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Après le restaurant…

Après le restaurant…



Environ 20 ans. En ce dimanche d’août, désœuvré, je m’ennuie ferme les rues de ma ville natale, lorsque je perçois, venant de derrière moi, le bruit d’une voiture qui ralentit nettement… L’automobile modère encore son allure, pour enfin s’arrêter à ma hauteur. La vitre de la portière côté passager s’ouvre. La dame, avec de courts cheveux noirs, me sourit de sa grosse bouche charnue, mais l’expression de ses yeux sombres est insaisissable. C’est l’homme qui prend la parole. La quarantaine, cheveux très noirs, des traits réguliers, de larges épaules moulées dans une chemise blanche, il porte une très belle cravate de couleur mauve.
— Bonjour Monsieur, je m’excuse de vous déranger.
— Mais vous ne me dérangez nullement, répondis-je.
— Vous habitez la ville ? lance-t-il.
— Oui !
— Voilà, je vous explique. Ma femme et moi sommes nouveaux-venus dans le coin, et nous sommes à la recherche d’un bon restaurant, mais voilà : tout est fermé.
— Oui, je sais très bien. En période de vacances, tout est malheureusement clos.
— Si je vous suis bien, vous me dites qu’il n’y a pas un moyen de se restaurer dans cette ville ? répondit-il.
— Exactement, dis-je, mais vous pouvez toujours sortir du village. À une quinzaine de kilomètres d’ici se situe une auberge qui, elle, est ouverte le dimanche, poursuivis-je.
— Et comment accédons-nous à cette auberge ? me demande la dame.
Je me mets alors à leur expliquer la route, en étant le plus précis possible. Mais manifestement ils ne comprennent rien à l’itinéraire que je leur indique… Ils ne sont pas près de trouver l’auberge !
— Le meilleur moyen serait que l’on vous invite à venir partager le repas en notre compagnie, n’est-ce pas, Annie ?
— Oui, bien sûr, je n’y vois pas d’inconvénient, si Monsieur est d’accord, Daniel, répondit la dame.
Je reste sans voix. Je suis pris au dépourvu, tant la surprise est grande. Mais pourtant il faut que je dise quelque chose. Je bafouille, gené.
— C’est… très gentil… gentil de votre part… mais je sais pas… si je dois… accepter.
— Mais oui, cela fait plaisir à ma femme, n’est-ce pas, Annie ?
— Exactement. Vous nous parlerez de votre belle ville, réplique-t-elle.
Je suis gêné de leur proposition, la trouvant même un peu déplacée. Mais ils insistent fortement, revenant à chaque fois à la charge. Jusqu’à ce que, par dépit, j’accepte leur invitation.
Je m’installe sur la banquette arrière, et Daniel démarre. Je le guide à travers les rues. Nous rejoignons la route principale qui va nous mener jusqu’à l’auberge.
La grande salle du restaurant est bien garnie. Nous nous asseyons un peu à l’écart des autres clients. Annie, à peine assise sur ma droite, lâche un gros soupir qui manque de faire exploser son décolleté, et se tortille sur sa chaise. Daniel, se place en face de moi. Il commande une bouteille de champagne en guise d’apéritif. Nous discutons alors de tout et de rien. Je plonge dans le menu. Quelques instants plus tard, le serveur prend nos commandes, et c’est le début du service.
Le dessert consommé, Daniel s’absente pour aller fumer à l’extérieur. Je reste seul avec Annie, assis près d’elle, à seulement quelques mètres des autres couples. Je suis très excité d’être en sa compagnie. J’ai encore en mémoire le balancement de sa croupe quand elle est descendue de la voiture… Je ne sais comment faire, pour dissimuler que mes yeux fixent ses jambes, ses escarpins noirs qu’elle balance devant mes yeux.

— Dites-moi… ce sont mes jambes qui vous font bander ainsi ? me dit-elle, froidement.
Un tel mot, dans ce contexte, dans sa bouche de femme honnête, me choque. J’essaye de répondre quand même, honteusement.
— Non… voyons… pas seulement, c’est un tout… vos yeux…
— Bien sûr…
Elle croise et recroise ses jambes, faisant adroitement remonter la jupe de son tailleur un peu plus haut, laissant apparaître le bord plus sombre de ses bas. En me regardant dans les yeux, elle complète :
— Vous n’êtes pas un petit vicieux qui bande à la simple vue d’une paire de bas sur des jambes de femme, n’est-ce pas ?
Au crissement de ses bas, mon regard se porte malgré moi sur ses cuisses. Mes yeux s’allument à cette vision révélatrice de ses bas.
— Je n’entends pas votre réponse…
— Je ne…
Elle se penche légèrement vers moi, son parfum gagne mon esprit, déjà bien embrumé. D’une voix rauque, presque en murmure, elle dit :
— Pourtant vous aimez ce que vous voyez, n’est-ce pas ?
Je n’ose soutenir son regard si proche. Je vois la dentelle sombre de son soutien-gorge à travers son fin corsage. Elle redresse mon menton d’un doigt. Ses yeux me retirent toute volonté.
— Vous allez défaire votre braguette et me montrer l’état de votre sexe.
Je ne panique pas devant cette demande. Mais aussi étrange que cela puisse être, c’est le manque d’intimité qui me fait peur. Pas cet ordre humiliant venu d’une inconnue. Elle glisse lentement sa main vers ma poitrine, atteint, par-dessus mon maillot, un de mes tétons qu’elle titille du bout des doigts et qu’elle doit sentir durcir immédiatement.
— Tu aimes ce que je te fais, n’est-ce pas ?
Je m’abandonne malgré moi à sa caresse. Je ne réagis même pas au tutoiement.
— Ton sexe ! Insiste-t-elle. Je veux voir ta verge, là, maintenant !
Je commence à défaire les boutons de ma braguette. J’en oublie même où je suis. Ma verge dure jaillit devant elle, dans ce restaurant. Elle se recule un peu.
— Tu n’as pas honte de bander comme ça devant une dame, petit vicieux ? Car c’est ce que tu es, n’est-ce pas ? dit-elle.
— Oh… je… oui.
— Dis-le…
— Je… suis… je suis un petit vicieux.
— Voilà… c’est bien…
Elle prend son verre. Puis s’installe plus confortablement, savourant sa victoire devant un homme qui, tout à l’heure, était sûr de lui, et qui est à présent très gêné, avec sa verge offerte devant elle, excité de surcroît, et prêt à manger dans sa main. Je reprends mon contrôle en remballant ma « marchandise »…
À son retour, Daniel me propose un cognac que j’accepte volontiers. N’étant pourtant pas adepte de boissons alcoolisées, l’instant est tout approprié pour faire monter mon désir ; encore plus !
— C’était très copieux ! s’exclame Daniel.
— Oh oui ! Et délicieux, réplique Annie. Dis-moi, mon chéri, nous pourrions passer à la maison, avant de déposer Yves?
L’addition est payée. Une fois dans la voiture, je suis assis devant. Un caprice de plus d’Annie. Pas folle, la garce. Elle ne tient pas en place et s’amuse à glisser sa jambe sur mon côté droit, à l’abri de tous regards indiscrets. Ma main baladeuse s’affaire sur son pied, pendant que Daniel nous conduit agréablement jusqu’à son domicile, sans se soucier un seul instant de ce qui se trame sous ses yeux.
Installés dans de confortables fauteuils, Daniel et moi prolongeons notre conversation, Annie s’absentant quelques instants. Soudain, derrière Daniel, quelque chose bouge. Annie vient d’apparaître. Elle est légèrement maquillée et porte à présent une petite nuisette en dentelle, couleur noire, sous laquelle elle est nue. À travers l’ensemble, je ne distingue pas la moindre trace de slip. La nuisette, très courte, laisse apparaître ses longues jambes fuselées, gainées de bas noirs arrêtés par des jarretières de couleur rouge, puis un buisson sombre, le tout chevauchant des sandales ouvertes à talons aiguille.
Le silence se fait dans le salon. Elle tient un plateau de métal argenté supportant deux verres, une bouteille de liqueur et un seau à glace. Tout de suite, mon attention se concentre sur Annie. Cette dernière se penche au-dessus de la table, enfonce sa main dans le seau à glace, la retire pleine de glaçons. Elle les laisse tomber dans les verres. Elle ouvre la bouteille et verse très lentement la liqueur, noyant les glaçons. Pour faire durer le plaisir. Je laisse, malgré la présence de son mari (consentant), mes yeux fixés sur la longue jambe découverte, à cinquante centimètres à peine de moi. La jarretière rouge est une invitation à y poser la main !
D’elle-même elle s’arrête de verser, se redresse. Elle se détourne, marche vers la sortie et disparaît. Daniel me donne son aval pour que j’aille la retrouver.
– Au fond du couloir !
Je prends mon verre, le bois d’un trait, et m’aventure le long du couloir. Annie a laissé la porte de sa chambre ouverte. Annie se retourne, et pose son regard sur moi. Son corps explose de sensualité.
Elle porte ses mains sur les fines épaulettes. N’étant plus retenue, la nuisette coule lentement en direction du sol, le long de son corps. La poitrine en avant, puis le ventre musclé, le triangle très poilu au niveau du sexe. La nuisette tombe, elle l’enjambe, balaye ses mules en deux secondes, et me fait signe d’approcher, et me disant :
— Retire-moi mes bas, veux-tu !
Sans un mot, je m’agenouille à ses pieds. Je transfère la jarretière de sa jambe gauche vers le haut. Je roule sur lui-même la bande de dentelle de son bas. Le contact du voile puis celui de sa peau m’électrisent. J’accomplis la même opération à sa jumelle. Elle prend, d’elle-même l’initiative de retirer les deux jarretières, d’un geste long et sensuel.
Elle m’entraine vers la porte du fond… La salle de bains…
– Et maintenant à la douche !!!
Elle prend alors place dans la douche. Je ne me prive pas de mater son corps. Les jambes fuselées, légèrement écartées. La chair d’Annie vibre de sensualité. Elle est heureuse d’être contemplée dans tout l’épanouissement de son âge. Un désir fou pour cette splendide salope m’assaille. J’ai envie de la rejoindre sous la douche. Le délire m’envahit et j’amorce de me dévêtir. Plantée sous la douche, Annie suit mon strip-tease. Puis sans sollicitation, je prends à mon tour place sous la douche. Nos corps se touchent. Nos ventres se portent en avant, animés d’un mouvement de houle. Ma langue se glisse entre les lèvres d’Annie. Sa langue me chasse, et tente une pénétration semblable. On demeure ainsi un long moment, les langues se croisent, fouillent ardemment les bouches. Nos lèvres s’absorbent, se soudent. L’eau qui coule le long de nos visages se mêle à nos salives.
Annie halète. Très lentement, mon genou s’insinue entre ses cuisses. Son plaisir brille presque aussitôt. Elle demeure frémissante sous la douche. Ma bouche embrasse un mamelon dressé et je l’aspire. La pointe de chair grumeleuse se tend sous mes lèvres, se gonfle. Ma main rampe le long de son ventre frémissant, se fraye un chemin dans le buisson sombre, se fixe plus bas. Annie gémit. Ma bouche quitte sa poitrine, descend à son tour, frôle les flancs, mordille l’aine. Finalement ma tête plonge vers le sexe offert, mes lèvres prennent la place de mes doigts, attaquent la chair qui s’ouvre, béante, goûtent à la sève. Le gémissement d’Annie se change en râle. Son plaisir passé, Annie n’éprouve plus pour moi que de l’indifférence. Après tout, je ne suis que son jouet. Elle tend la main vers le robinet de la douche, le tourne, coupe net le débit de l’eau. Elle se détache de moi et se jette sur son lit sans s’essuyer.
— Viens me sécher ! me lance-t-elle.
Je cueille au passage une épaisse serviette de bain et je m’approche d’Annie. Je m’incline sur le lit, et frictionne son corps humide. Elle se tourne et se retourne complaisamment pour se donner tout entière aux frottements qui, peu à peu, se changent en caresses. Puis Daniel frappe à la porte et entre, avec un regard vers moi.
— Te voilà quand même ! Viens donc sur le lit, dit-elle à son époux.
Et elle me bouscule un peu pour faire une place à son mari sur sa gauche. Nous restons ainsi quelques minutes. Comme elle est très près de moi, ma main se pose sur un de ses seins et, commence à le caresser. Daniel, en parfait homme soumis, est venu blottir sa tête sur l’épaule de sa femme. Il voit ou devine mes caresses. Elle, qui a son bras le long de mon corps, sent mon membre au plus bas de son excitation. Elle se doute d’en connaître la cause. Faire l’amour à une femme devant son époux est moins évident que l’on pense.
Elle tourne alors lentement sa main et prend ma queue. Elle effectue quelques pressions qui font, peu à peu, naître une érection bien timide. Elle me tend ses lèvres et le baiser devient plus ardent. Nos langues commencent leur doux ballet, ma main se fait plus pressante sur ses seins. Le mari nous observe, sans rien dire.
Ma main délaisse son sein pour se placer sur son ventre. Ma bouche quitte la sienne pour déposer quelques baisers sur la base du sein. Ma bouche gravit très lentement, à chaque baiser, le haut du sein chaud. L’époux n’en perd pas une miette. Il me regarde avec un grand sourire en coin. Je devine qu’il aime être spectateur. Je poursuis ma montée. Annie a fermé un peu les yeux. Enfin ma bouche arrive sur le mamelon et y dépose un doux baiser. Très doucement, elle cueille mon menton et le fait remonter un peu plus haut. Je glisse ma main sur son bas-ventre et mon doigt rencontre un sexe brûlant et humide. Mes lèvres bordent le mamelon pour le sucer. Elle a fermé les yeux et se laisse faire, son souffle est plus fort.
Tendrement, elle passe son bras autour des épaules de Daniel. Il ne perd pas ma bouche des yeux. Dans son mouvement, Annie l’a rapproché d’elle. En caressant sa cuisse, je sens celle du mari à quelques centimètres. Par un désir bizarre, ma main passe de la cuisse de l’épouse à celle de l’époux. Mes lèvres regagnent la bouche d’Annie sans aucune gêne pour le mari, tandis que ma main caresse doucement la cuisse de Daniel. Il ferme les yeux, mais ne fait aucun geste pour éviter ma main. Annie ne s’est toujours pas rendu compte de ce qui se trame. Comme j’abandonne son sexe, elle délaisse le mien pour venir se caresser elle-même très doucement.
Ma main passe des cuisses du mari au bas de son dos. Je passe sur ses fesses. Il me regarde toujours avec un grand sourire. Lentement, je déboutonne le bouton de son pantalon. Ma main glisse à l’intérieur et vient toucher la peau douce de ses fesses. Mon doigt passe doucement entre les deux fesses, sans trop appuyer. Annie se rend compte de ce que je fais à présent. Elle arrête ses attouchements solitaires et agrippe mon sexe à présent bien raide. Elle regarde ma main dans le pantalon de son mari et elle me masturbe de plus en plus. Je la devine de plus en plus excitée. Elle présage le sexe dur de son époux.
— Tu es bien, Daniel ? Souffle-t-elle.
Un petit gémissement et un hochement de tête confirment son état.
— Tu veux enlever ton pantalon ? lui lance-t-elle.
Sans attendre sa réponse, je tire sur ce dernier et il prend le relais pour l’enlever rapidement. Il reprend de suite sa position initiale. Je caresse à pleine main les fesses de l’époux. Je pousse ses fesses d’un va-et-vient, qui ont pour effet de frictionner son sexe sur la douce peau de sa femme. Se tournant vers moi, elle me chuchote à l’oreille :
— Tu veux bien branler Daniel ?
— Ça te ferait plaisir ? Lui demandé-je
— Oh oui ! Soupire-t-elle.
Ma main abandonne alors ses caresses et se glisse entre les deux époux. Je le pousse un peu. Il ne comprend pas tout de suite pourquoi. Mais lorsque je prends sa queue, il s’écarte pour me laisser la place. Je le branle, en évitant de le faire jouir trop tôt. Soudain, elle se place entre nous deux, cessant par ce déplacement ma caresse sur la bite de Daniel. Ce dernier est à présent face à elle. Ma position derrière Annie me permet de blottir mon membre bandé contre ses fesses. Elle s’approprie alors ma main, et demande à son mari de s’approcher un peu. Une fois ce dernier assez près, Annie dépose mes doigts sur le sexe de sa moitié, pour que je poursuive la masturbation. Elle positionne ses bras autour du cou de son conjoint et y dépose de petits baisers, sur son front, ses paupières… Je me blottis de plus en plus entre ses deux sphères accueillantes. Elle abaisse sa main droite. La place sur la mienne qui branle doucement son homme. Sa main relaye peu à peu la mienne. Ses doigts, que je sais maintenant experts, prennent possession entièrement du sexe du mari.
J’enfouis ma main entre les jambes d’Annie et mes doigts filent du clitoris, aux lèvres, à l’anus dans une série de caresses effrénées, attisées par la vue du couple. Mon sexe est maintenant entre les cuisses de la dame. Elle soulève un peu une jambe de son époux. De ses doigts, elle amadoue ses couilles. Elle s’aide de sa rosée pour dilater l’anus de son mari, qu’elle caresse. Je ne vois pas tout, mais à la réaction de son conjoint, je pense qu’elle force un peu l’entrée. Dorénavant, elle emploie ses deux mains. L’une d’elles pratique une bonne branlette et de l’autre, elle flatte l’anus. Nous sommes tous les trois au bord de la jouissance. Comme par instinct, il pose ses lèvres sur la bouche de sa femme. Je vois cette dernière recouvrir les lèvres de son époux, j’imagine sa langue pénétrant fougueusement.
Ils jouissent ensemble bouche contre bouche, avec des gémissements. Le sperme de Daniel vient se jeter contre sa main. Il éjacule longtemps. Toujours bouche contre bouche, Annie approche son bassin pour recueillir les dernières gouttes de sperme sur son ventre. Ils poursuivent quelques instants leurs baisers en soufflant bruyamment. S’écartant de son mari, elle s’essuie la main, et lui dit :
— Tu as aimé ?
— Oui, dit-il.
Il se lève du lit et se réfugie à son tour sous la douche.
Annie, s’allonge sur le lit. Je passe mes doigts le long de ses cuisses, ma main atteint ses poils pubiens, que je caresse délicatement. Elle ouvre alors largement ses cuisses et plie un peu les jambes.
— Embrasse-moi, me dit-elle.
Je pose ma bouche sur la sienne. La sienne vient à ma rencontre. Je l’embrasse fougueusement. Ma langue entre profondément dans sa bouche et tourne autour de la sienne. Je l’invite à se tourner sur le côté et m’allonge. Mon visage vient épouser ses fesses. Annie replie un peu une jambe pour m’offrir un meilleur spectacle. Devant mes yeux, son anus, bordé de cette peau rose à peine plissée, me nargue. Le nez à quelques millimètres, je respire son odeur. Enivré par ce mélange d’arômes, savon et odeurs plus personnelles, je hume son cul. Elle gémit de plaisir. J’entrouvre la bouche et m’approche de son anus. Je souffle. L’air chaud flatte son orifice.
— Oh ! C’est bon, Yves ! Encore, s’il te plaît, gémit-elle.
À l’aide de mes lèvres, j’enveloppe plus précisément son anus. Elle place une de ses mains sur ses fesses pour les écarter et laisser plus de place à mes attouchements. Sa manœuvre découvre encore plus son orifice. Je profite pour embrasser le tour de l’ouverture. J’abandonne alors ma langue dessus. Elle pousse de petits gémissements. Ma langue et ma bouche dévorent doucement le cul d’Annie. Elle passe sa main entre ses jambes, insère son doigt entre mes lèvres, puis l’introduit dans son anus. Elle l’enfonce doucement. Ma langue accompagne la cajolerie.
Les allers-retours de son doigt font maintenant mieux ressortir les odeurs personnelles d’Annie, ce qui ajoute à l’excitation. Pris dans nos ébats, nous n’avons pas remarqué le retour de Daniel. Nu comme nous, il se couche contre moi et, avec sa main droite, prend possession de mon sexe. Sa bouche vient se poser sur mon anus. Je lève une jambe pour permettre à sa langue de mieux approcher de mon orifice.
Annie s’aperçoit de la présence de son mari et elle lui tend mon sexe. Il le prend tendrement dans sa bouche, laissant ma caresse en suspens. À un moment, il se retire et se repositionne. Le couple partage un long baiser entre mes jambes. Je sens le mouvement de leurs têtes sur mes cuisses et sur mes bourses. Leurs gémissements plus clairs me laissent comprendre que leurs bouches sont séparées et qu’à présent ils se lèchent la langue, bouche ouverte.
Je sens les doigts fins d’Annie se saisir de ma bite, et la conduire entre leurs bouches pour une caresse en stéréo.
Progressivement, Annie dirige ma hampe vers la bouche de Daniel qui l’embouche ! Il sait s’y prendre, les va-et-vient de sa bouche experte le long de mon membre me tirent quelques soupirs de plaisir. Je pose une main sur son épaule et la lui passe dans les cheveux, ce qu’il semble apprécier car il se met également à me caresser les fesses et le torse, tout en continuant à me sucer. Tout à coup, mes yeux se rivent sur sa queue qui bande dur. J’ai très envie de la toucher, de la branler, de la sucer. Et pourquoi pas ? L’idée de m’abandonner ainsi à mes fantasmes conjugués à ses talents de pompeur ne tarde pas à m’amener vers l’extase, et je jouis bientôt dans sa bouche. Daniel avale ma crème sans problème.
Puis je décide à ne pas laisser passer une chance qui ne se reproduira peut-être jamais. Je m’agenouille à mon tour face à lui et, après quelques caresses sur son sexe dont le gland pointe fièrement vers le ciel, je laisse, pour le plus grand plaisir de l’épouse qui me regarde, ma main guider tout naturellement son membre dans ma bouche. Il est chaud et dur comme je l’imaginais, avec un goût prononcé de mâle. Cette odeur m’excite encore davantage, et je sens bientôt mon sexe qui bande à nouveau alors que je suce celui de Daniel avec énergie. Mes lèvres vont et viennent le long de sa verge tendue. Ses couilles sont lourdes et pleines dans ma main. De temps à autre, je le mords, et il semble apprécier. Son halètement est là pour me le prouver.
– Ah salaud, suce suce !
– …
– Putain tu suces bien, mon cochon !
– …
– N’arrête pas! Vas-y, c’est bon!
– …
– Oh oui ! Vas-y mon chéri !
– …
– Arrête ! C’est trop bon !
– …
Je le laisse quelques secondes, pour donner quelques coups de langue bien placés sur ses bourses pleines ainsi que sur son gland …
— Aaah ! Je vais jouir ! me supplie-t-il, dans un dernier râle. Branle-moi !
Je m’exécute avec toute l’application nécessaire à cette tâche et il décharge bientôt son sperme brûlant sur ma poitrine, où il l’étale un peu. Sensation inédite. Nous avons un temps oublié Annie, qui s’affaire à ma toilette à l’aide de sa bouche. Mais déjà les jambes de Daniel se replient vers son torse. Il dégage son anus et me le propose, avec le plus grand naturel. Je prends une seconde pour me délecter de la vision de ce mâle, les quatre fers en l’air, soumis, qui m’invite dans une provocante posture à pénétrer son cul et, de surcroît, devant son épouse.
Je crois rêver un instant. Je parcours d’abord le tour de son anus de ma langue, tandis que mes mains, sur chacune de ses sphères, le maintiennent dans la bonne position. Il halète de plaisir.
— Défonce-moi ! me dit-il, suppliant. Pine moi ! Prends-moi au cul !!!
Il y a des souhaits qu’on ne peut refuser. Il n’en peut plus de désir, sa queue est de nouveau tendue au maximum et son trou, avide d’être rempli, se dilate et se contracte. Je lui enfonce d’un seul coup ma bite dans le cul. Je suis moi-même au dernier seuil de l’excitation, mais je prends soin de ne pas me laisser toucher, pour ne pas hâter ma jouissance. Il tendait son cul pour m’en faciliter l’accès. J’ai mis de la salive sur mon doigt et je l’ai déposé sur sa rondelle, j’ai poussé et c’est entré. Il semblait aimer cela et gémissait, moi je bandais dur… J’avais envie de le biter .Dans mon effort, mes couilles viennent frapper contre son cul. Je m’accroche plus fort à ses hanches, ma queue va-et-vient en lui, d’abord doucement puis à fond jusqu’à la garde.
— Oh oui ! Vas-y ! Bourre-moi !
— Oui, bourre-le ! s’exclame Annie.
– T’aime ça que je te la mette?
– Oui Oui prends moi, prends moi j’ai envie de ça, j’ai envie de ta queue, encule moi, baise moi.
– T’aimes çà, t’aimes ma queue!
– Plus fort, plus fort! Oui, encore, encore, bouge bien !
– Huuummm, c’est bon ça. Tu aimes ?
– Aaaaah, putain que c’est bon ! T’as un beau morceau, mon cochon !
– …
– Elle est grosse !
– Ah la vache, qu’elle bitée !
– Oh oui ! Vas-y mon chéri, encules-moi bien à fond, défonce moi…
– Tiens tiens ! Daniel, je te casse ton cul ! Enculé !!!
– Vas-y pousse ! Pousse ton gros dard !
– Putain, ça monte, ça monte !!!
– Ouiii !… Baise-moi !… Fais-moi jouir… avec ta queue !… Aaah !… Encore ! Je vais juter !!!
Je me mets à le pénétrer de plus en plus vite, puis de plus en plus fort, puis sans plus aucune douceur, je le pilonne avec force…Il contracte son anus autour de ma queue, comme pour me garder à jamais dans son corps. Je le branle de nouveau. Très vite, la jouissance nous ratt****, dans un concert de cris et une violente explosion de sperme dont je ne me suis pas cru capable.
Annie m’embrasse en riant presque de tout le bonheur que nous avons partagé.

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