
Arrivé chez moi, je décidais de ne plus prendre de rendez-vous jusqu’au prochain problème monétaire, après tout j’avais de quoi finir le mois maintenant. Malgré tout, j’avais encore 2 rendez-vous le lendemain, un à 15h et un autre en soirée avec un client connu ce qui ne me stressée guère.
Le lendemain, après avoir fait la flemmarde au lit, je me levais et mangea. Puis, j’allais me préparer, jean, conserve et petit dos nu sans soutif pour mon premier rendez-vous. A 15h, j’étais au bar en attendant mon client. Et quelle ne fut pas ma surprise en voyant débarquer mon prof de civilisation anglaise que j’avais eu en TD la veille même. Pas forcément beau mec, dans les 35 ans, un mec tout ce qu’il y a de plus banal. Lui aussi me reconnu. Et là j’hésitais à y aller mais lui, finalement me demanda où on allait. Visiblement, lui ça le gène pas de se faire sucer par une de ses étudiantes. Finalement, je me leva et me décidais à l’emmener chez moi. Et là, comme les autres, je le fis s’asseoir sur le clic-clac, le prépara, lui mit la capote et commença le boulot. J’avais du mal à m’enlever de la tête que j’étais en train de sucer un de mes profs. Mais je m’y mettais de bon cœur et mon prof appréciait. Il me caressait ma tête et finit par faire glisser sa main dans mon haut et me caressait la poitrine. Je ne sais pas si c’était le fait que c’était mon prof, qu’il détenait un certain pouvoir sur moi, mais je me laissais faire. Lui me caressait les seins, me pinçait les tétons, me les tortillaient… Il finit par jouir dans ma bouche puis il se retira, enleva sa capote, la ferma et la mit de coté. Mais il restait assis et commença par me questionner pourquoi je faisais ça ? etc… Je lui donnais des réponses vagues qui avaient l’air de le contenter. Puis finit par poser cette question : « est ce que tu vas plus loin avec tes clients ? » Je lui demandais « comment ça plus loin » et me répondit « est que tu passes à l’acte sexuel en lui-même, pénétration, sodomie… » Je lui répondis par la négative sans m’épancher sur le sujet et lui me répondit « dommage, si tu baises aussi bien que tu suces, tu aurais du succès ! ». Je dois avouer que j’étais sur le cul qu’un prof, quoique client, me dise ça ! Il se leva et parti de chez moi sans oublier de payer et en partant me dit, « à une prochaine fois comme client, à vendredi comme prof ».
Après m’être remise de mes émotions, je décidais d’aller faire un tour en ville pour m’aérer et me changer les idées avant mon prochain rendez-vous. Après avoir fait les magasins pendant 1 heure, je rentrais chez moi. Je décidais de rester comme j’étais habillée. Arrive l’heure de mon rendez-vous. Je descendais au bar et me mit à attendre mon client tout en sirotant une menthe à l’eau sur la terrasse ensoleillée en cette fin septembre. Mon client arrive, toujours aussi charmant, habillé assez décontracte avec une chemisette blanche en coton style baroudeur revenant d’Afrique. Je le fis monter chez moi et s’asseoir sur le clic-clac. Je lui déboutonna son pantalon et lui mit la fameuse capote, goût fraise pour changer un peu. Lui me demanda d’enlever mon haut comme la dernière fois, mais là problème je suis sans soutif mais l’enlève après tout le précédent m’a tellement caressé la poitrine que je vois plus l’intérêt de la cacher pour aujourd’hui. Je me déshabilla et me retrouva les seins à l’air sous l’œil plutôt ravi de mon client. Je commençai à lui faire une pipe mais j’arrêtais rapidement le goût fraise étant vraiment dégueu. Je lui demandais si je pouvais continuer sans la capote et me répondit positivement avec un grand sourire ravi. Je lui enlève donc et repris la fellation. Je décidais de lui faire une pipe royale, c’était mon client préféré après tout. En je me mis vraiment à le sucer d’une manière terrible. Il apprécié ses caresses se faisait sentir et lui aussi me caressa les seins mais de manière beaucoup plus douce mais beaucoup plus excitante et là je mouillais carrément et je finis par déboutonner mon jean et je commençais à me caresser. Je n’avais plus le sentiment d’avoir affaire à un client mais à un mec avec qui je pourrai m’envoyer en l’air. M’en activant sur sa queue et dans ma chatte la situation devenait ambiguë. Mon client finit par m’annoncer qu’il allait jouir mais je le gardais en bouche, j’avais envie qu’il vienne dans ma bouche. Et effectivement, il se mit à jouir dans ma bouche, plusieurs jets assez importants, j’avais la bouche bien remplie et le sperme se mit à s’échapper de ma bouche pour couler sur mes seins et mon ventre. J’avalais sa liqueur de sexe avec joie. Mon plaisir finit par exploser lui aussi. Après quelques minutes où je laissais ma tête posée sur un de ses hanches, je me mis à lui nettoyer sa verge avec ma langue puis me leva pour essuyer le sperme qui avait coulé sur moi. Il se rhabilla puis me paya en laissant un pourboire. Il quittait mon studio et me disant qu’il espérait bien me revoir, le plus rapidement possible.
J’allais prendre ma douche puis je décidai de me faire à manger tout en pensant à ce que je pourrai bien faire ce samedi soir là. Vers 23h, je décidai d’aller en boite pour m’amuser un peu. Il est vrai que je connaissais peu de monde à Paris et je me disais que ce sera une bonne occaz de rencontrer du monde mais en même temps j’y invitais Stef. Et là, je préparai la tenue spéciale boite, genre petite allumeuse, jupe courte, bottes, haut sexy, sous lequel je mettais un adorable ensemble de lingerie rouge. On faisait souvent avec Emilie, ma meilleure amie, partir en chasse dans les boites du coin d’où je viens. Je me décidais à aller dans une boite à la mode à Paris dans le Marais. Au moins maintenant je pouvais me payer l’entrée avec le petit pactole pris, tant pis pour les fringues chics de M.R.
Allez en avant, on arrivait devant la boite et on y rentrait sans difficultés. On s’est posé dans un coin prêt du dancefloor, puis on alla s’éclater un peu. Assez rapidement, des mecs vinrent nous tenir compagnie. Dans le lot, j’en remarquais un qui me relookait et pour tout dire, il me plaisait plutôt pas mal. Au fil de la nuit, on était de plus en plus proches. Il s’appelait Fabien, il était blond, assez bien foutu, un bon mètre 90. On commençait à discuter puis vers 4h il me proposa de finir la soirée chez lui, ce que j’acceptai bien volontiers.
Il habitait vers République. Arrivés chez lui, il me proposa un verre, que je déclinais puis m’embrassa direct. Il me poussa jusqu’à son lit sur lequel je me couchais entraînant Fabien avec moi. Il commença à me déshabiller en levant mon haut et ma jupe, je me retrouvais rapidement en soutif, string et bottes qu’il finit par enlever délicatement tout en embrassant mes jambes sur toute leur longueur. Je lui enlevais sa chemise, faisant apparaître un corps d’athlète avec des muscles assez saillants et je lui déboutonnais son pantalon, et bientôt, il se retrouva uniquement habillé de son boxer noir, sous lequel son sexe formait une belle bosse. Fabien m’enleva mon soutif et commença à m’embrasser les seins dont les tétons étaient déjà bien excités par la situation. Pendant ce temps, je commençai à le branler et une de ses mains finit par s’égarer sous mon string. Il l’arracha carrément sans prendre le temps de me l’enlever et glissa ses doigts dans ma fente bien humide. Il me doigtait avec douceur mais avec fermeté et surtout avec efficacité. Je me sentais défaillir sous l’action de ses doigts qui me fouillaient. Il se tournait et se mit en position de 69. Je lui enlevais son boxer pour faire apparaître un sexe d’une taille assez importante, pas aussi impressionnante que celle de M.R mais tout de même assez longue et grosse. Je me mis à le sucer avidement tellement j’étais excitée. Lui se mit à me titiller mon clito avec sa langue et se mis à me lécher la chatte comme rarement on me l’avait fait. Je le suçais goulûment, alternant le léchage de ses couilles, qui il faut le préciser étaient rasées tout comme son pubis, puis son sexe en laissant glisser ma langue le long de sa bite. Il me donnait tellement de plaisir que je finissais par jouir. Il changea à nouveau de position, il s’étendait sur le lit et me demanda de me m’être à 4 pattes devant lui pour le sucer, ce que je fis. Je recommençais à le sucer dans cette position, le cul bien relevé. Lui commença à me caressa le dos puis laissa glisser sa main vers mes fesses qu’il pellottait. Puis il se mit à titiller mon anus avec son index tandis qu’avec son autre main il me caressait la tête. Je le laissais faire même si je n’étais pas une adepte de la sodomie que je réservais à mes petits amis (en l’occurrence je me suis fait sodomiser que par un seul, le dernier en date). J’étais tellement excitée que mon anus s’ouvrait facilement qu’il finit par y glisser son doigt qu’il avait lubrifié avec ma mouille en me caressant ma chatte toute humide et commença à faire un va et vient qui me procurait encore plus d’excitation. Il se mit à gémir puis jouit dans ma bouche en plusieurs jets d’un sperme épais mais aussi très savoureux et je l’avalais donc avec joie. Je remontais tout en faisant glisser mon corps sur son sexe pour l’embrasser.
Après quelques instants de pause câline, il sortit un préservatif qu’il enfila. Moi, je me couchai sur le dos en écartant les jambes et il me pénétra en douceur. Il commença un doux va et vient qui me fit gémir de plaisir. Il alternait une baise rapide et assez violente avec des mouvements lents et doux. Bientôt, il se retira pour s’allonger à coté de moi et me fit venir sur lui. Je m’empalais sur son sexe je met la cadence au rythme que j’appréciais, ni trop rapide, ni trop lent puis j’accélérais la cadence. Mais à nouveau, il décida de changer de position et il me mit à 4 pattes et se mit derrière moi pour me prendre en levrette. C’est la position que je préfère, j’y prends un max de plaisir et je dois avouer que le fait d’être dominée m’excite. C’est dans cette position que j’ai senti un orgasme monter qui me fit exploser dans un cri de jouissance après une bonne dizaine de minutes de baise en levrette. Il jouit quasiment immédiatement en moi et s’écroula sur mon dos me faisant m’allonger sur le ventre. Je me retournais pour me mettre sur le dos, lui c’est redressé et enleva sa capote et la vida sur mes seins. Il étala son sperme sur ma poitrine et fit glisser sa main pleine de sperme sur mon visage et me la fit lécher. Une fois sa main propre, il me présenta sa bite pour que je la lui nettoie ce qu’évidemment je fis en amante docile. Après cela, je suis allée me nettoyer dans la salle de bain. Je finis la nuit dans ses bras.
Le lendemain matin, je lui laissais un faux numéro car même s’il s’était avéré un excellent amant, je ne comptais pas le revoir.
De retour chez moi, je me recouchais après les efforts de cette nuit. Après une longue sieste, je me connectais au site et je refusais les rendez-vous qu’on me proposait.
C’est le mardi soir suivant que mes petites affaires reprirent. J’ai reçu un appel de M.R qui me demandait d’accompagner un client ce jeudi soir ce que j’acceptais. Le mercredi, après mes cours, je dus aller m’acheter un ensemble class mais sexy. Je choisis un tailleur assez court pour sa jupe et un petit chemisier assorti qui me permettait de faire un décolleté que ne pouvais qu’apprécier le client de M.R. Je m’en sortais avec l’argent donné et il m’en restait assez pour aller acheter de la lingerie sexy que je mettrais sous mon tailleur.
Ce jeudi soir, un taxi vint me chercher en bas de chez moi et m’emmena au siège de l’entreprise de M.R. Celui-ci m’attendait dans son bureau, il me complimenta sur la manière dont j’étais habillée et me présenta ce qu’il attendait de moi. Son client ne tarda pas à arriver. C’était un homme d’une soixante d’année assez bien conservé pour son age. M.R nous emmena dîner dans un restaurant chic du centre-ville, où il avait l’air d’avoir ses habitudes.
Après un repas de 2 bonnes heures, accompagné d’une discussion concernant leurs affaires, M.R commanda un taxi qui devais nous raccompagner à l’hôtel ou loger son client et lui pris sa voiture pour rentrer chez lui.
Arrivés à l’hôtel, j’accompagnais celui qui était désormais mon client jusqu’à sa chambre. Il me proposa un verre dans sa chambre que j’acceptais. Il me parla du beau temps et de plein d’autres choses et finalement me raccompagna jusqu’à sa porte de chambre et il me dit : « je sais pourquoi vous êtes là mais vos services ne m’intéressent pas, non pas que vous ne soyez pas ravissante mais juste que je ne suis pas habitué à ça ». Je sortis de là, plutôt ravie de n’avoir rien fait mais d’avoir gagné de l’argent.
Le lendemain midi, M.R m’appela pour me demander comment cela c’était passé et pour me dire que ma paye serait virée à la fin du mois, c’est-à-dire dans deux jours. Je laissais passer 2-3 jours sans rien faire en suivant normalement ma vie d’étudiante. La paye arriva enfin avec un chèque de 200€ pour mes services rendus. Cet argent me permit de payer mon loyer ainsi que mes factures de fin de mois mais mon compte se retrouvait à nouveau à sec, il faut dire que je ne me suis pas franchement privée ces derniers temps de nourriture correcte, ça change des éternelles pâtes, ainsi que de petits plaisirs de la vie. Tout le dilemme se posait là : devais-je continuer sur cette voie ou arrêter ? En fait, le besoin de sous et un peu l’envie d’une vie plus sympa exigeait des sacrifices et donc je me résolus à continuer mes petits extras.
Le lundi soir, je me connectais donc pour voir si j’avais de potentiels clients. Mon tout premier client était de retour et ce fut le seul que j’acceptais. J’avais rendez-vous avec lui mercredi soir à 19h
Ce mercredi soir, je m’habillais de façon classique, un petit haut moulant avec un jean et des dessous en dentelle jaune. Lorsque nous sommes remontés à l’appart, il me demanda comme d’habitude d’enlever mon haut, ce que je fis, et me demanda si c’était possible de faire comme la dernière fois sans capote ce que j’acceptai, vu que j’avais que ces capotes au goût dégueu. Je commençais à le caresser puis le branler pour le faire bander ce qu’il fit rapidement. Puis je me mis à lécher son sexe et ses couilles et j’avalais son sexe pour commencer à le sucer. Lui, se mit à me caresser la tête puis ses mains glissèrent dans mon dos, tout en passant sur mes seins. Ses doigts glissèrent sous mon soutif et il se mit à triturer mes tétons qui se durcirent immédiatement. Je sentis une de ses mains s’attaquait à mon attache de soutif et ma poitrine fut rapidement desserrée de sa prison de dentelle jaune. Il me malaxait les seins de sa main gauche tandis qu’avec sa main droite il donnait le rythme en me tenant ma tête tout en me caressant les cheveux. Il gémissait sous mes coups de langue sur son sexe que je suçais avidement. Il finit par se retirer brusquement de ma bouche et se mit à se branler au-dessus de mon visage. Il éjaculat sur mon visage et sur mes seins plusieurs giclées d’un sperme épais et chaud. J’ai été me laver au lavabo de ma chambre et lui et aussi venu se nettoyer au même lavabo.
D’un coup, il me demanda ce que je faisais ce soir, si je voulais dîner avec lui. J’acceptais son invitation, après tout je ne m’engageais à rien. Je décidais donc de me changer, donc je le fis se retourner, pour mettre un ensemble de lingerie noire sous un pantalon noir et un petit haut à manches longues et assez décolleté. Il m’emmena dans un restaurant italien situé non loin de chez moi. Là-bas tout en mangeant, on discuta de nos vies. Il s’appelait Samuel et était grand reporter free-lance mais souvent à l’étranger, par exemple il était revenu depuis 15 jours d’un reportage en Afrique Noire et allait bientôt repartir, d’ici une dizaine de jours en Afghanistan. En sortant du resto, il raccompagna jusqu’à chez moi et me demanda si c’était possible que je le suce de nouveau, proposition que j’acceptais.
Montés chez moi, j’enlevais mes habits et défit mon soutif ne restant qu’en string. Je le suçais pendant un bon quart d’heure pendant qu’il me caressait le corps, faut dire que la position dans laquelle je m’étais mise ne pouvait que l’encourager. Je m’étais mise à 4 pattes sur le clic-clac à ses cotés. Bientôt, ses mains s’égarèrent sous mon string et il se mit à me caresser ma chatte qui s’est immédiatement humidifiée. Samuel finit par jouir dans ma bouche mais je restais dans la même position et lui, continuait à me caresser.
Puis il demanda si on pouvait aller plus loin, si j’acceptais de lui offrir mon corps contre de plus d’argent, qu’il était prêt à payer. Je dois avouer que je pensais que cela finirai par arriver vu la certaine liberté que je laissais à mes clients. Alors, même si je ne voulais pas au début, je finis donc vite à me trouver face à ce point de non-retour.
Et là en quelques secondes, je devais donner une réponse qui allait tout de même transformer ma vie puisque le pas à franchir est énorme.
Ajouter un commentaire