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souvenirs d’enfance

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Bonjour, je m’appelle Karim, j’ai bientôt 15 ans.
J’habite à la campagne, pas loin de Rabat, ce n’est pas vraiment un village. Notre maison se trouve à côté de l’autoroute, enfin pas loin. Derrière chez moi, vient de se terminer un immense chantier. Un complexe et galerie commerçante gigantesque a été créé sur ce grand terrain en bordure de notre jardin.
Il y a 2 ans, l’immense terrain derrière notre maison s’est transformé en un chantier gigantesque où plein de grues géantes ont poussé comme des mauvaises herbes. Des dizaines de camions et autres engins ont envahi ce terrain, ont retourné, labouré et transformé ce terrain.
De ma chambre, sous le toit de notre maison, ma fenêtre donne directement sur le chantier. Les grandes barrières qui entourent tout le chantier passent à quelques mètres du fond et du côté droit de notre jardin.
Les buissons ont poussé derrière ces barrières et ont grandi assez fort. Maintenant les barrières sont presque plus visibles à cause des buissons.
Un matin, que j’étais assis sur le rebord de ma fenêtre et que, je regardais la fourmilière des ouvriers et des engins sur le chantier, les buissons derrière les grandes grilles bougèrent et un ouvrier s’approcha des grilles. Je le vis ouvrir sa braguette, sortir son sexe et uriner. Je suis certaine qu’il ne m’avait pas vu.
Il me semblait, qu’il avait un gros zob dans sa main. Pendant qu’il urinait, il regardait partout et soudain, nos regards se sont croisés. J’ai voulu me cacher et descendre de l’appuie de fenêtre mais fasciné par son sexe, je restai à le regarder. Je vis alors qu’il avait fini de faire pipi et que sa main caressait son sexe qui semblait encore grandir.
C’était la première fois que je voyais un aussi grand zob. Pourtant j’avais déjà observé mon père et d’autres garçons lorsqu’ils allaient aux toilettes ou sous la douche, mais jamais un aussi grand et gros sexe ne m’avait autant attiré.
Je vis l’ouvrier continuer à caresser son sexe de plus en plus vite et me faire signe de descendre. Je n’osais bouger de ma place, ne sachant pas me décider si je descendais voir ou si je restais sur ma tablette de fenêtre pour le regarder.
Cela dura un certain temps et l’ouvrier accéléra sans cesse son va et vient sur son sexe. Soudain, il rejeta sa tête en arrière, ouvrit une grande bouche, diminua visiblement ses caresses et je pus voir des jets de liquide blanchâtres traverser les grilles et s’écraser contre les feuilles des buissons bordant le fond de mon jardin.
Après quelques instants, pendant lequel, l’ouvrier avait fermé les yeux, il redressa sa tête et me regarda à nouveau avec un large sourire, me fit signe de la main et de son visage, qu’il était triste que je ne sois venu mais, me montra son pouce levé, comme s’il me remerciait.
Il remit son zob dans sa salopette et en me faisant « au revoir » de la main, disparut dans les buissons derrière les grandes barrières.
Je restai de longues minutes à regarder l’endroit, en voyant défiler, dans ma tête, des images et des conversations, des grands de l’école. Ils parlaient de sperme, de bites, de foufounes et de pipes baveuses. C’était bien entendu le mot « pipe » qui m’intéressa vivement, ne sachant pas ce que cela voulait dire. Lorsque, je compris que les garçons mettaient leur sexe dans la bouche des filles et qu’elles avalaient leur sperme, j’avais, en un premier temps, été dégoûté d’entendre cela et d’imaginer la chose. Mais avec le temps, cela me travaillait le cerveau et le soir dans mon lit, lorsque « ma foufoune » me grattait, je me caressais mon corps et mon zizi, en pensant à des sexes qui, envahissaient ma bouche.
Je descendis au jardin et cherchai dans les buissons l’endroit ou l’ouvrier avait joui. C’est le dos de ma main droite qui trouva l’endroit, car je sentis un liquide couler dessus. Je regardai les feuilles près de ma main et vis plusieurs de ces feuilles souillées et avec des traces humides.
Sur le dos de ma main s’écoulait lentement un liquide blanchâtre et épais. Je portai ma main à mon nez pour renifler ce liquide. Puis je ne sais ce qui m’a pris, es-ce tout ce que j’avais entendu à l’école ou de mes amies mais, je léchai ce liquide.
Je trouvai que le goût, n’était pas génial, mais aussitôt, en me rendant compte de ce que je venais de faire, je crachai à plusieurs reprises en me demandant si je n’étais pas devenu fou de lécher ça.
C’est en crachant que je vis une feuille basse qui reposait sur une grosse pierre et sur laquelle s’écoulait lentement le liquide des autres feuilles plus haut.
Une petite flaque de ce liquide stagnait sur le milieu de la feuille. Je regardai avec étonnement et curiosité ce liquide.
Je pris la feuille par sa tige et coupai cette dernière en poussant la tige vers le bas. Le liquide voulut s’échapper mais, je redressai la feuille à temps.
À nouveau, je sentis ce liquide qui dégageait la même odeur et eus envie comme avant de le porter à ma bouche. Alors, je fermai les yeux, ouvris la bouche et laissai couler ce liquide. J’avalai vite pour ne pas avoir le goût sur la langue et faillis m’étrangler par la quantité.
– Cette fois, Karim, tu deviens complètement fou, dis-je tout haut.
Je laissai ma feuille par terre et retournai dans ma chambre, sur mon appuie de fenêtre. J’étais installé depuis à peine dix minutes que les buissons bougèrent à nouveau et que l’ouvrier réapparut.
Cette fois, il me regarda directement et me fit signe de venir. J’hésitai que deux ou trois secondes avant de descendre au jardin, de contourner les clôtures et de venir devant l’ouvrier.
Il avait déjà sorti son sexe et se caressait lentement.
– Salut ! Belle petite fleur ! Comment tu t’appelles ?
– Karim
– Hum ! Joli ! Tu veux toucher ? Dit-il en mettant son sexe tout contre les barrières.
– Heu… Je n’ose pas !
– Quoi ! Une belle fleur comme toi ! Allez, n’aie pas peur, viens toucher !
Je m’approchai lentement, tendis la main pour la passer à travers la grille et touchai doucement le sexe raide et dur de l’ouvrier.
– Hum ! Oui ! Comme ça ! Caresse-le lentement, dit-il doucement.
– Oh ! C’est dur !
– Oui, ma grande ! Il est dur pour toi !
– Il bouge tout seul, dis-je en sentant des soubresauts dans ma main.
– Attends ! Je vais ouvrir les grilles pour que tu puisses passer.
Il sortit une pince de sa poche et sectionna les fils de fer attachant les grilles entres-elles. Il poussa sur une des grilles et cela me permit de passer de l’autre côté.
– Vient ! Dans les fourrés, on sera plus tranquille !
Je le suivis en lui donnant la main et me laissant entraîner sans aucune sensation de danger. C’est comme si j’étais complètement en son pouvoir et que ma curiosité et mon envie de savoir, m’enlevait toute prudence et raison.
– Ici ! C’est bien ! Allez prends-la dans tes mains !
– Vous allez encore faire pipi de votre crème ?
– Oh que oui ! Et si tu veux tu peux même la boire !
– Com… Comment ça ?
– Attends ! Ouvre ta bouche !
Et sans un mot de plus, il poussa son sexe dans ma bouche. Mon ventre se noua et je vivais ce que je m’imaginais dans mon lit. La sensation fut tellement forte que je suçais le bout de son sexe comme un biberon.
– Pas comme ça ! Je vais te montrer !
– Heu…
– Ouvre bien grand ! Prends-le le plus loin possible et attention avec tes dents dit-il
Il enfonça son sexe profondément dans ma bouche et j’eus un haut le cœur. Il ressortit un peu pour, mieux se renfoncer. Il prit ma tête entre ses mains et fit des va et vient dans ma bouche.
Cela dura un certain temps et brusquement tout s’arrêta ! Il plaça le bout de son sexe au bord de ma bouche et avec sa main droite, il fit de nombreux et rapides va et vient.
– Ça vient ! Petit ! Essaye de tout avaler !
Je sentis au bord de mes lèvres son sexe avoir des contractions et un jet puissant frappa mon arrière gorge, ce qui me fis avaler de travers et je reçus le reste des jets sur mon visage et mes cheveux car je toussais en essayant de reprendre ma respiration.
– Et merde ! S’écria l’ouvrier ! T’as tout gaspillé !
–Je m’excuse ! Dis-je en finissant de tousser et ayant retrouvé ma respiration.
– Ben ! Pas grave ! Tu feras mieux la prochaine fois, ok ?
– Heu… Oui monsieur dis-je en essayant d’essuyer mon visage avec ma main.
– Eh ! Attends ! Ne perds pas cela et lèche ta main !
– Vous… Vous croyez ?
– C’est du tout bon, ma chérie ! Tu ne dois pas le jeter ! Lèche bien tout ! Je vais t’aider.
Il racla mon visage et mes cheveux en me donnant son doigt à sucer chaque fois, qu’il recueillait sa crème. Cette fois, je goûtai parfaitement son sperme et trouvai que le goût n’était pas si mauvais que je le crus la première fois.
– Tu veux être ma chérie, si tu as envie, je reviens tantôt, ok ?
– Heu… Je ne… sais pas …. Si…
– Quoi ! Tu ne veux plus de ma bonne crème ?
– Si…enfin… Non…Je crois…Je ne sais pas !
– Ecoute ! Cet après-midi, je reviens et si tu as envie, viens me rejoindre ici ok ?
– Heu… Ou… Oui… Ok !
– C’est bien ma grande ! A tantôt !
Et il partit vers le chantier en remettant son sexe en place et me laissant accroupi, le regardai partir. Mon ventre n’était qu’une boule de feu et ma main descendit toute seule jusque dans ma petite culotte à la recherche de mon petit bouton. Je me caressai de longues minutes avant de crier ma jouissance comme jamais.

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