Ce dimanche, Richard et moi nous rendîmes à un repas de famille organisé par mon frère. Ces repas sont tellement ennuyeux que je n’étais pas très enchanté. De plus je savais qu’il y aurait Charles mon beau frère, qui m’avait surpris quelques semaines auparavant dans une position délicate. Nous étions nombreux et je me trouvais assise en face de Sébastien le fils d’une sœur à mon époux. Agés de 26 ans, je le soupçonnais de fantasmer sur moi depuis sa plus tendre enfance. Mais il était d’une nature charmante je n’y prêtais donc pas attention. Pendant l’apéritif Charles m’avait glissé à l’oreille qu’il voulait me rencontrer seule dans la petite dépendance à l’extérieur de la maison. Au milieu du repas il quitta la table. J’attendais quelques instants, et me levait aussi. Je me dirigeais vers l’extérieur quand j’entendis Sébastien m’appeler.
– Patricia, Que t’arrive t il aujourd’hui, tu n’as pas l’air dans ton assiette
– Laisse moi il faut que j’aille prendre l’air, je suis fatigué
– Je peux t’accompagner ?
– Non je préfère rester seule
Je sortis sentant les regards de mon neveu. Rentrant dans le cabanon, je trouvais Charles qui m’attendait entrain de regarder des photos.
– Que veux tu Charles je n’ai pas beaucoup de temps
– Tu es très photogénique, regarde….
Il me tendit les photos ou l’on me voyait, dans un parking en compagnie d’un homme dans une situation plus que compromettantes. Il avait dû me surprendre avec Franck alors que nous prenions un café et nous avez suivi alors que Franck et moi regagnons son appartement.
– Dis moi, mon frère et au courant de tes activités extra professionnelle ?
– Tu es un personnage répugnant que veux tu de moi, de l’argent ?
– C’est une idée, mais en attendant j’ai d’autres projets pour toi, On va voir tout de suite si tu suces aussi bien que ce que je vois sur les photos
Il me prit par les cheveux et m’abaissa jusqu’à son bas ventre,
– Me rendras tu les photos, si je le fais ?
– Bien sur jolie belle sœur, je ne suis pas fout non plus, prends moi tout de suite
J’ouvris son pantalon, et sorti son sexe flasque. Charles me rapproche la tête et plaça son membre dans ma bouche que je sentis gonfler immédiatement, il me tenait par les cheveux tout en faisant coulisser son sexe devenu énorme au fond de ma bouche. Une de ses mains s’attarde sur mes seins les pelotant au travers de mon tailleur marron. Je sens son rythme s’accélérer, je lèche son gland avant qu’il me remette son sexe en bouche, la fin est proche.
– ahh je vais jouir salope regarde moi dans les yeux ouiiiiiiiii
Son sperme giclant de son membre vient se répandre sur ma figure et mes cheveux, m’inondant le visage de grande traînée blanche.
Charles se rhabille, je me redresse et prend les photos.
– Tu peux les garder ma belle, tu les as bien mérités, et ne t’inquiète pas tout cela restera notre petit secret.
Charles sortit me laissant seule. Je reprenais mon souffle, et me nettoyait afin de rejoindre les autres.
La porte s’ouvre à nouveau et je vis Sébastien apparaître.
– J’ai tout vu tata
– Quoi !!!!!! que fais tu ici petit voyeur, va t’en tu n’as rien vu du tout
– J’ai tout filme avec mon portable, regarde comme tu es belle. Tu devrais faire du cinéma. Regarde toi comme tu es souillée maintenant, tu as du sperme partout. Même dans les cheveux.
– Que veux tu ?
– Que tu te nettoies déjà, tu es toute sale
J’enlevais le sperme qui dégoulinait quand Seb me demanda
– Avale le sperme ; tes cheveux aussi ; suce cette mèche, oui comme ça tu es belle, depuis le temps que je fantasme sur toi. Je ne pensais pas que tu aimais tant le sperme. Je dois t’avouer que je me suis souvent masturbé en pensant jouir dans ta bouche. J’ai même joui dans tes strings une fois. Avais tu remarqué ?
– Ohhh, j’avais senti oui mais je ne savais pas que c’était toi
– Tu as aimé cette sensation de porter un slip souillé par un inconnu ?
– Oui c’était bon de me sentir humide
Seb baissa son pantalon.
– Suce moi maintenant
Il sorti son sexe grand et raide et força à son tour l’entrée de ma bouche. Pendant que je le suçais il m’ordonna de le regarder. Je l’avalais entièrement tout en le fixant droit dans les yeux.
– Lèche moi maintenant comme si c’était une glace, salive bien dessus cochonne, tire la langue maintenant.
Il Tapota son membre sur ma langue, et ensuite sur mes joues, se masturbant avec ma crinière rousse. Son sexe était gros, énorme, il le replongea au fond de ma bouche, et me baisa la bouche emmenant son sexe au fond de ma gorge à avoir presque des nausées.
– Tu m’étouffe arrête
– Tu aimes sucer ton neveu hein tata
Avec sa main derrière ma nuque il appuie une pression, afin de me pénétrer la bouche plus loin et plus fort. De des deux mains il écarte mon tailleur afin de découvrir mes seins soutenus par mon soutien-gorge.
– Sorts tes seins de ton soutif tata, et branle moi entre tes deux grosses mamelles.
J’obéissais docilement, et comprimer son sexe entre mes seins remuant ma poitrine. Seb faisait coulisser son sexe se masturbant.
– Oui regarde moi grosse cochonne mameleuse, touche ton sexe avec ta langue, t’aime te faire presser tes grosses miches.
J’obéissais à tout, me faire dominer par mon jeune neveu était trop fort je sentais mon premier orgasme naître en moi me traversant de part en part. Sébastien me releva et m’ordonna de remonter ma jupe, laissant apparaître mes bas noir mes porte-jarretelles. Il me fit écarter mon string et introduit un doigt délicatement en moi. Constatant que j’étais trempée, il sortit son doigt et me fit le sucer afin de goûter à ma propre jouissance. Il se baissa ensuite et enfoui sa tête entre mes jambes. J’étais assises sur cette veille table me faisant sucer par mon neveu de 26 ans jouissant comme une première fois. Ce petit jeunot qui avait du fantasmer sur moi pendant de longues années m’avait maintenant à sa disposition et pouvait faire de moi ce qu’il voulait. Suçant mon sexe, enfouissant sa langue au plus profond qu’il pouvait, me faisant trembler et mouiller comme jamais auparavant. Je n’en pouvais plus. Il se releva et me retourna, me penchât contre la table mes seins pendant devant.
Il retroussa à nouveau ma jupe, découvrant mon petit trou. « Doigte toi me dit-il ». Une fois de plus j’obéis et enfonçait un doigt dans mon vagin. C’était tellement indécent mais si bon. Il entra son doigt dans mon anus, me retrouvant remplie de tous les cotés. Il me fit lécher son doigt et recommença à plusieurs reprises.
– C’est bon de te voir comme ça tata, j’ai de la chance d’avoir une tante aussi salope.
– Prends moi tout de suite je n’en peux plus. Je suis à toi dépêche toi
Il posa son sexe sur mon anus. J’avais espéré subir ses assauts par mon sexe, mais il voulait cela autrement allant au bout de mon humiliation. J’étais défaite à sa merci, et aller devoir payer pour toutes ses années ou il avait fantasmer sur moi.
– Non pas par la
– Ne me dit pas qu’on ne t’a jamais enculé.
– Si ton oncle
Il poussa fort violant l’entrée de mon anus, restant immobile une fois entièrement entré. Il m’ordonna d’écarter mes fesses, commençant son travail de sape en me pistonnant comme une chienne
– ahh ton cul tata c’est comme dans mes rêves, tu es si bonne, et tes grosses loches on dirait une grosse vache qu’on va traire, je suis sur que je vais te tirer du lait.
Il me sodomiser tout en tirant sur mes seins comme pour en extraire du lait. De sa main il m’appliqua une grande claque sur ma croupe. De plus en plus fort je sentais son sexe en moi tout en sentant la fessée qu’il continuait à me donner. J’étais sa jument, et lui un étalon entrain de me saillir. Au bout de plusieurs minutes de ce rythme effréné, il sorti son sexe et me tenant par les cheveux me plaça la figure en face de son sexe.
– Viens me sucer maintenant que je te termine dans ta bouche.
– Oui gicle moi dessus maintenant
Il se masturbait devant mon visage, je savais le moment de la délivrance proche. Il joui très fort, comme si il avait conservé pendant toutes ses années son foutre qu’il me balançait dessus le dirigeant vers ma bouche afin que je l’avale.
– Merci Patricia, s’était délicieux, je constate que tu es bien au delà de tous mes rêves. Bien sur je garde les photos et le film.
Nous-nous réajustèrent et sans un mot reprirent le chemin de la maison. Je savais à son regard que ce n’était q’une première fois et qu’il saurait à nouveau me satisfaire.
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