Histoires érotiques couples amateurs Histoires tabous

Wendy, Sans scrupules

Wendy, Sans scrupules



Wendy courait à perdre haleine dans les couloirs du stadium. Bien que star attitrée des cheerleaders, elle n’avait pas réussi à détourner la surveillance des agents de sécurité qui verrouillaient l’accès aux vestiaires. Les sbires l’avaient très vite repérée et elle tentait maintenant de leur échapper en empruntant les allées au hasard, si bien qu’elle était désormais incapable de se situer dans cet immense labyrinthe. Une fois encore, c’était son ambition qui la perdait. Outre le fait d’être la leader des pom-pom girls qui soutenaient l’équipe du collège et la réputation de nympho qui accompagnait ce statut, Wendy était une étudiante très brillante qui participait au journal de la faculté. Ses articles étaient souvent bien écrits, obtenant régulièrement la faveur d’un scoop qu’elle avait su dénicher avec talent.

En cette fin d’année où les meilleurs éléments des équipes de football américain des écoles s’affrontaient dans un immense tournoi sous le regard des professionnels, Wendy s’était mise en devoir d’interviewer la star incontestée de la ligue Est, un jeune quater back très prometteur en provenance de l’Etat de Floride du nom de Harry Stockton. Elle savait qu’il ne resterait que peu de temps à Columbia, en Caroline du Sud, et qu’il serait sollicité par de nombreux journalistes. Aussi espérait-elle leur damer le pion en obtenant la première interview au sortir de son premier match. Mais pour cela, il fallait défier le service d’ordre et habilement s’introduire jusqu’à la sortie du vestiaire. Son charme ferait le reste. Elle était armée d’un petit dictaphone qu’elle s’était empressée de saisir dans son sac à dos laissé sur la touche, histoire de dégainer la première quand l’artiste aurait terminé son match. Ce qui était désormais le cas. Une fois encore, il avait ébloui la rencontre par son talent et s’était engouffré très rapidement dans le couloir menant aux vestiaires dès la fin de la partie. C’est à cet instant que Wendy avait abandonné ses camarades, précipitant ses longues jambes de gazelle dans les entrailles du stade.

Elle en était là. Sa jupette plissée de couleur blanche dansait sur ses hanches au rythme de ses enjambées, dévoilant un string aguicheur que les hommes de la sécurité n’avaient pas manqué de remarquer. Wendy était d’une beauté solaire, son épaisse crinière blonde caressant ses reins à chacun de ses pas. Sa poitrine délicieuse était sanglée dans un minuscule tee-shirt à l’emblème de l’équipe qui soulignait la pointe de ses seins ronds et fermes. Le galbe de ses fesses était d’une indécence qui défiait la pudeur à chaque fois qu’elle décidait de les mettre en valeur et ses hanches affichaient des courbes délicieuses qu’elle avait plusieurs fois offertes. Il est vrai que la rumeur de fille facile qui courait à son sujet reposait sur des faits loin d’être infondés. Qu’à cela ne tienne, elle aimait baiser et ne s’en cachait pas. Ceux qui la traitaient de « salope » étaient les médiocres et les jaloux, ce genre d’individus coincés dans leurs certitudes bien qu’épris d’une liberté qu’elle ne manquait pas de saisir lorsqu’elle en avait l’occasion. Après tout, qu’y pouvait-elle si les hommes ne résistaient pas une seconde à ses appâts ? Ses lèvres boudeuses, cet œil coquin et ce grain de beauté à la commissure de la bouche avaient scellé sa notoriété de petite garce dans le marbre et elle n’en avait que faire.

Pour l’heure, Wendy sentait son cœur déchirer sa poitrine tant la peur s’était emparée d’elle. Elle ne devait pas se faire prendre, en aucun cas. L’échec n’avait jamais fait partie de son vocabulaire et elle était prête à tout pour obtenir ce scoop. Alors elle prit une allée sur sa droite et s’engouffra dans la première pièce venue.

A peine avait-elle refermé la porte, elle perçut les pas lourds du gorille qui était sur ses talons. L’oreille plaquée contre le montant, elle entendit l’homme passer en trombe dans le couloir. Elle avait remporté cette bataille. Alors elle s’adossa contre le mur, l’adrénaline nichée dans chacun de ses membres contractés à l’extrême, et procéda enfin à une mise au point, détaillant les moindres recoins de la salle qu’elle occupait. Il s’agissait vraisemblablement d’un vestiaire. Les casiers en fer étaient disposés en rangées adroitement alignées, certains découvrant l’intimité de leurs occupants. De toute évidence, les athlètes venaient de terminer leur match, leurs tenues salies traînant ça et là sur les bancs et le carrelage du vestiaire. Il régnait dans l’air un parfum de sueur légèrement âcre et Wendy entendait distinctement le flot régulier de l’eau dans les douches accompagné de plusieurs rires masculins.

La jeune femme fit quelques pas à l’intérieur de la pièce, faisant glisser ses baskets sur le sol mouillé pour éviter de se faire repérer. Elle parcourut brièvement les noms inscrits sur chacun des casiers et s’arrêta brusquement, le cœur au bord des lèvres. Harry Stockton figurait au dos d’un maillot estampillé « 99 », nonchalamment éparpillé sur le sol. Dans la panique, elle n’avait même pas réalisé qu’elle se trouvait au bon endroit, précisément dans le vestiaire de l’équipe de Tampa Bay. Une fois de plus, sa bonne étoile ne l’avait pas lâchée. D’un geste nerveux, Wendy ramassa le maillot du champion et le porta à ses narines. Elle tenait à respirer cette odeur de l’athlète après l’effort, un parfum dont elle s’enivrait lorsqu’elle venait de faire l’amour. La baise frénétique avec un gladiateur avait toujours été son fantasme, elle s’imaginait docile entre ses bras puissants, le guerrier étant capable de briser ses os comme une allumette. Une sensation d’abandon total où elle s’en remettait à son partenaire, complice de ce jeu sexuel.

Un bruit en direction de la douche fit soudain réagir la jeune femme. Elle n’avait rien à faire ici, dans ce vestiaire chargé de testostérone. Elle avait compté cinq sacs de sports éventrés et se demandait où avait bien pu passer le reste de l’équipe. Sans doute les autres joueurs en avaient-ils déjà terminé avec leur toilette respective, gagnant les abords du stade ou encore les gradins. Reste que le corps de Wendy se refusait à quitter la pièce. À coup sûr, attendre dans le couloir à proximité du vestiaire revenait à se faire repérer de nouveau. Mais à cet argument de bon sens s’ajoutait une exquise excitation de se trouver là où aucune autre fille n’avait jamais eu l’occasion de pénétrer. Elle était une petite souris dans cet environnement masculin interdit à l’espèce féminine. Cette idée d’avoir une certaine emprise en ce lieu, d’être la maîtresse d’une cérémonie délictueuse s’épanouissait comme une fleur à l’intérieur de son ventre.

Lorsque.

Plus aucun bruit dans les douches. L’eau. Les voix. Rien.

Elle se retourna subitement, se sentant tout à coup épiée par une dizaine d’yeux hagards. Cinq athlètes absolument nus se tenaient dans le couloir menant aux sanitaires, le sourire aux lèvres. Il y avait là deux hommes noirs à la puissante musculature, frôlant les deux mètres. Le crâne rasé, ils arboraient tous les deux sur l’épaule le tatouage de leur numéro respectif. Il en allait de même des trois autres athlètes. Sur leur peau blanche saillaient d’impressionnants muscles et abdominaux qui leur conféraient une beauté peu ordinaire. Le premier était blond, les cheveux longs, et les deux autres bruns coupés courts. Harry Stockton arborait une frange très sexy derrière un regard ténébreux qui l’avait rendu célèbre parmi les groupies. Ce dernier, outre un talent inné, possédait le petit plus de classe et de grâce qui faisait de lui une star. Sa manière féline de se déplacer sur le terrain témoignait d’une agilité extraordinaire que venait compléter sa beauté légendaire.

Se sachant maintenant découverte, Wendy ne put réprimer une rougeur au niveau des pommettes. Paradoxalement, bien qu’encore vêtue, elle se sentait intégralement nue face à ces guerriers dépourvus de leurs artifices. Wendy ne détourna pourtant pas la tête, fixant les athlètes droits dans les yeux. Elle remarqua au passage leur trouble en constatant leur érection naissante.

L’homme de couleur qui se tenait juste en face et dont le chiffre « 15 » ornait le biceps lui adressa enfin la parole, les mains sur les hanches :

— Tu te serais pas trompée de vestiaire, ma poulette ?

Les joueurs rirent de concert, le numéro « 06 », le blondinet, s’esclaffant au passage. Wendy sentit ses doigts se crisper sur son dictaphone. Le scoop. Le scoop. Le scoop.

— Euh… Je suis venue interviewer Harry…

Nouvelle crise de rires à l’issue de laquelle le champion se détacha du groupe pour s’approcher d’elle en silence. Wendy sentit sa peau frémir lorsqu’il ne fut plus qu’à un mètre. Puis il passa sa main dans les longs cheveux de la jeune femme, caressant du bout des doigts une lourde mèche dorée.

— Et ça ne pouvait pas attendre un peu ? chuchota-t-il au creux de son oreille.
— C’est que… j’ai dû échapper au service de sécurité…
— Elle a le feu au cul, balança l’autre type noir, le numéro « 44 ».
— Taisez-vous les gars, vous allez effrayer notre nouvelle amie.

La voix de Harry Stockton se voulait apaisante, offrant un contraste saisissant avec les timbres rauques et lourds des autres joueurs.

— Il semblerait alors que tu sois condamnée à rester dans ce vestiaire, ajouta le champion dont l’autorité sur le reste du groupe ne faisait aucun doute.

Ce n’était d’ailleurs pas un hasard s’il était le capitaine de l’équipe. Wendy sentit à cet instant le sexe gonflé de la star caresser le haut de sa cuisse. Il était brûlant d’un désir qu’elle percevait dans chacun des pores de sa peau. À son tour, le numéro « 39 » fit quelques pas dans la direction de Wendy qui, le cœur battant, se mordait les lèvres pour contenir une excitation qui gagnait tous ses membres. Elle sentait la pointe de ses seins se dresser sous l’étoffe du tee-shirt, ce que le brun remarqua aussitôt.

— Eh bien, dit-il en posant sa main brûlante sur la hanche de la jeune étudiante pour mieux lorgner sa poitrine, ils savent recevoir à Columbia.

La chaleur dégagée par la paume de cette main d’acier porta le coup de grâce à Wendy qui, n’y pouvant plus, s’agenouilla pour déposer le dictaphone sur le banc d’à côté. Les pulsations de son cœur étaient à leur zénith. Et lorsqu’elle releva la tête, ses lèvres n’étaient plus qu’à quelques centimètres de la queue fièrement dressée d’Harry qui lui caressait doucement le haut du crâne. Alors elle rejeta brusquement sa tête vers l’arrière pour chasser quelques mèches rebelles et empoigna le sexe de la star pour le fourrer dans sa bouche. Les doigts du numéro « 39 » couraient déjà sur son épaule dénudée, à la recherche de l’échancrure du tee-shirt.

Elle avala ainsi le membre d’Harry et commença à sucer avidement sa conquête sans le quitter des yeux. L’homme affichait un rictus de plaisir, les paupières closes. Elle entendit le reste du groupe applaudir en hurlant de joie et se retrouva bientôt cernée par une multitude de sexes en érection. Et tandis qu’elle continuait à pomper en gémissant, ses mains empoignèrent les membres les plus proches pour les branler vigoureusement. Elle n’en pouvait plus et ne rêvait plus que d’une seule chose, se faire déchirer par ces mâles en rut, satisfaire les bulles de désir qui s’apprêtaient à exploser en elle. Elle se sentait divinement chienne, prête à tous les outrages pour aller jusqu’au bout de son fantasme.

La main noire du numéro « 15 » agrippa tout à coup sa tignasse abondante pour engouffrer sa queue gigantesque au plus profond de sa gorge, maintenant son visage pour l’empêcher de bouger. Au bord de l’étouffement, elle lâcha un râle en s’apercevant que sa bouche était un fourreau bien trop étroit pour ce membre à la fois large et long. Et malgré cette sensation désagréable, le goût du bain douche irritant ses papilles, elle continuait de branler les sexes qui l’entouraient. Elle sentit des doigts relever son tee-shirt pour libérer ses seins épanouis. Puis l’homme « 15 » relâcha son emprise, afin qu’elle reprenne une grande bouffée d’air, tandis que l’étoffe valsait dans les airs. Elle suça ensuite un autre membre, puis un autre, puis un autre encore, essuyant plusieurs paroles qui l’excitèrent davantage, se faisant traiter de « salope », « super suceuse » et autres termes du genre, avant d’être soulevée dans les airs.

— J’espère que t’avales, fit le blondinet.
— Mmmouiiii, lui répondit-elle en passant dans les mains des deux blacks.

Ces derniers la tenaient désormais à hauteur de taille, deux mains sous son cul en feu au-dessous de sa minijupe, une lui maintenant fermement la nuque, et l’autre enfin, immobilisant sa tête par les cheveux. Ses cuisses étaient maintenant écartées, maintenues par des bras vigoureux et les mollets dans le vide. La langue d’Harry s’engouffra dans sa fente humide au-dessous de sa toison soigneusement épilée. Elle remarqua aussitôt qu’elle ne portait plus son string, l’étoffe se balançant sur sa cheville au rythme des assauts du groupe. Tout à coup, on lui tourna la tête afin qu’elle suce la queue du numéro « 39 ». Ce dernier s’engouffra dans sa bouche jusqu’à la garde et commença à aller et venir comme une vague incessante, lui tirant une plainte étouffée par les bruits de succion qui s’échappaient maintenant de sa bouche.

Wendy se sentait littéralement assaillie, incapable d’agir, se livrant à ce qu’elle avait toujours souhaité, l’abandon. Elle ne comptait plus les orgasmes qui contractaient ses abdominaux, tressaillant sous les assauts de ses partenaires. Une langue la fouillait adroitement, lui procurant un intense plaisir au niveau du ventre, des doigts épais glissaient dans la raie de ses fesses, des bouches gobaient les bourgeons de ses seins luisant d’une salive étrangère et une queue immense comblait entièrement sa bouche.

Lorsque tout à coup, elle laissa échapper un cri étouffé au contact de la queue d’Harry dans sa fente. Il s’enfonça au plus profond de ses entrailles en poussant un râle et commença à aller et venir avec une facilité déconcertante. Harry était doux, bien plus que ceux qui la maintenaient. Elle suçait désormais le numéro « 15 » de manière bestiale, la tête basculée vers l’arrière pour constituer un parfait fourreau. Elle était partagée entre l’envie insatiable d’être défoncée et celle de cracher sur ce membre qui déflorait sa gorge sans vergogne.

Lorsque. À nouveau, elle valsa dans les airs comme une poupée désarticulée, pour s’empaler sur le sexe gorgé de sang d’Harry, allongé sur un banc. Chevauchant maintenant le champion, la pointe des pieds en appui sur le sol, elle se cambra pour lécher les couilles de numéro « 44 » avant de plaquer ses seins sur le torse de la star. Elle planta ses ongles dans son cuir chevelu, couvrant l’homme de baisers gourmands lorsque la queue de numéro « 06 » s’introduisit dans son cul. Des mains d’aciers agrippèrent sa tignasse pour la tirer vers l’arrière, tandis qu’elle hurlait de plaisir sous les coups de boutoir, les larmes aux yeux, mais son cri fut bien vite atténué par le membre de numéro « 15 » qui revenait à la charge. Il fourra une nouvelle fois sa bouche, alors qu’elle recommençait à branler deux nouveaux sexes autour d’elle. Tous glissèrent de la sorte en elle pendant plusieurs minutes interminables lorsqu’elle sentit plusieurs jets de sperme tapisser son vagin. Harry venait d’exploser en elle, ce qui déclencha un nouvel orgasme au plus profond d’elle-même.

Puis ce fut le tour de numéro « 44 » et du blondinet qui, le premier, inonda son cul de trois jets saccadés, le foutre dégoulinant dans sa raie et sur ses fesses, et le second lâchant son épaisse semence au niveau de sa joue droite. Elle sentit le sperme brûlant dévaler sa peau pour rejoindre son menton et couler sur son épaule. Le brun qu’elle branlait enfin sur son côté gauche ne tarda pas à venir lui aussi, cette fois dans sa main, déchargeant dans sa paume et ses cheveux pendant de longues secondes. Le tourbillon de sexe s’arrêta alors aussitôt, Wendy toujours empalée sur le membre du champion, haletant, lorsque le black qui s’agitait dans sa bouche devenue docile se répandit tout d’abord abondamment dans sa gorge. Elle était à la limite de l’écœurement quand il se retira pour asperger son visage d’un jet massif et puissant. Trois autres encore suivirent, le premier se dispersant dans ses cheveux, le deuxième éclaboussant ses narines et ses yeux et le dernier enfin, dégoulinant sur ses lèvres.

Et comme elle recrachait le cocktail de foutre et de salive en toussant, il empoigna une nouvelle fois sa crinière pour s’enfoncer une dernière fois en elle afin qu’elle avale. Puis, après s’être essuyé le membre dans sa chevelure, il recula d’un pas pour contempler cette jeune femme épuisée, couverte de sperme. Harry gisait sous elle, les bras en croix et les yeux fermés. Les autres athlètes étaient assis sur le carrelage, épuisés. Seul le black numéro « 15 » se tenait encore debout, les mains sur les hanches, s’amusant à contracter sa queue par défi. Alors elle eut un dernier orgasme qui la transperça de part en part et ce fut le trou noir.

***

Lorsqu’elle se réveilla, Wendy gisait à moitié nue sur le carrelage, sa jupette relevée sur ses hanches. Une lourdeur avait envahi ses muscles et sa tête semblait prise dans un étau. Elle tremblait comme une feuille. L’expérience avait été d’une intensité inégalée, bien au-delà de ce qu’elle avait imaginé dans ses pires fantasmes. Elle s’appuya alors sur ses mains fébriles et sentit le foutre séché craquer sur son épiderme. Une fois debout, elle s’appuya sur l’un des casiers afin de récupérer et se dirigea vers les douches. Après s’être lavée abondamment, le ventre en feu, elle revint au vestiaire pour y endosser ses vêtements. Elle n’en revenait toujours pas. Elle savait maintenant ce que voulait dire être prise, défoncée, baisée à fond, et jamais plus elle ne pourrait ressentir une telle extase, se disait-elle. C’était comme une ivresse dont elle garderait un souvenir impérissable. Elle rajusta ainsi sa minijupe et passa son tee-shirt couvert de sueur avant de filer en direction de la porte des vestiaires.

Lorsque.

Elle aperçut le dictaphone, sagement posé sur l’un des bancs qui avait échappé à la tempête. Wendy avait failli oublier ce pour quoi elle était venue. Elle s’empressa alors de saisir l’engin et l’activa d’un geste du pouce. La bobine s’enclencha pour laisser place à une voix qu’elle connaissait désormais mieux que quiconque, celle de Harry Stockton en train de la baiser par-delà ses hurlements.

Qu’à cela ne tienne, elle n’avait pas eu son interview, mais elle avait beaucoup mieux. Un scoop qui ne tarderait pas à faire scandale au sein de la ligue et de la faculté…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire