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L’experte – confessions d’un couple perv

L’experte – confessions d’un couple perv



Un grand changement se prépare dans ma vie. Nous allons déménager, Gregory et moi. Gregory, c’est mon compagnon. Vous verrez j’aurai souvent l’occasion de vous parler de lui. Un sacré salaud, au sens du masculin de salope, voyez… Monté comme un cheval en plus, et toujours au garde à vous. Nous avons nos petits hobbies comme tout un chacun. Greg aime bien prendre des photos ou tourner des vidéos, par exemple. Mais ce que nous préférons par-dessus tout, ce sont nos petites séances de domination. Rondes, fines, jeunes, matures peu importe du moment qu’elles sont soumises, elles nous conviennent toutes.

Je vais vous raconter notre dernière aventure. A propos de notre déménagement, justement, nous allons vendre notre appartement pour emménager dans un pavillon de banlieue. Ne perdons pas le sens pratique, nous aurons par la même plus d’espace pour nos débauches. Nous avons fait appel à une agence pour expertiser notre appartement. Lors du premier rendez-vous, j’ai tout de suite compris à qui nous avions affaire. L’experte approche la quarantaine mais elle est très bien conservée. Un peu enveloppée, juste ce qu’il faut, une poitrine généreuse, mais elle fait coincée, avec son air pincé et son chemisier fermé sous le menton. Elle cache bien son jeu, mais, aux regards de biais qu’elle jette sur mes genoux et mon décolleté, je vois bien qu’en plus d’aimer l’ordre et la propreté, elle apprécie également les femmes. Il faut dire que je m’habille très court et bien échancré.

Le jour du rendez-vous, nous l’accueillons dans des tenues décontractées, Greg en short et torse nu, moi peignoir en soie et nuisette. La femme prend un air encore plus pincé avant de dire :

– Excusez-moi, je pensais que nous avions rendez-vous… Je vais vous laisser le temps de vous habiller.

Je lui explique qu’elle ne nous dérange pas du tout, qu’elle peut se décontracter…C’est quoi son prénom déjà ? Béatrice. OK Béatrice on peut commencer la visite. Gregory s’éclipse, prétextant une histoire de pièce d’ordinateur à aller acheter. Nous avons vite fait le tour de l’appartement et finissons par la chambre. Il y règne un désordre sans nom. Il faut dire que l’on s’est bien amusé hier soir. En se penchant un peu, on pourrait voir un gros gode qui a roulé sous le lit… Les draps forment un tas infâme et l’odeur qui règne ne laisse aucun doute sur la nature de nos exploits nocturnes. Béatrice réprime un haut le cœur : « je ne me sens pas très bien, me dit-elle ».

– Vous voulez vous assoir ?
– Surtout pas !

Sans tenir compte de ses protestations, je vire les fringues qui couvrent une chaise et la glisse sous ses grosses fesses.

– Je vais aller vous chercher quelque chose à boire.

Je reviens avec un petit verre d’eau de vie. La pauvre est tellement désorientée qu’elle l’avale d’un coup. « Oh c’est fort ». Elle se détend un peu. J’en profite pour la cuisiner. Y a-t-il un monsieur Béatrice ? Qu’est-ce qu’il fait dans la vie ? Elle bafouille des réponses inaudibles. Je me penche vers elle et rive mes yeux aux siens :

– Cesse de te mentir Béatrice ! Sous tes airs de vieille fille tu es une lesbienne frustrée, tu as envie de moi, je le sais. Laisse-toi aller, je vais te faire jouir comme personne ne l’a jamais fait !

Et avant qu’elle ait le temps de me répondre je l’embrasse sur la bouche. Elle répond à mon baiser, mollement au début puis avec une fougue de plus en plus démonstrative. Rapidement, nous migrons sur le lit, je la soupçonne de la trouver excitante, cette couche souillée. Je la caresse, lui tripote un peu les seins. Je me redresse, les jambes écartées au-dessus de son torse. Je défais la ceinture de mon peignoir et soulève ma nuisette.

– Regarde ! Je n’ai pas de culotte et je suis épilée d’hier. Je l’ai fait pour toi. Alors belle vue ? Mate-moi bien la chatte. D’ici tu peux tout observer en détail, de l’embouchure du vagin au trou de l’urètre !

Je colle mon bas-ventre contre son visage, je suis toute maigrichonne, je ne risque pas de l’étouffer. C’est loin d’être la première fois qu’elle bouffe une moule, la Béatrice, elle a du métier. Cela doit remonter à son éducation chez les bonnes sœurs, on y prend de bonnes habitudes.

– Ah bien je vois que l’experte est en plein travail !

Gregory est rentré en douce dans la chambre, il doit nous observer depuis un moment. Je ne vais pas feindre la surprise, notre petit complot n’a rien de subtil.

Béatrice, toujours coincée entre mes cuisses, se répand en excuses, dit qu’elle est désolée, ô combien désolée, qu’elle ne touchera plus à la femme de monsieur que je vous en supplie ô Mon Dieu, Mon Dieu ne dites rien à mon employeur, je m’en vais tout de suite. Gregory n’est pas un mauvais bougre, genre partageur, il lui arrive de me prêter à des copains, il veut bien passer l’éponge. « A une condition, dit-il. Il va falloir me sucer. Oh juste un peu, une minuscule léchouille sur le bout du gland, rien de plus. Après tout, vous avez déjà goûté ma copine, je ne vais pas aller sucer votre mari, il faut bien une petite compensation et puis, vraiment, vous m’avez excité à vous tripoter toutes les deux, je bande si fort que j’en ai mal à la queue, si vous pouviez me soulager je vous en serai très reconnaissant ».

Béatrice ne sait pas trop, elle hésite :

– Je n’ai jamais pratiqué qu’avec mon mari et je n’aime pas trop…
– Tu n’as qu’à fermer les yeux et imaginer que tu lui fais plaisir.

Je lui promets que si elle obéit, je lui bouffe la chatte et qu’après sa dette sera réglée. Elle finit par accepter. Aussitôt nous nous jetons sur elle, je lui arrache son chemisier. Le soutien-gorge suit juste après. Ses seins sont vraiment très beaux. Deux gros globes laiteux avec de larges aréoles. Nous nous plaçons de chaque côté et nous en suçons chacun un, comme des bébés.

« Que diriez-vous de pimenter un peu nos ébats ? »

Je prends une paire de ciseaux dans la table de nuit et je lui demande de soulever la jupe. « Ne bouge pas, je ne voudrais pas te blesser. » Je glisse les ciseaux dans son slip et coupe le tissu. Greg tire l’élastique vers le haut et sa grosse chatte apparaît. Je peux enfin observer son sexe à loisir. Elle est en partie rasée, sinon j’imagine que la forêt vierge proliférerait vu qu’elle a l’air sacrément poilue. Les grosses lèvres, gorgées de sang, sont ouvertes et l’on peut voir l’entrée du vagin brillant de mouille. Elle dégouline, notre experte. Je suis impatiente de la goûter mais je veux tout de même la voir sucer Gregory avant. Il doit trouver qu’elle ne va pas assez vite, ou sa grimace horrifiée, quand le prépuce a effleuré ses lèvres, lui a déplu, toujours est-il qu’il lui pince le nez. Dès qu’elle ouvre la bouche, il y enfourne sa queue. Son gland vient cogner contre le palais.

Je glisse ma tête entre les cuisses de l’experte. A peine ai-je commencé à la sucer qu’elle abandonne toute velléité de protestation. Je ne lèche pas des filles tous les jours mais bon, c’est comme le vélo, on retrouve vite ses marques. Béatrice en oublie la vilaine queue qui remplit sa bouche, elle se détend, devient toute molle, puis se crispe à nouveau, ses formidables cuisses tremblotent.

Gregory lui laisse un instant de répit. Elle se met hurler qu’elle jouit, qu’elle jouit, que c’est vraiment trop bon. Heureusement que l’on déménage, on risquerait d’avoir des problèmes avec les voisins à faire un boucan pareil. Je profite de son émoi pour glisser deux doigts dans sa chatte. Elle est loin d’être étroite.

Béatrice nous remercie chaleureusement. Nous adoptons un air ennuyé. Elle a pris son pied. Bien. Mais nous n’avons pas joui. Et nous sommes surexcités. C’est ennuyeux.

«Masque-lui les yeux avec un foulard chéri. Maintenant, dis-je en m’adressant à elle, on va jouer à un jeu. Combien j’ai de doigts… dans ta cramouille ! A chaque fois que tu perds, tu as droit à un gage ! »

Béatrice n’est pas en mesure de répondre, elle est sur son petit nuage.

Mon doigt rentre très facilement. Greg me sourit et son doigt rejoint le mien, ce qui réveille Béatrice.

– Combien de doigts ?
– Deux, bredouille-t-elle.
– Non, un chacun tu as perdu.
– Vous avez triché !
– Tu as droit à un gage : une bonne fessée. Mets-toi à quatre pattes et que ça saute !
– Mais qu’est-ce que vous me faites faire… Vous allez me rendre folle.

Béatrice se met en position. Je lève la main bien haut et je l’abats sur sa fesse gauche. Je n’ai pas retenu ma force. Elle pousse un petit cri. Je ne vais pas m’arrêter en si bon chemin et je continue la fessée jusqu’à ce que son cul soit rouge vif. On peut voir mes empreintes qui se détachent sur la peau blanche. Elle me supplie :

– Encore, plus fort s’il vous plait. C’est si bon
– Allez, on continue le jeu, dis-je en enfonçant trois doigts dans son vagin.
– Trois !
– Flûte, tu as gagné.
– S’il vous plait recommencez, je vous assure que je perdrai cette fois.

Je bouge un peu jusqu’à placer mes lèvres tout près de son oreille et je lui chuchote :

– Béatrice, ma chérie, il va falloir être gentille. D’abord tu vas me faire jouir. Il faudra penser à Grégory aussi. Le pauvre. Il n’arrive pas à éjaculer quand on le suce. Si tu lui laisses juste te pénétrer un peu, pas très longtemps, je te rassure, tu lui feras très plaisir.
Greg se place derrière elle et la pénètre. Je me positionne face à elle et pendant que Béatrice me lèche, j’embrasse sauvagement mon mec. Elle ne proteste pas quand Greg la pilonne. Sa bouche est rivée sur mon bas-ventre et chaque secousse m’approche un peu plus de l’orgasme. Nous jouissons toutes les deux en même temps.

Béatrice est déchainée. Elle demande à Greg de l’insulter. Il ne se fait pas prier. Il la traite de salope, de morue, de grosse vicieuse. Par expérience, je sais que la situation va dégénérer. Il lui colle de grandes claques sur les fesses.

Greg ne peut pas résister à ce gros cul blanc. Il saisit un tube de lubrifiant. Béatrice ne proteste pas quand il presse son gland contre l’anus. Peut-être a-t-elle l’habitude avec son mari ? Toujours est-il qu’elle encaisse sans broncher. Je dirais même qu’elle apprécie.
Une idée me vient et elle demande vérification. Je récupère le tube de lubrifiant et m’en enduit toute la main. Je n’ai aucun mal à enfoncer mes doigts dans la chatte de Béatrice. Déjà quatre. Et voilà ! Sans forcer je viens d’entrer ma main tout entière, je peux même caresser la bite de Gregory à travers la paroi du vagin. C’est incroyable. On dirait que pour elle, les orgasmes s’enchainent. Elle gueule tellement fort que l’on est obligé de la bâillonner.

Greg n’a pas envie de finir dans son cul. Il lui dit de se coucher sur le dos. Il cale sa grosse bite entre les deux seins, lui dit de refermer la prise avec ses mains. Il va et vient dans l’imposante poitrine jusqu’à lâcher une bonne dose de sperme sur la gorge de l’experte. Je la nettoie avec ma langue, je n’en perds pas une goutte. Je remonte jusqu’à son menton et pose mes lèvres sur les siennes. Elle me rend mon baiser.

Au final, Béatrice a fait un excellent travail. Je crois qu’elle a un peu surestimé notre appartement mais nous en avons tiré un bon prix. Et depuis quelques temps, son mari s’étonne qu’elle reste aussi tard le soir en rendez-vous… Il faut dire qu’elle continue de nous rendre visite régulièrement.

Merci à Léon pour sa collaboration.

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