La cloche sonne. Le brouhaha de mes camarades laisse rapidement place au silence dans la salle. Silvie, ma professeure de français, est plongée dans la masse de devoirs que nous lui avons rendus aujourd’hui. Discrètement, je m’avance vers la porte donnant sur le couloir, la ferme et tourne la clé dans la serrure. Silvie entend le cliquetis du mécanisme et hausse la tête vers moi. C’est une belle blonde de la trentaine. Ses yeux verts émeraude scintillent derrière des lunettes trop grandes. C’est une femme sportive dont les courbes, fermes mais généreuses, détournent plus d’un regard. Vêtue d’un petit chemisier blanc, d’une jupe rouge courte et moulante ainsi que de talons hauts pour compenser sa taille moyenne, Silvie me questionne du regard tandis que j’avance vers son bureau.
– On peut savoir pourquoi tu as fermé la porte à clé Laurent ? demande-t-elle agacée.
J’arrives au premier rang, ou sont posées mes affaires à côté de son bureau. Ses yeux me dévisagent, impatients de connaitre ma réponse. Sans mot dire, je sors une petite clé USB rouge de ma poche et contemple son malaise naissant. Ses joues rougissent, ce qui ajoute une touche de charme supplémentaire à son magnifique visage.
– Ou as-tu eu ça ? demande-t-elle sur un ton menaçant.
Silvie se lève comme une furie, s’approche de moi et m’arrache la clé des mains.
– Ne vous inquiétez pas, j’ai déjà des copies sur mon ordinateur, répondis-je avec un sourire malsain.
– Comment oses-tu ? ajoute-t-elle, prête à me sauter à la gorge. Tu vas tout de suite…
– Je ne savais pas que vous étiez autant une cochonne que ça, la coupais-je en ignorant ses menaces. Que dirait votre mari si par hasard quelqu’un lui envoyait des photos et des vidéos de vous en train de sucer et de vous faire sauter par le directeur ? ajoutais-je sur un ton calme qui tranchait avec l’atmosphère ambiante.
– Tu ne peux pas faire ça ! Je vais convoquer tes parents et te faire virer de ce collège, dit-elle comme pour me mettre la pression.
– Dans ce cas, tous les élèves recevront le même mail anonyme que votre mari, répondis-je le plus simplement du monde.
Silvie me fusille de son beau regard tandis que je prends un malin plaisir à la sentir fléchir.
– Que veux-tu à la fin ? demande-t-elle sur un ton vulnérable. Une bonne note au devoir ? Une bonne moyenne cette année ?
Une fois de plus, je ne répondis pas directement, préférant la voir faiblir on en peut plus. Sa voix et son attitude avaient changé. La fureur laissait la place à l’apitoiement, l’indulgence et la miséricorde. J’ouvres lentement mon sac et en sors une petite caméra compacte que je pose sur la table à côté de moi. Le regard de Silvie oscille entre le petit objet et moi avec un air d’incompréhension et de naïveté.
– Je ne veux rien de tout ça, finis-je par répondre. Je veux vous filmer en train de me sucer.
– Pardon ? répondit Silvie estomaquée. Ça n’y comptes même pas ! dit-elle sur un ton de défiance, comme si elle avait le pouvoir de refuser.
– Donc ce sera votre mari qui aura une petite surprise ce soir, dis-je sur un ton indifférent.
– Ainsi soit-il, répondit-elle vraisemblablement résignée.
Je range mes affaires tandis que Silvie est toujours debout, le teint blême, visiblement anxieuse et tourmentée. Je prends mon sac, la salue avec un air provoquant et me dirige vers la porte. Au moment où mes doigts saisissent le métal froid de la clé, une voix faible mais déterminée se fait entendre dans mon dos.
– Laurent attends s’il te plait, me lance Silvie.
– Oui ? dis-je en me retournant vers elle mais en campant sur ma position.
– Que ferais-tu des films si jamais on…si jamais je…te suçais ? demande-t-elle d’une voix à peine audible.
– Je les garderais pour moi, comme souvenir, et jamais personne ne saura ni pour moi ni pour le directeur.
Un moment de silence s’instaure. Silvie est pensive et haletante. Elle est si charmant.
– C’est d’accord, finit-elle pas lâcher d’une voix quasi-imperceptible.
Je m’approche à nouveau de son bureau, pose mon sac sur la table, sors la caméra, l’allume et la pose à coté de mon sac. Je sens l’excitation monter en moi. Silvie s’approche et pose ses mains sur ma ceinture. Elle semble déboussolée, perdue dans ses pensées. Je passe ma main dans son cou et l’embrasse tendrement, comme pour la réconforter. Elle est si désorbitée qu’elle n’a aucun mouvement de recul. Elle se contente simplement de me regarder avec de grands yeux. Je l’embrasse à nouveau, ose aventurer ma langue qui rencontre bizarrement la sienne. Nos langues se caressent, s’agitent sensuellement l’une contre l’autre puis Silvie, qui semble avoir retrouver ses esprits, met un terme à notre baiser et ajoute « Finissons-en » en commençant à défaire ma ceinture.
Ce baiser plein de lascivité et d’érotisme m’a électrisé, hérissé les poils et je sens déjà les effets dans mon pantalon. Silvie dégrafe ce dernier puis s’accroupie devant moi en jetant un œil à la caméra à sa droite. Ses doigts ouvrent la fermeture éclair et Silvie fait glisser mon pantalon au niveau de mes genoux puis me regarde avec étonnement. Mon caleçon flottant est déformé par une bosse dont elle ne soupçonnait sûrement pas l’importance auparavant. De la voir accroupie devant moi, prête à me prendre en bouche, m’excite encore plus.
Méticuleusement, Silvie fait glisser l’élastique de mon caleçon et libère mon sexe qui se dresse instantanément vers elle, le gland décalotté. A côté de la finesse de son visage, mon sexe semble imposant. Une fois de plus, la professeure me regarde avec un petit rictus sur les lèvres, mélange de stupéfaction, de désir et de luxure. Silvie fixe à nouveau mon sexe et le saisit d’une main comme pour le jauger, le soupeser et l’analyser. D’un mouvement lent, elle avance sa main vers mon gland tout le maintenant sa prise. Mon prépuce va puis revient délicatement. Sa délicatesse est exaltante. Sans me consulter, Silvie approche ses lèvres se mon membre, sa langue passe doucement sur mon frein puis ses yeux me fixent et elle pénètre lentement mon gland dans la bouche chaude et humide. Je soupire de plaisir et sens tous les muscles de mon corps se relâcher.
Pendant un petit moment, Silvie se contente de gober, lécher et suçoter mon gland en me masturbant adroitement de sa main. Je remarque que la commissure de ses lèvres est très sollicitée mais cela ne semble pas l’arrêter. Bien au contraire Silvie commence à pénétrer peu à peu ma hampe entre ses lèvres jusqu’à ce qu’elle bute, à mi-chemin, à l’entrée de son pharynx. Ma professeure se retire alors doucement en laissant un filet de bave sur mon sexe, aspire mon gland, me masturbe puis englouti à nouveau mon sexe tandis que je prends appui sur la table derrière moi. Elle est si méticuleuse, si charmante et si élégante. Une nouvelle fois, Silvie enfonce mon sexe qui bute à l’entrée de son pharynx. Je ferme les yeux, appréciant l’œuvre de ma professeure, lorsque je sens sa main saisir la mienne. J’ouvre les yeux et échange un regard avec elle. Son regard est torride, sauvage et palpitant. Sa bouche semble remplie, les commissures de ses lèvres prêtes à craquer. Pourtant Silvie pose ma main derrière sa tête et exerce une pression dessus. A mon tour, j’exerce une pression sur sa tête et Silvie entreprend d’outrepasser ses limites en enfonçant on ne peut plus mon sexe en elle. Spontanément mon bassin tend vers elle comme pour l’aider et participer à son exploit. La charmante jeune femme finit par engloutir la totalité de ma verge en me regardant avec un air de chien battu, puis se retire.
– Waouw vous êtes vraiment douée ! dis-je en râlant de plaisir tandis qu’elle suçote mon gland en souriant, visiblement ravie du compliment. Ça vous dérange de recommencer pendant que je vous filme d’en haut ? demandais-je poliment.
Sans véritablement quitter mon sexe de ses lèvres, Silvie esquisse un petit hochement de tête et je me saisis de la caméra. Silvie regarde la caméra avec passion, pose ses mains sur mes fesses tandis que la mienne est toujours positionnée dans ses cheveux. Peu à peu, la professeure avale mon membre avec dextérité. Son œuvre semble relever de la prouesse tant ce qu’elle ingurgite est disproportionnée à son visage d’ange. Arrivée à l’extrémité de ma hampe, je ne peux m’empêcher de donner quelques petits coups de reins dans cette gorge profonde. Silvie ne bronche pas. Elle se contente simplement de fermer les yeux et de se laisser faire. Puis elle se retire, reprend son souffle en laissant un filet de bave tendre entre ses lèvres et mon gland, saisie ma main portant la caméra et la place de façon à la voir de profile. Elle recommence l’opération en me regardant avec plaisir. Je ne peux m’empêcher de lui sourire lorsque je comprends qu’elle me fait filmer sa gorge se déformer en accueillant mon membre. Elle veut que je garde le meilleur souvenir de cette expérience et elle adore se faire filmer ainsi. Silvie est une femme qui sait bien cacher son jeu.
Commence alors une valse érotique. Je pose la caméra sur la table et d’elle-même, Silvie entreprend des allers retours sur ma hampe à des allures et des profondeurs variées. De temps à autres elle me laisse mener la dance à ma guise. Poussant sur sa tête ou ondulant mon bassin, je mets sa bouche à rude épreuve mais Silvie ne cède pas. En adoration devant ses performances, j’ose saisir le haut de son chemisier et l’arracher en faisant sauter les boutons pression qui le maintenaient fermé. A ma grande surprise, Silvie ne porte pas de soutien-gorge. Pourtant vu la fermeté de sa poitrine et le rapprochement de ses seins, j’aurais mis ma main à couper que quelque chose les soutenait. Mais non, Silvie a naturellement des seins de bonne taille, fermes et serrés l’un à l’autre. Malgré mon acte audacieux, la belle blonde ne dit mot et elle continue sa fellation avec souplesse et talent tandis que je malaxe chacun de ses seins et de ses tétons durs à leur tour. Au bout de quelques instants je l’invite à se lever un tout petit peu. Silvie s’exécute et comprend rapidement mon dessein lorsque je colle mon sexe érigé dans le sillon de ses seins.
Avec habileté, Silvie resserre sa poitrine autour de ma hampe et entreprend des vas et viens. Par plaisir et pour l’aider, je commence également à faire des allers retours avec mon bassin, de haut en bas. La professeure arque sa tête et prend l’extrémité de mon sexe en bouche. La masturbation de mon sexe par ses formes, ajoutée aux douces succions de sa bouche experte et à la sensualité de la scène, font monter en moi la fièvre et l’excitation.
– Je vais éjaculer, dis-je à Silvie dans un râle de plaisir.
Immédiatement, la jeune femme retire mon sexe de sa bouche et de ses seins et se lève face à moi.
– Non, me répond-t-elle.
Un petit moment de silence s’installe dans la pièce. Nous nous fixons tous les deux : moi le sexe dressé et le pantalon retroussé au niveau des genoux et elle les seins nus et le chemisier grand ouvert.
– Je suppose que notre petite expérience est finie, ajoutais-je avec un brin de déception. J’honorerais ma part ne t’en fais…
– Tu ne comprends pas, me coupe-t-elle avec un léger sourire. Je veux que tu me saute ! dit-elle en m’embrassant fougueusement.
Nos langues se mêlent l’une à l’autre, nos lèvres se goutent à nouveau avec passion, mon sexe est collé à son ventre et mes mains se posent machinalement sur le fessier de Silvie. Nos corps haletants parviennent à se débarrasser de mon t-shirt et nos lèvres se quittent quelques instants le temps que j’enlève mes chaussures et mon pantalon. Je suis complètement nu tandis que la belle blonde conserve ses habits. Nos lèvres se retrouvent, je pousse Silvie vers son bureau sur lequel elle s’assit. Je pousse délicatement son buste sur le bureau et saisis son téton entre mes lèvres. La professeure est haletante, sa poitrine monte et baisse rapidement et son excitation est palpable. Mes lèvres descendent sur son ventre plat jusqu’à tomber sur le haut de sa petite jupe rouge. En prenant du recule je remarque que celle-ci, sûrement trop moulante, a glissé lorsque sa propriété à écarter les jambes en s’asseyant sur le bureau. Le petit morceau de tissu est retroussé sur le bas ventre ondulant de mon amante et je constate avec émerveillement que celle-ci ne porte aucun sous-vêtement. Décidément, ma professeure n’a pas froid aux yeux.
Son sexe est petit, trempé et épilé de près. Ses fines lèvres sont légèrement écartées, laissant apparaitre son intimité tant convoitée. Mes lèvres se posent délicatement sur son pubis. Silvie râle de plaisir. Je décide de continuer à jouer un peu avec elle en posant ses lèvres à l’intérieur de sa cuisse, tout près de son sexe. Sa respiration est saccadée, elle n’en peut plus et je ne peux résister plus longtemps à l’envie de la goûter. Ma langue pénètre dans la petite fissure délimitée par ses lèvres et glisse le long de son sexe, de bas en haut. Silvie gémit de plaisir et cambre son bassin. Ma main remonte son corps et saisit son sein pour le malaxer tandis que je lèche adroitement son intimité. Ses mains se posent sur ma tête comme pour m’inviter à continuer. Tantôt je lèche, suçote et happe doucement sont clitoris, tantôt je pénètre ma langue dans son orifice. Silvie est en pleine extase. Ses yeux sont fermés et son corps ondule au grès de mes mouvements buccaux. Sa cyprine à un goût onctueux et je n’hésite pas à avaler ce doux nectar. Puis une idée germe dans mon esprit et ma langue se pose sur l’anus de Silvie.
– Laurent, que fais-tu ? demande-t-elle dans sa torpeur.
En guise de réponse je pénètre un peu son petit œillet du bout de langue.
– Non tu ne peux pas faire ça Laurent ! Arrête s’il te plait ! insiste-t-elle.
– Vous n’aimez pas Madame, dis-je en cessant mon œuvre.
– Bizarrement si mais je refuse la sodomie, dit-elle sur un ton déterminé.
– Si vous aimez ce que je vous fais pourquoi ne pas essayer et me faire confiance ? essayais-je à nouveau. Laissez-moi vous mettre un doigt et si vraiment vous n’aimez pas j’arrêterais immédiatement.
Un petit silence s’installe à nouveau. Silvie est pensive, haletante et je continue de malaxer son sein.
– D’accord mais juste un doigt alors, finit-elle par répondre avant d’ajouter un « Je n’y crois pas ».
Je souris malgré moi. Je sais qu’elle va adorer. J’hydrate à nouveau son petit trou en le léchant. Silvie râle déjà de plaisir malgré elle. Je pose mon majeur sur son petit trou, sens ma professeure retenir sa respiration et pénètre doucement son œillet chaud. Un nouveau râle de plaisir s’échappe de la bouche de Silvie alors que mon doigt continue sa lente progression et son corps se relâcha ainsi que les muscles de son petit orifice. Je recommence à lécher tendrement son sexe brûlant tandis que mon doigt atteint ses limites. Doucement, je commence à la doigter. L’effet combiné de mon doigt et de ma langue ne semble la déranger pour rien au monde même si sa respiration est saccadée.
– Voulez-vous que j’arrête Madame ?
– Non, dit-elle dans un murmure, continues.
Je continue un peu puis retire mon doigt dans un petit bruit de succion, lèche tendrement son anus en y laissant volontairement un filet de bave et pénètre à nouveau mon doigt en elle. Silvie semble ivre de sensations et tente de s’accrocher au bords du bureau au-dessus d’elle. Je saisis la petite caméra et filme le bel entrejambe de la professeure. Je pose la caméra, la lèche une dernière fois, retire délicatement mon doigt et me lève. Silvie sort de sa torpeur et me regarde avec un regard de braise :
– Tu as une langue et des doigts en or Laurent ! Personne n’avait encore doigté le cul et encore moins fait adoré ça ! dit-elle en se mordant les lèvres.
– Et vous n’avez pas encore tout vu, répondis-je.
Sur ces mots je prends mon sexe gonflé en main et l’oriente vers ses lèvres trempées. Silvie me regarde, déjà haletante, écarte les cuisses au maximum vers son buste pour m’accueillir et plie ses jambes. Je la savais sportive mais pas aussi flexible. J’exerce une pression sur son sexe avec le mien et la pénètre peu à peu. Je remarque alors, avec les grimaces de douleur sur son visage, que mon sexe est complétement disproportionné comparé à elle. C’est si bon de voir sa sublime professeure souffrir de plaisir grâce à vous. Entre ses douces jambes mon sexe semblait immense. Une fois profondément enfoncé je commence à faire de petits allers retours. Silvie se mord les lèvres pour ne pas hurler de plaisir et ses yeux de chien battu me regarde. Rapidement, son vagin s’adapte à mon membre, se lubrifie et mes allers retours deviennent frénétiques. Silvie retient sa respiration. Elle est si belle quand elle est à bout de souffle et qu’elle se fait limer bestialement. D’une main elle se tient au rebord du bureau pour faire face à mes assauts répétés et puissants et de l’autre elle malaxe son clitoris. La belle blonde ne met pas longtemps à craquer et crie sans pouvoir se retenir. Immédiatement, une grande quantité de cyprine s’échappe de ses lèvres et lubrifie tout son entrejambe.
– Tu es fou de me faire crier comme ça Laurent ! Surtout dans une école ! dit-elle le souffle court.
En guise de réponse je lui souris et ralentit la cadence. Nous reprenons tous deux un peu de notre souffle. Nos corps sont luisants de transpiration. Puis je retire mon sexe trempé de mouille et lui lance « Ça te dit alors de… » en regardant son entrejambe avec un sourire coquin.
– Tu es fou ! Tu as vu comment tu es monté ? Tu vas me déchirer ! Déjà que ce n’était pas loin avec mon sexe, dit-t-elle offusqué.
– Mais je pense qu’il suffisamment lubrifié…
– Ah tu penses ? me coupe-t-elle sur le même temps.
– Il n’y a qu’un moyen de le savoir ! répondis-je en souriant.
– Tu as toujours réponse à tout toi ! ajoute-t-elle avant de marquer une pause. Bonne d’accord mais je te fais confiance Laurent et si je dis stop tu arrêtes, okay ?
– Promis, répondis-je avec un sourire de satisfaction. Détends-toi.
– Tu me rends complètement folle.
– Merci.
– Ce n’était pas forcément un compliment.
Nous échangeons un sourire complice puis je prends la caméra et la pose de sorte à ce qu’elle filme l’entrejambe de Silvie. Je pose mon sexe sur le petit œillet de la blonde sulfureuse et je me rends compte que ce que nous nous apprêtons à faire relève de la folie. Mais peu importe, la tentation est trop grande. Silvie passa ses mains sous ses jambes et écarte ses fesses au maximum pour se donner une chance de ne pas craquer. Je saisis mon sexe d’une main pour l’aider à rentrer et exerce une pression sur son petit trou en avançant mon bassin. Le gland entre difficilement et Silvie cri de douleur. Je continue à pénétrer mon sexe mais les cris ne baissent pas d’intensité.
– Vous voulez que je m’arrête ? demandais-je soucieux.
– Non…non ne t’arrêtes pas, répondit Silvie avec douleur.
Je fais quelques petits allers retours pour aider son anus à s’accoutumer puis je reprends ma lente pénétration. Au bouts de quelques minutes, qui semblent avoir durer des heures pour Silvie, je parviens à enfoncer tout mon sexe dans son orifice. Je reste immobile. Silvie ferme les yeux et se mord ses lèvres.
– Comment vous sentez-vous ? dis-je d’un ton bien veillant.
– J’ai mal, finit-elle par lâcher, mais je suis terriblement excitée.
Je sens les muscles se détendre et son anus se dilater peu à peu. Tout en scrutant sa réaction, je commence à retirer doucement mon sexe puis le renfonce tout aussi tendrement. Silvie râle. Elle est fébrile mais elle semble prendre plus de plaisir. Elle ouvre ses yeux, me regarde avec passion en maintenant toujours ses fesses écartées avec ses mains et me dit :
– Continues.
Je recommence mes lents allers retours. L’effet de succion de son anus m’excite au plus haut point. Je passe alors ses jambes sur mes épaules et me penche sur elle. Je continue à onduler mon bassin précautionneusement puis un peu plus rapidement. Silvie laisse s’échapper de petits râles de plaisir mélangés à de la douleur puis je m’arrête et retire doucement mon sexe de son anus. Je jette un coup d’œil et remarque que celui-ci s’est sensiblement dilaté.
– Ça te plait de regarder ton œuvre sur moi ? me demande Silvie avec un petit air de défiance.
– J’adore ! Venez !
Je la saisis, l’aide à se lever, l’embrasse fougueusement puis la tourne dos à moi, enlève son chemisier et sa jupe, saisis ses seins et pose mes lèvres dans son cou. Silvie ne porte désormais plus que ses talons hauts. Elle nous éloigne un peu du bureau puis se cambre et pose ses mains sur le rebord du meuble. Grâce à ses talons, le postérieur de la blonde est à ma hauteur. Elle creuse on ne peut plus son dos de sorte que ses fesses ressortent bien. Je saisis la caméra pour immortaliser cette chute de rein majestueuse ainsi que ces petites fesses bombées et musclées qui se tendent vers moi. Puis j’oriente la vue vers mon sexe qui, aidé de ma main, commence à pénétrer l’anus de Silvie. Tout en râlant, cette dernière recule d’elle-même et s’enfonce sur mon sexe. Je suis immobile et je laisse ma chère professeure mener la dance sous la lentille de ma caméra. Au fil des allers retours et des souffles de plaisir, Silvie accélère la cadence. Elle qui ne voulait pas entendre parler de sodomie prenait désormais plaisir à accueillir mon sexe au plus profond de son petit trou.
Une main vient tirer sa fesse pour l’écarter. Son anus n’est pas encore suffisamment dilaté et Silvie ressent le besoin de le soulager. Je pose alors la caméra sur la table tout en la laissant filmer nos ébats. J’invite Silvie à utiliser son autre main pour écarter ses fesses au mieux et saisis ses deux bras pour la maintenir cambrée et en équilibre. Tout en prenant ses bras comme appui, j’entame une série d’allers retours à la même cadence que Silvie avait adopté quelques instants auparavant. Les râles de douleur laissent rapidement place à des petits cris de plaisir. Sa respiration est saccadée et malgré sa position, Silvie est détendue, confiante. Son anus finit par être complètement dilaté et mon bassin tape plus sèchement contre ses petites fesses bombées. Nos corps sont luisants de sueur et nos cœurs battent la chamade de concert. La vue de son petit postérieur, écarté par les mains câlines de Silvie et recevant mon gros membre me procure énormément d’excitation. J’enfonce entièrement mon sexe, saisis ma professeure par les seins et rapproche son tronc du mien. Silvie, le dos cambré, crie de plaisir à plusieurs reprises. Je sais qu’elle vient d’éjaculer et nos lèvres se trouvent et se goûtent affectueusement. Nous restons immobiles un petit moment, elle empalée sur moi, à nous bécoter et à reprendre notre respiration.
Puis Silvie se retire et, dans un silence religieux, s’allonge sur son flanc droit sur le bureau. Elle est si belle, si gracieuse et si ensorcelante. Elle courbe le dos et les jambes et fait ressortir son fessier sur le bord de la table. Je me place debout derrière elle et pénètre sans difficulté son anus trempé et dilaté. Mes gestes sont doux, aimants et tendres mais bientôt je la laisse nous guider vers l’extase. Son bassin ondule et se trémousse lascivement sur ma verge. La scène est érotique, Silvie est magnifique et je sens la fin approcher. Je me penche vers son oreille et lui dis faiblement :
– Je vais éjaculer.
– Prends ta caméra, répond-t-elle sensuellement.
Je me retire avec délicatesse de son orifice endolori et retourne vers ma table pour saisir la petite caméra. Silvie a quitté son bureau et me rejoint. Arrivée à quelques centimètres de moi, ma professeure s’agenouille parterre, nue, me regarde passionnément et ouvre ses lèvres. Rapidement, je comprends son dessein et entreprends de me masturber rapidement. Je suis à bout, mon sexe et rouge de plaisir et à mesure que je sens l’excitation monter mes jambes se font plus chancelantes. Ne lâchant pas son visage angélique de la caméra, je sens soudainement des spasmes transcender mon corps qui se raidit subitement. Un premier jet s’étale avec puissance sur toute la longueur du visage de Silvie. Les deux suivants, toujours aussi intenses, prennent la même direction. Puis finalement, j’oriente mon sexe vers la bouche de la belle blonde et y déverse cinq jets de plus faible intensité. Je râle de plaisir puis regarde le visage souillé de Silvie. Elle me sourit, plus belle que jamais. Elle contemple ensuite la caméra, expose fièrement mon nectar recueilli sur sa langue, suçote la dernière goutte de sperme restée sur mon urètre, ferme la bouche, déglutie sans difficulté et montre à nouveau ses entrailles nettoyées à la caméra.
Puis, à bout de force, nous explosons de rire comme si l’on prenait à peine conscience de la folie qui nous avait mené jusque-là. J’éteins la caméra et saisis des mouchoirs dans mon sac. Silvie est toujours à genoux, elle suçote mon gland, me sourit, me masturbe tendrement, me lèche, m’aime. Je passe nettoies précautionneusement son visage tandis qu’elle continue ses petits gestes affectifs avant de se relever. Nous nous habillons. Nos regards se croisent, s’attirent et nos sourires ne peuvent que se répondre. Nous convenons qu’elle parte quelques minutes après moi pour ne pas éveiller les soupçons.
– Tu vas faire quoi des vidéos Laurent ? me demande-t-elle doucement.
– Je les garderai pour moi à tout jamais, répondis-je respectueusement. Peut-être que je vais commencer une collection qui sait, ajoutais-je en rigolant.
– Je sais que ça va te paraitre sûrement bizarre ou déplacé mais…, commence-t-elle par dire avec des joues rouges.
– Oui ? dis-je comme pour la pousser à continuer sa phrase.
– Mais est-ce que ça te dirais d’avoir une collection de nous ? finit-elle par avouer en respirant profondément.
– Bien sûr, répondis-je en lui souriant puis en l’embrassant tendrement.
– Merci, me susurre-t-elle à l’oreille d’une voix sensuelle.
– Merci de quoi ? De vous avoir fait chanter ? dis-je en plaisantant.
– De tout ! De tout ce que tu m’as fait.
– C’est moi qui te remercies alors, répondis-je finalement.
C’est la première fois que je tutoyais ma professeure. Je sentais qu’un grand cap était passé entre nous, qu’une relation intime était née. Après un dernier baiser je quitte la salle en ne pouvant m’empêcher de lui sourire. Elle volait déjà toutes mes pensées
J’adore vos histoires coquines merci pour le partage