D’abord, je précise qu’à cette époque j’avais environ 20 ans, très cochon et que j’adore les femmes mûres,(voir mes autres aventures) les autres aussi d’ailleurs, mais » les vieilles » sont très souvent seules dans la vie, ne connaissent pas ou plus d’aventures physiques. Très souvent, donc, elles sont seules, divorcées ou veuves, ce qui ne veut pas dire qu’elles n’ont plus de fantasmes
J’ai connu des aventures amoureuses, mais croyez-moi, c’est avec des vieilles que j’ai connu les plus profonds plaisirs.
Venons-en à Berthe : nous avons fêté ses 60 ans il y a quelques mois, et l’un de ses fils est un pote, qui m’avait invité à cette petite fête de famille. Dans la soirée nous avions un peu dansé, et le vin aidant, je la sentais se serrer légèrement contre moi. Il faut dire que Berthe est veuve, qu’elle vit seule dans un petit village ou tout se sait. Elle est donc extrêmement discrète. Malgré son âge, elle est encore très désirable – pour moi tout au moins – petite, environ 160 cm, taille fine, très petits seins, pas très belle de visage, mais encore très baisable. Tout en dansant, donc, je lui faisais sentir que ma queue prenait de l’arrogance dans mon pantalon, et elle se retirait un peu en arrière, de peur que les autres danseurs devinent le manège entre nous. La soirée prit fin et je rentrai chez moi. Le lendemain matin, je lui téléphonai.
Je la sentis gênée au bout du fil, mais aussi, je dois le dire intéressée par mon récit. Je lui dis ma queue bien dure, sentant son souffle s’accélérer dans l’écouteur, je lui demandai si cela l’excitait de m’entendre. Dans un souffle, elle me dit que oui. Je lui demandai alors si elle était sensible des seins…
— Oui, mais vous êtes fou de me dire tout cela, Yves…
— Comment es-tu habillée, Berthe ?
— Juste un petit pull et un pantalon d’intérieur.
— Et dessous ?
Elle chuchota presque :
— Un soutien-gorge et une petite culotte de coton
— Passe ta main sous ton pull. Tu sens tes seins durcir
— Oui, à travers le tissu de mon soutien-gorge.
— Prends-les délicatement dans tes doigts. Tu aimes ?
Je la sentais vraiment oppressée. Son souffle s’accélérait encore.
— Dis-moi ce que tu fais maintenant.
— Non, je n’ose pas, j’ai honte de moi
— Alors je vais poser des questions. Tu as dégagé un de tes seins du balconnet ?
— Oui…
— Et l’autre main, glisse la dans ton pantalon. Caresse toi à travers le tissu. Tu le fais ?
— Oui.
— Comment es-tu, ou es-tu ?
— Dans mon salon, dans mon grand fauteuil.
— Tu as baissé ton pantalon ? Décris-toi. Dis-moi comment tu es en ce moment
— J’ai passé mes jambes sur les accoudoirs, mon pantalon est baissé et je passe mes doigts sur ma fente, à travers le slip. Je mouille terriblement. Tu ne devrais pas m’exciter ainsi.
— Tu sais, moi aussi, je me branle pour toi, Berthe. J’ai baissé mon pantalon et sorti ma grosse queue bien dure de mon slip. Je la branle doucement tout en longueur en imaginant que c’est ta main que me décalotte.
— Tu es fou, ce que tu nous fais faire, j’ai honte. A mon âge !
— Pourtant, c’est bon hein ? Tu le fais souvent ?
Encore dans un souffle, j’entends :
— Oui, quelquefois.
— Quelle cochonne, tu aimes donc tant que cela te branler, hein ?
— Oui, presque tous les soirs, dans mon lit, ou alors dans mon bain. J’aime tellement cela, et pourtant il y a si longtemps que je n’ai plus senti une bonne queue en moi…
— À quoi tu penses, dans ces cas là ? Tu as des livres, des photos cochonnes?
Elle m’avoue qu’elle n’en a pas, et qu’elle voudrait bien en acheter lorsqu’elle va faire ses courses en ville, mais qu’elle n’ose pas,
— Bon ! Demain je t’apporterai quelque chose.
— Non non, si l’on te voyait entrer chez moi…
— Ne crains rien je ne serai pas long
Et le lendemain, vers 10 heures du mat, je sonne à sa porte. Elle vient m’ouvrir, rougissante :
— Tu es fou !
Mais je rentre et ferme la porte derrière moi. Je sors un bouquin de photos pornos de ma veste et lui tend. Ses yeux brillent en le prenant.
— Maintenant, pars, si l’on t’a vu, cela va jaser dans le village.
– J’en ai pas pour longtemps !
Je m’adosse à la porte et lui dis :
— Regarde-moi d’abord me branler pour toi. Depuis notre danse… Tu me fais triquer !
Et je sors ma queue déjà dure de ma braguette. Elle est à un mètre de moi. Et à 20 ans on peut presque bander sur commande !
— Non ! Arrête
Sans l’écouter, je me branle en la fixant droit dans les yeux.
— Regarde bien, je vais juter pour toi !
Elle fixe fiévreusement ma bite que je lui montre bien et j’éjacule très vite. Du sperme gicle sur le sol et aussi sur sa blouse.
— Tiens. Ma cochonne, c’est pour toi…
Elle est toute rouge et je l’empoigne et lui roule un gros patin. Je lui glisse ma langue…Elle se laisse faire, inerte. Je la pelote sous son pull. Je sens ses petits bouts de seins tout durs, puis je sors.
Dans les jours qui ont suivis, je l’ai appelée plusieurs fois et à chaque fois, elle me racontait avec beaucoup de détails de plus en plus salaces comment elle s’était branlée en regardant mon livre. Elle était encore plus cochonne que je croyais. Elle adorait voir des bites et des chattes, elle aimait aussi voir des gouines entre elles. Pourtant, jamais elle ne voulait que je vienne la voir, tant elle craignait les qu’en dira-t-on.
Et hier soir, la voilà qui vient avec son fils et sa belle fille à une petite fête de village où il y avait bal. Après quelques heures, son fils était un peu saoul – je dois avouer que je ne m’étais pas gêné de lui verser à boire, car j’avais mon idée.
Vers les une heure du mat, je lui proposai donc de la ramener chez elle. Son fils lui dit oui, va plutôt avec lui, car les flics rôdent et je n’ai guère envie de souffler dans le ballon et lui n’a presque rien bu. Je rentrerai à pied.
Elle leur fit donc la bise et me suivit jusqu’à ma voiture.
Je partis, mais après quelques centaines de mètres, je partis dans un petit coin discret où je savais qu’à cette heure je ne serais pas dérangé.
— Où vas-tu ? me dit-elle un peu inquiète ?
— Berthe, je vais aller à un endroit où je pourrai enfin te peloter, te branler, te faire jouir et te baiser.
Je m’arrête donc dans un recoin, mais proche d’un réverbère tout de même, car je voulais la voir à poil.
Nous sommes allés sur la banquette arrière et immédiatement j’abaissai mon futal, pour qu’elle puisse bien voir ma queue bandée, qu’elle prit aussitôt dans sa main et commença à me branler
— Tu es fou, me disait-elle mais ses paroles démentaient ses pensées.
J’abaissai aussi son pantalon et son slip. Elle écarta bien ses jambes et me présenta sa fourche. Je m’empressai d’y mettre la main et j’écartai ses lèvres d’amour. Elle était toute trempée. Elle mouillait comme une dingue et commença à râler.
Elle possédait un clito assez développé. Fougueusement je la branlais, faisant aller et venir mes doigts de son clito tout dur à son vagin que je pénétrais de mes deux doigts, allant et venant longuement. Brutalement, elle jouit en criant. Heureusement que le quartier était très désert…
Elle vint alors sur moi et s’empala sur toute la longueur de mon dard jusqu’aux couilles.
— Oui baise moi, enfile moi, grosse cochonne que je suis… criait-elle
– Et qu’est-ce qui te fait râler comme ça ?
– Ta grosse queue, quand elle est bien dure.
– C’est pour ton cul qu’elle est dure !
– Hum, c’est bon de te sentir bander !
– Enfiler une femme de 60 ans, c’est bandant !
– Baise-moi fort !
Elle passa sa main derrière ses fesses et pelotait mes couilles sans vergogne.
— Vas-y, gicle, jute, inonde-moi…comme tu es gros, que tu es raide, comme tu me remplis bien la chatte…
– Ah, putain, je crache…
C’en fut trop, je laissai tout partir et lui envoyai de longues giclées de foutre. Mes cuisses étaient trempées de notre plaisir commun.
Mais elle en voulait encore, et j’étais aussi tellement excité que je triquais encore (à 20 ans !).
Elle se retourna, m’offrant son cul. Elle voulait la levrette. Et je l’enfilai sans me faire prier. J’entrais et ressortais de son fourreau gluant, elle m’accompagnait de sa main qui tenait fermement ma bite et la faisait parfois glisser dans ses lèvres et revenait ensuite à son vagin. D’un mouvement sec, je remontai un peu et mon gland buta contre son œillet.
– Non, pas ça, jamais, je ne l’ai jamais fait, non s’il te plaît…
Mais je sentais dans ses paroles une envie dans cette dénégation.
— Tiens, ma vieille cochonne, tiens, je te la fous dans ton petit cul bien serré…
Et d’une forte poussée je l’enculai bien à fond.
Elle grognait de bonheur, sous mes coups de bite.
— Salaud, cochon, tu m’encules, bien au fond.
– T’es vraiment serrée de la rondelle !
– Il n’y a que toi, saligaud !
– 60 ans et vierge du cul…
– J’ai vu sur le bouquin porno une enculade et je croyais pas que ça m’arriverai !
– Aaaah ! Je ressors ma bite et je te la refous au fond !
– Oooh ! Ta queue me déchire le cul !
– Pourtant elle n’est pas si longue !
– Non mais bien large et bien dure. Oh … Quel engin,
– Ouiii. Tu aimes ça ?
– Pousse fort ! A fond ! Et toi tu bandes bien, mon cochon. Tu aimes ?
– Je te baise, je t’encule comme une chienne !
– Oui, encule-moi plus fort.
– T’aime ça, baiser ?
– Oh oui ! Ah, ah, ah ! Aaaaah !! Comme c’est bon ce que tu me fais !
– Oh oui, t’es trop bonne ! T’aime te faire défoncer ?
– J’aurais jamais cru que par le cul ! Oh, mon Dieu !
– Quoi ?
– Hummm, Yves, c’est fort… Humm.
– …
– Putain de salaud, tu aimes enculer, toi… vas-y, enfonce… Putain c’est bon… Enfonce-le bien dans mon gros cul.
– Ton anneau est serré !
– Reste collé contre moi. Ne remue plus ! Attends ! Vas-y enfile maintenant !
– Prends ça, salope, tu la sens ma queue.
Je lui baisais le cul en profondeur et sans retenue. Je coulissais en elle. Ça sentait le cul, la sueur, la mouille !
Et ses doigts qui, je le voyais bien, caressaient sa vulve !
– Oh mon cochon ! Je me touche le clito pendant que tu me prends le cul !
– Branle-toi bien ! Tu jouiras plus !
– Ah ! Oh ! Oh ! putain !
– Oui, oui, oui, je te sens de plus en plus chaude.
– Allez, chéri, jusqu’aux couilles ! J’en peux plus !
– Ah tu en veux de la bite ?
– Mmmh, j’adore ça, murmure-t-elle. Casse-moi le cul, bon dieu !
– …
– Allez, vas-y, plus fort, mets-la-moi profond ! Jute, gicle dans mon cul, gicle dans mon boyau, salaud…
– …
– Que tu es dur ! Tu dois avoir envie de gicler, non ? Moi ça monte !
– Presque… Coulisse bien sur ma queue !
– Oh oui !… C’est bon !… Oui… oui ! … Ooohh oui !… Aaahhh ! … Chériiii ! Je vais jouir… Ça vient !… Ouuiii !…
– Je jouis aussi ! J’envoie tout !… Rrrhhaaaaa ! Salooope !
– Aaaaah, elle est trop bonne ta queue, mon chéri. Ah, ah, ah ! Je coule !!!
– …
Et en criant des obscénités, elle jouissait comme une folle. Je sentais des flots et des flots de mouille couler sur mes cuisses. Une forte odeur de foutre emplissait mes narines, m’excitant encore plus.
Ma bite me faisait presque mal d’être raide comme un bâton, même après avoir ainsi déculé.
Puis on se rhabilla et je la ramenai chez elle. Dans l’ombre de sa porte, on s’est encore roulé un gros patin. Sa bouche sentait le foutre et la jute.
Et je la quittai ainsi. Je sais aussi qu’il n’y a pas d’âge pour aimer et faire l’amour, n’est-ce pas mesdames ?
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