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Un petit boulot de chantier

Un petit boulot de chantier



Franck prenait tranquillement sa douche, finissant de se raser la barbe, laissant alors son corps totalement lisse. Lui qui avait longtemps été bisexuel avait ses derniers temps pris un gros penchant pour l’homosexualité. La vue de poil sur son corps lui donnant l’impression de perdre ce côté féminin de son corps.

Il avait un physique assez classique, mais l’absence de muscles sur le haut du corps et des hanches féminines lui valait souvent d’être pris de dos pour une fille, malgré ses cheveux courts. Que ce soit avec les filles ou les hommes, il n’avait jamais été quelqu’un de très entreprenant, encore moins dominant. Il se laissait souvent porter par les relations.

Souvent des histoires de cul d’ailleurs, jamais de véritable relation longue. Ses derniers temps il était plus attiré par des hommes virils que de jolies femmes libertines.

En ce moment il est en vacance, alors son rythme de vie est celui d’un jeune de son âge, 19 ans, il sort tard le soir, se lève tard l’après-midi. Avec en plus un temps passé sous la douche assez impressionnant. Ce mercredi alors qu’il sort de la douche, il aperçoit par le grand velux qui illumine la salle de bain, des reflets du soleil sur le chantier de la grande antenne relais.

Sachant pertinemment que l’ennui allait accompagner son après-midi, il décidait d’aller chercher des jumelles dans sa chambre pour voir ce qui se passait sur le chantier. Et là surprise ! Dans les lentilles de ses jumelles il voit distinctement quatre ouvriers sur la plate-forme, deux travaillant. Les deux autres étaient eux aussi avec des jumelles cherchant apparemment à se rincer l’œil sur les maisons environnantes.

Et là ils étaient clairement arrêté sur le velux de la salle de bain. Franck dans un mouvement de surprise laissa tomber les jumelles. Se rendant compte qu’il était totalement nu. Il enfila une serviette sans trop savoir pourquoi, puis repris les jumelles. L’ouvrier voyant qu’il avait repris le contact visuel. Pris un bout de bois sur lequel il écrivait « Tel ».

Quelque peu circonspect mais curieux il partait chercher son téléphone, et une feuille sur laquelle il indiquait, son numéro, prenant soin d’écrire assez gros. Il montrait alors la feuille au Velux. Immédiatement son téléphone sonnait.

« Dégage moi ta serviette tapette », ce fut les paroles que Franck entendait à peine après avoir décroché le téléphone. Sans répondre quoi que ce soit, il s’exécutait et se retrouvait à nouveau nu face à eux.

« Mets le téléphone sur haut parleur et tourne toi ». Pierre obéissait une nouvelle fois, sans broncher.

« A quatre pattes PD , plus cambré que ça ! »

Pierre qui n’avait pas encore parlé entendait les ouvriers qui demandait à prendre les jumelles pour voir ce qu’il se passait.

« On se demande pourquoi on t’a donné une bite t’es bonne qu’à te faire baiser, tu marques ton adresse sur le papier et tu m’attends dehors dans 10 minutes, tu monteras à l’arrière de la camionnette. Et que ce soit maintenant ou tout à l’heure je veux pas t’entendre connard ». Le téléphone raccrochait aussitôt.

Franck n’hésitait pas une seconde. Se faire posséder de la sorte, le mettait dans un état d’excitation incroyable. Il prenait les premiers habits qui lui tombait sous la main, dans la précipitation il oubliait même de mettre des chaussettes.

A peine deux minutes après que l’ouvrier mis fin à la conversation, il était devant le portail de la maison. Il avait d’ailleurs donné sans réfléchir l’adresse de ses parents sans penser à aucun moment que cela pouvait avoir des conséquences.

Au bout de quelques minutes la camionnette arrivait, se garant en face de Franck. Ce dernier ouvrit la porte latérale arrière, et rentra en prenant soin de fermer derrière lui. A peine la porte refermé il entendait, de la même voix ferme qui lui avait parlé plus tôt au téléphone, « A poil » !

Dès que Franck se retrouvait nu à l’arrière de la fourgonnette, l’ouvrier qui était à l’avant passa à l’arrière de la camionnette. Il était un petit plus grand que Franck, plus large et surtout avec habits de chantier très sale.

Il passait derrière Franck lui appuyait sur la tête pour qu’il se baisse en avant, il mis quelques claques sur son cul, il avait vérifié sa marchandise. Il avait fait mettre Franck a genoux, avait sorti sa queue qu’il avait fourré sans ménagement dans la bouche de Franck.

« Putain quel pied de pouvoir se faire vider les couilles et nettoyer la queue après une bonne journée de travail par une pute gratuite ». Seuls les bruits de salive et de bouche provoqué par les va et vient de la queue de l’ouvrier accompagnait ses paroles. Franck lui écoutait mais surtout, prenait son pied avec cette large et longue queue qui lui baisait la bouche.

« Très bien je vois que t’es une vraie salope c’est très bien. Du coup c’est simple il est seize
heures, donc tu auras largement le temps d’aller faire des emplettes. Tu vas aller t’acheter des talons haut, pas compensés ou petits, non des jolis talons aiguilles de pute, avec porte jarretelle, string, mini jupe, débardeur et perruque. Tu seras évidemment maquillée. T’en profiteras pour prendre des capotes et pas un paquet mais au moins une dizaine de paquets parce que tu vas te prendre un sacré paquet de queue sale pute. Tu seras dans cette tenue demain matin à 4 heures sur le chantier. La cabane sera ouverte tu auras tout le nécessaires pour la nettoyer. Tu en profiteras pour nettoyer les douches, les chiottes et les outils qu’on t’auras laissé parterre. Et à 6 heures du matin quand on arrive tu auras fini de tout nettoyer et tu commenceras ta journée de pute. On est bien d’accord pédale ? Tu clignes des yeux une fois pour dire oui, ou deux fois si t’es vraiment une merde et que tu refuses ».

Comme l’ouvrier s’y attendait Franck n’avait cligné des yeux qu’une seule fois. Il passait alors un coup de fil, tout en continuant de fourrer sa queue dans la bouche de son nouveau jouet.

« Oui Patron ,c’est Ahmed, finalement avec les collègues on s’est réunis et on a décidé de prendre la prime et de faire le ménage nous même, vous pouvez annuler la société de ménage ! Oui oui on est sur, y a du boulot mais ça vaut le coup pour gagner plus. Merci vous aussi, au revoir ».

« Parfait, donc demain sur le chantier tu seras non pas à mes ordres mais à ceux de tout le monde. Dès que tu entendras la pute, qui sera ton joli petit nom, il te va si bien, tu te précipiteras pour exécuter les ordres de celui qui te les a donné. Je tiens à te rassurer tout de suite sur le chantier on est dix et il n’y a des noirs et des rebeus. Donc pas d’inquiétude tu ne vas te faire défoncer que par des grosses queues. Bon sur ce il faut que j’y retourne »

Il saisit alors la tête de Franck a deux mains, le penche un peu en arrière et lui martèle la bouche de coups de reins sans retenue. Heureusement pour Franck il éjacula rapidement, ce qui lui permis, une fois tout le sperme avalé de pouvoir reprendre son souffle, après avoir manqué de s’étouffer ou de vomir tant la queue avait pénétré profondément sa bouche.

Franck se rhabillait vite pour sortir. Il savait qu’il devait vite aller faire ses achats pour ne manquer de rien demain matin !

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