Depuis quelques mois, je cherchais un grand appartement avec vue en région parisienne.
Comme souvent, j’enchaînais les visites, mais à chaque fois il manquait quelque chose : la vue !! Dans l’idée, je voulais dominer les immeubles alentours, pour pouvoir regarder une fois la nuit tombée la vie nocturne, notamment de mes voisins, et réaliser des photos d’exhibition.
Dans l’une des agences que je fréquentais assidument, l’agent immobilier était une charmante femme, brune, taille moyenne, plus charmante que belle, d’un caractère assez sévère, accentué par sa chevelure qu’elle portait tout le temps en queue de cheval et par un tailleur jupe ultra classique noir, sur un chemisier blanc.
La seule excentricité qu’elle semblait accepter était un collier de perles noires.
A chaque visite, je ne manquais pas de lui glisser des sourires, des regards discrets mais appuyés, qu’elle ignorait royalement, ou semblait le faire. Aucun sourire sur son visage, seule une sévérité que je pensais professionnelle au début, mais qui était de toute évidence sa réalité. Cela ne manquait pas de m’intriguer, et m’exciter.
Il y a trois jours, elle m’a convoqué pour une visite nocturne, et au téléphone, elle m’a simplement dit d’un ton cassant que cette fois, la vue ne manquerait pas.
Ayant vu beaucoup de produits décevant, je me suis rendu à cette visite sans enthousiasme apparent, ne souhaitant pas essuyer une déception supplémentaire.
Quelle ne fut pas ma surprise de me retrouver au pied d’une tour de 20 étages, sur une petite hauteur. Restait à voir quel étage allait m’être proposé.
J’appelle l’agent immobilier, qui m’indique le code et me sèche d’un « montez au 19è étage, je vous attends ». L’entrée était classique, l’ascenseur lent et silencieux, mon ascension m’arracha un léger sourire…sur le palier, une porte ouverte, je rentre.
De suite, un escalier attira mon attention : il s’agissait d’un duplex…et une lumière venait du haut, puis une voix : montez directement.
La vue était à couper le souffle, mais mon regard se posa immédiatement sur mon agent immobilier, debout face à la baie vitrée, me tournant le dos.
Je me suis approché d’elle, la vue, l’altitude, son tailleur jupe, et le petit début de sourire que je voyais au bord de ses lèvres a déclenché en moi une pulsion soudaine. Je l’ai plaqué contre la vitre, me collant derrière elle, et j’ai appuyé mes mains sur les siennes. Elle était sous mon emprise désormais, ne cherchant pas à m’échapper, mais la buée qui se formait sur la vitre au niveau de sa bouche indiquait son excitation.
Mon idée était de faire tomber sa sévérité, de la soumettre à ma perversité.
Je me suis mis à genoux derrière elle, relevant sa jupe jusqu’à sa taille, révélant des fesses fermes tendues sous une culotte de satin noir, que j’ai vite fait descendre le long de ses jambes, jusqu’à ses chevilles.
Son souffle s’intensifiait, elle dominait la vue, mais avec la jupe levée et la culotte baissée. J’ai appuyé sur le bas de son dos, la cambrant, puis j’ai écarté ses fesses, révélant son anus, qui comme je l’avais imaginé, était serré et rosé.
J’ai introduit ma langue dans son anus, d’abord le bout puis insistant sur l’entrée pour l’ouvrir, elle cherchait à m’échapper, me gratifiant de « non, non, pas ça, pas là » qui ne faisait que m’exciter, ma langue d’épaississait et rentrait de plus belle, je sentais sa rondelle se contracter, puis s’ouvrir sous les coups de ma langue…
Elle finit pas céder, se penchant en avant, écartant ses fesses devant mon visage pour que j’y aille plus et mieux…mais seule ma langue entra en elle.
Je jugais suffisant d’avoir fait tomber sa sévérité de façade, de l’avoir soumise à ma perversité. Et j’ai signé cet appartement, qui deviendra le lieu de débauche promis par cette visite.
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