
Le journal d’une salope
-Comment une salope pense?
-Qu’est-ce qui se passe dans sa tête lorsqu’elle est en action?
-Comment on devient une salope?
-Jusqu’où peut-on être cochonne?
Ça vous intéresse?
Lisez le journal d’une salope, ouvert à vous pour votre plus grand plaisir.
Je suis en train de regarder un navet érotique à la télé; quelle platitude! Je m’emmerde!
[TOC! TOC! TOC!]…
Quelqu’un pour me sauver d’une soirée horrible? Je l’espère! La porte s’ouvre et le visage d’un mon ami apparaît. Il me salue et me demande ce que je fais de beau. Je lui réponds :
« Rien de bien spécial… je m’emmerdes devant un film érotique.Qu’est-ce qui t’amènes? »
« Je m’emmerde aussi. T’aurais pas des envies pendant que ton bonhomme roupille? »
« Hmmm… et bien, qu’est-ce que tu aurais envie de faire? »
« Regarder ton nanard érotique et plus peut-être ! non? »
« Tu as raison! On va regarder le film érotique ensemble ! »
« C’est quoi ce film ? »
» Drill My Ass & Cum Shot Me… »
« C’est pas un érotique çà , c’est un porno ? »
En rigolant, et rougissante :
« J’en ai comme l’impression. »
« Tu es toujours aussi salope toi ma grande ! »
» C’est pas pour te déplaire Non… ? Ca va être drôle d’en regarder un avec toi! « drill my ass », ça veut bien dire « ramone-moi le cul ? »
« Oui, oui ! »
Un peu mal à l’aise quand même, voilà qu’à la télé, la fille se fait déjà sodomiser profondément par un mec avec une queue énorme. Il l’encule intensément une bonne quinzaine de minutes avant de juter tout son sperme dans sa bouche, qu’elle recrache sur ses seins. Je suis subjuguée par le film et je mouille. Sans m’en rendre compte, je me trémousse sur le fauteuil. Je lui demande après cette scène :
« T’aime sodomiser une femme? »
« Euh… qu’est-ce que tu veux dire? »
« Et bien, admettons que je te dises de m’enculer. Est-ce que ça t’exciterait? »
« Evidemment quelle question ? »
« Là, tout de suite, j’en ai envie! J’ai envie que tu me sodomise et que tu jouisse dans ma bouche comme dans le film. »
Mon ami ne répond pas mais affiche un sourire qui en dit long.
La fille dans le film baisse les pantalons du mec et le suce sans plus attendre en entrant sa queue profondément dans sa gorge, jusqu’à en avoir des larmes!
« La fille du film me ressemble en plus! Tu ne trouves pas? »
« C’est vrai qu’elle te ressemble cette salope. Et bien puisque tu le dis viens me sucer ! »
Mon coeur palpite de plus en plus fort en me mettant à genoux entre ses cuisses. J’ouvre sa braguette d’où jaillie son sexe déjà bandé. Je me met aussitôt à le sucer. Je lâche un peu sa queue pour lui demander très coquine :
« Si j’étais une actrice porno, est-ce que tu te branlerais en me regardant? »
« Tu as d’autres questions aussi idiote ? Allez suce moi au lieu de dire des conneries ! »
Je me remis à pomper sa grosse queue. De temps en temps je lèchai ses couilles. Pour me punir de mon comportement, il sorti de ma bouche et comme dans le film commença a me baiser le cul. Il me défonçait si fort que je hurlerais comme une salope.
« Quand tu seras sur le point de jouïr, je veux que tu me le dises, d’accord? je veux voir le sperme jaillir de ton pénis et m’éclabousser la figure ! »
« Défonces moi plus vite, je veux du sperme, je veux que ça explose partout.! »
Alors que l’intensité semble à son maximum , il me crie:
« j’vais éjaculer! »
Il se retire de mon cul et devant mon visage une avalanche de liquide blanc sort de sa queue.
« Continues de te branler jusqu’à ce qu’il n’y ait plus une goutte de sperme dans ta queue, compris? Fouts en partout! Je nettoierai ensuite avec ma langue! »
Mon coeur s’emballe à un tel point que ça fait presque mal et une foule de sentiments contradictoires surgissent en moi alors que d’une part, je suis extrêmement excitée. je place ma bouche ouverte près de sa queue, sans pouvoir prédire dans quelle direction le sperme irait. Une grosse giclée de sperme blanc est propulsée avec force dans ma bouche avant même que je sois complètement placée. Puis une deuxième giclée jaillit puis une troisième. J’avale son sperme alors que les dernières giglées atteignent mon visage. Je passe mon doigt sur ma figure et recueille le sperme qui dégouline sur le côté de mon oeil jusqu’à mes lèvre. Je mets aussitôt le tout dans ma bouche, et j’avale cette sauce acide et salée.
« Je vais aller chercher quelque chose pour essuyer ça. » Je lui dis aussitôt, ne voulant pas avoir l’air d’une fille coincée.
« Non, reste assis là et laisse-moi faire, d’accord? » Je me glisse entre ses jambes, à genoux au sol en lui caressant les cuisses sensuellement de mes deux mains. Je contemple son gland, toujours gonflé, gluant de sperme. Je me sens encore plus salope. Je le suce et le léche pour nettoyer sa belle queue gluante . La sensation d’être une véritable salope qui avale du sperme juste parce qu’elle est une vilaine petite cochonne, ça n’a pas de prix! Pourquoi donc le fait d’avaler le sperme de mon ami me fait me sentir aussi bien? Mon ami prend congé et je m’endors dans le canapé.
Il doit s’être écoulé environ une semaine depuis que mon ami a rempli ma bouche de sperme. J’ai envie de me maquiller aujourd’hui et de me préparer pour être la plus belle possible. Je met de la musique pour me motiver! Ensuite, j’ai commencé à me raser partout en dansant au rythme de la musique, les jambes, les aisselles et la chatte. Très satisfaite du travail que je venais d’accomplir, je me regardais mes jambes, puis mes fesses dans le miroir en me retournant, voyant qu’il ne restait pas la trace d’aucun poil. En regardant mon trou du cul, je me dis à moi-même que je me ferais bien enculer. J’adorerais voir ce petit trou se faire défoncer par une grosse queue comme celle qui m’a nourrie la semaine dernière. Il n’y a pas si longtemps, j’étais certaine qu’il fallait être une conne pour se faire éjaculer dans la bouche et avaler. Pourtant, au final, je dois avouer que c’était vraiment excitant. Maintenant que je suis douce à la grandeur du corps, c’est le temps de prendre une bonne douche rapide! Une fois dans la douche, en sentant la chaleur du jet d’eau sur ma figure, je me sentais comme une salope, sans trop savoir pourquoi. Je me suis surprise à ouvrir la bouche et sortir ma langue pour recevoir de l’eau dans ma bouche, que j’ai avalée sauvagement, en serrant très fort la pomme de douche.
Qu’est-ce qui m’arrive? J’ai l’impression que mes hormones doivent agir à leur maximum! Pourtant, je n’éprouvais pas autant le besoin de me sentir salope avant d’avaler du sperme… Quoiqu’il en soit, je suis sortie de la douche et j’ai séché mes cheveux, que j’ai ensuite attaché en queue de cheval. C’est maintenant le temps du maquillage! Je veux être parfaite! Je veux me voir à mon maximum! Mes lévres avec ce on l’air d’être faites pour traire des glands! Comment en suis-je venue à vivre pour le sexe de la sorte? Le pire, c’est que j’adore ça! Tout d’un coup, alors que je me croyais seule, j’ai aperçu mon ami de la semaine dernière se pointer près de la porte de la salle de bain, sans T-shirt. N’est-ce pas un peu stéréotypé de retomber assez rapidement sur le mec dont vous avez avalé la semence? Qu’est-ce qu’il peut bien avoir en tête? Je lui ai proposé de rester un peu en écoutant ma salope intérieure… Et bien quoi, il fallait bien que quelqu’un puisse admirer comment j’étais belle présentement, en petits leggings, qui laissent presque voir mes fesses. J’aurais aimé qu’il arrive un peu avant alors que je me rasais entre le trou du cul à quatre pattes dans la salle de bain. J’aurais alors fait semblant de ne pas savoir qu’il était là, et j’aurais espérer de tout mon cœur qu’il me regarde en espérant ne pas se faire prendre. Je lui aurais montré mon désir d’être enculée, il en aurait profité.
Je suis ramené à la réalité alors qu’il accepte ma proposition de rester un peu!
« Voudrais-tu te faire bronzer avec moi? »
Je n’avais donc pas trop le choix de me faire bronzer sans mes vêtements, sans quoi ça n’aurait aucun sens. Mais en même temps, je ne PEUX PAS me faire bronzer sans mes vêtements… pourquoi j’ai dit ça? Qu’est-ce qui m’arrive?!? Pourquoi je suis salope même malgré moi? Bon, je note, règle numéro 1 : ne pas parler à un mec en vous imaginant en train d’avaler son sperme! Sans même le vouloir, c’est la salope en moi qui a parlé, qui se fait de plus en plus présente d’ailleurs! Quoiqu’il en soit, maintenant que c’est fait, je n’y peux plus rien, il ne reste plus qu’à espérer que ça lui sorte de l’esprit… je lui ai dit : « Ok! Attend un petit peu que je termine avec mes cheveux tant qu’à les avoir commencés, et je suis toute à toi! » Je regarde subtilement dans le miroir en me faisant belle (avec une très bonne raison maintenant) et je le vois me regarder de la tête aux pieds, il a vraiment l’air de me trouver belle! C’est comme s’il essayait de ne pas regarder, mais que c’est plus fort que lui! Oui! Loin de moi le désir de vouloir le faire bander mais… quoique pas si loin que ça, ce désir finalement… Mais qu’est-ce que je dis là! Continue tes cheveux, arrête de le regarder et arrête d’y penser, et pense encore moins à sa queue en érection! Mon Dieu, c’est d’autant plus difficile que son regard est arrêté sur mes fesses, qu’il semble trouver très agréables à mater… Petit pervers!
Alors que j’arrive finalement à me concentrer sur mes cheveux, il me demande si je peux le laisser aller aux toilettes parce qu’il a vraiment envie de pisser. Un petit sourire espiègle se dresse sur mes lèvres et je lui dis : « Est-ce que ça te dérangerait beaucoup si je continuais avec mes cheveux pendant que tu éjacu… Euh! Pendant que tu évacue? À moins que tu sois gêné? » Que je peux être bête! Je n’arrête pas d’y penser! Il m’a répondu que c’était correct en riant un peu, et je savais qu’il répondrait ça ; je savais que si je lui demandais si ça le gênait, qu’il ne pourrait pas me dire que c’était le cas, à cause de son orgueil! Je continue alors avec mes cheveux, mais cette fois, c’est moi qui le regarde sans être capable de m’en empêcher ; je ne le vois que de dos, mais j’aime bien le regarder dans un moment aussi intime, en l’imaginant défaire son pantalon et sortir son pénis prêt à jaillir! Je ne suis quand même quand même qu’à 2 mètres de distance de lui! J’attends impatiemment le moment où je l’entendrai pisser dans la toilette, en espérant que son pénis jaillisse avec force… je sens mon coeur débattre, je suis excitée?!? C’est à n’y rien comprendre, il n’y a pourtant rien d’excitant, non?
Je ne peux penser qu’à sa queue bandée, que je ne peux m’empêcher d’imaginer près de mon visage! Qu’est-ce qui m’arrive? J’ai des réminiscences de ma douche et du jet d’eau chaude que je prenais dans la bouche pour avaler, mais c’est le pénis de mon ami qui est là dans mon esprit et non la pomme de douche si vous voyez ce que je veux dire… ça me donne des frissons d’excitation incroyables! J’en ai totalement oublié mes cheveux. Le bruit qu’il ferait en pissant se laisse désirer, ça ne vient pas et ça doit faire 30 secondes que j’attends! J’en meure d’impatience! Je me retourne vers lui et je lui dis, impatiente, en le regardant de la tête aux pieds : « Tu ne voulais pas pisser? » Il me répond : « Et bien… c’est un petit peu gênant quand même… » Alors je le gêne… Le fait de l’avoir gêné m’excite, je sens mon coeur s’emballer et des petits tremblements m’envahir tout le corps! Dans l’émotion, j’échappe mon élastique à cheveux au sol en disant : « C’est gênant? », pour ensuite le ramasser, sans même plier les genoux, pour que mes fesses ressortent le plus possible. Je sentais mes leggings me rentrer dans la craque de fesses si fort… j’ose à peine imaginer ce que je viens de lui laisser voir! Tu aimes regarder mes fesses? Alors sers-toi et regarde les, sale pervers! Essayant de contenir mon excitation, sans même replacer mes leggings, comme si je n’avais même pas conscience qu’ils sont dans mes fesses, j’ai dis, les mains tremblantes : « Qu’est-ce qui est gênant là-dedans? » Il me répond aussitôt, en bégayant quelque peu en regardant mon cul : « Ce… ce qui est gênant… c’est que j’ai baissé mes pantalons et que j’ai sorti ma queue pour pisser quand tu es vraiment près de moi, et qu’au moment même où je te parle, j’ai encore la queue dans les mains à essayer de pisser en te regardant, et ça je trouve ça quand même assez gênant, qu’est-ce tu en penses? »
Totalement excitée de l’entendre devenir cru dans son langage avec la queue dans les mains en me regardant pendant que je fais ma salope en lui faisant voir Dieu sait combien mes fesses, je réponds après un certain délai : « Hahaha! Oui tu as certainement raison, mais c’est quand même assez drôle comme situation, il faut que tu l’admettes! » Il avoue que c’est drôle, mais se plaint du fait qu’il ne peut pas pisser en ma présence et qu’il en a vraiment beaucoup envie. Je me retourne vers lui en m’accotant les fesses sur le comptoir de la salle de bain et je lui dis, en le regardant avec un sourire : « Pourtant, je ne suis pas si près… » Il me dit : « Et bien tu ne peux pas être vraiment plus près! » Je le regarde alors dans les yeux en ouvrant la bouche, et je m’avance vers lui et vers la toilette, d’un pas lent mais assuré, en continuant à le regarder droit dans les yeux pour me délecter de sa réaction. Je vois qu’il se retourne un peu pour cacher son pénis, le regard paniqué, tout gêné sans savoir comment réagir, ce que je trouve encore plus excitant.
Je suis en extase juste en sachant que son pénis est sorti de ses pantalons tout près de moi, et que je continue toujours de m’approcher! Je le contourne pour me retrouver près d’un petit miroir, juste à côté de lui, mais un peu derrière quand même, question que je ne puisse pas voir sa queue, mais vous comprendrez que c’était très limite, évidemment… Il me demande, un peu anxieux : « Qu’est-ce que tu fais? » Je lui réponds, en me mettant un peu de gloss, que j’avais besoin du miroir pour ça. Voyant qu’il se prépare à remonter ses pantalons, je lui dis, en touchant doucement son bras avec ma main, sans même me retourner : « Si tu essaies de remonter ça, je regarde! Compris? » Sur ces mots, mon gloss est tombé par terre et je jure que je n’y suis pour rien cette fois! Il a roulé derrière la toilette. Tout d’abord, je me suis dis que c’était sans importance, puis… une idée me vient à l’esprit : celle d’aller le ramasser à quatre pattes devant mon ami, qui a les pantalons baissés! Je touche doucement son avant-bras gauche, qui semble servir à tenir sa queue, en disant : « Si tu veux cacher ton pénis, ce serait le temps… mais pas avec tes pantalons, ce serait de la triche! » Aussitôt, je tire subtilement sur mes leggings pour qu’ils entrent encore un peu plus dans mes fesses et je me mets à genoux, puis à quatre pattes au sol, et je rampe vers mon gloss. Je ne vois pas mon ami ; je ne peux que l’imaginer, derrière moi, son pénis à la main, à regarder mes fesses pendant que je tente maladroitement d’att****r mon gloss en me penchant au sol, en relevant mon petit cul, disons-le, de salope!
Est-ce qu’il me regarde? Je n’en ai pas la moindre idée, mais probablement que oui! Est-ce qu’il me désire, je ne le sais pas non plus, mais j’espère bien que si! Est-ce qu’il est sur le point d’avoir une érection? C’est ce que je meurs d’envie de savoir! Je me retourne dans sa direction sans le regarder, en gardant les yeux au sol, toujours à quatre pattes, et je me mets à genoux en m’aidant du bol de toilette en m’appuyant dessus avec mes deux mains, puis je soulève la tête, innocente comme tout, comme si je n’avais aucune idée que mon ami serait là, juste devant moi! J’ouvre grand la bouche, un peu souriante, jouant la fille inexpérimentée qui n’en revient pas de ce qu’elle voit. En fait, c’est presque le cas! Je n’en reviens pas d’être dans une telle situation présentement avec un ami, avec qui je serais supposée de fraterniser plutôt que de fantasmer… Quoiqu’il en soit, mes yeux maquillés à la perfection n’ont pas pu s’empêcher de regarder son corps magnifique, de son ventre musclé à la taille, de la taille à la main, qui cachait malheureusement son pénis, et de sa main à ses couilles qui… quoi? Il a oublié de cacher une partie de ses couilles!
Je ne peux absolument pas m’empêcher de les fixer bêtement, il n’y a aucun poil dessus, je n’ai jamais vu ça, elles sont littéralement parfaites, ont l’air douces et fermes! Je ne peux faire autre chose que de sourire, la bouche grande ouverte de façon naturelle, à voir ses couilles si près de moi, à environ 30 centimètres de mon visage, et surtout de ma bouche… Sa queue est faite pour produire du sperme, et j’aimerais tant être faite pour l’avaler! Il se met alors à me parler, comme pour me distraire, en tentant de cacher ses couilles avec sa main : « Avoue donc que tu aimes ça de me voir perdre tous mes moyens! » Il a compris qu’il a fait une erreur monumentale… Je lui réponds instantanément et franchement : « Tu as parfaitement raison! Mais c’est inutile de me cacher tes couilles, je les regarde depuis tout à l’heure de toute façon… » Je vois mon ami être totalement stupéfait, ce qui provoque une sorte de spasme dans son corps, comme s’il avait fait un saut, ce qui fait bouger son bras et sortir quelque chose de derrière, qu’il tente de ratt****r à toute vitesse sans succès. QUOI?!?
Sa verge totalement bandée m’arrive à quelques centimètres de la bouche. Un million de pensées sexuelles me traversent alors l’esprit pendant que mon coeur se débat comme un déchaîné dans ma poitrine! Mes yeux sont grands ouverts, tout comme ma bouche, lorsque j’aspire une gigantesque bouffée d’air qui laisse sortir un « OOONNNNHHH!!! » venteux et estomaqué de ma bouche. Je n’en reviens tout simplement pas! Je sens la chaleur de son gland émaner sur mon visage! Je regarde mon ami, puis sa queue, puis mon ami, puis sa queue, sans bouger mon visage de tout près de son pénis, ce qui me semble impossible, comme si sa bite était aimantée! Il approche alors son bras pour ratt****r sa queue, et aussitôt que je le vois venir, j’empoigne son pénis avec ma main droite près de son gland et je lui donne une baffe sur la main avec ma main gauche! Je lui ai dis en riant : « Si tu penses t’en tirer ainsi! Voire si je vais te laisser me cacher ça! » Je tiens fermement sa grosse queue dans ma main ; je ne peux pas m’empêcher de faire un petit mouvement de va et vient de quelques millimètres, juste assez pour qu’il croit que c’est dans sa tête!
C’est d’autant plus excitant que j’ai un petit ami et qu’il a une petite amie et que je joue présentement avec les limites, bien que je les aie déjà dépassées. Je me plais à croire que je n’ai toujours pas trompé mon petit ami, car en fait, je n’ai fait qu’avaler son sperme sans toucher à son pénis la semaine dernière…Disons donc que c’était une petite collation qui sort de l’ordinaire! Et maintenant, j’ai la main fermée sur sa queue et le mouvement de va-et-vient pourrait être perçu comme étant involontaire ; on pourrait supposer que tout ce que je veux, c’est de tenir cette queue loin de mon visage en la serrant dans ma main… Quoiqu’il en soit, j’ai une envie incontrôlable de montrer à mon ami à quel point je peux être une cochonne, car il ne sait pas du tout à quel point je peux l’être présentement! Je ne le savais même pas moi-même! Je ne peux pas m’empêcher de lui dire : « Tu as vraiment un pénis énorme! Et tu es vraiment, mais vraiment dur! Est-ce que c’est moi qui t’as fait bander comme ça? » Je poursuis sans le laisser répondre, en le regardant dans les yeux sans lever la tête : « Es-tu sûr que ce n’est pas une envie d’éjaculer que tu avais et non une envie de pisser…? » Il me répond en riant, semblant tout aussi dépourvu que moi : « Et bien j’ai encore vraiment envie de pisser, c’est juste que tu as fini par me donner beaucoup d’idées! » Ça veut directement dire que je le fais bander, et ça m’excite au plus haut point, surtout parce que c’est lui, mon ami depuis toujours, bandé tout près de ma bouche, qui est prête pour sa queue et de ma langue, qui rêve de son sperme!
Je l’ai alors longuement fixé dans les yeux, en me rapprochant légèrement de son pénis, comme pour l’exciter encore plus, et mes lèvres lubrifiées effleurent malencontreusement le gland reluisant de son pénis que je dévore du regard. Je l’entends soupirer comme si je venais de lui enlever tous les maux de la Terre, et je me retiens de toutes mes forces de sucer sa grosse queue d’un seul coup! Je lui dis alors, un peu hors de moi : « Est-ce qu’il y a beaucoup de sperme là-dedans? » Il me répond aussitôt : « Quoi? Euh… oui, en fait, la dernière fois, c’était… la semaine dernière… » Un frisson me parcoure le corps alors que je comprends qu’une semaine d’abstinence pourrait m’exploser dans la bouche si je le voulais bien… et je le veux atrocement… Totalement excitée, je lui dis : « Tu n’auras pas besoin de la toilette… » Il me répond sans attendre : « Quoi? Qu’est-ce que tu veux dire? » Je lui réponds, en lui attrapant doucement son sac à couilles avec ma main gauche : « C’est parce que ce n’est pas de la pisse qui sortira de là… Même si j’aimerais bien te servir de toilette… » Je n’en revenais pas d’avoir dis ça! Je venais de lui laisser penser que j’aimerais bien qu’il me pisse dans la bouche! Cette putain de salope à l’intérieur de moi devra se calmer avant que je me retrouve dans une situation où je serai obligée d’avaler de la pisse!
J’avais même du mal à comprendre ce qui m’arrivait… N’y a-t-il pas des limites à être cochonne? J’ai bien du mal à ne pas les franchir, apparemment… ce qui m’excite par-dessus tout, c’est que présentement il se dise que je suis prête à avaler tout ce qui pourrait jaillir de sa queue! Il doit me voir comme une sacrée salope, et j’adore ça! Il me dit alors : « De toute façon, je ne pourrais jamais pisser avec une érection pareille! » Je lui réponds instantanément : « Et si je te suce? » Et sans le laisser rajouter quoi que ce soit, je rajoute : « Et si tu jouis dans ma bouche et que j’avale tout comme une salope? Tu veux un coup de main? » Il me répond en tremblant légèrement, l’air fébrile, sa queue semblant encore plus grosse : « Je… Je… » Sans plus attendre, je me mets à branler sa queue dure comme de la pierre en me servant de son prépuce, ce qui me donne une vue superbe sur son gland énorme qui se cache puis se décalotte doucement… Il râle aussitôt : « Ah… Salope… ». Aussitôt, je pose férocement mes lèvres sur son gland, que je me mets à sucer, à téter, en continuant de le branler. Je suce son gland si fort que quand la peau de son prépuce entre et sort de ma bouche pendant que je le branle, ça laisse échapper un vacarme de bruits de succion! Ça m’excite énormément, alors que je suce sa queue de tous mes sens! Je goute sa queue alors qu’elle verse une goutte de sperme sur ma langue de salope! Je regarde sa queue en la suçant, ce qui m’excite encore plus, parce que je la vois pénétrer dans ma bouche à toute vitesse, et je vois ses couilles si fermes bouger au rythme de cette pipe que je n’oublierai jamais! Je m’entends sucer très fort alors que des bruits de succion me rendent de plus en plus sauvages, pendant que je sens sa queue s’enfoncer dans ma bouche jusqu’à l’entrée de ma gorge sans que je ne puisse m’empêcher d’aspirer pour avoir le jus de ce gland dans la bouche! Pour finir, je sens l’odeur de sa peau, grillée au soleil, alors que j’approche ma tête de son corps à chaque coup de tête que je donne…
Je pompe une queue bien pleine et ça m’excite terriblement! En fait, jamais dans ma vie je n’ai été aussi excitée… je n’ai qu’un seul but : faire atteindre l’orgasme à mon ami pour qu’il éjacule tout son sperme dans ma bouche! Ce serait la deuxième fois, mais de son point de vue, ce serait la première puisqu’il ne sait pas que j’ai avalé tout son sperme la semaine dernière! Je veux qu’il sache que je suis capable de m’empiffrer de tout ce qu’il me donne, d’avaler tout ce qui gicle de son pénis! Rien qu’en y pensant, j’augmente la cadence et l’intensité, ainsi que la force de succion et la vitesse de la branlette que je lui fais, en me mettant même à me plaindre de plaisir involontairement. Un seul objectif habite mon esprit : tout avaler! Je sors sa queue de ma bouche et je branle mon ami intensément, le temps de lui dire : « Je veux tout avaler! Viens dans ma bouche, je ne suis plus capable d’attendre, et j’espère que ça va goûter fort! Je veux avaler du sperme… Je veux avaler TON sperme! » Aussitôt, je gobe à nouveau son gland avec mes lèvres pendant que mon ami râle de bonheur.
Je sens alors son gland pénétrer légèrement ma gorge alors qu’il fait des mouvements de bassin dans ma bouche! Je sens alors sa queue devenir encore plus dure! Plus dure que plus dure que la pierre, c’est … dure comme la queue de mon copain qui s’apprête à balancer tout son sperme? Je l’espère de toute ma bouche! Il me crie soudainement : « Aaaahhh!!! Tu suces vraiment trop bien, tu vas tellement me faire jouir dans ta bouche si tu n’arrête pas, je ne me suis pas branlé de la semaine! AAAHH!!!! Ça va sortir!! » Je continue encore plus ardemment à le sucer en prenant bien soin de ne pas le sucer trop profondément! Je veux sentir chaque jet qui sort de son gland m’éclabousser sur la langue et dans ma bouche! J’agrippe alors fermement ses couilles, que je sens aussitôt se contracter alors que mon ami hurle qu’il balance tout! Une grande frousse me parcourt l’esprit alors que la peur d’être dégoûtée à nouveau s’empare de moi…
Quoiqu’il en soit, les lèvres bien refermées autour du gland que je suce très fort, je reçois sans plus attendre la première giclée de sperme, accompagnée en bonus d’un hurlement de mon ami! Il m’a littéralement recouvert tout l’intérieur de la bouche en éclaboussant sur mon palais. C’est comme une explosion de crème salée qui virevolte dans ma bouche au rythme de cette pipe, que je ne peux plus arrêter désormais! Je suis hors de moi, je veux qu’il ait la jouissance de sa vie, et ce sera alors la jouissance de la mienne! La deuxième giclée frappe presqu’aussitôt après et avec autant de force, encore une fois sur le palais, alors que j’ai son gland bien en bouche! Je me lamente de plaisir, presque pas dégoûtée tellement je jouis avec lui à chaque « splash! » et que chaque jet goûte si fort et si bizarre… D’une certaine façon, j’ai l’impression que c’est encore plus excitant parce que ça goûte mauvais! J’ADORE que ça goûte mauvais! Je sens alors un troisième trait de sperme me remplir encore un peu plus la bouche, mais une partie jaillit dans ma gorge en frappant ma glotte, ce qui me donne une envie de vomir presqu’aussi grande que mon envie d’avaler… Voulant absolument avaler tout son sperme, je lutte contre ce spasme en me préparant à tout avaler frénétiquement, et sa 4e giclée de sperme explose directement dans ma gorge de petite salope prête à tout pour avaler! Mon ami crie sans se retenir : « Ah! AHH! Mais t’es vraiment une PUTE! »
OUI JE SUIS TA PUTE SALE CON!!! VIENS DANS MA BOUCHE DE SALOPE QUE J’AVALE TOUT CE QUE T’AS!! C’est ce que je lui aurais dis si j’avais pu parler, si je n’étais pas en train de me faire gicler dans la gorge! Une incroyable envie de vomir survient par contre, qui se concrétise par un mouvement de ma tête vers en avant et une nausée indescriptible dont mon heureux ami n’est heureusement pas témoin, puisque j’avale aussitôt après, avec toute ma volonté, tout le sperme balancé dans ma bouche par cette saloperie de grosse queue que j’aime tant et que je déteste à la fois, pendant que la 5e giclée frappe sur une gorge fermée, trop occupée à avaler cette avalanche de sperme, ce qui fait que le jet éclabousse à nouveau dans ma bouche, mais surtout sur ma langue. La 6e giclée est plus petite, mais toute aussi goûteuse… elle atterrit directement sur ma langue. Je branle toujours vigoureusement mon cher salopard d’ami pendant qu’il fini de se vider dans ma bouche. La 7e propulsion de sperme est toute petite, toute chaude sur ma langue d’avaleuse. J’adore pouvoir dire que je suis enfin une avaleuse de sperme, une vraie cochonne, une véritable salope et que je ne suis plus la seule à le savoir! Savourant l’arrivée de la 8e portion de cette superbe éjaculation, je tète alors doucement son gland pour l’aider à terminer son orgasme, tout en le branlant lentement en laissant son gland décalotté dans ma bouche. Ses couilles sont vidées, serrées entre mes doigts dont les ongles doivent presque lui faire mal tellement je les ai serrées pendant qu’il se vidait dans ma gorge…
C’est étrange comment ça peut me rendre à la fois agressive et excitée, hors de contrôle quoi! Mon copain me regarde d’un air désemparé, comme si sa meilleure amie venait tout juste de le sucer en le branlant jusqu’à ce qu’il éjacule dans sa bouche tout son sperme résultant d’une semaine d’abstinence! Et qu’en plus cette petite salope était en fait une avaleuse de sperme! Qu’est-ce que j’adore ça! Je sors alors sa bite de ma bouche, encore pleine de sperme, et je lui dis avec difficulté : « Mmm…. ch’aurais aimé cha que tu te chois retenu de te b’anler pengant des mois! »
Je baisse alors les yeux vers sa queue… je caresse doucement ses couilles avec le bout de mes doigts, et je murmure à son pénis, en le caressant des lèvres entre mes mots : « En as-tu encore? …. parce que j’en veux encore… s’il te plaît… » Sur ces mots, j’avale tout et je sors ma langue pour montrer que j’en veux encore. Le sperme descend dans ma gorge, je ne laisse voir aucun dégoût, qui de toute façon est ridicule comparativement à mon excitation, et je supplie sa bite en la frappant sur ma langue fermement, avant de dire : « s’il te plaît…. » Je sens alors un peu de sperme se vider sur ma langue… Quoi?!? Est-ce que sa queue serait pleine de sperme sur la longueur? Il la prend aussitôt dans sa main, l’air d’être hors de lui, et presse dessus comme lorsqu’on vide un tube de dentifrice. J’ai très envie de goûter à nouveau le jus de son pénis et de l’avaler sans broncher! La langue sortie, le regard rivé sur son gland, je n’ai pas eu à attendre très longtemps avant de voir de la semence sortir du bout de sa grosse queue… je vois et je sens des gouttes de sperme atterrir sur mes lèvres, mes joues et mon menton! Finalement, il propulse la coulisse de sperme salé qui pend au bout de son gland sur ma langue avec un mouvement vif ; il me tape aussitôt fermement le visage avec sa queue gluante de sperme, directement sur mes joues et sur mes lèvres! Ça fait un bruit pour le moins… juteux! Je ressens plein de sentiments contradictoires ; j’ai l’impression d’être totalement salope, mais aussi de n’être qu’un objet sexuel… et bien que ça me dérange… ça m’excite énormément!
J’att**** férocement sa queue et j’aspire tout ce qui se trouve dessus sans dire un seul mot. Je me sens plus salope que jamais! Il a osé venir sur mon visage! Non! Pas venir sur mon visage, mais encore pire, il a juste vidé son sperme sur moi, en allant même jusqu’à me couvrir de sperme en me tapant la bite au visage! J’en veux plus!!! Je crache sauvagement tout le sperme sur sa grosse queue toujours bandée, en le regardant directement au visage d’un regard qui n’a pas l’air du tout de plaisanter. J’étends le sperme sur le bout de sa queue avec ma main, avant d’empoigner très fermement son pénis pour me frapper au visage avec, les yeux fermés, totalement passionnée! Je sens des éclaboussures de sperme me jaillir un peu partout au visage à chaque fois que son pénis me frappe les joues, les lèvres et un peu partout sur le visage. Il en grogne d’extase, et m’att**** par les cheveux derrière la tête et me tire vers sa grosse queue juteuse, sur laquelle je n’hésite pas une seconde à me blottir! C’est bien plus que du sexe! C’est indescriptible, j’ai l’impression d’Être! Je lui cris : « Je suis ta pute! Étends-moi ton sperme partout! » Il donne alors des coups de bassin et me baise littéralement le visage, qu’il tient très fort contre sa queue! Après environ 15 secondes de frottage intense et lubrifié entre mon visage et sa bite pleine de sperme, il me relâche les cheveux.
Je suce doucement sa queue en aspirant tout le sperme et je le regarde directement dans les yeux sans lever ma tête, toute près de sa bite, et j’avale sans difficulté pour lui demander : « Ça t’excites que je sois ta pute, pas vrai? » Je sens alors sa queue se contracter très fort, je rajoute aussitôt, en regardant sa bite pis ensuite ses yeux, le sourire aux lèvres : « Je vais prendre ça pour un oui … qu’est-ce que tu veux que je te fasse? » Il semble alors ne pas trop savoir quoi répondre. En commençant à le branler, je lui dis : « Aimerais-tu ça enculer ton amie de toujours? » Après quelques secondes de silence total, j’ajoute : « Aimerais-tu ça m’enculer? »
Après quelques secondes de silence total, j’ajoute : « Aimerais-tu ça m’enculer? » Sa queue déjà très dure devient alors extrêmement dure alors que je vois son gros gland se relever dans les airs! Je crois avoir touché une corde sensible! Je lui fais alors un petit sourire complice, et je me retourne pour qu’il fasse face à mon cul, en m’accroupissant au sol, les fesses levées et la tête retournée vers lui. Je tire mes leggings très fort dans mes fesses et je lui dis : « Tout à l’heure, avais-tu envie de m’enculer quand je suis allée chercher mon gloss près de la toilette? Ce serait dommage de rester avec le souvenir d’avoir raté une occasion…non? Après tout, ce n’est pas tout les jours qu’on encule son amie! » Sur ce, je prends mon gloss, qui est près du mirroir, et je le fais rouler près de la toilette, où il est tombé tout à l’heure. Je regarde longuement vers la toilette avec mon air de salope, la bouche ouverte, folle du désir de le sentir me défoncer les fesses! Je rampe alors très lentement vers la toilette, maladroitement, comme je l’ai fait plus tôt, les fesses bombées dans les airs. Je m’accroupie au sol, le cul toujours en l’air, et d’une main, je fais lentement glisser un tout petit peu mes leggings vers mes jambes, jusqu’à ce que je sente l’air me caresser le trou des fesses. Avec la même main, je caresse sensuellement mon minuscule trou du cul du bout du majeur. C’est si doux de sentir son petit cul complètement rasé se faire caresser le pourtour! C’est incroyable, qu’est-ce que j’ai pu manquer d’autre dans ma vie? Être ignorante ou être une salope, est-ce les deux seuls choix possibles s’offrant à moi?
En voulant constamment plus, je ne peux plus me contenter de caresses, alors que j’enfonce délicatement mon majeur dans mes fesses. La sensation est incroyable, si étrange et si intense pour la taille de mon doigt. Ce doit être fantastique avec un pénis de la taille de celui de mon ami! J’en frissonne de tout mon corps, alors que je fais des petits mouvements de va et vient avec mon doigt en découvrant ce qui se cachait tout ce temps entre mes fesses : le paradis! Je sens alors mes leggings descendre vers mes jambes très violemment et mes fesses se faire serrer avec force en se faisant écarter. J’ai alors l’impression d’avoir beaucoup plus d’espace dans mes fesses. Aussitôt, je sors mon doigt de là et je le suce dans ma bouche, alors que j’ai mon majeur et mon annulaire dans la bouche et la conviction d’être une vraie traînée alors que je n’éprouve pas la moindre répulsion à voyager mes doigts de mon cul à ma bouche! Sentant mes fesses bien écartées, je place alors mes deux doigts, pleins de salive, directement dans mon cul! Je laisse échapper un petit cri de salope sans même le faire exprès ; c’est vrai! JE SUIS une salope! La sensation est incroyable! Je continue à me doigter les fesses pendant que mon ami semble ne plus être capable d’en prendre. Je lui dis, entre deux soupirs d’extase, en le suppliant littéralement : « Veux-tu mettre ta queue là? Veux-tu?? »
L’énorme pénis de mon ami pousse alors sur mes doigts qui vont et viens dans mes fesses! Aussitôt, je comprends qu’un certain gland que je connais bien veut me rendre une certaine visite! Je retire aussitôt mes doigts, mourant d’impatience d’être enculée! Il place alors sa queue entre mes fesses, sur mon trou du cul, qui n’a certainement pas l’habitude d’accueillir des pénis, mais aujourd’hui il le fera, coûte que coûte! Il ne tarde pas à pousser très fort dans mon cul en faisant un mouvement de va-et-vient en tentant de pénétrer mes fesses. AÏE! Pour l’instant, ça fait plutôt mal! Mais je ne veux pas lui dire d’aller doucement, je veux qu’il m’encule comme une salope en me claquant les fesses! Je ne veux surtout pas qu’il fasse attention, ça briserait totalement l’ambiance et l’excitation, ainsi que mon fantasme! N’en pouvant absolument plus, je me prépare à crier d’arrêter, alors que j’entends un porte claquer dans l’appartement. Mes yeux deviennent parfaitement ronds et je suis prise de panique alors que je me lève à une vitesse dont je ne me pensais pas capable, et je pousse mon ami dans la douche et je fais couler l’eau aussitôt. Je ferme le rideau doucement pour ne pas faire de bruit, mais en allant le plus rapidement possible dans les circonstances, et aussitôt, mon petit ami apparaît dans le cadre de porte!
Je sais très bien que dans une telle situation, la pire chose à faire serait de le regarder en souriant faussement en lui disant que je suis surprise qu’il soit là, et qu’il voit ainsi que j’essaie de lui cacher quelque chose! Instantanément, je réponds donc, en me retournant brusquement vers lui en cachant mes fesses pendant une seconde : « Tu m’as fait un saut! Je ne pensais pas que c’était toi! » En effet, lui et moi habitons avec un colocataire et ma réaction est, jusqu’à maintenant, parfaitement normale. Je lui demande alors s’il veut venir prendre sa douche avec moi, n’ayez pas peur, je sais ce que je fais! Il me répond : « Oui, pourquoi pas? » Aussitôt, je joue la fille qui est soudainement déçue, et je lui dis : « Ah! Non… Je suis déréglée et je suis en plein dans mes règles, je préfère la prendre seule, désolée! » Il me répond qu’il n’y a aucun problème, et qu’il m’attendra le salon. Je lui demande alors de fermer la porte en s’en allant, ce qu’il fait, et c’est ainsi que, complètement estomaquée par le talent que j’ai eu pour me sortir parfaitement de la situation, je me redirige vers la douche.
J’enlève mes leggings et sans même enlever ma camisole, j’ouvre le rideau et me glisse à l’intérieur, me retrouvant en compagnie de mon ami-amant. Bien que ça puisse paraître ridicule, j’ai l’impression d’être gênée de lui montrer mes seins. Je veux que la première fois qu’il verra mes seins, qu’il se passe quelque chose de très… sexuel entre mes seins et son pénis! Je lui dis, à voix très basse et n’hésitant pas à me coller contre son corps en lui murmurant à l’oreille : « Tout va bien, je l’ai fait sortir de la salle de bain… Il m’attend dans le salon, alors quand je sortirai de la douche, tu resteras dans la salle de bain jusqu’à ce que je l’aie attiré dans ma chambre, d’accord? » Il me répond qu’il a bien compris, bien qu’il soit un peu nerveux par rapport à la situation. Par contre, il a quand même le regard fixé sur ma camisole qui laisse graduellement voir mes seins parce qu’elle est de plus en plus mouillée. Il me demande aussitôt : « Comment tu as fait pour t’en sortir? »
Je lui répond, toujours aussi près de lui, en chuchotant à son oreille : « En me cachant en le voyant et en disant que j’avais peur que ce ne soit pas lui, j’ai mis une distance entre nous et je l’ai rendu moins confiant en lui, car il ne pouvait pas prévoir un tel scénario. Je lui ai ensuite proposé de venir prendre une douche avec moi pour qu’il ne se pose aucune question par rapport à la douche. Espérant quand même qu’il dise non, en attendant qu’il me réponde, j’ai réfléchi à ce que je lui répondrais dans le cas où il dirait oui. J’ai alors trouvé, pendant que lui disait « oui », et je lui ai dit que j’étais dans ma semaine et que ça me gênait, comme si je venais tout juste d’y penser. Comme j’avais établi une distance entre nous dès le départ, ça a été un véritable coup de grâce sur la possibilité qu’il vienne me voir! » Mon ami, estomaqué, me regarde et me dit : « Prévois-tu toujours tout comme ça? » Je le regarde alors, en lui attrapant doucement les couilles : « Peut-être bien? Ce qui est certain, c’est que pour éviter que ce soit louche, il faudra que « ma » douche dure au moins 10 minutes… »
Je m’agenouille alors devant lui et je regarde son pénis, que je vois bander à vue d’oeil maintenant que je suis toute près. Je regarde mon ami dans les yeux en lui carressant les cuisses en allant un peu vers l’intérieur, et je me lève aussitôt pour lui chuchoter à l’oreille : « Je veux que tu te branles pour moi… » Sans plus attendre, je m’agenouilles à nouveau devant lui en le fixant dans les yeux, alors qu’il commence vite à se branler devant moi. Je lui fais signe d’arrêter l’eau, ce qu’il fait aussitôt. Après tout mon petit copain croira que je suis en train de me laver les cheveux. Je caresse les cuisses de mon ami qui se branle devant mon visage et je m’approche sensuellement de sa queue qu’il branle. Pour éviter le mouvement violent de sa main qui va et vient pour évacuer toute cette tension sexuelle par son pénis, je m’attaque plutôt à ses couilles, qui sont toutes fermes, épilées et relevées par sa queue qui pointe au plafond! Je lui lèche alors les couilles à pleine langue comme une a****le. Ses couilles sont si fermes, si douces! J’ai une envie incroyable de les mordre, alors j’essaie de me contenter en lui mordillant légèrement la peau des couilles.
Mon ami est totalement silencieux, mais s’il est comme moi présentement, il doit être en train de perdre complètement le contrôle! Je gobe alors ses deux couilles dans ma bouche en les tétant légèrement, juste assez pour ne pas lui faire mal, mais qu’il puisse sentir que je lui suce les couilles! Il me dit alors qu’il va jouir! Je sors aussitôt ses couilles de ma bouche et je les lèche à pleine langue, pendant 2 ou 3 secondes sans pouvoir me contrôler et je recule ma tête en lui disant, complètement hors de moi en tentant de murmurer le plus possible : « Jouis! Je veux tout gober ton sperme! » Un puissant jet sort de ce puissant canon, alors que je reçois du sperme dans l’oeil, que je ferme aussitôt fortement. Je sens alors une main m’att****r les cheveux pour réorienter ma tête qui s’est baissée un peu vers l’avant après le premier jet. Aussitôt, ma bouche, que je garde ouverte pendant que je suis aveugle, reçoit une bonne giclée puissante, puis une autre, alors que le goût salé sur ma langue me rend folle et j’avale sans plus attendre, avant même qu’il n’ait fini de jouir.
Je reçois un peu de sperme sur les lèvres pendant que j’avale et j’ouvre aussitôt la bouche pour ne plus rien manquer. Je sens alors sa grosse queue gluante de sperme foncer dans ma bouche. Je suce alors sans pouvoir me contrôler, en essayant de ne pas hurler comme une salope, ce qui est le plus grand des défis présentement! Je suce la queue de mon ami alors que je sens son sperme visqueux un peu partout dans ma bouche. Je suce très fort son pénis et je le fais sortir de ma bouche en laissant échapper un « POK!! » J’avale aussitôt tout le sperme et je réalise que je viens de faire un bruit que je ne dois plus faire. Par contre, après réflexion, je me rends compte que c’est un son très semblable à une bouteille de savon pour les cheveux que l’on décapsule. J’ai donc pu me permettre une petite fantasie en pompant le sperme du pénis de mon ami bruyamment pendant que mon petit ami est dans la pièce d’à côté! Je suis tellement excitée que je serais prête à sucer n’importe qui présentement pour avoir du sperme, si ce n’était des interdits de la sexualité… Quoiqu’il en soit, je souris et je frotte mes yeux avec mes doigts pour prendre tout le sperme qui m’empêche d’ouvrir les yeux et qui n’attend que d’être dans ma bouche avec le reste de la semence! Je tète alors mes doigts sensuellement, j’ouvre les yeux encore un peu collés et je fais signe à mon ami de faire couler l’eau.
Je me rince alors le visage sans trop de difficultés. Je me lève et j’att**** la bouteille de shampoing, pour faire fonctionner toute mon histoire correctement. Je me lave très vite, probablement la douche la plus rapide de ma vie. En effet, je dois faire vite pour que tout ait l’air normal et éviter d’augmenter les chances de me faire prendre! Je me lave les cheveux et le corps en super vitesse et je sors de la douche en disant à mon ami de rester là jusqu’à ce que je sois dans ma chambre avec mon petit ami. Je lui dis : « Le signal, c’est quand je ferai claquer la porte de la chambre, d’accord? » Il me fait signe qu’il a compris. Je m’habille alors seulement d’une serviette des seins aux fesses. Je me penche vers en avant, dos à mon ami, et j’entre un doigt dans mes fesses devant lui et je me doigte l’espace de 4 ou 5 mouvements de va et vient en le regardant, la langue sortie comme si j’attendais une éjaculation dans ma bouche! Bien que ce soit tout d’abord pour l’aguicher et le faire bander, je dois dire que maintenant, c’est moi qui suis terriblement excitée! Je le regarde ensuite d’un regard complice en lui faisant un petit signe d’au revoir coquin avec ma main et je sors de la chambre de bain en ouvrant la porte, sans oublier de la refermer presque complètement.
Je marche directement vers mon petit ami d’une démarche assurée alors qu’il se retourne vers moi. Il me demande comment est allée ma journée, alors que je continue à marcher vers lui sans rien dire et je m’agenouille devant lui, en serviette qui laisse bien voir ma craque de seins, alors qu’il est assis sur le divan. J’écarte ses jambes avec mes mains, et avant même qu’il ne comprenne, je me faufile et je descends sa fermeture éclair et je tire sur ses pantalons. Je ne le regarde même pas dans les yeux, tout ce que je veux, c’est son pénis! Et puisque j’y ai droit, aussi bien en profiter! Il se lève les fesses pour me laisser baisser mes pantalons, comprenant que je veux du sexe ici et maintenant. Je m’avance alors vers sa queue et je lui mords coquinement le pénis à travers ses sous-vêtements en continuant toujours de le regarder. Je mords alors l’elastique de ses sous-vêtements et je les tire vers le bas, alors que sa tige en pleine érection sors de là.
Il a une queue moins belle que celle de mon ami, mais c’est quand même un pénis de 18 centimètres dont on parle présentement, ce qui n’est pas du tout négligeable. Je baisse ses sous-vêtements et fait sortir ses couilles, que je lèche aussitôt comme une salope, la bouche complètement ouverte, comme si je mangeais une glace. C’est la première fois que je lui lèche les couilles, et il semble adorer ça! Je branle sa queue en même temps et je tète légèrement chacune de ses couilles, une par une, en me lamentant de plaisir. Tout d’un coup, j’arrête tout et je me retire sensuellement en me relevant, en lui faisant signe de me suivre. Je me dirige alors à la chambre, tandis que mon petit copain remonte ses pantalons en vitesse et me suit.
Aussitôt qu’il franchit le seuil de la porte, je l’att**** par la chemise et je la déboutonne frénétiquement, et après seulement 2 boutons, je le pousse sur le lit. Je claque ensuite la porte en la fermant (maintenant! c’est le temps de te sauver!) et je me dirige vers lui, toujours la serviette au corps. Je monte par dessus lui et lèche son torse en descendant en ligne droite entre ses abdominaux. Je m’arrête près du nombril, alors que je lèche avec beaucoup de salive ses abdominaux fermes et bien découpés, tout près de son gland bandé qui se tient juste à côté. Je descends ensuite ma langue bien juteuse plus bas, et j’att**** son pénis dur comme de la pierre avec ma main droite, alors qu’il est couché sur le dos.
Dans le temps de le dire, je le branle déjà, le gland dans la bouche en le pompant sauvagement! Après à peine une vingtaine de secondes, il me dit d’arrêter car il va jouir. Pas cette fois, mon cher! Toi aussi tu vas gicler dans ma bouche! Alors que la chose dont il était le plus certain présentement était que je m’arrêterais, je continue à le sucer passionnément, alors qu’il me prend la tête à deux mains en la tirant vers le haut, en redisant : « Arrête, je vais jouir bébé! » Je résiste à la force de ses bras en poussant avec ma tête de toute mes forces et je suce son gland du mieux que je peux dans les circonstances, ce qui fait beaucoup de sons qui s’apparente à une bouteille de shampoing qu’on décapsule, si vous voyez ce que je veux dire. Après 2 secondes à peine, c’est une véritable explosion de sperme dans ma bouche, alors que mon petit ami hurle de jouissance en y giclant son foutre! Je reçois une grosse giclée sur la langue, puis une autre et encore une autre, pendant que je me plains comme si j’avais un orgasme! Le goût est très salé, encore plus que le sperme de mon ami, mais au stade où j’en suis, je trouve seulement cela encore plus excitant! J’entends une porte se fermer silencieusement. J’ai une petite pensée pour mon ami, que je n’ai pas laissé partir les couilles pleines, et me voilà encore à me faire gicler dans la bouche!
En me disant mot pour mot « Je suis une pute! Une vraie pute à sperme! », j’avale tout ce sperme dans ma bouche en laissant sortir sa queue, qui n’a pas fini d’éjaculer, et je le branle comme une folle pour le lui vider les couilles! Après tout, il ne faut pas que j’aie l’air trop bonne pour avaler du sperme, car il pense que c’est ma première fois! En le branlant passionément, je reçois quelques petites gouttes de sperme sur les joues alors qu’il gicle comme un gicleur, par petits jets rapide! J’en perds littéralement la tête, je cries : « Continue à gicler!!! Continue d’éjaculer!!! » Il termine quand même son éjaculation, après quoi il me regarde exténué, stupéfait et émerveillé alors que je ne peux pas m’empêcher de lécher tout de suite sa queue pleine de sperme et de mettre chacun de mes doigts visqueux dans ma bouche pour avaler chaque spermatozoïde jusqu’au dernier! Pour ce qui est de ne pas avoir l’air trop salope avec le sperme, c’est complètement raté! Je lèche ses couilles sur lesquelles il y en a un peu aussi, et je lèche tout si bien que personne ne pourrait dire qu’il vient d’éjaculer! Je passe mes doigts sur mes joues et je les mets dans ma bouche en le regardant. Je lui dis ensuite : « Je n’ai pas dîné et j’avais vraiment faim… » Il me sourit simplement, visiblement abasourdi.
J’avale ma dernière gorgée de sperme et je me couche près de lui, la jambe sur son ventre, la main sur son torse et mon visage aux côtés du sien. Je lui dis : « Je suis désolée, je n’avais pas entendu quand tu m’as dit que tu allais jouïr! 🙂 [et je suis une salope, pensai-je] » Je me couche la tête sur son épaule et lui dis : « As-tu le goût de faire une sieste, juste toi et moi, tout près comme ça? » Il me répond doucement que oui, semblant être tellement satisfait qu’il aurait pu dire oui à tout ce que je lui aurais dit. Je fais alors semblant de dormir, le goût de sperme encore dans la bouche, en repensant aux trois éjaculations que j’ai toutes avalées aujourd’hui même, qui viennent de deux mecs différents! Je me trouve extrêmement salope d’avoir fait tout ça! Par contre, le seul regret qui m’habite présentement, bien que je pourrais en avoir une tonne étant donné la situation, c’est de ne pas avoir pu me faire enculer. Mais, après tout, ça n’aurait pas fonctionné car je me préparais à tout arrêter! Je dois trouver la façon de m’y prendre pour pouvoir être enculée et me fair jouïr dans le cul! C’est un fantasme qui m’habitera probablement pour toujours, j’en suis certaine! Comme celui de me faire gicler dans la bouche d’ailleurs! Sur ce, après environ 1h30 d’insomnie causée par cette euphorie incroyable d’être la salope que je suis, je réussis à m’endormir, paisiblement, le sourire aux lèvres, avec l’impression que ma bouche a été faite pour qu’on éjacule à l’intérieur! Bonjour chers lecteurs et lectrices, je vous propose maintenant un récit érotique qui ne fait pas partie de l’histoire du journal d’une salope, mais qui fait intervenir les mêmes personnages : moi et mon ami. C’est un récit inspiré d’un commentaire d’un lecteur qui, je l’espère, en sera satisfait et que vous en serez aussi satisfait(e)s. Comme ce récit ne fait pas partie de l’histoire dans Le journal d’une salope, il n’y a pas de mise en situation très longue et l’action est légèrement plus rapide.
COMMENTAIRE :
Bonjour Christina, je vois que tu nous as proposé une description de toi avant même de m’avoir lu, merci. Je dois avouer que si j’étais ton meilleur ami, je profiterai de ce trouble qui t’habite pour jouer avec… te poser des questions sur tes désirs les plus inavouables, user de ton impatience à être traité comme une salope et t’obliger à me répondre et à m’obéir si tu veux encore bouffer ma queue, boire mon foutre et enfin te faire enculer comme tu le mérites… Contactes moi Christina et merci de me faire tant bander… Paul
MA RÉPONSE :
J’imagine facilement la scène, où mon meilleur ami, que tu serais, et moi sommes seuls dans ma chambre à coucher, assis sur le lit à discuter de tout et de rien comme le font des amis. Le temps passe comme un éclair alors que des heures se sont écoulées depuis que nous avons commencé. Un silence s’installe alors, il dure 5 secondes, 30 secondes, puis une minute! On se regarde dans les yeux, on ne se parle plus et je remarque rapidement que mon ami est un peu mal à l’aise. Évidemment, il fallait bien que ça arrive… Comment pourrait-il oublier qu’il m’a nourrie de son sperme en me giclant dans la gueule à 3 reprises déjà… Je lui demande aussitôt s’il y a un problème. Il me répond, après une brève hésitation : « Je suis bandé et j’ai la queue pleine… » Je suis soudainement un peu mal à l’aise, je ne m’attendais pas à quelque chose d’aussi direct, et certainement pas maintenant, après une discussion amicale!
Il commence alors à enlever ses pantalons et laisse sortir sa grosse queue imposante! Je suis indécise, un peu effrayée et je me retourne légèrement la tête, troublée. Il prend ma tête en m’agrippant les cheveux à la nuque et il me propulse près de son pénis. Il me pousse légèrement avec son autre main pour que je descende du lit et me ramène par les cheveux entre ses jambes, à genoux. Confuse à l’extrême, je l’entends me dire : « Tu vas faire ce que je te dis, salope! » Un peu excitée qu’il me voit à point comme une salope, je n’ai toutefois aucune envie de lui obéir! Il tire alors ma tête vers son pénis sans que je ne sois capable de résister. Mon visage se frotte contre sa grosse queue sans que je ne puisse rien y faire! Je sens le dessous de son gland entre mes lèvres, alors que je l’entends me dire : « Ouvre ta bouche, petite pute à sperme! » Je perds la tête aussitôt! Je lèche sa queue sauvagement pendant qu’il dirige ma tête vers ses couilles. Je les aspire dans ma bouche sans plus attendre et je suce langoureusement ces précieuses couilles qui produisent tout ce foutre qui sera à moi! Mon ami tient férocement ma tête là, alors qu’il se met à se branler avec l’autre main, pendant que je le regarde sauvagement dans les yeux. Il me dit : « Dis moi que tu es ma pute! » S’il croit que je vais lui dire que je suis sa pute, il se met un doigt dans l’œil! Quel con! Il éloigne soudainement ma tête avec sa main et me dit : « Dis-le, salope! » Ses couilles sont sorties rapidement de ma bouche et son gros gland apparaît près de ma bouche pendant qu’il se branle! Lui dire que je suis sa pute? Ça signifie quoi en fin de compte? Que je suis à ses ordres? Que je ferai tout ce qu’il veut? Qu’il peut me baiser par tous les trous et que je n’en ai rien à foutre? Qu’il peut me gicler dans la gueule, sur le visage, me pisser dans la bouche et que j’en redemanderais encore, juste pour lui plaire? Eh bien oui, je suis sa pute! Je regarde mon ami, hors de moi, puis je regarde son gland, affamée et incontrôlable pendant qu’il se branle en se servant de ma tronche pour s’exciter! Je pousse alors de toutes mes forces avec ma tête pour sucer sa queue, mais comme il me tient par les cheveux, je ne suis pas capable d’avancer d’un centimètre.
Extrêmement agressive, je lui crie soudainement : « JE SUIS TA PUTE!!! Laisse-moi faire mon travail, putain d’imbécile!!! » Quelques secondes s’écoulent ensuite, alors que je tente de toutes mes forces d’avoir sa queue dans la bouche. La langue sortie, au bord des larmes tellement je désire ce pénis que je ne peux pas avoir, je le supplie : « Laisse-moi te pomper! Laisse-moi te faire jouir! Laisse-moi VIVRE!!! » Il se branle alors très intensément en me regardant, moi qui suis en manque de sa queue, de son sperme, et il me dit : « Tu vas faire ce que je veux que tu fasses, petite pute! Ouvre ta bouche maintenant! » Excitée à l’extrême, j’ouvre la bouche pour l’homme qui a su faire de moi sa pute! Il se met à gémir, alors qu’il me gicle du sperme directement dans la gorge! Je ferme la bouche par réflexe, pendant qu’il vide puissamment ses couilles sur mon visage! Je sens des giclées de son foutre chaud et gluant jaillir jusqu’à dans mon front, dans mes cheveux, sur mes joues et sur mes lèvres, puis j’ouvre la bouche à nouveau pour avoir droit à 2 autres jets de semence sur la langue! Ce que ça peut être salé! J’ADORE LE SPERME! J’avale tout sans pouvoir me contrôler! Mon ami frotte ensuite sa queue sur mon visage en étendant le sperme et il me tire ensuite vers son pénis jusqu’à ce que ce son gland encore gluant de sperme se ballade profondément dans ma gorge. Il baise littéralement ma gorge alors que sa queue va beaucoup plus loin que je ne l’aurais cru possible. Je sens les larmes couler abondamment sur mon visage, complètement défoncée par la bouche! Sa queue prend tellement de place c’est incroyable, je sens la base de ma queue m’écraser la langue pendant que son gland me darde la gorge. J’ai l’impression d’être un cul qui se fait enculer, littéralement! Dire maintenant que je me sens comme une pute est un mot assez faible… Je dirais plutôt que je me sens comme la reine des putes!
Des larmes partout sur mon visage, bien que dans un état qui ne se rapproche pas du tout de la tristesse, je vis pleinement ce moment, alors que je n’ai jamais eu une queue aussi profondément dans la bouche! Il va et vient dans ma gorge en tenant ma tête très fort contre ses couilles. Je commence alors à m’étouffer mais je m’en fiche totalement! Et il s’en fiche complètement! Si je pouvais parler présentement, je lui crierais : « T’es qu’un sale porc, un connard et un PUTAIN DE CON!! DÉFONCE MOI LA GUEULE!!! C’est incroyable comment je peux me sentir comme une pute présentement! Et J’ADORE! Mon « ami » lâche ma tête, après m’avoir tenue de force pendant les quelques minutes de cette pipe qui n’a rien à voir avec une simple fellation! Je le déteste et je l’adore à la fois, et j’adore le détester. Pourquoi j’ai aimé, je n’en sait rien, mais maintenant, je serais prête à ce que n’importe quel mec me baise la gueule à tout moment!
Une enculade serait de mise ici, non? 🙂 Mais il faudra attendre… Laissons l’histoire progresser, vous ne serez pas déçus 😛 J’espère que tu as apprécié ma réponse Paul, et j’espère que vous avez tous apprécié! Vous me ferez le plus grand des honneurs en pensant à ma bouche ouverte quand vous giclerez tout. Fermez les yeux, branlez-vous et laissez-moi m’occuper du reste! Ne pensez surtout pas à éviter de gicler sur le plancher ou sur quoi que ce soit… Gardez les yeux fermés et continuez à vous branler, même quand il n’y aura plus une goutte de sperme dans votre queue… Si vous avez du sperme dans les mains, ne vous en souciez pas, imaginez-vous plutôt que je vous lèche les doigts et que j’avale tout à mesure que vous l’éjaculez! Pour le reste, je laisserai votre imagination faire le travail! Si vous avez des fantasmes à mon égard, j’adorerais les connaître! Dans les jours qui suivent, c’est un peu comme si ma vie s’était arrêtée. Tout me semble si fade maintenant… Que ce soit la nourriture que j’adorais, la musique que j’aimais tant ou d’autres sujets qui me captivaient, rien ne se compare avec le plaisir que j’ai à être une salope ! Je me lève ainsi de mon lit, un peu découragée que mon existence quotidienne soit devenue aussi monotone. Je me dirige vers la salle de bain et, fidèle à mon habitude, je me regarde dans le miroir. Soudainement, je sens des petites palpitations dans ma poitrine. Je sors intuitivement de la pièce et je vérifie s’il y a quelqu’un dans l’appartement. Négatif, il n’y a personne. Positif, je suis seule! Je retourne dans la salle de bain à nouveau et je m’arrête devant le miroir. Je suis étonnamment contente d’être seule, mais n’affiche pour autant aucun sourire. Je regarde alors la pièce d’un oeil très analytique, alors que j’élimine un par un chacun des objets comme faisant partie ou non de ce qui pourrait m’être utile pour me laisser aller et avoir ce sentiment d’être une vraie salope!
Une serviette de bain, une brosse à cheveux et un fer plat : non, non et non! Je ne vois pas trop ce que je pourrais faire avec ça. Je fouille dans le placard, à la recherche d’excitation, sans rien trouver. Je continue ma « fouille » des lieux de façon frénétique ; ce moment seule avec moi-même est tellement important présentement! Je ne pourrais absolument pas supporter que quelqu’un arrive dans l’appartement! Je me dépêche donc dans ma recherche et, ne trouvant pas d’ingrédients souhaitables, j’ai tout à coup l’idée d’aller voir dans le réfrigérateur. Mes yeux se fixent sur un énorme concombre, et je me dis à moi-même, et à voix haute : « C’est vraiment trop gros, ça serait comme me faire enculer par un mec avec une queue de géant! » Réalisant que je me suis moi-même excitée par mes propres paroles, je ne peux m’empêcher de prendre le concombre. Toutefois, je continue de regarder à la recherche de quelque chose d’un peu plus petit pour m’enculer progressivement… et pour finir avec le concombre… Mais il n’y a rien! Absolument rien!
Je regarde aux alentours, désespérée car je veux vraiment assouvir mon fantasme… Celui de me faire taper le gland d’un mec au fond du cul jusqu’à ce qu’il vide tout son sperme dans mes fesses! Pour y arriver, je dois commencer par le faire seule et c’est aujourd’hui que ça se passe, un point c’est tout! Mes yeux se rivent alors sur la salière. Je ne pourrais pas l’entrer dans mes fesses étant donné sa forme, mais le capuchon me fait penser à un gland. Pourquoi est-ce que je me contenterais de me faire sodomiser alors que je peux sucer une autre queue en plus? C’est dans cette logique que je prends la salière, sachant très bien ce que j’en ferai le moment venu… Le concombre et la salière à la main, j’accoure à ma chambre et je m’installe sur mon lit. Je réalise alors que ce n’est ni ma chambre, ni mon lit, mais celle de mon colocataire. Je ne suis vraisemblablement pas dans mon état normal… Quoiqu’il en soit, mon colocataire est supposé de revenir tard ce soir… Après tout, quel mal cela pourrait-il bien faire? Je remarque alors une caméra, posée sur le bureau dans la chambre.
Je me lève, coquine, intriguée et je prends dans mes mains cette caméra dont je me
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