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un soucis financier (4)

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Trois mois s’étaient écoulés. J’avais été pris par beaucoup d’affaires dans mon travail, je n’avais pas vu le temps passer. En fait, c’est par le biais de ma femme que j’ai eu des nouvelles d’Amalia durant cette période.
D’abord, elle avait trouvé un travail de vendeuse dans une boutique de vêtements, mais elle n’avait pas été gardée à la fin de la période d’essai. Elle avait ensuite fait deux ou trois remplacements en mission d’interim, puis envisageait à présent de se réinscrire à la faculté. Malgré sa licence, elle ne trouvait absolument rien dans son domaine, et devait se rabattre sur des emplois « alimentaires ».
J’avais effectué trois virements automatiques de 1500 euros à chaque fois. Et j’avais recu à chaque fois un sms de remerciement.
Et puis un jeudi matin, au lieu de me rendre chez un client, je décidais de faire un arrêt chez elle. Il était dix heures quand je sortais de ma voiture, en bas de l’immeuble où elle résidait. Le quartier était commerçant, il y avait pas mal d’activité. Je me rendis à l’interphone et sonnait plusieurs fois. Elle mit un certain temps à venir répondre, et m’ouvrit en entendant que c’était moi.
Une fois sorti de l’ascenseur, à son étage, elle m’ouvrit la porte, à moitié endormie, vétue d’une robe de chambre. Elle se frottait les yeux.
– Qu’est ce qu’il y a, me demanda t-elle. Tu aurais du m’appeller avant de passer.
– Tu dormais encore ? lui dis-je en entrant dans son appartement.
C’était un petit deux pièces. La pièce principale servait de cuisine ouverte et de salon, est était bien ordonnée. On ne pouvait pas en dire autant de la chambre, où le lit était encore ouvert, avec quelques affaires par terre.
– C’est pas comme ça que tu vas trouver un boulot… ni que tu vas pouvoir commencer à me rembourser.
Amalia ne dit rien, attrappa les affaires qui trainaient au sol pour les mettre sur une chaise.
– Attends, fais voir ça un peu…
Je pointais du doigt deux culottes qu’elle était en train de ramasser. Elle hésita un peu, puis s’avança vers moi, et me les mit dans la main. Les deux culottes étaient en dentelles, l’une grise avec des motifs roses, et l’autre noire avec des broderies en dentelles en formes de fleurs. Je regardais également l’interieur, et toutes les deux étaient tachées de traces blanches.
– Tu les mouilles bien tes culottes…
Je la regardais droit dans les yeux, et je sentais que de son coté elle était de plus en plus mal à l’aise.
– Excuse moi… je ne veux pas te mettre mal à l’aise, peut etre que j’ai été trop direct.
– Un peu oui, murmura t-elle avec un demi sourire.
Je m’asseyais sur le bord de son lit, en l’invitant à en faire autant. Elle se mit à coté de moi et je l’enlassais.
– Tiens, reprends tes culottes, lui dis-je en les posant doucement sur ses cuisses. J’aimerai juste que tu me rembourses ce que tu me dois, et je m’en vais.
– Je ne peux pas tout de suite. Si tu peux attendre le mois prochain, je pourrai t’en rembourser une partie je pense.
– En restant à dormir chez toi ? Je ne suis pas vraiment convaincu de ce que tu me dis. Et ta soeur m’a dit que tu comptais reprendre tes études. Je ne vois pas trop comment tu vas pouvoir me rembourser dans ces conditions, surtout dès le mois prochain.
Amalia murmura : « laisse moi un peu de temps »
– Pour mon dernier virement, tu m’avais envoyé un SMS pour me demander de me dépecher, que ça ne pouvait pas attendre. Par contre pour rembourser, je ne peux pas te demander de te dépêcher ?
Je regardais autour de moi.
– Tu as pas mal de choses de valeur. Tes bijoux, tu as quelques bagues et colliers en or, tu pourrais les vendre. Et là tu as ta collection DVD de dessins animés Disney, je veux bien que tu sois fan, mais tu pourrais apporter tout ça à Cash Converter, et commencer à me rembourser. Moi j’en peux plus d’attendre. En plus, je n’ai même pas droit à des coups de fil gentil, juste des SMS. Franchement, je pense que je mérite mieux.
– Je te dois beaucoup, mais je ne suis pas trop d’accord avec ce que tu veux en échange…
– Mais tu penses que tu as le choix ? si j’arrête mes virements, avec quoi tu vis ?
J’écartais le haut de la robe de chambre d’Amalia, mettant à jour ses gros seins fermes. Amalia avait le regard dans le vague, comme si elle fuyait la situation en se projetant ailleurs.
– Leche tes culottes.
Elle me regarda, et je plongeais mon regard froid dans le sien. On s’observa ainsi au moins pendant deux minutes, qui parurent interminables, et doucement, Amalia monta une culotte vers sa bouche, et se mit à la lécher doucement.
– Bien sur les traces, nettoie la completement.
Je lui retirais sa robe de chambre en meme temps. Elle portait une culotte, noire également, que je lui demandais d’enlever. Elle la retira doucement, tout en restant assise sur le lit, et je la saisis pour la contempler.
– Dis mais tu mouilles, regarde…
Effectivement, l’interieur de la culotte était légèrement mouillé.
– Leche ca, allez…
Je tendis cette nouvelle culotte à Amalia, qu’elle prit à la place de l’autre qu’elle repose à coté d’elle, et continua de lécher passivement.
– Ecarte les jambes, et branle toi.
Amalia écarta un peu les cuisses, et passa sa main sur sa chatte, qu’elle n’avait pas trop entretenu depuis la dernière fois, puisque ta toison n’était plus taillée proprement, mais avait poussé et formait à présent une belle toison naturelle. Elle commença à carresser son clitoris et à faire tournoyer ses doigts sur sa chatte.
Je me levais pour me mettre face à elle et mieux la regarder. Elle léchait la culotte sale, doucement, tout en se masturbant.
– continue, tu fais ça bien.
Amalia s’executait sans rien dire, et remarqua mon petit sourire lorsque sa chatte se mit à emettre de petits bruits mouillés pendant qu’elle se masturbait.
– Fais voir si ta culotte est propre maintenant, lui demandais-je.
Elle tendit sa culotte vers moi, ouverte. Il n’y avait plus de trace dessus. Je sortis ma queue de mon pantalon.
– Voilà très bien, branle moi avec, maintenant qu’elle est propre. Et demande moi gentiment de te faire le cul. Dis moi avec douceur que tu as envi de m’avoir dans tes fesses. Je sais que tu as une bonne éducation et que tu sais être très polie.
Amalia entourait sa culotte autour de ma queue, et se mit à me branler avec.
Sans la prévenir, je lui donnais une claque sur son sein droit, qui alla cogner sur son sein gauche. Et je fis la même chose, plus fort, sur son sein gauche, qui alla cogner sur son sein droit. Elle se masturbait la chatte d’une main, et me branlait avec sa culotte de l’autre.
Elle murmura :
– J’en envi que tu me la mettes dans les fesses, s’il te plait.
– Tourne toi et ouvre moi ton cul alors. Je veux voir ton cul et ta chatte ouverts devant moi.
Amalia se leva, et s’installa sur le lit, à quatre pattes, et baissa ensuite sa tête contre le matelas, pour avoir la croupe en l’air. De ses deux mains, elle ecarta ses fesses, me dévoilant son petit cul, et sa chatte mouillée. Je me rapprochais, et frottais mon gland tendu sur la fente de sa chatte. Il se couvrit rapidement de mouille. Puis je le plaça contre l’anus d’Amalia, et poussa pour l’y faire entrer, ce qu’il fit, doucement. Je dus m’y reprendre à trois fois pour faire entrer ma queue entièrement. Je me retrouvais parfaitement serré. Ce qui était divin car Amalia avait plutôt un gros cul. Je me mis à lui donner de petits coups de queue, et elle rala en même temps, se sentant completement possédée. Son cul se dilatait au fur et à mesure, et j’accélerais du coup la cadence, jusqu’à la baiser fort et vite, faisant entrer et sortir integralement ma queue de son cul. Et comme j’avais fait l’amour ce matin à ma femme, j’étais particulièrement en forme et je n’avais pas envi de venir de suite. J’ai ramoné le cul d’Amalia, avec force, pendant presque une heure. Lorsque je sortis d’elle, son trou était devenu béant, et ma queue n’était plus tout à fait propre.
Je lui avais giclé au fond du cul.
Je m’essuyais la queue dans une de ses culottes, puis je remontais mon pantalon.
Amalia s’était allongée sur le coté, dans le lit.
Je comptais bien lui rendre visite plus souvent.

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