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mon pote et ma femme à la fête de qua

mon pote et ma femme à la fête de qua



Mon pote Thierry et ma femme à la fête du quartier

C’est la fête du quartier. Les tables et les bancs ont pris place au stade de foot. C’est cassoulet géant. Vous êtes installé l’un en face de l’autre. En arrivant au stade je vous aperçois et tu m’appelles d’un geste de la main. Je me dirige vers vous et m’installe à coté d’elle. Pour me permettre de m’assoir, elle a dû se lever et retrousser à mi-cuisse sa jupe droite grise et elle se rassoit sans la tirer vers le bas. Après être assis, je me penche à son oreille pour lui dire qu’elle est belle et désirable. Elle rosit. Toi tu te demandes ce que j’ai pu lui dire.

En attendant le cassoulet, on débouche une première bouteille, elle lève son verre et nous trinquons tous en cœur. Tout en buvant, je pose ma main sur sa cuisse je commence à la caresser en remontant jusqu’à l’aine. Elle rosit un peu plus. Tu l’interroges du regard. Elle te répond que c’est les premiers effets du vin. Comme tu ne vois pas ma main gauche, tu as un doute. Mais bon, je ressers tout le monde. Nous trinquons à nouveau et là mon verre, une giclée de vin rouge atterrit sur son chemisier en soie beige. Je m’excuse et lui propose de l’aider à réparer tout ça. En effet ce chemisier est magnifique et le tissu souple moule les dentelles de son soutien-gorge, qu’on devine par une infime transparence. Je saisis une salière, l’aide à se lever et nous voilà en route vers les sanitaires du stade non sans te demander de garder nos places.

Une fois rendus, c’est le bazar habituel dans la partie « femmes », queue infinie pour les cabines et lavabos pris d’assaut pour les retouches de rouge à lèvres et les coups de brosse. Mais aussi un spectacle fascinant d’admirer les choix vestimentaires des nos voisines. A croire qu’elles veulent mettre le feu au slip de tous les mâles du quartier avec des hauts qui dévoilent leurs seins jusqu’aux auréoles et des bas qui remontent si hauts que pour certaines on peut voir la couleur de leurs culottes pour celle qui en ont. Quant à celles qui sont en pantalon, ils sont si ajustés qu’ils moulent leur cul et leur chatte en mettant en valeur leurs grosses lèvres et la fente. Je me penche à son oreille et lui en fait la remarque. Elle me dit que ce n’est pas son style. Et je lui dis que toi et moi nous le savons bien.

Je lui dis que les chiottes hommes sont vides et lui propose de nettoyer son chemisier dans les lavabos. Elle me précède et rentre dans une cabine. J’y vais avec elle, je l’assois sur la cuvette et lui demande d’enlever son chemisier. Elle commence à défaire les boutons lentement en partant du bas. Rien que de la voir faire, je commence à avoir la trique quand elle l’enlève, elle commence à respirer un peu plus fort car elle a vu la belle bosse, sa poitrine se gonfle et les deux jolis seins semblent propulsés vers moi. Mais un de ses bras coince, je l’aide donc et en profite pour frôler ses seins dont les tétons se dressent immédiatement car elle a les mains derrière son dos. Je dégrafe son soutien-gorge et libère ses seins bien dressés, cela me rend fou. Je me jette sur elle. Je saisis ses tétons et commence à les malaxer, elle se tort comme une succube en couinant un peu : « j’ai un peu mal mais c’est bon ! ».
Ce traitement porte vite ses fruits. Elle me dézippe et sort mon chibre du slip qui l’oppresse ; puis elle commence à me masser la queue qui durcit comme du béton. Je suis tellement excité que je me demande si je ne vais cracher dans sa main. En tout cas, elle, ta salope de femme, se régale de me tripoter la queue. Alors là, je lui dis : « Suce moi salope ! »

Elle me dit  » mais tu es trop gros pour ma petite bouche », – il faut dire que si j’ai une bite de longueur normale 15-16 cm, j’ai un gland exceptionnellement épais 8-9.
Je lui dis tout en triturant ses seins : « Avale sale pute ». Elle me dit : « je suis pas une pute » et je réponds « pas encore ma catin, patiente »… « Allez avale moi et applique toi ». Elle approche sa bouche et distend ses mâchoires au maximum. Cà rentre mais elle a le visage un peu déformé. Et là elle commence à coulisser mais juste sur le bout de gland. Alors, je m’emporte et lui dis : « c’est une pipe de professionnelle que je veux ! pas une sucette d’adolescente attardée ».
Elle me regarde avec des yeux un peu perdus, elle est distendue, a du mal à déglutir et les larmes perlent aux coins de ses yeux. Je lui donne le coup de grâce en lui disant :
« je suis sûr que tu peux mieux faire et me prendre à fond le nez jusque dans mes poils ! »
Elle se retire et me dit « Non tu es vraiment trop gros et trop long ». Alors là la rage me prend, je la gifle avec ma bite, j’empoigne sa tête et lui dis : « Suce salope sinon …!
Elle prend peur et pose ses lèvres sur le bout de mon vit. J’att**** sa tête et lui dis :
« Allez, tu va voir ça va passer ! » Elle distend à nouveau ses mâchoires et gobe mon gros gland puis millimètre par millimètre elle l’empale dans sa bouche. Pour l’aider, je pousse sur sa tête en la tenant fermement par sa chevelure de chienne salope. La scène me fait bander encore plus, je grossis dans sa bouche, ma queue enfle de plus en plus. Pour moi ça devient vachement bon car ses lèvres sont du velours. Elle déglutit avec difficulté. Je lui explique alors qu’elle doit saliver abondamment pour que mon gland et mon chibre glissent en elle sans problème. Des filets de bave commencent à sortir de la commissure de ses lèvres fines. Putain elle va me faire jouir cette radasse. Alors pour faire diversion, je me concentre sur mon scrotum pour éviter d’éjaculer, je veux vraiment voir son nez dans ma toison. Et là, je me dis que je dois me faire un souvenir. Je sors mon smartphone et commence à la filmer d’en haut en train de m’enfoncer lentement dans sa bouche. Comme elle suce les yeux fermés, elle ne voit rien. Je me paie même le luxe de faire quelques plans latéraux. Il reste encore 3 à 4 cm à avaler lorsqu’elle a un premier haut-le-cœur, puis un second. Par réflexe, je lâche sa tête et lui pince le nez. Elle suffoque et ouvre encore plus grand sa bouche. J’en profite pour m’empaler jusqu’à la garde. Elle a le nez dans mes poils et hoquette. Alors, je la félicite « Toi t’aimes vraiment la bite »… « t’es vraiment une belle salope »… « Allez, tu vas déglutir un grand coup et me sortir lentement de ta bouche tout en te branlant, je veux voir ta chatte ».
Elle s’exécute et le spectacle qu’elle m’offre est dantesque, son rimmel a coulé avec ses larmes, sa poitrine est couverte de bave, ses mâchoires sont tétanisées en position ouverte et son nez dégouline de morve. Pour nettoyer tout, je prends son chemisier avec la tâche pour l’essuyer. Pendant ce nettoyage, elle continue à se branler frénétiquement le clitoris jusqu’à un orgasme qui la submerge. Elle commence à récupérer mais le chemisier est ruiné, il va falloir le laver complètement. Et là mon coté pervers me reprend, je t’envoie en youtube le film de son exploit en t’invitant à nous rejoindre aux chiottes avec son verre. Mais je twitte aussi quelques potes en leur disant de me rejoindre aux toilettes hommes et d’entrer dans la cabine du fond. En effet, j’ai remarqué que la cloison est percée à bonne hauteur.

Je lui parle : « Ecoutes ma belle, je sais que t’aime la bite et vider les couilles, je te propose donc de détendre tes mâchoires avec un petit jeu que tu devrais apprécier. Mais, je dois sortir un instant. Bouge pas de là !»
Toi tu attends devant les lavabos avec trois verres plein. J’apprécie l’attention même si tu me dis que tu n’as pas pu voir le film ton téléphone n’a pas le bon driver. Je t’explique rapidement la suite et te charge de réguler le flux.

Je rentre dans la cabine, lui tends son verre pour qu’elle se refasse une santé. Elle me dit merci. Je l’embrasse à pleine bouche elle me répond en tendant son pubis vers mon bas-ventre, tout en me dardant une langue d’enfer. Je lui dis : « attends, mets toi d’abord à poil », ce qui est vite fait, vu qu’elle n’a plus que sa jupe remontée sur les hanches, sa culotte pleine de cyprine et ses ballerines vernies que tu as couverte de sperme plusieurs fois dans la semaine.
Je lui fais respirer sa culotte et lui fourre dans la bouche pour qu’elle se goûte. Je la pelote comme un malade et commence à lui mettre un doigt dans le cul. Elle se tortille mais s’empale dessus alors je lui en mets un deuxième pour vraiment l’assouplir pour la suite, je récupère la culotte et la fourre dans ma poche.
C’est à ce moment qu’on frappe sur la cloison droite. Elle m’interroge du regard. Je lui dis : « Tu aimes la bite, tu va en avoir ». J’ai une envie folle d’être son maître, de la traiter en pute.
Répètes :  » je suis une salope qui adore la bite, je me mets à genoux devant ce mâle attribut et me fais prendre dans tous les trous comme la vide-couille que je suis et j’adore le foutre »
Elle répète à voix basse, je lui dis : « plus fort, tous les mâles présents en ce moment doivent t’entendre et pouvoir profiter de tes talents ». A coté ça cogne plus fort. Elle doit quasiment crier son annonce. Je lui dis : « c’est bon, mets toi à genoux devant le trou ». Comme les mecs précédents ont comme d’habitude salopé les carrelages. Elle prend sa jupe et s’agenouille dessus, bonjour les tâches à la sortie !
Je frappe la cloison. Aussitôt, une belle bite fine se présente, Je reconnais celle de mon pote Gérard (Oui on partouze ensemble comme d’ailleurs avec les autres). Je dis à ta femme : « allez au boulot, suce le à fond ». Elle n’a manifestement pas l’habitude, la cloison la gêne et la perturbe. Elle tortille du cul pour trouver la bonne position et éviter de marquer son nez. Je lui glisse des trucs à l’oreille du type : « vas y ma salope essore le » tout en lui expliquant la règle du jeu : elle va être prise par tous les trous, elle devra recevoir leur sperme et le conserver puis le recueillir dans les deux verres.
Gégé s’impatiente. Mais au moment de l’enfourner, elle râle un peu car Gégé n’a pas toujours une hygiène au top, il sent un peu fort et il a des reliefs de sperme et de cyprine de la partie de baise de ce matin avec une pute roumaine. Je lui dis : « Mais tu n’es qu’une pute, tu dois satisfaire tous les mecs que je t’offre sinon je te mets en abattage sur le chantier du TGV. Lèche le bien et avale le ». Après quelques coup de langue, elle le prend en bouche ; comme il est fin ses mâchoires se détendent, elle suce bien et n’hésite pas se faire câliner la glotte par son gland. Pendant qu’elle le suce je lui dis « branle toi ».
Le spectacle est magnifique, mon smartphone filme sans discontinuer. Heureusement que j’ai prévu une recharge de secours. Tout d’un coup, elle sent Gégé se tendre et il lui décharge dans la bouche, un peu surprise, elle en avale une partie mais garde le maximum pour le recracher dans un verre. Je lui dis : « nettoies le à fond, putain ». Elle s’exécute docile. Gégé se retire pour être remplacé par Marco. Il passe sa main et s’empare de sa chatte qui travaille comme un fou. Ses grosses lèvres remplissent ses pognes. Il malaxe, triture, elle se tord de douleur et de plaisir mélangé. Elle commence à couler comme une fontaine. Puis il rentre un puis deux puis trois puis quatre doigts. Elle est écartelée alors dans un dernier effort, il rentre le poing, elle crie. Je lui fourre la culotte dans la bouche pour étouffer les cris et lui continue à la travailler comme un obsédé. Je vois qu’elle y prend goût car elle pousse son ventre vers sa main. Elle coule comme une femelle en rut. Alors ce salopard arrête tout. En transes, se trémoussant comme une minette, elle supplie « Continue, je vais jouir ».
Lui : « Mais ma chérie, c’est quoi ce bordel où les putes veulent jouir ? Allez branle moi un bon coup que je tapisse ton visage et tes seins de sperme ». Elle est un peu, beaucoup frustrée. Mais en bonne soumise qu’elle est devenue, elle s’applique d’autant mieux avec ses jolis petits doigts que je lui ai promis une fessée si Marco n’est pas content. Mais elle est habile et branle comme une reine comme tu dois le savoir. Marco explose et se déverse sur ses cheveux, son visage et ses seins. Alors elle récupère avec ses doigts le sperme pour le mettre dans le verre. Pour les cheveux, je lui dis que cela fait une parure originale qui va bien briller dans le soleil. Elle se lèche les doigts et finit de se nettoyer avec un pan propre du chemisier. Le premier verre est presque plein.

Gégé, Marco… au tour de Youssouf. Comme tous les arabes des cités, il a passé sa vie à sodomiser ses copines pour préserver leur virginité. Il est accro. Il sort sa bite brune et là elle me dit « c’est un arabe ». Je lui dis « oui mais c’est une bite et en plus du va devoir la prendre dans ton cul ». Elle se tortille et me dit : « Tout mais pas ça ». Alors je lui balance deux grosses claques sur les fesses puis lui fourre deux doigts dans le cul pour la préparer. Elle me dit OK. Je réponds, « tu vois, tu commences à être une bonne putain à rebeux. J’aime quand tu obéis en salope docile ». Youssouf a la trique et dit « c’est quoi cette grognasse qui discute ? » Alors elle tend son cul vers le trou et Youssouf l’enfile sans gel ni préparation, elle gueule comme une truie. Je lui refourre la culotte dans la bouche. Il la besogne comme une pute des cités. Elle est une vraie poupée secouée dans tous les sens. Mais le problème avec l’éducation sexuelle en tournantes dans les caves, c’est qu’il faut vite céder la place aux copains qui rentrent comme dans du beurre dans le sperme des précédents. Ca fait des générations d’éjaculateurs compulsifs. Et là Youssouf craque. Il se vide en elle à grands coups de reins. Puis il ressort sa bite et là il gueule comme un malade : « Putain la salope, il va falloir qu’elle me nettoie cette pute ». Pauvre Youssouf, sa bite est souillée de foutre et d’un peu de merde (c’est un risque avec la sodomie) alors je lui demande de bien nettoyer Youssouf, après tout ce n’est que du foutre qu’elle aime et un peu de sa merde à elle. Une longue discussion s’engage, elle râle, je suis obligé de passer à la manière forte. Une bonne paire de baffes sur les seins et un bras tordu dans le dos, elle finit par le nettoyer à fond tout en chialant et reniflant. Elle va devoir apprendre à obéir, ta femme. Mais pendant la discussion, le sperme s’est écoulé de son cul sur la jupe. Je lui ordonne de lécher et de recracher dans le verre pour finir de le remplir.
Cela fait un certain temps que nous sommes là, nous entendons la fête qui bat son plein. Il va falloir bientôt libérer les lieux.

C’est à ce moment que Julien et Toussaint présentent leurs bites (celle de Toussaint est bien noire, celle de Julien un peu comme la mienne). Rebelote sur la bite de renoi, elle ne veut pas. Je lui explique qu’elle va jouir comme une folle car il faut dire qu’est très frustrée ayant été utilisée comme un objet sexuel ou une poupée gonflable par des mecs qui ne pensaient qu’à leur plaisir et à se vider les couilles. Je lui ordonne de se tourner vers le trou et d’ouvrir son cul à deux mains. Pendant ce temps, je pointe ma queue vers sa bouche. Elle se tortille pas mal quand Toussaint lui remplit la chatte avec sa belle queue, elle couine. Il va cogner au fond de son vagin, puis ressort et re-rentre soit comme une bête soit tout en douceur. Ce traitement l’affole. C’est alors que Julien l’encule, elle crie car il a un gland plus gros que celui de Youssouf. Julien la déchire, elle hurle… alors, pour la faire taire, je lui ouvre la bouche avec mes doigts et rentre ma bite à fond. Elle s’étouffe, du coup son cul se met à bouger avec des mouvements de folie. Trop dur. Nous explosons tous les trois dans ses orifices et là je découvre que tout en se faisant prendre elle branlait son clitoris, noyée de sperme et le clito en feu elle est foudroyée par un orgasme hors norme. Nous récupérons lentement. Elle a bien gardé mon sperme dans sa bouche et le recrache dans le verre. Je l’embrasse à pleine bouche et la fais s’accroupir au-dessus du verre pour recueillir le sperme qui coule de sa chatte et de son cul. Le deuxième verre est lui aussi plein. Alors, je lui lèche le cul et la chatte pour finir de la nettoyer. Je bande à nouveau. Je lui dis que je vais laver son chemisier et essayer de rendre bonne apparence à sa jupe. Mais avant de sortir, je lui ordonne de te laisser entrer et de te sucer à fond comme elle l’a fait avec moi et les autres. Comme les verres sont pleins, elle devra te boire jusqu’à la dernière goutte. C’est le moment que choisissent les banqueteurs pour entamer les chansons à boire. J’en profite pour lui dire que nous allons retourner vers la fête; mais elle devoir passer l’épreuve du glou et glou avec un partenaire de son choix, il y a deux verres de jus d’homme à vider. Elle me dit qu’elle serait heureuse que son mari l’accompagne car elle a bien compris. Nous sommes tous dans le sanitaire? les potes se mettent en rond autour d’elle toujours à poil et à chanter :
« Elle est des nôtres elle a bu son verre comme les autres, c’est une salope ça ce vois rien qu’à sa tête de pute » A ton tour mon salaud pervers. Elle a les yeux qui brillent et son plus beau sourire quand elle te voit ingurgiter le sperme qu’elle a recueilli avec amour.

Je rentre à nouveau avec elle dans la cabine pour la rhabiller. Pour la jupe, on voit quelques tâches mais difficile de savoir de quoi il s’agit. Pour le chemisier entièrement trempé, elle va devoir se montrer quasiment à poil. Je lui suggère de remettre sa jupe sans culotte que je garde. Pour le haut, je garde le soutien-gorge car elle m’a énervé avec ses petits refus. Elle enfile le chemisier, c’est superbe, je vois ses seins en transparence, le contact du tissu la fait bander. Pour accélérer le mouvement, je lui tords les tétons. Et puis je lui demande de relever sa jupe. Je lui enfile sa culotte dans l’anus et le soutien-gorge dans sa chatte. Elle se tord de plaisir car les baleines font comme un plug ou des boules de geisha dans son ventre. A chaque pas, elle tortille du cul. En ballerines elle marche comme avec des escarpins de 12 cm.
En sortant, je lui dis « Bravo. Je suis fier de toi et ton mari aussi ». Dresses-toi bien pour mettre en valeur ta poitrine. Tes copines vont être vertes en te voyant en putain épanouie et fière de l’être. Tous les mâles présents vont avoir la trique. Et ce soir toutes les salopes des toilettes pour femmes vont devoir assurer grave. Il ne suffit pas d’affoler les slips, il faut aussi se prendre les bites.

Merci au pote qui avait mis de coté les parts de cassoulet et deux bouteilles de pinard. Toujours assis à coté d’elle j’en profite pour vérifier que le soutif est bien en place. Elle pousse son ventre vers ma main. Le lendemain, ça a un peu jasé à la boulangerie. En t’embrassant, elle a dit « toutes des salopes refoulées ».

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