Travesti depuis quelques années, je suis en contact avec de nombreux amants potentiels.
L’un d’eux (Fouad) m’a donné envie d’assouvir un fantasme récurent : être humiliée. Il était marié, avait 2 enfants, la cinquantaine, poivre et sel, musclé et surtout très bien monté !
Je me décidais donc à le rencontrer dans un hôtel propre et discret près de chez moi. Arrivée sur place vers 15H, je me suis préparée comme il se devait : perruque noire, nuisette en dentelle, bas résille, porte jarretelle, et talons noirs de 10cm.
A 16H30 précise, on tapa à la porte. C’était Fouad, mais il n’était pas seul. Il était venu avec un ami (Abel). Il me demanda si cela ne me gênait pas qu’il se joigne à nous. Bien sûr, j’étais déçue qu’il ne soit pas seul, et un peu effrayée, mais j’étais tellement excitée que je n’ai pas pu refuser de les recevoir.
Ils m’ont tout de suite complimentée sur mon physique. Leurs mains traînaient un peu partout sur moi. Ils me firent asseoir entre eux deux sur le lit. Pendant que j’en embrassais un, l’autre me caressait les cuisses, et vice versa.
Fouad m’a alors demandé pourquoi j’étais là.
« Pour coucher avec un garçon » lui ai-je répondu.
« Tu as envie de te faire baiser, hein ?»
« Oui, très envie !»
« Tu veux devenir une petite pute, hein ? Alors, tu vas commencer par me sucer !».
Il déboutonna sa braguette, retira son pantalon, écarta ses cuisses, et me fit mettre à genoux entre ses cuisses devant le lit. Son énorme zob était déjà bien raide !
En le regardant droit dans les yeux, je commençais à lécher son gland avant d’enfourner son sexe dans ma bouche. Je le suçais lentement, en m’appliquant bien sûr son gland circoncis. Ma langue s’entourait autour, et doucement, j’aspirais son zob quasiment en entier. Je le léchais comme une glace qui coule parce qu’elle fond au soleil.
Je me montrais très gourmande, et cela m’excitait beaucoup. A l’aide de sa ceinture, son ami Abdel m’attacha les mains dans le dos. Je ne voulais pas, mais pendant que Fouad enfonçais son sexe en entier dans la bouche pour me faire taire, Abdel finissait de m’attacher les mains. Abdel, me tenait la tête bien droite en se plaçant derrière moi, et Fouad se leva pour me baiser par la bouche. Au début doucement puis plus violemment. J’avais du mal à respirer. Je les entendais m’insulter. Pris de haut le cœur, je commençais à saliver énormément, mais Fouad continuait ses va et vient. Il retira sa queue et me demanda si je voulais continuer.
« Non s’il te plait, arrête je vais vomir !!! »
Fouad me donna alors une petite gifle en me disant qu’il n’en avait rien à faire et qu’il allait m’éduquer pour être une vraie femelle.
Il voulut renfourner sa queue, mais je n’ouvris pas la bouche. Cette fois-ci, il me gifla vraiment, en me priant de bien ouvrir ma bouche. Juste avant qu’il n’y remette sa queue, Abdel me gifla à son tour en me demandant de bien sucer son ami.
Fouad me baisa alors par la bouche comme il le voulait. Tant et si bien qu’au bout de quelques minutes, je me mis à vomir un peu. Il sorti sa queue et Abdel y mit la sienne de la même façon.
Je n’en pouvais plus ! Mes hauts le cœur étaient incontrôlables. Fouad me leva et me fit m’allonger sur le dos, sur le lit, les mains toujours attachées dans le dos. Il retira mon string et me fit écarter les cuisses. Lorsqu’il vit mon zizi d’homme tendu, ils se mirent tous les deux à cracher dessus à plusieurs reprises.
« Sale petit zamel (pédé en marocain), t’aimerais bien être une fille ? On va te baiser comme une pute ! Tu vas voir comme tu vas aimer ! ».
Abdel se mit devant moi, entre mes cuisses et me leva les jambes. Il s’approcha de moi mais n’avait pas mis de préservatif. Je commençais à me débattre pour qu’il en mette un, mais Fouad s’assit sur mon torse et me força à prendre son gros zob en bouche. Au même instant, je sentis le sexe d’Abdel se présenter devant mon anus. Il était très excité, son zob coulait déjà beaucoup. Il le frotta sur mon petit trou comme pour bien m’humidifier. Puis je le sentis rentrer. Abdel s’amusait à me mettre sa queue tout au fond, puis à la sortir complètement, en le faisant de plus en plus vite. Fouad, lui, s’était quasiment couché sur mon visage et me baisait par la bouche. Je vomissais de nouveau mais ne pouvais pas me dégager. Fouad me gifla de nouveau en m’insultant mais n’arrêta pas pour autant.
Au bout d’une dizaine de minutes, ils me firent mettre à 4 pattes sur le lit. Comme mes mains étaient attachées dans le dos, mes fesses étaient bien tendues en l’air. Fouad commença à me fesser. Je lui demandais d’arrêter mais il me répondit :« Quand tu commenceras à aimer ça, alors j’arrêterai !».
Très vite, je me mis à pleurer car la douleur était à chaque claque un peu plus forte. Fouad commença alors à me toucher avec 2 doigts, puis 3 avant de tenter de me pénétrer avec sa main entière ! J’avais très mal, mais à peine je commençais à crier qu’Abdel m’enfourna sa queue dans la bouche pour me faire taire. C’était la 1ère fois qu’on me fistait !
Fouad me dit alors :« Désormais, ton cul ne sera plus jamais le même ma salope !Maintenant, ton petit trou sera à jamais déformé !C’est comme ça qu’on reconnaît les vraies petites putes comme toi ! ».
Très vite, je commençais à aimer ça, d’autant que je sentais la queue d’Abdel descendre dans ma gorge en même temps. Je n’avais jamais pris autant de plaisir ! Rapidement, Abdel éjacula dans ma bouche et sur mes lèvres. J’en avais partout ! Il frotta son sexe sur mes lèvres et me fit tout lécher pendant que Fouad me fistait. A son tour, Fouad se masturba devant mon visage et m’éjacula en bouche.
Abdel me demanda de le suivre dans la salle de bains. Il me fit entrer dans la douche et me mit à genoux face à lui. Il se mit à m’uriner dessus. Il visa d’abord mon sexe. Son jus doré était chaud et j’aimais le sentir couler sur mon sexe et mes cuisses. Il m’urina ensuite sur le torse puis dans le visage.
« Ouvre ta bouche salope ! ».
Comme je ne le faisais pas, il me gifla très fort. J’ouvris la bouche et il commença à uriner dedans. C’était très salé. Je laissais juste ma bouche ouverte et j’essayais de ne pas avaler son jus. Hélas…
Il me laissa dans la douche, les mains attachées, à genoux dans son urine. Il me demanda de ne pas bouger, le temps qu’il fume une clope avec Abdel qui lui continuait de m’insulter. Je me sentais sale, souillée mais aussi comblée ! Fouad me demanda de me doucher et d’enfiler les vêtements qu’il m’avait apportés: un niqab ! Je pensais que c’était juste parce que cela les excitait, mais je n’étais pas au bout de mes surprises.
Une fois douchée et remaquillée, j’enfilais mon string, mon porte-jarretelles et des bas noirs que j’avais en secours. J’enfilais enfin le niqab et mes talons. On ne voyait plus que mes yeux maquillés, et un peu de mes chaussures. Il était à peine 18H30 et en cette journée de printemps, il faisait encore bien jour dehors. Abdel et Fouad me demandèrent de les suivre à l’extérieur. Bien sûr, je commençais par leur dire non, mais Abdel fit mine de vouloir me gifler encore. Ne souhaitant pas être violenté au visage une fois de plus, j’acceptais de sortir de la chambre.
Ils me firent monter dans leur voiture. Fouad se mit au volant et Abdel monta avec moi à l’arrière.
Sitôt démarré, Abdel me demanda de le sucer. Penchée sur lui, je lui démontrai une fois de plus que j’adorais mettre un zob dans ma bouche. La voiture roula environ 25min, et pendant tout ce temps-là, je suçais Abdel avec tendresse, vice et passion ! J’adorais sa queue très nervurée et très odorante !
Au bout de 25 min, la voiture s’arrêta devant un immeuble d’une cité tout droit sortie du film « la haine ». Abdel et Fouad me firent rentrer dans le hall de l’immeuble, puis me firent descendre dans le sous-sol. On avança dans un couloir mal éclairé et étroit, desservant, à gauche comme à droite, des caves dont les portes semblaient avoir toutes été forcées. Plus on marchait, plus j’entendais distinctement des voix qui semblaient provenir du fond du couloir. J’aperçus alors une lumière s’échapper d’une cave. Fouad ouvrit la porte et Abdel me poussa à l’intérieur. Deux matelas étaient sur le sol, 4 hommes assis dessus: 1 black et 3 arabes.
Ni Fouad ni Abdel ne rentrèrent dans cette cave. Ils fermèrent la porte derrière moi et me dirent que leurs amis allaient me convertir définitivement à l’Islam ! Illico, les 4 hommes me parlèrent en arabe et me forcèrent à m’asseoir parmi eux. Très vite, je me suis retrouvée avec un sexe dans la bouche.
Quand je vis le black enfiler un préservatif, j’étais vraiment soulagée, car j’avais peur de me faire violer une seconde fois sans aucune protection. Le black me fit m’asseoir sur lui, et un de ses amis se mit debout face à moi pour enfourner son sexe dans ma bouche pendant que son pote me sodomisait. Très vite, je sentis un 2ème sexe essayer de me pénétrer en même temps que le premier. Sans trop forcer, il finit par rentrer. J’étais étonnée de ne pas souffrir plus que cela, puis je me suis souvenu ce que Fouad m’avait dit après m’avoir fisté. Le 4ème larron riait et m’insultait.
Cela dura environ 1 heure. A tour de rôle ils me baisèrent et me fistérent. Mon cul était vraiment très dilaté. Ils me mirent à 4 pattes, le visage écrasé sur le sol. Je ne comprenais pas ce qu’ils disaient, mais ils riaient fort. Je sentis un liquide chaud couler sur mes fesses puis en moi. Je compris que l’un d’entre eux urinait en moi ! Mon petit trou béant se remplissait d’urine…J’étais devenu une cuvette de WC !
Les 3 autres, à tour de rôle, se sont ensuite masturbés puis ont éjaculés sur mon sexe trempé d’excitation. Ils l’avaient entièrement décalotté et ont éjaculé dessus avant de le calotter entièrement. Je sentais leurs spermes envelopper mon gland. Ils me remontèrent au rez-de-chaussée. La lumière dehors m’éblouit alors terriblement.
J’aperçus tout de même Fouad et Abdel appuyés contre leur voiture qui n’avait pas bougée. Ils me ramenèrent à l’hôtel. Une fois dans la chambre, Fouad récupéra la niqab, Abdel m’embrassa sur la bouche et me dit qu’il me contacterait bientôt. Ils m’abandonnèrent en string, debout dans ma chambre d’hôtel.
Je me sentais sale, souillée, et j’avais tellement mal aux fesses. Mon petit trou me brûlait.
Mais ce qui me faisait le plus peur, c’est que j’avais adoré être traitée de la sorte !
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