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une séparation brutale (11)

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On ne revit Fabrice et sa mère que deux semaines plus tard. Ils vinrent pour passer l’après-midi à la piscine, mais au final, la pluie se mit à tomber vers 15h. Nous sommes restés à l’appartement, Fabrice et moi à regarder la télé, tandis que ma mère et Beatrice s’étaient éloignées dans la cuisine, puis vers la chambre. Fabrice m’avait dit que deux soirs après son séjour à la maison, alors qu’il était couché, sa mère était venue dans sa chambre en robe de chambre, et avait commencé à lui parler d’intimité. Elle était restée dans les grandes généralités, pendant environ cinq minutes, pour finir par lui demander s’il s’était déjà masturbé. Fabrice m’a dit qu’elle était rouge écarlate en posant la question, et que forcemment lui aussi avait été mis mal à l’aise. Comme aucun n’avait osé poursuivre la conversation, Béatrice avait tenté d’enlever doucement, par le haut, sa robe de chambre, la faisant glisser sur son épaule, mais voyant que son fils devenait de plus en plus mal à l’aise, elle s’arrêta, et se ravisa en se rajustant.
– Oublie tout ça, fit Béatrice en se levant. C’était une erreur.
Après qu’elle soit sortie de la chambre, Fabrice avait mis du temps à s’endormir. Il ne pensait pas que sa mère ait pu aller jusque là. Il savait qu’il y avait eu une conversation avec ma mère, mais il pensait qu’elle n’aurait pas tenu compte des propos échangés.
Et pendant la semaine qui suivit, la discussion fut difficile avec sa mère. Elle était fuyante, et trouvait toujours une excuse pour s’éloigner quand il s’approchait d’elle.
Dans la chambre, Béatrice tint à peu près le même discours à ma mère, insistant sur le fait que depuis, elle était vraiment très mal à l’aise face à son fils.
– Moi je comprends, fit ma mère, mais il faudra bien que ça se passe.
– Non, je ne m’en sens pas capable. Et ce n’est pas vraiment quelque chose d’acceptable.
– Ca, c’est ton ressenti. Moi ce qui ne me plait pas, c’est que Fabrice, du coup, m’a demandé à deux reprises si je pouvais lui faire cette éducation, et bon… c’est quelque chose de tellement personnel… je l’ai fait à mon fils, mais je ne me sens pas dans mon role de le faire au tiens.
– Il t’a demandé ??
– Deux fois… Donc tu vois, il est prêt et il attend. Mais à priori c’est toi qui n’est pas vraiment disposée.
– Ca me rebute vraiment…
– Je ne vais pas le faire pour toi, quand même…
– Non, non, evidemment… ne le fais pas… je…
Ma mère voyait que Béatrice était embarrassée et cherchait ses mots. Elle était perdue dans le fil de ses pensées.
– Franchement, je ne pourrai jamais le faire, conclut-elle.
Ma mère souffla.
– Bon je vais lui faire, il faut bien que quelqu’un lui fasse son éducation.
– Oh merci… ça me soulage…
– Oui mais attends, à la seule condition que tu restes avec moi. Sinon ça n’aurait pas l’air d’une éducation, tu comprends ce que je veux dire. Je veux que ce soit toi qui explique, pendant que je lui montre.
Béatrice réfléchit un instant.
– Si je suis avec toi, ce sera moins dur.
Ma mère acquiesca. « Bon, va le chercher », fit-elle.
– Ah, maintenant ?, répondit Béatrice, surprise.
– Au moins ce sera fait.
– Bon, je… d’accord.
Béatrice sortit de la pièce, et vint nous rejoindre. Nous étions toujours en train de regarder la télé, en discutant un peu.
– Chéri, fit Béatrice, viens deux minutes. On ne va pas tarder à y aller, mais j’aimerai que tu viennes avec moi avant.
Fabrice, sans rien dire, se leva, et suivit sa mère jusque dans la chambre. En entrant, il vit ma mère, qui s’était rapidement changé. Assise sur le bord du lit, elle portait une robe de chambre, légerement entrouverte, laissant voir qu’elle nue en dessous. Ses seins étaient couverts, mais la chemise de nuit tombait de chaque coté de ses jambes, qu’elle avait serrées. On apercevait toutefois le haut de son pubis.
Béatrice fut un peu surprise, de voir son amie ainsi, puis elle poussa son fils vers elle, en disant :
– Va la voir.
Ma mère lui fit un gentil sourire, tandis qu’il marchait vers elle. Béatrice, quand à elle, vint s’assoir de l’autre coté du lit. Ma mère prit la parole.
– Ta mère a voulu t’expliquer quelque chose la semaine dernière, mais elle a eu un peu de mal. Je vais l’aider. Tu vois, ça fait parti de l’éducation que l’on se doit de transmettre, quelque part c’est un lien faire qui doit t’unir avec ta maman. Ce n’est pas le genre de chose dont on parle souvent, mais il faut le faire au moins une fois.
Les deux femmes regardaient Fabrice, qui restait médusé.
– Donne moi ton sexe, fit ma mère.
Fabrice, doucement, maladroitement, dégrafa son pantalon, qu’il baissa lentement, et fit sortir son sexe, à demi gonflé, hors de son slip.
Ma mère saisit doucement sa queue, et commença à l’agiter. Il se mit à durcir rapidement, jusqu’à etre completement raide, et ma mère le branla vite, sans ménagement.
– Oh mon Dieu, fit-il.
Ma mère regarda Béatrice, pour qu’elle participe un peu.
– Je… ça me fait plaisir… J’espère que ça te fait du bien cheri. C’est important le sexe dans la vie…
– Regarde ta mère.
Ma mère continuait de branler fort, et insistait pour que Fabrice regarde sa mère.
– Oh maman, c’est tellement bon, c’est tellement fort…
Ma mère regarda Béatrice.
– Tu rates un moment privilégié avec ton fils tu sais… Regarde comme il aime ça…
Béatrice ne savait pas quoi dire, à nouveau.
– Je… je vais jouir… fit Fabrice.
– Tu veux que je te montre mes seins ?, murmura ma mère.
Fabrice ne dit rien. Il se concentrait, tandis que ma mère lui branlait la queue avec vigueur, sans ralentir.
– Ohhh, je…
Il ne disait rien. Il se concentrait encore pour ne pas venir.
– Tu préfererais les seins de ta mère ? Tu préfererais sa main pour te branler ?
– Ohhh oui ! lacha Fabrice.
Ma mère lança un regard à Béatrice. Cette dernière se sentait mal à l’aise, à la fois exclue d’un jeu éducatif qu’elle aurait du tenir, et en même temps tellement rétiçante. Voyant le regard de son fils, qui la suppliait presque, elle hocha la tête et s’approcha doucement, en glissant ses fesses sur le lit. Elle passa ses mains dans son dos, pour défaire le haut de sa robe noire, qui tomba doucement, laissant apparaitre un soutien gorge noir en dentelles, cachant des seins aussi génreux que ceux de ma mère. Sans doute même plus.
Fabrice devint presque comme fou en voyant sa mère tendre sa main vers sa queue. Il sentit l’emprise de ma mère se défaire, remplacée par la main de sa propre mère, qui lui saisit le sexe d’une poigne qui le fit presque jouir. Il se retint de son mieux, tandis que sa mère serra légèrement plus, et commença à le masturber, en pointant le sexe vers elle.
– Alors, ça te fait quoi, demanda ma mère à Béatrice.
– C’est un immense moment d’intimité… ca… ca te plait cheri ?
– Oh maman oui…
A ces mots, un gros jet de sperme gicla de son sexe, et vint arroser le soutien gorge et la poitrine de Béatrice.
– Ohhhh woooow, fit-elle, surprise.
Deux autres jets de sperme vinrent gicler sur elle, sur sa joue, et l’autre dans ses cheveux.
– Oh maman, maman…. merci…
Béatrice ne dit rien. Elle laissa son fils s’assoir entre elle et ma mère, et le laissa se blottir contre elle. Elle ne dit rien quand il passa sa main dans son dos, pour dégrafer son soutien gorge, et mettre à nu ses deux seins généreux. Il le laissa poser sa tête dessus, lui embrasser les tétons. Puis elle murmura :
– Voilà, maintenant tu sais tout, et j’ai terminé ton éducation. On ne parlera plus de tout ça.
– Merci maman.
– Je t’aime mon cheri
– Je t’aime aussi, maman.

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