Alors que nos chères bonnes mamans sont dans la chambre, Thibault et moi décidons de les rejoindre afin de les voir et de les conseiller sur le choix de leurs tenues. A peine entré dans la chambre, j’aperçois ma mère avec déjà sur elle des bas noirs maintenus par des jarretelles qui sont elles mêmes attachées à un très jolie porte – jarretelle en dentelle ; devant ce spectacle (malgré que se soit ma propre mère) je me mets à bande. Nous allons nous assoir sur le lit pour contempler ces magnifiques femmes qui s’agitent dans l’unique but de satisfaire l’ordre de Thibault.
Ma mère cherche au fond de son armoire et après quelques instants de lutte pour ne pas faire tomber tout son linge ; elle sort un sac. Elle l’ouvre et y sort des vêtements ; je me rends vite compte que ce n’est pas du tout le type d’habits qu’elle porte habituellement. Alors qu’elle est en train de sortir une jupe un objet tombe du sac.
_ »tu es une grosse cochonne en fait ? » dit Thibault avec un très large sourire.
C’était un énorme vibromasseur rose. Je n’en revenais pas d’apprendre que ma si douce et gentille maman utilisait ce type d’accessoires. Elle le prend pour le ranger lorsque j’entends encore le même dire :
_ »non, non laisse le sorti on l’utilisera peut-être »
Sur ces mots maman pose sur le lit le gros jouet, et reprend la jupe qu’elle enfile ; cette jupe méga super courte. Elle tourne sur elle même pour que l’on valide son choix ; c’est tellement court que l’on voit les plis de ses fesses, les jarretelles dépassent largement.
_ »comme ça sa vous plait ? je suis assez salope messieurs ? «
_ »tu es ras la moule, mieux que certaines putes ; il faut que tu sois au même niveau que Patricia maman »
_ »waouh maman, je ne t’imagine pas comme ça ».
Elle semble joyeuse de voir l’effet qu’elle a sur nous. Je suppose même qu’elle soit sûr exciter après ce que l’on vient de lui dire. A présent elle déboutonne un chemisier qu’elle avait sorti au début, elle le met ; le reboutonne. Il est noir mais entièrement transparent on voit vraiment tout rien n’est cache ; si elle porte rien ça serait pareil, mais elle a quelque chose sur elle (elle n’est pas vraiment nue donc).
_ »maintenant je vais me maquiller »
Maman se d’ériger alors vers la salle de bain ; on reste avec Carole qui porte les bas blancs qu’elle portait le jour de sa visite surprise en tenue d’écolière ; cependant elle semble perdue ne sachant pas quoi mettre pour rivaliser avec ma mère. Puis après plusieurs hésitations elle attrapé une robe noire qu’elle essayé immédiatement. Elle est sublime la robe est courte mais s’arrête en dessous des fesses, un très grand dos nu qui lui s’arrête au dessus des fesses. Mais cela ne lui plaisait pas elle retiré ces bas et en enfila des nouveaux noirs ; il faut avouer que c’est mile fosse mieux ; la partie élastique en dentelle se fini pile au niveau de la robe se qui est très excitant.
_ »sublime, Carole tu es ravissante »
_ »je te remercie Alex » elle m’embrasse et me caresse l’entre jambe
_ »bof tu aurais pu faire plus pute comme Patricia »
C’est à ce moment que ma mère refait son apparition dans la chambre. Elle a mis un rouge à lèvre très vif et avec ce détail elle ré semble véritablement à une catain.
_ »tiens voilà maman, regarde bien à quoi sa ressemble une pute »
_ »je suppose que j’ai correctement respecté l’ordre ? » dit ma mère
_ »oui «
Au final ma mère se retrouvait vêtu en pute alors que Carole était plutôt en femme sexy ultra facile. Mais j’étais exciter par ces deux magnifiques femmes qui s’offraient entièrement à nous.
Nos petites « putes » sont prêtes on peu donc partir au restaurant ; je vais vite dans ma chambre pour me changer (car je suis toujours en pyjama depuis ce matin). Je rejoins tout ce jolie petit monde dans l’entrée, et constate qu’elles sont trouvées les chaussures qui le convenaient le mieux : pour Carole escarpin noir talon aiguille, ça lui faisait une silhouette de dingue ; qu’en ta ma mère des bottes en daim et talon aiguille (noire également), qui se mariait parfaitement avec sa tenue ; j’avoue avoir été perplexe de voir ma mère depuis maintenant plus de deux heures faire, avoir, tant de choses « particulières ».
Pour info nous allons déjeuner dans le petit restaurant pas loin de chez moi (ou j’avait amené Carole pour la remercier). Nous sommes a présent dans la rue (ma mère a mis une veste), et toutes les personnes que l’on croisaient (Hommes ou Femmes) se retournaient soit choquées soit pour mater. Nous arrivons peu de temps après a destination ; une serveuse nous accueil et nous place à une table ronde avec banquette ; Carole a ma droite, maman a ma gauche, Thibault a la droite de ma mère.
Mais une fois assis la jupe, et la robe remontèrent ; pour nous c’était excellent pour nos mères embarrassant.
Puis après des tentatives vaines pour faire redescendre sa jupe, ma mère ôta sa veste ; le peu de clients présents qui regardaient dans notre furent surpris.
_ »Mesdames, je vous informe que vous n’avez pas le droit de croiser les jambes ni de serrer les cuisses » dit Thibault, qui pour la première fois j’étais a 100% d’accord avec lui.
Je mis ma main sur la cuisse de Carole, glisse doucement dans son entre-jambe et lui fait décroiser ses splendides jambes et en attendant notre repas, je continue de faire descendre ma main. J’arrive sur sa douce petite fente je la caresse délicatement de bas en haut, frictionne toujours avec délicatesse son clitot ; elle commence a prendre plaisir je sens une micro chaleur, je poursuit par un petit doigté ; elle est légèrement humide après une dizaine d’aller-retours, on nous apporte l’entrée. Je ressors de Carole les doigts légèrement humides, et c’est alors qu’elle les prend en bouche, les aspirent, et me les rend.
_ »Je n’ai pas oubliée la règle. »
_ »Ben moi je l’avais zapper »
_ »Très bien maman tu peux être fier de toi »
Le déjeuner se passe bien ; après 2 heures passées au restaurant on décide de rentrer. Sur le chemin de la maison les mêmes réactions qu’à l’aller. Une fois arrivé et après avoir fermé la porte j’embrasse fougueusement Carole, lui soulève la robe, je me mets a lui palper les fesses ; je vais immédiatement vers la salle de bain tout en enlevant mon jean, prend la boite a préservatif, j’en prends un me le mets et retourne aussitôt vers Carole que j’allonge à même le sol et sans vraiment prendre le temps, je la pénètre après quelques va et viens je me retourne l’entrainant avec moi.
Je suis maintenant dos contre le sol avec Carole en position du cow boy, cela me permet de pouvoir malaxer ses seins et la tenir par les hanches, ça lui permet également d’adapter le tempo. Calmé du fait de baiser Carole je regarde au tour de moi pour voir ce qui se passe ; ma mère est à genoux en train de sucer Thibault ; mal à l’aise pendant un instant, je retourne le regard ; mais aller savoir pourquoi cela m’excitais énormément. Je les regarde à nouveau et commence a faire des mouvement de plus en plus puissants ; Carole pousse des cris de plaisir
_ »Oooooh … oui… continu…. Plus vite »
_ »Moins fort on a des voisins »
_ »Humm …. C’est trop bon »
J’étais a fond je lui donnais le maximum de ma personne je ne voulais tellement pas la décevoir dans un tel moment. Je refais alors mon voyeur en matant ma mère et Thibault ; Excité par la galerie que lui faisait ma mère et surement par les cris de sa mère il se mit a jouir ; ma mère toussa surprise de ce qui lui arrivait mais ne recracha rien et avalant le sperme chaud de son amant du jour ; elle continua à le sucer afin de nettoyer correctement le gland de son jeune donateur. Suite a cette scène et mon excitation mal saine je ne tarde pas a jouir a mon tour, par chance au même moment qu’un orgasme qui enivre Carole ; j’effectua encore deux au trois va et viens tout calme et me retire. Je me relève et Carole se saisie de ma bite la branle vite fait, enlève la capote, passe sa langue récupère un petite goute et retourne la capote dans sa bouche.
_ »Humm tu es vraiment délicieux »
_ »J’aimerais beaucoup que tu te déshabille et aille mettre uniquement les bas blancs de ce matin et que tu carde tes talons. »
_ »Je fais tout ce que tu désires »
Elle se lève et va vers la chambre c’est alors que Thibault se remet de ses émotions
_ »Waouh… Putain…. T’es trop chaude comme nana ; fais comme ma mère retire ta jupe et le haut »
Légèrement épuisé je vais m’asseoir dans le canapé, allume la télé ; je suis rejoint par Thibault qui s’allonge sur le canapé. Quand la télé fut masquée
_ »Comme ça ? »
_ »parfait pour moi »
_ »de même » répondit Thibault
_ »On vous laisse tranquille un petit moment et dès que vous avez besoin vous nous appeler »
_ »Attend maman, je veux que tu t’occupe du yéti de Patricia ; qu’il soit tout lisse et doux. »
Suite à ce nouvel ordre Carole pris par la main ma mère et toutes les deux quittèrent le salon, se dirigèrent vers la salle de bain ; je peux enfin revoir la télé. J’entends l’eau couler. Au bout d’environ dix minutes (pendant les quelles nous avons entendu des petits cris de douleur) je les vois revenir dans le salon Carole précédent ma mère comme pour nous faire une surprise ; elles se positionnent devant la télé toujours l’une devant l’autre.
_ »J’espère que ça vous plaira ? » dit Carole qui se met sur le coté afin que l’on puisse admirer son travail.
_ »voila ça c’est une belle chatte, elle donne envie ; pas comme tout à l’heure ou on aurait cru que c’était une bestiole crevée. »
_ »Waouh… maman ça te change »
_ »Je veux que l’une d’entre vous gicle comme une fontaine ; allez chercher le vibro et ne faites pas trop de bruit or regarde la télé ».
Ma mère par donc chercher son gros jouet rose dans sa chambre, reviens parmi nous et fait signe à Carole de s’allonger
_ »J’aimerais que tu commence, j’ai encore un peu mal » Vu la touffe de départ je comprends qu’elle souffre
_ »pas de problème, ça ne me dérange pas »
Carole est donc allonger sur le sol ma mère se met au dessus et a ma grande surprise embrasse passionnément Carole, descend tout en déposant des bisous sur son corps, joue avec la paire de seins, semble prendre du plaisir avec les tétons bien rose et durs de ma belle Carole ; elle continue sa progression atteint le nombril, le bas ventre et pour finir le clitot qu’elle aspire, lèche, stimule en le frictionnent extrêmement vite. Carole a les yeux fermés, son souffle est saccadé et son corps se dandine sur le sol ; on sent qu’elle prend du plaisir, tout comme ma mère qui réalise des va et viens avec plusieurs de ses doigts en Carole qui ne peut s’empêcher de pousser des gémissements.
_ »Maman … SILENCE je vais finir par te bâillonner » qui semble énervé de ne pas entendre la télé alors qu’un spectacle incroyable, inimaginable se passe juste a nos pieds.
Je délaisse petit à petit la télé afin de voir le spectacle qui est en direct de mon salon. ma mère prend le vibro le porte a sa bouche et le suce, crache et étale la salive pour le lubrifier; elle le fait frotter contre le sexe luisant de salive ainsi que de cyprine; le présente à la fente de Carole puis l’enfonce délicatement. Cela ne change rien au vu de la grosseur de l’engin, Carole ne pu se retenir :
_ » OhOhOh… putain… que c’est gros »
_ »MAMAN «
Ma mère commence à faire des aller-retours ; lèche, aspire toujours le clitot qui gonfle. elle a l’air d’être satisfaite de donner du plaisir. Au fur et a mesure de la journée je vois ma mère d’un autre œil, une femme qui est folle du cul. Après avoir tout tester pour faire gicler Carole elle décide d’échanger les rôles. elle se transmette le gros pénis en plastique qui est entièrement recouvert de mouille.
Carole ne s’attarde pas à exciter ma mère et enfonce directement le vibro qu’elle active par la même occasion et commence des va et viens d’abord peu pénétrant mais qui le devienne au fur du temps et fini par l’enfoncer totalement ; ma mère soupir énormément, pousse des « hum,han-han »; Carole sort le jouet et le réinsère entièrement. J’aperçois alors que le vagin de ma petite maman est bien dilaté. ne venant pas non plus maman prend le vibro, le cale sur son clitot et demande a Carole de la doigter vigoureusement. Très rapidement elle ne se retient plus et hurle.
_ »OUI … Han HAN … défonce moi … plus vite »
Cette fois Thibault ne dis rien il est hypnose tout comme moi par ce spectacle ; on voit de la mouille sortir et dégouliner le long de l’avant bras de Carole qui accélère encore la cadence
_ »Je … Je …je viens… »
On voit un petit jet sortir, puis une énorme gicler ; Carole décide de retirer sa main ; c’est alors que ma mère explose des jets impressionnant sort d’elle et viennent recouvrir Carole. Tellement que c’est puissant on voit son corps convulser à chaque éjection c’est tout a fait extraordinaire ; elle continu a avoir des convulsions durant une bonne minute après son dernier jet. Carole était complément recouverte de ce liquide, le salon et la salle à manger on bien été mouillés également.
_ »Bordel de M**** Patricia tu es une Putain de reine du cul »
_ »Putain Maman tu es vraiment impressionnante j’aurais jamais cru »
Après un silence de 2/3 minutes je me lève pour aller chercher la serpillière, éponger. Thibault reste figer, nos mères se lèvent :
_ » On va à la douche »
_ »Ok, je m’occupe de nettoyer et je prépare le diner »
Une fois le sol essoré je vais pour ranger le balais et le sceau ; la porte de la douche est ouverte, je regarde, ma mère est encore à genoux et s’occupe de Carole qui se lave les cheveux. Pour une femme qui disait ne pas être lesbienne je trouve qu’elle donne souvent du plaisir a Carole.
[…]_ »A table »
Thibault et moi étions déjà assis ; et encore loin de notre surprise qui allait arrivée. Nos mères c’étaient donc douchées, et avaient revêtis leurs pyjamas. Carole a une nuisette rose bonbon transparente et ne porte rien en-dessous à mon plus grand plaisir ; ma mère porte un mini boxer en dentelle noir et un t-shirt moulant blanc qui désigne parfaitement les courbes de ses seins et fait ressortir ses tétons qui pointe.
on mange mais personne n’ose parler je décide de faire le jeu action vérité mais en utilisant que vérité:
_ »Mesdames, quel à été votre partie de baise la plus insolite ? »
Aucune ne voulais répondre ; Thibault intervient « Alors Maman ? »
_ »Ma baise la plus insolite avec un vieux »
_ »Un vieux ? peux tu être plus précis ? » lui demandais-je
_ »Oui, mon voisin un petit papy de 71 ans »
_ »Et toi tu avais quel âge ? »
_ »30 ans » je fus surpris car elle couchait maintenant avec moi un jeune.
_ »Et toi Patricia ? » dit Thibault
_ »Moi ? ça remonte à trois mois alors que j’avais une soirée de libre je suis allé au ciné et pendant le film un homme est venu près de moi, il me dit « T’es bonne tu sais » et tant légèrement en manque, on a baisé. »
Cette journée avait changé mon rapport avec ma mère d’une femme que je croyais douce, calme, sensible je découvrais que c’était une femme plutôt facile qui aime le sexe.
Le diner fini je m’installe de nouveau devant la télé et je décide de réaliser un de mes rêves
_ »Carole j’aimerais que tu me suce »
Elle ne me répond pas mais se met a genoux ; je m’installe correctement dans le fauteuil, je me fait pomper en regardant la télé, c’est très agréable. Mais je l’interromps car je préfère prendre mon pied en la prenant. Je la fais monter sur le fauteuil lui demande de relever ses jambes ; l’accès à son minou est juste excellent, je la saisie par les hanches et rente d’un coup en elle ; mon seul objectif a ce moment c’était de me répandre en elle et rien d’autre. Après plusieurs minutes de baise intensif je fini par jouir en elle. Je sors, j’éteint la télé, la prend par la main et nous nous dirigeons vers ma chambre ; Ma mère est accroupi sur Thibault en lui tournant le dos.
_ » Putain c’est ma chambre, et mon lit » voir ma mère se faire ramoner de la sorte par un mes plus jeune dans mon lit me rend complètement fous.
Immédiatement ils arrêtèrent et s’allongent en nous laissant de la place
_ »Vous dormez là ? »
_ »oui en va dormir tous ensemble, on sait pas ce qui peut se passer la nuit ! »
Sans rien dire je m’allonge.
[…]
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