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Dernier jour de vacances

Dernier jour de vacances



C’est notre dernière journée de vacances au camp naturiste. Nous venons de passer un mois sans vêtement et l’idée de nous rhabiller, nous fait vraiment bizarre. Avant de partir, Alain me propose d’aller faire un dernier tour à la plage. Main dans la main, nous repensons chacun à tous ces merveilleux moments que nous avions passé ici. Notre rencontre avec nos amis Corine et Jacques, le dépucelage de leur fils David, à notre partouze d’hier soir sans toutefois ne rien se dire.

Le soleil darde déjà et nous nous allongeons pour profiter une dernière fois du soleil. Je ne suis pas longue à m’endormir en repensant à toute cette débauche. Je suis réveillée par une main qui titille mon clitoris. Alain me caresse la chatte. Je lui caressais sa queue qui présente déjà une belle érection. Alain m’enfile dans une profonde pénétration voluptueuse. Nus dans ces dunes désertées par l’heure matinale, nous sommes seuls au monde et nous prenons notre pied. Alain se retira et j’essuie sa semence qui coule hors de ma chatte.

Nous pensions être seul mais il y avait un voyeur non loin de nous qui se tripote. Voyant que je lui fais de l’effet, Alain lui propose de venir me baiser.
« Ne reste pas comme ça ! Viens, elle va t’sucer et tu pourra la sauter si tu veux. Elle n’attend que ça ! »
Le salopard, il lui propose de me baiser, sans me demander mon avis. Le voyeur ne se fait pas prier et s’installe entre mes cuisses prêtes à le recevoir. Ma chatte est encore grace du sperme de mon homme. Il s’enfonce en moi sans difficulté. D’une main il me pétrit les seins. Il met mes jambes sur ses épaules pendant qu’il donne des coups de reins et me laboure la chatte en profondeur. Alain pendant ce temps se masturbe devant le spectacle. Le jeune homme est si excité qu’il éjacule rapidement. Il retire et nous remercie tous les deux, en nous disant :
« Ta femme est trop bonne. Pourquoi ne viendriez vous pas ce soir chez moi ? »
« C’est très gentil mais nous partons aujourd’hui et nous avons d’autres amis à qui nous devons dire au revoir ! »
Il insiste lourdement.
« Je vous invite au restaurant ce soir. Vous partirez que demain matin si vous voulez. »
« Bon ok mais dés demain matin nous dégageons ! »
Le soir, nous nous présentons au rendez-vous de cet inconnu.
« Bonsoir, c’est très gentil de nous avoir invité à passer une dernière nuit chez vous ! »
« Après le dîner, j’ai penser qu’il serait intéressant de vous emmener chez un de mes amis si cela vous tente. »
« He bien pourquoi pas ! Nous sommes ouvert à toute nouvelle expérience. »
Durant le repas, Marc ne se gêne pas pour me tripoter devant Alain qui regarde son manège avec un sourire coquin. Après le repas, nous nous rendons chez son ami. Au bout d’une longue allée se dresse une jolie maison bourgeoise. Nous sommes accueillis à bras ouverts par un homme d’un certain âge aux cheveux blancs.
« Vous êtes les bienvenus, venez nous allons ouvrir une bouteille de champagne ! »
Marc raconte en détail à son ami comment il m’a baisé dans les dunes.
« Fait découvrir à Michèle, les installations que tu as réalisé dans ta demeure. Je suis certain qu’elle aimera les essayer ! »
Me prenant par la taille, il m’emmene dans une pièce du sous-sol entièrement aménagée en donjon BDSM.

« Les personnes qui entre ici m’appellent Maître Jean. Est-ce que cela vous tente d’essayer mon matériel? »
Puis s’adressant à Alain :
« Je peux faire découvrir à votre charmante compagne les plaisirs du BDSM par une séance très soft pour une première fois. »
Je regarde Alain apeurée. Je reçois comme une décharge électrique quand j’entends mon homme lui répondre :
« Michèle n’a jamais essayé ce genre de pratique et je serais curieux de la voir se faire dresser avec ces instruments ! »
Ils me retournèrent comme une crêpe. Notre ôte n’était déjà plus  l’homme charmant qui nous avait reçu. Le ton de sa voix avait changé. Ils m’attachèrent les pieds et les mains à une croix de St André.

Puis, Maître Jean, muni d’un fouet, commence à me frapper doucement. Les lanières effleurent mon sexe, mon ventre et mes seins. Maître Jean me fouille la chatte sans ménagement.
« Tu mouilles salope ! T’aime te faire caresser avec le fouet ! »
Il reprend son fouet et cingla mon corps plus violemment cette fois. Les lanières du fouet claquèrent des partis sensibles de mon corps. Je me tortille de douleur sur ma croix. Ma peau se zébre de traces rougeâtres.

« Arrêtez, je vous en prie ! »
Il cesse de me frapper. Sa main glisse entre mes fesses et fouilla mon minou qui curieusement dégouline de cyprine. Son pouce s’enfonce dans ma rosette qu’il a graissé au préalable avec ma mouille. J’accompagne de petits coups de rein, le mouvement de ses doigts dans mon vagin et dans mon cul. 
« C’est vrai qu’elle est très accueillante votre femme cher ami. Bon, pour une première séance c’est pas mal. Elle a des dispositions très intéressante votre salope ! »
Il me détache et me dit :
« Maintenant, nous allons te donner du plaisir ma belle. »
Tous les trois se mettent à me caresser et me tripoter de partout en guise de préliminaires. Je suis chaude comme de la braise et un gangbang commence.

Après cette baise déchaînée, où les hommes se sont déversés en moi et où j’ai eu un orgasme très violent, nous nous retrouvons tous dans le salon autour d’une autre coupe de champagne.
« Michèle, tu as des dispositions extraordinaire pour ce genre d’amusement ! Si tu veux approfondir la pratique du BDSM, tu es la bienvenue. »
« Je vous remercie Maître. Mais les traces que vous m’avez laissé sont douloureuses. »
« Mais je suis certain qu’Alain aimerait que vous continuiez cette nuit votre apprentissage ! »
« Ho oui avec grand plaisir ! Ma chérie, tu es si belle quand tu joui dans la douleur ! »

« Bien……Si c’est pour te faire plaisir ok ! »
« Bien, bien ! Nous allons bien nous amuser ensemble. Michèle, tu connais le chemin pour te rendre à mon donjon. Je vous rejoins dans quelques instants. »
Alain et Marc me suivent jusqu’au sous sol mais je me suis trompée de porte. Quelle n’est pas ma surprise de voir dans cette pièce, une femme attachée en croix. Alain et Marc amusés par cette découverte, prennent des photos. Alain me demande:
« Tu es bien sur de vouloir faire ça? »
Entre temps Maître Jean arrive et s’adresse à Marc:
« Je vais vous demander de n’être que spectateur. A aucun moment vous ne devrez intervenir dans mon travail de dressage.! Alain vous pouvez, bien entendu, prendre des photos souvenirs ! »
Le Maître m’installa sur un de ses engins de torture. A quatre pattes pieds et mains liés, les fesses à l’air sur une sorte de chevalet, tout en me traitant de tout les noms.

« Petite pute, tu veux être traité comme une chienne devant ton mec et ton amant ? Pour te punir d’être un sac à foutre, tu vas subir une sévère correction. »
Il commence à me fouetter doucement.

Alain prend des photos. Après un quart d’heure de repos, il reprend de plus bel me fouettant le tout le corps de plus en plus fort
« Ecartes tes cuisses de salope que je regarde si tu mouilles ! »
Il passe sa main sur ma chatte qui est trempée.
« Tu mouilles espèce de chienne. Je vais te donner une correction dont tu te souviendra ! »
Il me fouette de nouveau jusqu’à ce que je le supplie d’arrêter. A chaque coup de fouet mon corps se cambre de douleur. Dans ma douleur, je me dis que je vais avoir les traces des lanières pour plusieurs jours. Alain et Marc, se repaissent du spectacle sans rien dire. Maître Jean invite les deux mâles à me fourrer la chatte en même temps. Après s’être tous vidé dans ma chatte, Maître Jean pour me punir d’avoir criée, me fouette les seins déjà endoloris. Maître Jean me détache en me demandant :
« As-tu aimé ton dressage ? Il faudrait maintenant que ton compagnon continue à t’éduquer pour que tu deviennes une vrai salope soumise. Tu peux toujours venir me voir quand tu le désires, c’est avec plaisir que je t’apprendrais d’autres formes de soumission. »
Sur le chemin du retour, Alain me pose plein de questions.
« Je ne comprends pas que tu aimes cela. Toi qui aime la douceur et les longs préliminaires ? »
« Au début de la séance, je n’ai pas aimé et je regrettais presque d’être venue, mais ensuite je sentais le plaisir monter en moi, je ne ressentais plus la douleur, elle a fait place une jouissance que j’ai du mal à t’expliquer mais que je n’ai jamais connu. »

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