Pascal est l’un de mes collègues les plus proches, tant géographiquement que professionnellement, puisque nous travaillons sur les mêmes dossiers. Très bien fait de sa personne, grand, musclé, athlétique et surtout à la peau d’ébène, il a un certain succès auprès de la gente féminine de l’entreprise. Il a ce charme exotique d’un homme à l’accent ensoleillé, habillé toujours à la dernière mode, à l’élégance travaillée.
Pour ma part, si physiquement, je le trouve attrayant, je ne l’ai jamais regardé autrement que sous l’angle d’un collaborateur compétent et prévenant. Mais voilà, depuis ma première infidélité lors de mon stage, je me suis mise à envisager les hommes autrement et toutes les attentions dont Pascal me gratifie me paraissent maintenant, comme autant de signaux de l’intérêt qu’il me porte. Je me suis donc surprise à jouer le jeu de la séduction, le laissant faire lorsque penché derrière moi sur un dossier, sa main se pose sur mon épaule, lorsqu’elle se pose sur ma taille pour m’aider à entrer dans une pièce. Je vois bien son regard se prendre songeur dans mon décolleté depuis que j’ai pris l’habitude de défaire un bouton supplémentaire. Je sens même la grosseur poindre sous son pantalon lorsqu’il est proche de moi.
Je ne suis qu’à peine surprise qu’il m’invite chez lui sous prétexte de finir un dossier important.
Je me présente donc un soir à son appartement dans ma tenue de travail préférée, à savoir celle qui, à mon avis lui fait le plus d ‘effet. Je conserve cependant les apparences puisque je porte un chemisier et une jupe au dessus du genou des plus classique. Mon mari étant parti avec les enfants au cirque, pour me laisser travailler sans contraintes, j’ai la soirée pour moi.
Pascal m’accueille dans un appartement ordonné et soigné comme sa personne, avec seulement quelques souvenirs africains en décoration par ci par là, sans être trop présent.
Après les salutations d’usage, nous prenons place dans son grand canapé cuir noir, le dossier posé sur la table basse. Nous nous mettons de suite au travail mais je remarque le regard de mon collègue se poser sur la cuisse et cherchant à apercevoir ce qui se cache sous mon chemisier. Et dire qu’il y a peine quelques mois, me retrouver dans une telle situation était impensable pour moi, bien calée dans ma vie de couple aux habitudes routinières.
Pascal profite que nous devions lire un schéma pour se rapprocher et mettre sa main sur ma cuisse, tout naturellement. Je poursuis la lecture comme si de rien n’était. Ce n’est qu’au bout de 10 bonnes minutes qu’il s’enhardit et se met à me caresser de manière plus explicite, rompant la concentration nécessaire à ma lecture. Mon visage se tourne vers lui et je lui demande :
mais que fais tu ?
Pour toute réponse, sa bouche vient se coller à la mienne, me contraignant sous la poussée à me laisser aller contre le dossier du canapé, à moitié allongée. Sa langue explore ma bouche à la rencontre de la mienne en même temps que sa main remonte le long de ma cuisse pour se poser sur mon sexe et le caresser à travers la dentelle. Je sens un goût d’épices s’emparer de mes papilles au moment où nos salives se mélangent.
Je me tortille de plaisir sous les caresses appuyées de mon beau black. De ses doigts agiles, il repousse le tissu pour aller explorer ma vulve déjà toute humide par l’excitation de ses caresses.
Il m’écarte mes lèvres dans un mouvement allant de la base de ma chatte jusqu’à mon clito , ouvrant un sillon chaud et bien lubrifié. Ses aller retours me font gémir de plus en plus et je sens le plaisir monter en moi. Ma jupe s’est naturellement relevée d’elle même au fur et à mesure que mes cuisses se sont écartées . Je pousse un long râle de surprise lorsque deux doigts le pénètrent d’un coup. Je me sens explorée et électrisée à la fois lorsque, fouillée et fourragée par deux doigts, Pascal titille mon clitoris avec le pouce. Ce traitement dure un bon moment. Sa bouche toujours contre la mienne m’embrasse de manière torride. Il me déshabille fébrilement laissant ma vulve béante et dégoulinante de plaisir.
Je me retrouve nue sur le canapé, Pascal m’allonge et pose ses mains sur mes seins tendus. Je vois le contraste de sa peau noire sur ma poitrine laiteuse. Cela m’excite encore plus, je l’avoue et ce massage mammaire prend une dimension spéciale, exotique, troublante. Sa bouche vient vite relayer ses mains pour emprisonner mes tétons et les sucer goulûment. Encore une image particulière que cette tête noire qui s’agite délicieusement entre mes seins gonflés de désir.
D’une main, il écarte à nouveau mes cuisses pour reprendre son doigté là où il l’avait abandonner.
De l’autre, il se déshabille entièrement me laissant apparaître un corps sculpté aux muscles saillants. Seul bémol, je n’arrive pas dans cette position à apercevoir l’engin qui se dresse entre ses jambes.
Il se place entre mes cuisses pour entamer un cuni dévastateur qui me soutire de profonds et bruyants râles de plaisir. J’ouvre, impudiquement, largement mes cuisses à cette caresse buccale qui tient plus du festin d’un lion d’Afrique que de la dégustation raffinée. D’une de ses mains libre, il cherche un préservatif dans sa poche qu’il me tend pour l’ouvrir. Mon cœur bat un peu plus la chamade lorsque je lis « préservatif extra-large »sur l’emballage. Je le tend fébrilement à mon partenaire qui l’enfile tout en continuant à me manger la chatte. Encore une fois, je ne peux qu’imaginer la bête ne l’ayant toujours pas aperçue.
Ce n’est que lorsqu’il délaisse mon clito pour venir m’embrasser à nouveau que je sens son sexe lourd cogner entre mes cuisses mais difficile à ce simple contact de déterminer les dimensions de l’engin. Pascal m’embrasse toujours fougueusement quand, d’une main, il place le gland couvert à l’entrée de mon vagin. Il est épais, très large et peine à entrer lorsque mon amant tente de l’introduire pour la première fois. Je souffle fort alors que je sens mon vagin se dilater et mes chairs se distendre.
ça va aller sabine, détends toi, j’ai l’habitude.
pas moi ! Dis je dans un souffle rauque
Je n’aurais jamais imaginé m’offrir et me donner à un tel sexe…. et d’ailleurs, je ne pensais pas qu’un membre aussi large puisse exister. La pénétration se fait millimètre par millimètre, me laissant ressentir toute la largeur de cette queue de black. J’essaie de me détendre un maximum dans tous les sens du terme. Pascal est doux et ferme à la fois dans sa manœuvre et petit à petit son sexe épais s’enfonce dans mon vagin jusqu’à en cogner le fond m’arrachant un cri de surprise et de douleur à la fois. Je ne peux plus bouger, caler comme jamais avant sur une queue. Je passe ma main entre mes cuisses pour évaluer les dégâts…. Je me rends compte qu’à peine la moitié de ce monstre est en moi.
Qu’importe, j’ai pris ce que je pouvais et mon amant semble s’en satisfaire. Il me lève les jambes me tenant par les chevilles pour commencer de très lent va et vient. Chaque mouvement m’arrache un cri de plaisir et de surprise partagés. Chaque millimètre de cette barre de chair me fait de l’effet et je commence à prendre plaisir à mesure que mon vagin se fait au dimension de la bête. Mon partenaire se fait alors plus actif donnant des coups de rein plus francs , me faisant cette fois hurler de plaisir, me faisant sans doute remarquer par les voisins. Je jouis en hurlant lorsqu’un doigt vient titiller mon clito et qu’une main se met à malaxer mes seins.
tu aimes ma grosse queue sabine ?
Oui mais quel engin. … !!! c’est monstrueux …
monstrueux de plaisir tu veux dire !!
oui ! Désolée pour les voisins…
ça va aller, détends toi j’ai l’habitude… On passe aux choses sérieuses alors ?
Comment ça ? Je suis déjà épuisée..
Vas y, mets toi à 4 pattes
Je m’exécute alors. Pascal se replace derrière moi, m’att**** les hanches et place directement son gland à l’entrée. L’introduction se fait de manière plus aisée. Sans doute suis je plus détendue tant physiquement que psychologiquement, face à ce monstre qui m’a apprivoisée . A nouveau, je sens mes chairs se distendre au maximum pour accueillir ce membre. La pénétration semble plus profonde encore en levrette et Pascal me tire vers sa queue à chaque va et vient. Il me lime de manière régulière , gardant le même rythme mais alternant les profondeurs me faisant gémir ou hurler. Il compose sa symphonie de l’amour au grès de son inspiration . Il me fait feuler encore plus lorsqu’il introduit son pouce dans mon anus me faisant goûter à une pseudo double pénétration. J’espère qu’il ne voudra pas aller plus loin car une sodomie avec un membre pareil m’est impossible.
Il n’en fait rien se contentant de me limer avec de plus en plus d’ardeurs. Je ne le sens même plus coulisser en moi tant la longueur rentrée est impressionnante. J’ai juste l’impression que mon vagin se plisse et se déplisse sous les coups de rein sans connaître de zone vide .C’est une sensation étrange que de sentir glisser un tel membre sans notion de vacuité. Il décide de m’achever à nouveau. Son pouce toujours fiché dans mon anus, son autre main m’a attrapé les cheveux et il donne de grands coups de bassin cadencés et secs à la fois. J’hurle de plaisir à chaque fois que le gland enfonce mon utérus et un nouvel orgasme me submerge après seulement 5 minutes de ce traitement.
Je suis épuisée mais Pascal n’est pas encore satisfait. Il me met sur le coté, me lève la jambe et me prend ainsi, ses cuisses de part et d’autre de la mienne, ma jambe tenue contre son torse. L’angle de pénétration est encore différent et malgré mes deux orgasmes, le sexe de mon amant m’arrache de nouveaux plaisirs. Je suis obligée de mordre le coussin pour ne pas hurler à nouveau. Il reprend son rythme lancinant de pénétrations profondes. Je sens encore le plaisir monter. Il semble n’oublier aucun recoin de mon ventre ainsi comblé. C’est insoutenable …..
Puis, il se retire me demandant de me placer, cette fois au dessus de lui pour le chevaucher. Cette fois, c’est moi qui mène enfin le jeu, je place moi même le pâle sur lequel je vais m’embrocher.
J’ondule mon bassin sur ce membre qui me comble entièrement…. Je sens le bout du gland frotter contre mon utérus. Dans le reflet d’une vitre d’un meuble, je vois cette tige noire figée en moi. Le contraste est excitant et voir ma chatte dilatée par un tel engin me rend toute chose. A nouveau, je sens la jouissance m’envahir et des ondes de plaisir parcourir mon ventre. Pascal en profite pour m’agripper les hanches et donner des coups de bassin qui finissent par m’arracher à nouveau des cris de jouissance.
Je m’affale sur lui épuisée par cet énième orgasme. Lui n’a toujours pas joui, quelle endurance…
Il prend les choses en mains.
Il me place à nouveau à 4 pattes ma tête enfoncée dans les coussins du canapé.
Sabine, je ne pensais pas que tu étais aussi chaude au lit derrière tes airs BCBG bien sous tous rapports , tu ne te fais pas prier pour te donner complètement toi. Tu aimes le sexe salope. Tu la veux encore ma grosse queue ?
Oui, vas y ! Fais toi plaisir après tous les orgasmes que tu m’as donné.
Tu sais qu’après ça, tu pourras être considéré comme salope à black , vas y , tends tes fesses que je te prenne d ‘un coup
Tu vas me déchirer, sois doux
Pour toute réponse, je sens une claque bien appuyée sur ma fesse m’arrachant un petit cri de douleur. Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits que déjà ses deux mains m’att****nt les hanches et que son gland cogne à l’entrée de ma chatte. D’un coup, il me pénètre sans ménagement. Je sens mon ventre se fendre en deux comme un fruit mûr. J’hurle à nouveau . Je fais mine de m’effondrer mais ses mains me retiennent d’une poigne puissante. Il me pilonne sauvagement, tentant à chaque va et vient de rentrer toute la longueur de son membre. Je crie, je gémis, je souffle. Douleur, plaisir se mêlent. Je sens ses couilles taper par intermittence mon clito, ce qui me laisse à penser que la majeure partie de sa queue me fouille le ventre. Il se met lui aussi à gémir et souffler, annonçant l’imminence de son plaisir. Les va et vient se font bestiaux . Pascal me besogne comme une brute.
Sabine, je vais te remplir, ça vient , j’ai toujours rêver de te dévergonder, de faire de toi une salope à black. Depuis que je bosse avec toi, j’espérais te baiser, te défoncer la chatte comme maintenant.Ah oui, tiens, prends ça salope !
Son pieux est à son maximum en moi quand je sens des jets puissants au fond de mon ventre comme si un karcher se libérer dans mon ventre. Je pense que la capote a du céder ou qu’il la retirée sans que je m ‘en aperçoive pour que je le sente si bien se répandre en moi…Il se retire enfin, laissant mon ventre béant. Son sexe luit devant mes yeux et j’aperçois le préservatif intact mais bien rempli toujours en place. Je ferme les yeux épuisée … Ce répit n’est que de quelques instants. En effet, je sens le sexe de Pascal se poser sur mes lèvres tandis qu’une de ses mains m’att**** la tête pour la presser contre son gland.
Nettoie moi bien la queue salope, je veux qu’elle soit toute propre
Je ne peux le prendre en bouche vue les dimensions mais de la langue je m’applique à effacer toute trace de cette mémorable baise. Son sexe est gluant de l’abondante semence dont il a rempli le préservatif. De ses mains, il guide ma tête pour que je fasse disparaître tout ce sperme. Sa jouissance est épicée et l’odeur très prenante mais je prends plaisir à la déguster. Pascal en profite pour me faire lécher ses couilles que je prends une à une entièrement en bouche triomphalement. C’ est la seule partie de sa virilité qui puisse trouver pleinement sa place dans mon orifice buccal.
Après ce nettoyage en règle, je me repose enfin quelques instants et au bout de 30 min, Pascal me réveille pour me dire qu’il est déjà tard…
Je me rhabille et m’apprête à partir quand il m’embrasse en me pelotant vigoureusement les fesses et me dit à l’oreille :
le dossier n’est pas bouclé, il faudra que l’on se revoit un autre soir pour le terminer.
C’est sur le chemin du retour ; alors que mon ventre se souvient encore des assauts de mon collègue que je réalise que cette soirée m’a vu m’offrir à mon premier homme noir et qu’il a fait de moi une salope à black .
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