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Algérienne mariée, baisée par

Algérienne mariée, baisée par



Jamais je n’avais pu imaginer que j’allais être troublée à ce point par ce jeune homme
noir âgé de 16 ou 18 ans au maximum. De carrure parfaite, ce costaud d’environs 1,85m
était en train de se frotter le torse tranquillement dans la douche commune de la
plage et ne se souciait pas du volcan de feu qu’il avait allumé en moi, l’espace de
quelques minutes d’enfer…

Il était là, debout, touchant ses parties intimes avec le gel douche qu’il s’est versé
dans le creux de sa main, et moi, sous mon parasol, je le scrutais derrière la porte
entrouverte et l’imaginais tout de suite en train de gicler son sperme dans la mienne
et ailleurs sur moi. J’ai eu un peu honte au début, mais après, tout me dépassait…
C’était plus fort que moi, comme à chaque fois qu’il s’agissait d’histoire de cul.
Accros comme je suis, je ne reculais devant rien, sauf lorsqu’il y a une belle bite
derrière moi…

Mon mari n’était pas avec moi ce jour-là. J’étais avec ma sœur et une copine et les
enfants étaient occupés à faire les idiots dans l’eau. Leurs cris er rires nous
rassuraient et ça me permettait de me concentrer sur ce bel étalon noir, dont le corps
reflétait les lueurs de soleil de ce mois de juillet ensoleillé. Je voulais qu’il
reste une heure sous la douche pour le «rôtir» de mes yeux et le dévorer tout chaud à
la fin. Je priais pour qu’il s’adonne encore à ce petit jeu que je soupçonnais un peu
m’être adressé indirectement. Car j’imagine que chacune des autres femmes, ma sœur y
compris, mataient le beau jeune homme en cachette.

Mais je n’avais aucune certitude tellement le beau gosse noir ne regardait que
furtivement dans ma direction, à l’inverse de moi qui avais maintenant, carrément
braqué mon projecteur visuel sur son corps en général et son maillot en particulier.
Derrière mes grandes lunettes de soleil noires, je regardais avec désir ses belles
fesses bien garnies et fermes et, quand il se mettait en face, évidemment, cette belle
et grande bosse qui se dressait fièrement sous son maillot. Visiblement, il a du être
chauffé par les filles déambulant sur la plage.

Au fil des secondes, le trouble s’emparait de moi et je sentais des frissons de désir
parcourir mon corps de haut en bas. Notamment mes seins et ma chatte qui réclamaient
les mains et le sexe de ce black féroce et visiblement, plein de vigueur. Je
l’imaginais très robuste et très ferme. Un vrai athlète, capable de me porter avec ses
mains sans problème, tellement il paraissait fort.

Mais qu’a-t-il de mieux que mon mari pour lequel j’ai toujours eu les meilleurs
sentiments et un grand désir ? Peut-être cette couleur noir, sur une peau bronzée et
lisse qui ressemble plus à un être situé entre l’humain et l’a****l sauvage. Oui,
c’est sans doute ce cliché qu’on a, nous les blancs, de voir les noirs, plus dans la
jungle africaine, et qui nous promet du sexe foudroyant, à vous envoyer toutes les
femmes au septième ciel. Plus je le regardais et plus j’avais envie de tout oublier
pour aller le rejoindre sous la douche. Je ne pouvais pas m’empêcher de fantasmer sur
lui. J’avais envie d’être baisée sur place par ce jeune homme idéalement bien fait. Me
donner à lui entièrement, sans me soucier du regard des autres, le laisser réaliser
tous ses désirs d’adolescent, tous mes vices de femme mariée surtout et qui veut fuir
la routine sexuelle d’un seul homme. On se lasse de manger la même banane toute
l’année…

Je voulais donc m’installer sur lui, en lui, le temps d’un long plaisir interdit.
M’offrir totalement à ce jeune homme plein de force, de muscles et de promesses
érotiques.

Je ne sais pas comment je m’étais retrouvée à côté de lui, à quelques centimètres de
ce corps qui me rendait si folle, si fragile… En un éclair, j’ai fait semblant d’aller
faire trompette dans l’eau, au milieu des enfants et j’ai couru ensuite rapidement
vers la douche, prétextant que l’eau était trop glacée. Je n’avais pas menti à vrai
dire, car mon corps était trop bouillonnant de désir.

Mon fils m’a suivi naturellement et insistait pour que je retourne m’amuser avec lui,
en vain. Ma tête n’avait plus qu’un seul objectif : la douche, avant que «mon» étalon
noir ne s’envole. Et par chance, le jeune Apollon noir n’avait pas bougé. Il était en
train de laver son t-shirt et nettoyer ses baskets.

«Vous voulez que je vous laisse la place madame », a-t-il dit dans ma direction.

«Non, merci, je me débrouillerai, il y a une deuxième douche, merci jeune homme », lui
ai-je rétorqué avec un sourire plein de confusion, en repoussant mon fils.

Ce dernier a fini par désespérer et s’en alla rejoindre les autres enfants en courant.

Je suis restée donc là, à quelques centimètres de ce jeune qui me faisait fondre de
désir.

Il s’était penché pour nettoyer ses chaussures et je pouvais entrevoir le début de ces
fesses qui me donnaient tant envie de les caresser. Je m’imaginais aussitôt derrière
lui, debout, avec l’eau qui coulait entre nous, et je me mets à lui caresser le dos
avec ma poitrine. Puis, le fantasme devint comme une réalité et je me suis retrouvée
dans un engrenage qui m’a dicté de laisser tomber le haut de mon maillot deux pièces
pour coller mes seins sur sa peau noire. Il était surpris de me voir si proche, si
audacieuse. «Madame… »

«Chuuut, lui dis-je, j’ai trop envie de toi mon grand, tu es irrésistible. Laisse-toi
faire, ne t’inquiète pas”…

Je mis mes tétons dressés vers lui, et je les ai écrasés sur sa belle peau, de haut en
bas, en descendant jusqu’aux fameuses fesses durs qu’il me présenta aussitôt. Je
sentais les frissons le parcourir intégralement, à chacun de mes mouvements. Il ne
savait plus quoi faire. Il avait peur qu’on nous surprenne dans cette position. J’ai
donc poussé la porte de ma jambe pour le rassurer un peu. Le voyant d’accord pour
partager le risque, j’ai décidé de lui enlever le short rapidement et j’ai découvert
un cul très ferme et jeune d’une couleur très désirable. J’approche alors ma bouche et
de ma langue chaude, je commence à lui lécher les fesses doucement, puis goulument,
fougueusement, comme une sauvage. Je lui mets ensuite la langue tendue et dure sur son
anus qu’il me présente et m’offre totalement, comme une femme. Je le prends par la
taille pour lui fouiller le cul de ma langue endiablée. Je la fais rentrer aussi loin
que possible, atteignant des endroits insoupçonnés qui me font rappeler mon penchant
lesbien. Mon jeune noir se cambre et pousse son cul vers ma bouche, pour me dire que
ça lui plait beaucoup. Mieux encore, il tendit sa main pour l’appuyer contre ma nuque,
caressant au passage mes cheveux, pour me plaquer le visage fermement entre ses
fesses. Manifestement, il aimait beaucoup ce que je lui faisais et le plaisir que ça
lui procurait.

Ma main droite fouille devant et se pose sur une paire de couilles incroyablement
grosses. Je n’avais pas encore touché son zeb que je devine déjà de taille bien au
dessus de la normale. Impressionnant ! Incroyable même ! C’était mieux que ce que
j’avais imaginé quand il était caché. Moi qui rêvais d’un sexe de belle taille, me
voilà en train de masser un engin «poids lourd». Ce jeune ferait le plaisir de toutes
les femmes du monde. Je commence donc à le caresser, sentant dans mes doigts que ça
lui plaisait beaucoup. L’érection avait atteint sa forme maximale en quelques secondes
de massage expert de ma main droite. Le pauvre ne savait pas s’il devait pousser vers
l’avant où ma main le réclamait, ou alors coller un peu plus son anus à ma langue qui
lui faisait pratiquement le même effet en entrant et en ressortant très vite entre ses
fesses comme une bite d’enfant. C’est moi qui, devant la beauté cachée de ce zeb noir
en érection, ai décidé de le faire tourner vers mon visage pour avaler son sexe comme
une fille gourmande devant un bon cornet de glace. Je l’ai pris par la taille de ma
main gauche pour enfoncer son immense sexe dans ma bouche ouverte. Je ne l’ai pas
supplié pour qu’il me l’enfonce dedans, profondément, à m’en briser la mâchoire. Le
coquin ne se gênait pas pour tenter de me la mettre le plus loin possible dans la
gorge. Je le retenais difficilement par la taille, même si je voulais le laisser
atteindre mon cœur s’il le pouvait. Mes yeux se remplissaient de larmes, au point de
me faire mal à la tête. Mais j’aime tellement ce qu’il me fait que je remettais
aussitôt zebbou dedans et le laissais me bourrer la gueule. Je suçais ce zeb a****l de
toutes mes forces, en m’arrêtant quand il me le permettait, pour apprécier sa belle
taille et son incroyable grosseur. Je sentais dans ma langue toutes les veines
remplies de sang qui voulaient exploser de désir. Jamais je n’aurais pu imaginer qu’un
pénis pouvait être aussi dur, aussi attirant, aussi désirable. Je me sentais
totalement offerte, comme une pute en chaleur, devant ce sexe noir dans ma bouche. Je
ne m’étais pas trompée sur ce mec. Mieux encore, sa bite avait la taille d’un a****l
rare, qu’on aurait cru avoir été créé spécialement pour baiser les femmes chaudes
comme moi. Le top des tops ! Je léchais ce jeune homme sans m’arrêter et je sentais à
chaque caresse de ma langue, son envie de me d’en demander la suivante. Il me laissait
faire comme je le sentais. Comme j’avais envie de lécher mon petit bonhomme au sexe de
géant noir ! Ma chatte ruisselait de plaisir et réclamait à son tour qu’on s’occupe
d’elle. Elle miaulait de toutes ses forces et mon corps en subissait les affreuses
conséquences. Comme s’il avait entendu, le jeune homme tendit sa main droite vers mon
cul offert, pour le caresser et descendre vers mon anus, puis ma chatte toute chaude.
Je cambrais donc un peu plus mon cul, afin de lui faciliter le chemin d’accès. A ce
moment précis, nos caresses devenaient harmonieuses. On était en totale symbiose. Il
me donnait et je le lui rendais aussitôt. Il me mît son majeur dans ma fente, pour la
mouiller, puis il l’a ramenée vers sa bouche pour sentir l’odeur de mon sexe et le
goûter. Il me le présenta par la suite devant la bouche, toucha son sexe pour
l’enduire et le donna son doigt à lécher. Je le fis avec beaucoup d’excitation. Chose
qui l’a poussé aussitôt à le remettre dans mon trou, mais cette fois, dans celui situé
derrière. Mon anus était aussi ravie que moi et mon sexe de cette caresse brusque et
inattendue. Ça me faisait un peu mal, mais le désir était nettement plus fort que la
douleur que mon cul entier réclamait d’être écrasé par les grosses mains de mon black.
Je lui pris alors la main pour lui demander de me taper fort sur les fesses et les
tenir fermement. Le jeune noir n’a pas attendu longtemps pour écraser sa main
violement sur mon cul . Il appréciait autant que moi de taper sur le haut de fesses
qui commençaient à rougir de bonheur. Son majeur continuait à aller et venir dans mon
anus pour l’élargir et le préparer au grand coup de tonnerre. C’est ma terma qui
l’excitait le plus visiblement, tellement il se concentrait sur elle. Il me prit
ensuite par la taille et descendant le long de mos dos, le noir arriva au niveau de
mon sillon qu’il commença à lécher dans tous les sens, comme s’il dessinait une
fresque artistique avec sa langue. L’artiste du sexe allait conclure son magnifique
travail en s’enfonçant de son pinceau de langue, dans mon cul. Je le sentais aller au
fond de mon trou, fouillant dedans, comme s’il cherchait inlassablement un trésor
caché. Je lui offrais tremti encore, perdue comme j’étais dans ce tourbillon de
plaisir d’une intensité jamais ressentie avec mon mari. Et dire que c’est un gamin de
16 ans qui me fouillait le cul ! Un expert du porno n’aurait pas fait mieux que ce
black. Quand il a sorti sa langue de mon anus, j’avais senti comme une caresse me
foudroyer le contour intérieur de mon intimité rectale. Il se remit debout en même
temps que moi et de ses deux mains, me prit par les épaules, avant de s’approcher de
moi. Je sentais en premier, son sexe magistralement dressé vers l’avant, qui attendait
le contact avec sa partenaire préférée : ma terma blanche rougie par les coups reçus
de ses grosses mains. Collé à moi, il me prit par le menton pour me retourner la tête
avant de poser ses lèvres sur les miennes. En quelques secondes, je me mettais à lui
suçais la langue goulument, sentant l’odeur de mon intimité qui augmentait mon désir
de plus belle. Son immense zeb était dressé entre mes deux fesses qu’il commençait à
frotter de haut en bas, lentement, au rythme de mes mouvements. N’en pouvait plus de
résister, je l’aidais à me défaire rapidement de ma petite culotte qu’il envoya par
terre, puis, je remontais mon cul au dessus de son sexe, afin de le guider vers ma
grotte merveilleuse. Et, sans le lui expliquer, mon «Ali Baba» trouva son trésor et
s’enfonça dans ma chatte offerte éperdument. Il commença ses mouvements de va et vient
lentement, puis, accéléra comme une machine, m’envoyant cette foudroyante décharge
électrique qui me mena, en quelques secondes, au premier ciel de la jouissance. Il se
retira par la suite, laissant mon hadjoun ivre de plaisir, avant de me donner ses
longs doigts à lécher à pleine langue, pour les mouiller et il en fît de même avant
d’enduire son gros sexe à quatre reprises de nos deux salives mêlées, pour que ça
glisse bien. Et, ce qui devait arriver arriva. Le moment le plus attendu, celui que ma
belle terma blanche de taille 40, réclamait depuis l’instant où je l’avais vu. Il
présenta donc zebbou devant mon anus et me demanda de pousser comme ça me plaisait.
Devant mon hésitation à happer son énorme sexe bouillonnant d’envie de me niquer par
derrière et honorer enfin mon cul, il s’enfonça en moi d’un coup sec et bestial très
profond pour se libérer ! Ahhhhh ! Je sentais comme s’il m’avait coupé le cul en deux
tellement son sexe était immense autour de mon anus qu’il labourait déjà nerveusement.
Bien que forte, la douleur ressentie ne durera pas longtemps et laissa heureusement la
place à une sensation de bien être u…niiiiiiiiique ! Il me prenait le cul très
profondément, faisant vibrer mon intérieur jusqu’au ventre que je sentais gonfler au
fil des allers-retours. Comme c’était bon de sentir ce gros sexe noir dans mon cul !
Et comme ce sexe n’était pas de taille ordinaire, je me concentrais sur sa grosseur
surnaturelle et sa couleur chocolat dont j’avais souvent rêvé ces dernières années. Je
venais enfin de réaliser mon fantasme de me faire enculer par un black !!! Quel grand
bonheur !!! C’était en plus, celui d’un jeune adolescent vigoureux qui adore baiser
par le cul comme moi et qui, en plus, était doté d’une taille incroyablement grande !
Quel pied ! Je voulais rester toute ma vie dans cet état, dans cette position, avec ce
sexe de noir dans mon anus. Il n’y a pas mieux pour être heureuse, je crois. Je lui
demandais fiévreusement de ne pas s’arrêter et de continuer à me labourer l’anus, à le
remuer, le semer et récolter le fruit de notre bonheur commun. C’était carrément
génial. Absolument délicieux ! Fabuleux ! Voyant l’état d’extase dans lequel il
m’avait mise, il poursuivit son travail parfait de baiseur de femme mariée de plus
belle. Pour maintenir la température au max, sa bite ne sortira pas de mon cul, même
lorsqu’il me prit la jambe gauche pour me retourner en face de lui. Il m’avait plaqué
cette fois contre le mur et me soulevait entièrement en me bourrant le cul de ses
coups de bite magique. Je m’accrochais à son cou en lui mangeant la bouche et le
visage, comme une sauvage affamée. Il jouait avec mon cul en changeant de rythme au
gré de ses désirs. Puis, il m’écarta les jambes aussi loin que possible et s’enfonça
encore plus en moi. Pour l’aider à me soulever, je m’accrochais au pommeau de douche
au dessus de moi et il en profita pour me mettre très haut, afin de me lécher
profondément le sexe et le cul à la fois, passant d’un endroit à l’autre, au gré de
ses envies a****les. Il me reprit cette fois par mon hadjoun qu’il baisa sauvagement
et rapidement. Je jouis encore une deuxième fois comme une chienne, puis une troisième
fois en quelques minutes. L’image d’être baisée par ce jeune noir sous la douche me
fascinait et augmentait mon désir. Je rouvrais les yeux à chaque fois pour m’exciter à
nouveau en le fixant dans les yeux. Il avait vite compris que ce décor et cette
position me faisaient le meilleur effet. Il allait et venait en moi en posant ses
lèvres sur ma poitrine qu’il mangeait aussi sauvagement. Je me sentais remplie de
partout et j’atteignais mon quatrième et mon cinquième orgasmes l’espace de quelques
minutes de grande folie.

«Nikni, nikni, nikni encore autant de fois que tu le voudras, je ne veux pas lâcher
ton zeb de rêve », lui disais-je sans m’arrêter, le mettant également dans un état
d’excitation terrible. Cela se voyait dans ses yeux noirs qu’il fermait à moitié,
perdu aussi dans le bonheur de baiser une femme blanche, mariée, non loin de ses
enfants et sa sœur. C’était le top du bonheur sexuel !

«Nikni, nikni encore men tremti ou hadjouni. Tu me le fais bien mon garçon», lui
disais-je en n’oubliant pas que ce garçon n’avait que 16 ans et qu’il avait son gros
sexe de noir dans mon cul d’algérienne blanche…

A suivre…

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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