ensemble, se frottant mutuellement mais sans aller au-delà que notre estime et notre amitié.

10h15 : Mécaniquement je m’habille, encore perdue dans mes pensées, ma valise est faites, plus légère qu’à l’aller. Robes, chemisiers, la moitié de mes affaires sont à la poubelle, plus jamais je ne souhaite les porter ou les revoir.

Sarah, de son côté a pris le parti de mettre sa robe courte bleue, pour le trajet du retour… moi je n’ai plus le courage et reprend mon jeans et un chemisier pour le voyage…

11h00 : Descendant dans le hall de l’hôtel, je m’éloigne vers le hall extérieur ne prêtant plus attention au personnel qui me salue respectueusement.
Le taxi nous emmène à la gare, l’ambiance est lourde et le silence intense.
Dans la gare, chacun s’active pour se chercher un déjeuner et une boisson avant le départ…
11h33 : Assise dans le train j’attends le départ, j’écris plusieurs SMS à Sam mais ceux-ci restent sans réponses…
Durant le voyage, Sarah et moi parlons peu, bien que certain de nos regards complices nous font sourire…Plus loin les hommes, font leurs têtes et n’osent plus approcher.

11h52 : Sms de Sam… « Je t’attends à la gare, j’ai de bonnes nouvelles, je t’aime, bisous.. »
Son message me mets en joie, enfin je vais le retrouver et ne plus le quitter. Le sourire aux lèvres, je prends mon déjeuner, tandis que Sarah s’éclipse pour aller aux toilettes et revenir avec des cafés depuis le wagon restaurant.
Le voyage se poursuit, je regarde par la fenêtre la campagne défilée et me laisse porter par le roulis du train… j’ai envie de dormir…
Sarah me croyant endormie s’installe sur la banquette en face de moi…elle m’observe et commence à lire un magazine féminin…
Cédric, réveillé la rejoint. Il ne prête pas attention à moi et Sarah lui demande le silence afin de ne pas me déranger… j’entends vaguement leur conversation, et quelques rires étouffés. J’ai un peu la tête qui tourne, et toujours une forte envie de dormir…
Le voyage est long, le bruit dans le wagon me berce. J’ai hâte de rentrer chez moi…me laver et oublier cette semaine si particulière.
Sarah et Cédric, assis en face de moi plaisante, tout en essayant de rester silencieux… puis me croyant assoupie commence à se rapprocher.
Un bisou dans le cou, une main sur la cuisse, Cédric investi progressivement le corps de Sarah qui se laisse faire. Leurs murmures et leurs respirations sont plus forts et du coin de l’œil j’observe Cédric, penché sur sa belle, descendre maintenant ses doigts dans son cou et sur son épaule cherchant à att****r son sein, Plus bas, avec son autre main, il glisse sous la jupe de Sarah qui ouvre ses jambes afin de lui faciliter l’accès et la masturber discrètement…
Sarah de son coté, enivrée par son excitation, caresse la bosse du pantalon de Cédric, afin de lui rendre le plaisir qu’elle reçoit et qu’elle peine à dissimuler. Ce joli couple me rappelle ma jeunesse…insouciante et légère. Pourquoi ais-je tant sommeil ??? Je lutte pour ne pas sombrer…
Quelques murmures et sourires plus tard…Cédric se lève et cherche son père…
Philippe arrive à pas feutrés et s’installe à la place de Cédric pour prendre le relais.
Sarah, complice et en état de transe, se laisse manipuler par les grosses mains du vieux pervers… Cédric s’est placé à côté de moi, et immortalise chaque détail de la scène en photographiant sa belle a demi nue entre les mains de son père…

Cédric : « (à Sarah et me regardant) tu es sure de toi ???
Sarah : MMMM Oui… je lui ais donner ce qu’il faut…. Mmm on sera tranquille…
Cédric : Parfait, alors on continue…
Philippe : MMM oui, je veux…Ecarte tes jambes, gamine… »

Appuyée contre la vitre, bercée par les mouvements du train, je reste dans mon état léthargique. La scène et les bruits a côté de moi ne me laissent pas indifférente, et me font rêver au passé, lorsque Sam et moi avions des jeux similaires dans notre jeunesse. A demi endormie, je souri intérieurement me rappelant à ses bons souvenirs…pourtant je ne me sens pas dans mon état normal…m’aurait-elle droguée ?? Ou est-ce juste un rêve dans mon sommeil ?
Le temps passe encore, Sarah en face de moi, toujours entre les mains de Philippe, est maintenant couchée sur lui et le suce pendant qu’il explore discrètement avec ses doigts sa fente et son anus sous son string…
Rapidement, fesses nues contre la vitre et pénétrée par ses gros doigts, elle jouit de ses attouchements et s’applique sur le gourdin du vieux pour étouffer ses gémissements….
Philippe transpire et respire fort, il est au bord de l’orgasme. Comme pour moi dans la chambre ce matin, il appui sur la tête de Sarah pour lui enfoncer son chibre au plus profond de la gorge et la forcer à l’accueillir jusqu’à la garde…
L’image est intense, la bouche déformée et pleine, Sarah ouvre grand les yeux lorsque son bourreau éjacule tout son foutre épais au fond du gosier, suffocante et larmoyante, elle laisse échapper un filet blanc à la commissure de ses lèvres mais s’applique a déglutir toute la semence que ce vieux vicelard lui impose…
Cédric frustré et impuissant en face, filme sa belle et s’applique à immortaliser l’évènement…. Il en perd même son rôle de guet vis-à-vis des autres voyageurs et de ma présence juste à côté.
La tension sexuelle est intense et Cédric ne peut s’empêcher d’exprimer sa frustration…voyant la queue luisante de son père coulisser encore quelque instant dans la bouche de sa copine…
Se réajustant rapidement, Sarah et Philippe sont épuisés et souriant en face de nous. Ils plaisantent et commentent la vidéo et les photos de leurs ébats…
Leurs discussions osées mais discrètes me parviens doucement aux oreilles…
Et bien que le sommeil non simulé me gagne, je ne ressens pas la peur qui devrait m’envahir au milieu de ces hommes surexcités.

Doucement, délicatement, je sens qu’une main déboutonne mon chemisier.
Un bouton, un second, un troisième… les pans de ma chemise s’ouvre progressivement avec les secousses du train, mon soutien-gorge noir apparaissant dans l’ouverture et laissant voir la peau blanche et délicate de ma poitrine. Etrangement, je ne réagis pas…comme paralysée ou anesthésiée. Consciente mais inerte…
Un quatrième bouton s’ouvre, je sens l’air caresser mon ventre jusqu’à mon nombril.
Tandis qu’une main poursuit son chemin et fait tomber les bretelles de mon soutien-gorge…je sens que l’on m’ouvre ma ceinture du Jeans…
Sans réaction, a peine endormie, je me laisse faire…
La discussion de Sarah et de Philippe est feutrée et presque inaudible, la respiration de Cédric à côté de moi résonne comme un grognement a****l et je sens sa main glisser dans mon soutien-gorge pour me soupeser un sein.
Je me sens glisser sur mon siège, mon jeans ayant été tiré vers le bas m’arrive aux cuisses et laisse voir ma culotte…
Philippe, penché au-dessus de moi, me touche le ventre, et glisse sur mes cuisses…

Philippe : « (chuchotant) MMM la salope, elle mouille… regarde…
Cédric : Chut laisse-moi faire..
Sarah : Dépêchez-vous… le médoc ne fera pas effet longtemps… »

Dans mon esprit embrumé, ces mots me confirment que j’ai bien été droguée et qu’encore une fois je suis abusée par mon patron et mes collègues…
Mais l’excitation naissante dans mon ventre, la main dans ma culotte me fouillant et les baisers de Cédric sur mes seins ma font perdre la raison et je me laisse porter par le désir naissant au creux de mes reins.
Cédric a genou sur le siège à côté de moi a sorti son sexe et joue avec devant mon visage. Je sens son odeur, sa virilité et sa sueur, son gland rond gifle mes joues, mon menton et parfois glisse sur le bord de ma bouche tel un gros rouge à lèvres en frottant mes dents.
Je sais et devine qu’il se branle a quelques centimètres de moi et qu’à tout moment il peut jouir et arroser mon visage ou enfourner sa bite dans ma bouche…
Mais l’équilibre instable de sa position, ou la peur d’être surpris par d’autres voyageurs liés aux turpitudes du train lui font changer de tactique.
A demi consciente, je suis ballotter et tenue par leurs mains obscènes avant d’être mise en position couchée sur lui.
Je me sens bien, mais mon esprit se révolte… mon regard dans le flou, j’observe Philippe qui glisse ses doigts sur mon clitoris et malaxe l’un de mes seins sorti de son écrin… Sarah de son côté tient un portable et immortalise la scène en riant.
La position est horrible, les fesses a demi nues contre la paroi du train, les cuisses légèrement écartées, je suis couchée en travers, la tête posée sur le ventre de Cédric qui s’est assis et qui maintenant glisse son sexe dans ma bouche offerte mollement et a demi ouverte.
Philippe jubile de me voir ainsi : inerte et sans défenses, la bouche déformée par le sexe puissant de son fils. Il joue avec mes seins tout en enfonçant sa main immonde dans ma culotte trempée pour me doigter et me pénétrer comme Sarah auparavant…
Je sens ses doigts me remplir, épais et rude. Il me touche et me pénètre difficilement. Il joue avec mon ventre et mon bassin qui ondule de plaisir contre mon gré… je le sens forcer encore plus loin en moi cherchant a planter l’un de ses doigts dans mon anus…
Je suis comme un pantin entre leurs mains, ma bouche baisée et pleine par ce pieu de chair épais, mon ventre fouillé qui commence à réagir… mon esprit lutte mais le plaisir monte plus vite encore…

Sarah : « Attention elle se réveille…
Cédric : MMM hooo.. Je vais juter…. Elle va tout gober cette sale pute…
Philippe : Elle aime ça, elle est trempée…
Sarah : Chut.. Taisez-vous il y a d’autres voyageurs… dépêchez-vous…
Moi : (étouffée) Mmmmm hann.. mmm noon.. que..faites-vous…mmmm
Cédric : (haletant) Putain je joui….mmm ouiiiii vas-y bouffe moi bien.. salope… haaa !!! »

En plein bouillard, Cédric pousse ma tête sur sa queue jusqu’à me l’enfoncer dans la gorge. Je suffoque de sa grosseur qui me remplit complètement et je sens avec dégout qu’il éjacule pratiquement directement dans mon estomac… Se retirant un peu, je reprends mon souffle mais continue d’avaler les jets de sperme qui me remplissent la bouche afin de pouvoir respirer.

Cédric : « Putain que c’est bon…. Mmmmmm
Moi : gghhaaa han .. gghh mmm
Philippe : Ca y est, j’ai enfin son trou du cul… »

Joignant le geste à la parole, je sens ses phalanges glisser en moi et mon sphincter céder sous la pression…
Prise par les 3 orifices à la fois, je ne peux contenir une lame de fond qui dévaste mon ventre et me transperce… Cette ultime et dernière pénétration forcée, fait exploser en moi un violent et doux orgasme que mon corps gardait secrètement depuis le début du voyage.

Endormie, le train poursuit son chemin…
Sarah en face de moi, m’appelle et me réveille difficilement…
Les yeux embrumés, je regarde autour de moi, Cédric et Philippe sont à leur place d’origine, Sarah est en face de moi et me sourit.

Sarah : « Alors la belle endormie, ça va ???
Moi : Quoi ???Comment ???
Sarah (riant) : tu as dormi tout le trajet…. Et tu as même ronflé. hihi
Moi : Moi ??? Mais non …vous avez.
Sarah : Réveille-toi on arrive à la gare… »

A la fenêtre le paysage ralenti et je reconnais les alentours et zones commerciales de notre ville. Aurais-je rêvé ??? Je suis pourtant sûre de moi. Je suis habillée et à ma place…comme si de rien n’était…
Etrange sensation. La bouche encore pâteuse… Sarah me tend une bouteille d’eau citronnée afin de me réveiller et s’excuse en riant de ne pas me donner un café plus fort.
Le train entre en gare, et je récupère ma valise et mon sac avant de sortir…

Dans la foule, je cherche Sam mais ne le vois pas… me dirigeant vers les parkings routiers je l’aperçois au loin mais ne semble pas être seul.
Le sourire aux lèvres je marche d’un pas rapide afin de le retrouver… abandonnant totalement mes collègues sans même les saluer…

A 3 mètre de lui, je ralenti et m’arrêtes.
Je le regarde, il est beau, sérieux, voir mystérieux…. Il me donne envie de me jeter à son cou… mais la présence de l’autre homme me freine…

Moi : « Sam ??? Bonjour…. Ça va ??? Qui est ce ???
Sam : Je t’expliquerai… nous en parlerons … Tu vas bien ???
Moi : Oui, je suis contente de te revoir…
Sam : Alors rentrons… passe-moi ta valise… »

Nos regards se croisent, son sourire est là mais son regard reste froid…

Sans un mot supplémentaire, nous partons…dans ma tête les questions tourbillonnent :
M’aime-t-il encore ??? Me pardonnera-t-il ?
A-t-il une solution pour moi ???
Qui est cet inconnu ???
J’ai peur…
Sam…mon mari, mon aimé… pardon…

A suivre….

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire