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Une histoire ordinaire

Une histoire ordinaire



Je me souviendrai encore longtemps du jour où ma mère a découvert mon godemiché. Depuis que je savais le faire, je me masturbais avec mes doigts ou je me frottais contre le montant de mon lit mais c’était plus agréable de le faire allongée.
Ma mère avait fini par comprendre ce que je faisais et elle m’avait avertie que si je fais ça trop souvent, je risquais d’avoir des problèmes. Elle n’a jamais employé les mots exacts et je ne sais pas pourquoi.
Deux ans plus tard, un jour que j’étais avec ma meilleure amie, nous avons rencontré sa sœur aînée. Elle était avec d’autres copines à elle et nous les avons suivies. A un moment, comme nous parlions de petits amis, nous avons fini par parler de masturbation. Les plus grandes voulaient savoir ce que nous faisions, nous les cadettes. J’ai fini par avouer que j’aimais bien me tripoter avec mes doigts et la sœur de mon amie m’a demandé si j’ai déjà essayé avec un godemiché. Je ne savais pas ce que c’était et elle m’a expliqué puis elle m’a dit que si je lui donne de l’argent, elle m’en achètera un.
J’ai cassé ma tirelire et elle m’a acheté un godemiché. Il avait toutes les formes d’un vrai pénis, avec le gland et les muscles tout du long et même les bourses et le soir-même, je l’ai essayé. Comme on dit, l’essayer, c’est l’adopter et tout à coup, j’ai perdu l’envie de commencer avec un garçon.
C’était même mieux. C’était un homme qui me pénétrait. Avant même de l’enfoncer, j’avais déjà mouillé puis j’ai mis le gland et j’ai poussé, poussé, poussé. Ça m’a paru si facile et tout à coup, il avait à moitié disparu dans mon vagin et j’ai commencé à me masturber et j’ai joui rapidement.
Ce soir-là, j’ai recommencé plusieurs fois et je me suis endormie complètement épuisée, la vulve en feu et le vagin droit comme un I. Le lendemain matin, j’ai cherché une bonne cachette dans ma chambre. Je faisais mon lit depuis longtemps, ainsi que le ménage dans ma chambre mais ma mère faisait des inspections de temps en temps.
Il y avait plusieurs mois que j’utilisais mon godemiché quand, un matin, alors que je m’étais longtemps masturbée la veille au soir et que je dormais du sommeil du juste, ma mère a fait irruption dans ma chambre pour me dire de me lever parce que j’étais en retard et que je serai en retard au lycée. Je me suis levée de mon lit. J’étais à moitié réveillée. J’ai fait ma toilette et je me suis habillée et je suis allée au lycée et j’étais à mi-chemin quand je me suis souvenue que j’avais abandonné mon godemiché sous mes draps mais il était trop tard pour faire demi-tour.
J’y ai pensé toute la journée. Le soir, quand je suis revenue à la maison, ma mère m’attendait. Elle faisait la tête et elle m’a suivie jusqu’à ma chambre. Le lit et le ménage était fait et je savais bien que c’était ma mère qui l’avait fait. Je ne pouvais pas soulever le drap pour vérifier. J’ai fait comme si.
– C’est ça que tu cherches, m’a dit ma mère en sortant le godemiché de la poche de son tablier ?
– En même temps, elle m’a mis une gifle puis elle m’a dit que je devrais avoir honte avant d’ajouter que je ne suis plus sa fille.
Heureusement, mon père est arrivé de son travail. Il nous a appelé depuis l’entrée. Ma mère a lancé le godemiché sur le lit et elle est sortie de ma chambre. J’ai ramassé le godemiché et je l’ai senti et j’ai compris que ma mère l’avait lavé. Il ne sentait plus rien. Il n’avait plus cette odeur si familière du plaisir que je me donnais avec. Je l’ai mis sous mon matelas et je suis allée dire bonsoir à mon père. Ma peur était que ma mère lui ait parlé du godemiché. Il m’a serré dans ses bras pour m’embrasser sur les joues. Est-ce qu’il l’a fait ou était-ce mon imagination. J’ai cru qu’il avait laissé sa main sur ma poitrine. Je suis retournée dans ma chambre. J’avais besoin de me toucher. Je me suis assise à mon bureau et j’ai passé la main sous ma robe. J’ai glissé mes doigts sous ma petite culotte. Tout était là. J’étais rassuré et j’ai commencé à me caresser. Ce soir-là, mon clitoris était particulièrement sensible. Je l’ai masturbé. Je pouvais voir le reflet de mon visage sur l’écran de mon ordinateur qui était éteint et je pouvais voir mes grimaces à mesure que mon plaisir grandissait et puis j’ai joui. Il y avait longtemps que ça n’avait pas été aussi intense.
Ma mère m’a rappelée une heure plus tard pour venir dîner. Je me suis passé de l’eau sur le visage parce que mon orgasme m’avait fatiguée et ma mère l’a quand même remarqué et alors que j’essuyais la vaisselle avec elle, elle m’a reproché d’avoir recommencé. Un peu plus tard, alors que je m’étais couchée dans mon lit, ma mère est entrée dans ma chambre. J’ai eu l’impression qu’elle voulait me dire quelque chose, mais elle est ressortie sans rien dire.
J’ai pris mon godemiché et je me suis fait l’amour. J’avais besoin qu’il me pénètre et je me suis mise sur le ventre pour qu’il me pénètre encore plus et pendant une heure, j’ai essayé de me donner un orgasme mais je n’y suis pas arrivée.
Il fallait que je le sente en moi. Le lendemain, c’était samedi et je l’ai renfoncé dans mon vagin puis j’ai mis deux petits-culottes l’une sur l’autre pour l’empêcher de se sauver et je suis sorti comme ça avec mon ami. Je le sentais en moi. Je marchais le long du fleuve et je le sentais de plus en plus. Je me suis abandonné à lui mais mes derniers pas avant l’orgasme ont été difficile. Un couple m’a demandé si ça va et je ne leur ai pas répondu. Je voulais être seule. Il y avait du monde ce matin-là et je ne pouvais pas me toucher. Ma poitrine et mes fesses me faisaient mal. J’allais arriver au muret quand est arrivé mon orgasme. C’est là qu’est arrivée une fille que je connaissais. Elle s’est précipitée sur moi et elle a compris tout de suite.
– Ah, chérie, m’a-t-elle dit ! C’est ton gode ?
J’ai acquiescé et elle m’a aidée à m’asseoir sur le muret. Elle m’a répété plusieurs fois que je suis folle puis elle m’a dit qu’il ne faut pas faire ça avec un godemiché.
– Je me suis acheté un plug anal, a ajouté la fille !
Elle a soulevé sa robe et elle m’a montré ses fesses. Elle n’avait pas de culotte puis elle m’a montré son plug. On aurait dit un gros diamant. Je lui ai demandé si elle aime vraiment ça.
– Oh, oui, m’a répondu la fille ! Et puis ça empêche mon copain de me prendre dans le cul !
Je lui ai répondu que je ne l’ai jamais fait. Elle s’est rapprochée de moi sur le muret.
– Tu ne l’as jamais fait avec une fille, m’a-t-elle demandé ? Donne-moi tza main ! Je vais te montrer ! Ça va te plaire !
Elle m’a pris la main et elle l’a guidée entre ses cuisses puis elle a mis mes doigts sur son minou puis elle a commencé à masturber son clitoris avec mes doigts avant de me dire de continuer seule. J’ai trouvé que c’était différent de ma propre vulve. Elle m’a demandé de l’embrasser. J’ai regardé autour de nous. Il n’y avait personne et j’ai embrassé la fille sur la bouche. C’était énivrant mais elle a commencé à déboutonner le haut de ma robe. Je lui ai demandé ce qu’elle fait. Elle n’a rien répondu puis elle a glissé sa main sous mon soutien-gorge et elle a agrippé mon sein droit. Elle me faisait mal d’autant plus qu’elle pinçait mon mamelon mais je ne pouvais pas protester parce qu’elle m’embrassait sur la bouche.
Quand elle a arrêté, elle m’a dit qu’elle a envie de moi puis elle a ajouté qu’il faut qu’on baise. Elle me parlait crûment. Elle a ajouté que ça va me plaire et que je vais aimer ça puis elle m’a pris la main. Ma robe était toute débraillée. Elle habitait à cent mètres de là mais une fois dans son appartement, je me suis enfuie.
Je ne peux pas dire que je cours encore parce que le lendemain, je suis allée à son appartement. Elle m’a ouvert et elle m’a dit que j’ai vraiment besoin de faire l’amour avec elle. Je n’en revenais pas de tous les trucs qu’elle connaissait pour me faire jouir. Elle m’a fait essayer son plug puis elle m’a mis un godemichet dans mes trous.
Elle n’arrêtait pas de me dire que je dois accepter ma sexualité. Que j’ai la chance d’être très sensible et que je ne dois pas me priver. Elle faisait bouger les godemichés dans mes deux trous. C’était comme une récompense pour moi. Tout à coup, la fille m’a dit que je suis bien ouverte et elle a retiré le godemiché de mon anus pour le glisser à côté de l’autre dans mon vagin. Je n’ai pas pu regarder mais il est entré tout seul mais quand elle a voulu mettre la main, elle n’a pas pu.
– Alors, c’est toi qui va me le faire, a-t-elle ajouté ! Tu as de jolies mains ! N’aie pas peur ! Tu vas voir, ça va rentrer tout seul ! Ça s’appelle un fist, a ajouté la fille avant de s’allonger à côté de moi.
Elle m’a pris par le poignet, m’a dit de serrer mes doigts et de les garder bien raide et elle les a enfoncés dans son vagin.
– Oui ! Tu es douée ! C’est ça ! Je vais t’apprendre, a ajouté la fille !
Maintenant elle me tenait le bras par dessus le poignet et elle poussait, poussait jusqu’à ce que ma main disparaisse dans son vagin. C’était magique. Elle m’a demandé de téter ses mamelons puis elle a voulu que je la baise. Ce fut son mot. A un moment elle a poussé un cri mais elle m’a prévenu que c’est son utérus puis elle m’a demandé si ça m’arrive jamais avec le godemiché. Elle a conclu que c’était mes ongles puis elle a ajouté que c’est mieux quand ça fait mal.
– Oui, continue ! Viens, m’a-t-elle supplié plusieurs fois.
J’ai fait ce que j’ai pu. Elle se tortillait sur le lit et elle avait peur que je sorte ma main puis elle a poussé un cri.
– Tu es douée, chérie !
Elle m’a ressorti la main puis elle s’est laissée tomber en arrière, le bras plié sur le front. Je me suis inquiétée.
– Mais non, c’est bon, m’a dit la fille ! On fait une bonne paire de gouines ! Tu as peur de me toucher ?
Je n’avais plus peur. Elle a voulu que je la touche partout et je l’ai embrassée partout. J’ai embrassé ses seins et elle a embrassé les miens puis elle s’est redressée en me disant qu’elle a oublié quelque chose. Elle est descendue du lit et elle a sorti un godemiché d’un tiroir puis elle l’a attaché autour de ses hanches.
– Maintenant, je vais t’enculer, salope !
Elle m’a attrapée par les hanches et elle s’est enfoncée dans mon anus. Après un long moment d’intensité où elle m’a labouré l’anus, elle m’a caressé la poitrine.
– Oh, chérie ! Je n’avais jamais espéré rencontrer un amour comme toi !
Elle jouait avec mes seins et elle me mettait ses doigts dans la bouche avant de toucher ma vulve et elle répétait qu’on est faites l’une pour l’autre. Je lui disais qu’elle me faisait mal avec son gode. Comment ne comprenait-elle pas. Elle continuait à m’enculer. Son ventre et ses cuisses claquaient sur mes fesses.
– Ah, putain ce que t’es bonne !
Elle me l’a répété une bonne centaine de fois. Elle a fini par s’arrêter et elle a branlé mon clitoris et j’ai joui.
– Bon, maintenant, qu’est-ce qu’on fait, m’a-t-elle demandé ensuite ? Tu viens habiter chez moi ?
Je lui ai répondu que je vis chez mes parents.
– Tu es majeure, il me semble ?
Elle avait raison mais je ne voulais pas changer mes habitudes encore que ce qui venait d’arriver… Je suis rentrée chez moi et j’ai dîné avec mes parents puis je suis montée dans ma chambre. Je n’arrivais pas à m’endormir et je gardais mon godemiché dans la main quand ma mère est entrée.
– J’ai reçu plusieurs coups de téléphone, m’a-t-elle lancé ! C’est de pire en pire ! Tu embrasses une fille sur la bouche !
Elle était furieuse mais j’attendais la suite.
– Je ne veux pas d’une gouine chez moi, a éructé ma mère ! Ton père non plus !

J’étais déterminée à aller vivre avec la fille. Le lendemain, j’ai fait mon sac et je suis allée sonner à sa porte. Elle m’a ouvert.
– C’est qui, a fait une voix de femme ?
– Personne, lui a répondu la fille mais la femme est arrivée, à moitié nue, dans le couloir.
– Encore une petite salope que tu as levée, a ajouté la femme ! Je veux bien mais pas quand je suis là !
Elle a fait demi tour et elle a claqué la porte de la chambre et la fille m’a refoulée sans rien dire et je suis partie.
Ce soir-là, je suis retournée chez mes parents.

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