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soumis en mission 11

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« Allez approches allumeuse, on a du boulot »
Je me tenais debout devant ses genoux, le regard évitant son sexe qui se dressait maintenant.
Tout a coup il se redressa et me plaqua ses 2 grosses mains sur mes fesses. Je poussais un cri de douleur à cause des coups de ceinture e la veille. Il me malaxait ma combinaison et ma culotte, puis m’attrapa par les cheveux pour me faire mettre à genoux.
J’essayais de résister en le repoussant, une claque sur ma joue me fit tituber.
« Ne fais pas d’histoire Simone, sors la langue, sinon j’appelle Mme XX qu’il te faut encore des coups de ceintures ! »
Il me frottait le visage sur son sexe poisseux et ses couilles. je finis par sortir ma langue, vaincu.
Sous ses instructions je léchais son sexe énorme et ses couilles. Il respirait fort.
Tout à coup il me força les lèvres en poussant avec son sexe turgescent.
« Allez ma bonne Simone penses à Mme XX »
J’entrouvrais les mâchoires, il s’engouffra et m’enfonça son gland entre les dents.
Une nouvelle claque, il poussait derrière ma nuque. Son sexe me pénétrait, le gout me révulsais, mais ses aller retour étaient de plus en plus profonds. Il me baisait la bouche brutalement en m’insultant, il allait de plus en plus vite et son sexe se raidit encore. Il allait éjaculer, je tirai ma tête en arrière.
Il m’enfonça son sexe jusqu’à la glotte, j’avais un haut le cœur.
Maintenant il râlait de plaisir.
Son sperme éclata dans ma bouche, j’avalais de travers, de la mousse infecte coulait de mes lèvres.
« Tu as intérêt à avaler tout mon sperme ma pute ! »
Il se retira de ma bouche et s’essuya sa bite sur mes joues.
J’avalais tout, dégouté, et me léchais ce qui coulait de mes lèvres. Humilié.
« Hum c’était bon ma bonnasse »
Il se leva, pendant que je reprenais mon souffle toujours à genoux, décapsula une autre bière et se rassit.
« Bien maintenant tu mets tes mains dans le dos et tu t’occupes de mon sexe avec ton trou à bite »
Je léchais donc à nouveau son sexe ramolli pour le nettoyer.
Je n’étais plus qu’une pute en dessous sexy à ses pieds, je sentais du sperme dégouliner de mes joues. Je n’avais pas le choix. J’exécutais ses ordres.
Son sexe commençait déjà à bander, mon calvaire n’était pas fini.
Il me le plaça dans la bouche et recommençait à me plaquer ma nuque.
« Sors tu langue et enfonce tout ça dans ta gorge de chienne »
Il me baisait à nouveau la bouche, moins violemment, mais son sexe forçait inexorablement ma gorge.
Il m’apprenais à sucer à fond.
Je m’étranglais, je bavais, mais rien ne l’arrêtait. Il me laissait respirer au minimum et me violait à nouveau la bouche.
« C’est bien ma pute, mon trou à bite »
« Allez plus loin, ma cochonne »
Je me faisais baiser la bouche depuis un temps qui me paraissait infini, quand il accéléra la cadence.
« Voila ta 2éme fournée ma salope, avale tout ça comme tu sais le faire »
Il poussa un râle et plaqua ma bouche sur son sexe, l’enfonçant à fond et éjacula à nouveau.
Je toussais quand le sperme arriva au fond de ma gorge mais il me retint et jouissait.
J’avais du sperme plein la gorge, la bouche, le nez, lorsqu’enfin il se retira. Je m’écroulais sur le sol reprenant ma respiration.
Une claque sur les fesses : « C’est bien ma Simone, une bonne chienne ça !
« Allez vas t’habiller, on doit sortir maintenant »
Je me levais chancelant et me dirigeai vers la salle de bain.
« Non, non tu ne te nettoies pas, tu mets un jogging et un sweet » Il remonta son jean et son slip sur son sexe couvert de mon rouge à lèvre, que je devrais nettoyer plus tard me promis t-il.
Il me poussa vers la sortie de mon studio et nous descendîmes par l’ascenseur ou je me regardais rouge de honte dans la glace : le soutien gorge faisait des marques à travers mon sweet et je sentais mes bas sous mon jogging, mais le pire de tout était mon visage avec le rouge à lèvre étalé et les dégoulinures de sperme et de bave. J’essuyais le plus gros avec mes manches.
Il éclata de rire en me pelotant brutalement les fesses. J’étais sa pute docile.

Il ne voulait pas me dire ou nous allions, mais je devais marcher devant lui pour qu’il reluque mon cul excitant, disait il.
Je le voyais passer plusieurs SMS en marchant.
Bientôt il m’indiqua un café miteux ou je n’avais jamais osé rentrer.
Une serveuse de la cinquantenaire, la clope au bec, blonde platine, maquillée et habillée vulgairement salua mon compagnon.
Il choisit une table au fond de la salle enfumée. Plusieurs piliers de bar était là et me regardaient m’assoir. Je me sentais honteux et couvert de sperme. Est ce qu’ils devinaient ce que je venais de subir ?
La serveuse vint prendre la commande, avec son haut panthère, sa jupe cuir jusqu’aux genoux et ses talons gigantesques.
« Alors j Pierre une mousse comme d’habitude ? Et pour le jeune homme ? Elle se tenait à côté de moi, plaçant son décolleté béant sous les yeux »
Je n’eus pas le temps de répondre « Rien pour lui, il a déjà été servi »
J Pierre me faisait un clin d’œil salace , je rougissais.
La serveuse repartit en tournant du cul.
« Hum je crois que tu lui plais, c’est l’odeur du sperme surement »
Il éclatait de rire.
Mon tortionnaire commençait à boire sa bière, quand arriva 4 types qui se dirigèrent en riant vers notre table.
Ils s’asseyérent en tapant des accolades à ce JPierre. Je tremblais de peur et essayais de me faire le plus discret possible.
« Alors c’est ça ton bon plan, mon salaup ? rigola le plus costaud des 4 en me reluquant
Dis donc on dirait que tu viens de le lubrifier ! ah ah  » lança un autre.
« Oui dis donc mademoiselle sent la chienne » dit celui qui s’était assis à côté de moi.
Ils riaient tous de bon cœur, bruyamment.
« Bon les gars je vous présente Simone »
J’étais rouge, humilié, coincé à cette table de pervers !
Tout à coup, les rires s’arrêtèrent quand J Pierre me dit  » Allez ma belle, demande la clef des chiottes à Lucienne, c’est au fond de la cour! Je compte sur toi pour bien accueillir mes potes ! »
Tous me regardaient avec un sourire en coin, je regardais à nouveau J Pierre.
Je me levais et allais au bar sous les regards des 4 potes.
Je demandais tremblant la clef à Lucienne, qui me remis en me faisant un clin d’œil vulgaire.
Les chiottes à la turc se trouvaient dans une fond de cour fermée. J’eu à peine le temps d’ouvrir une grosse porte, que je vis celui qui m’avait traité de chienne arriver.
Il me poussa au fond des chiottes et me tira par les cheveux. je tombais à genoux.
Il ouvrit sa braguette et plaqua ma bouche sur son sexe déjà dur
« Allez montre moi ce que tu sais faire ! »

Je l’enfournais dans ma bouche et il me baisa brutalement, rapidement en me traitant de tous les noms.
Ses copains arrivaient déjà et me forcèrent à me mettre en tenue.
Ils étaient tous excités comme des cerfs et me firent mettre à 4 pattes. Pendant que l’un me laboura le bouche en me tenant par les oreilles, un autre assis sur mon dos, me donnait des coups de bites sur le visage ,un autre attendait sa pipe et le 4eme faisait mine de m’enculer à travers ma culotte et se frottait contre moi en me tenant par les hanches.
« T’as du bol que J Pierre se réserve ton cul de pute, tu sais ! »
Le premier éjacula, un autre pris sa place, etc
Je du les satisfaire plusieurs fois dans la bouche et tout avaler.
Les autres se branlèrent sur mes dessous et s’essuyèrent leur bite sur ma nuisette.
Ils finirent par partir, soulagés.
Je m’écroulais sur le sol carrelé, j’avais envie de pleurer, traité comme je l’avais été.
Quand tout à coup une voix me fit sursauter.
C’était Lucienne la serveuse, qui se tenait au dessus de moi !
J’allais me redresser quand d’un escarpin elle m’obligea à rester couché sur le dos.
Elle se déplaça de manière à placer ses pieds de chaque côté de mon visage, elle releva sa jupe en cuir et finit par s’assoir sur mon visage, son string déjà trempé.
« C’est J Pierre qui m’a dit que Simone la bonne payait sa tournée »

FIN

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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