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La maman africaine.

La maman africaine.



Aliou, (voir l’histoire) mon copain de fac africain me dit un jour :
– Ma mère est de passage en France, elle va loger dans ma chambre d’étudiant et comme tu es mon meilleur copain je t’invite à manger avec nous samedi prochain. J’irais faire les courses le matin et à midi nous te ferons gouter à la cuisine africaine. D’accord ?
– OK.
– Donc à samedi ; n’arrive pas trop tard !
Comme Aliou était mon meilleur pote il ne m’avait pas caché que sa mère était une femme à fort « tempérament ». Elle collectionnait les aventures en Afrique ! De plus il m’avait dit qu’elle avait un physique qui devrait me plaire !
Ce samedi là, j’arrive chez Aliou, vers 11 heures. Je sais qu’il est parti faire les courses ! Si je pouvais voir sa mère, la belle Audrey !
La porte d’entrée n’est pas fermée à clé, j’entre. J’entends un bruit étouffé venant de la chambre. Intrigué, je m’avance sans bruit. Les bruits se font plus distincts et je perçois des gémissements étouffés, particulièrement équivoques.

La porte est entrebâillée. Pas de doute, c’est de là que s’échappent les gémissements ! J’enlève mes chaussures et m’approche en silence. Je glisse un regard dans la chambre par la porte entrouverte et vois Audrey… seule. Le spectacle est impressionnant : elle est à quatre pattes sur son lit, la tête dans l’oreiller, tournée vers le mur, vêtue seulement d’un monstrueux soutien-gorge. Sa main, passée entre ses jambes, s’active dans un clapotement sur son sexe que je ne peux pas distinguer d’où je suis (il est masqué par sa cuisse). La poitrine, écrasée sur le matelas, déborde de tous les côtés, à peine retenue par le soutif qui semble à deux doigts de claquer. La tête dans l’oreiller, elle ne peut pas me voir et j’en profite pour ouvrir la porte un peu plus grand. Bon dieu quelle femelle ! Elle est en rut, c’est pas possible !
Je reste quelques minutes à regarder, fasciné puis, sentant la fin de son activité approcher, je m’éclipse. Hélas, perdu dans des pensées des plus lubriques, j’ai oublié que j’avais laissé mes chaussures et bute dedans.

À peine une minute plus tard, j’entends le pas lourd d’Audrey, et elle arrive en peignoir. C’est en rougissant que je sors un truc parfaitement débile :

— Euh, pardon, je cherchais Aliou… Je suis Yves son copain.
— Il vient de sortir faire des courses.
— Ah…

Là, je ne sais vraiment plus quoi dire. Elle me plait vraiment cette grosse africaine. Je vois sa poitrine se soulever au rythme de sa respiration rapide. Son peignoir entrebâillé laisse voir la naissance de deux seins énormes ! Je mate comme un fou ces 2 merveilles ! Elle s’approche :

— Touche-les, si tu veux. Tu as l’air d’aimer ce que tu vois !

Je reste bouche bée. J’ai dû rêver. Mais Audrey semble être dans un état second, et elle s’approche encore plus près. Je peux sentir son souffle saccadé. Elle prend alors mes mains et les pose sur ses seins. Je peux sentir les masses mouvantes à travers le satin du peignoir. Je lâche alors prise et me mets à les palper furieusement. Ils sont souples, chauds et… immenses. Je me calme un peu et mes caresses se font plus douces. Je glisse une main à travers l’échancrure du peignoir et le contact direct avec sa peau m’électrise. Je me baisse alors et embrasse Audrey à pleine bouche sans lâcher les masses de ses seins.

Je m’écarte un peu et fais glisser le peignoir à ses pieds, découvrant son corps nu. La chair noire est partout : ventre rond, seins ronds, cuisses rondes… Et une belle toison noire, fournie, au milieu. Je l’assois à côté de moi et commence à la caresser. Elle ne reste pas longtemps insensible et m’ôte fébrilement mon T-shirt et mon short puis baisse mon caleçon sur mes chevilles, libérant mon sexe déjà dur depuis un bon moment. Nous ne parlons pas. Je glisse ma main droite entre ses cuisses tentant de me frayer un chemin plus haut tandis que l’autre essaye de contenir un des énormes globes de chair. Sa chatte est trempée, visqueuse même.

— J’ai tellement besoin qu’on me prenne, me dit-elle enfin. J’ai besoin d’un sexe dans mon ventre. Je suis en manque…
– Oui…

Elle m’allonge sur le canapé et passe au-dessus de moi avec une souplesse étonnante compte tenu de son gabarit. Penchée sur moi, je ne distingue rien d’autre que ses seins énormes qui me barrent la vue en pendant. Ma bite est tendue à l’extrême. Elle descend et s’empale sur moi dans un soupir, puis commence un lent va-et-vient. Sa chatte est brûlante et je sens son jus couler entre mes cuisses.

– Merci pour ta queue, mon petit, si tu savais comme elle me fait du bien, gémit-elle.
– Tu as l’air d’aimer, te faire prendre par des étrangers !
– Oui, j’aime ça, j’aime ta queue ! Pas très longue mais bien large !
– Tu es une grosse salope ! J’adore les femmes fortes comme toi !
– Oui, oui… Baise-moi bien !
– Je baise ta chatte de salope, tu la sens ?
– Oui je le sens bien, enfonce ta bite bien au fond !
– Putain t‘es chaude du cul !
– Tu sais avec mon voyage depuis l’Afrique, je n’ai pas baisé depuis une semaine !
– Tout à l’heure, tu te branlais pourtant !
– Oui, mais ça ne vaut pas une bonne bite,
– La mienne n’est pas aussi grosse que celle des africains !
– Non mais elle est jeune et bien vaillante ! Ah oui, enfonce, enfonce !
– Ton fils m’avait bien dit que tu avais du tempérament, mais là ! Cela dépasse tout ! T’es trempée et tes énormes nibards me font triquer dur.
– T’aimes ça les gros seins, hein ?
– Oui, allez monte bien sur ma queue !
– Petit cochon, regarde bien mes gosses doudounes qui te font bander !

Inutile de dire que je ne me fait pas prier… J’att**** les deux outres qui se balancent scandaleusement devant mon visage et enfouis ma tête dedans en les léchant. La sensation est incroyable.

– Elles te plaisent, mes grosses mamelles africaines ?
– Oh oui, si tu savais…
– Tète-les, mon bébé… tète bien et baise maman !
– Oui…
– Je suis ta maman « black ». Suce mes bouts ! J’ai les tétons qui bandent !
– …
– Aaaah ! Oui ! Bouffe-moi, bouffe-moi ! Ah putain tu me fais du bien ! Ouiiii ouiiii !

Cette grosse vache en rut d’Audrey a encore accéléré le mouvement, criant les pires insanités. Soudain elle jouit longuement et s’effondre sur moi, manquant même de m’étouffer. Pour ma part, je n’ai toujours pas joui (la faute aux masturbations répétées de ces derniers jours ?). Comme je le lui fais remarquer, elle se relève et, pendant que je reprends une position assise sur le canapé, elle vient se mettre à genoux devant moi. La grosse commence alors à lécher ma bite avec force production de salive. Elle n’est pas très douée cependant, et je lui relève la tête, puis prends ses seins dans mes deux mains (en tout cas j’essaie… tout n’entre pas).

Comprenant mon intention, Audrey se rapproche et enfouit ma queue luisante de salive entre les deux énormes mamelles qu’elle serre entre ses mains. Le tableau est magnifique : elle ne peut pas tout contenir dans ses mains, ça déborde de partout ! Et la voilà qui commence à me branler, ma bite noyée entre ses mamelles, sa peau douce me caressant le ventre. Il ne me faut pas trois minutes de ce traitement pour tout lâcher mon foutre sur sa poitrine, le cou.
Aliou est revenu des courses, une heure plus tard !…

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