Mon maitre franchit la porte en tirant sur la laisse de petits coup secs qui me déséquilibrait sur mes talons hauts. À l’intérieur une musique lascive se faisait entendre à travers les lourdes tentures en velours rouge qui masquait le mur face à nous. Sur le coté droit une superbe femme moulé dans une robe fourreau en latex noir tenait le vestiaire. Mon maitre m’ordonna alors de retirer mon imper et de le remettre à Gladys. Alors que j’obéissais il me précisa qu’ici je devais obéir à tous ceux qui ne portaient pas de collier de chienne comme le mien. Je remis donc mon manteau à la fameuse Gladys en baissant les yeux et en échange elle remit une cravache à mon maitre. Là, il m’ordonna de me mettre à quatre pattes et de ne me relever que si l’on me l’ordonnait. Je m’exécutais aussitôt alors qu’il utilisait la cravache pour me faire avancer, m’assénant quelques coups sur mes fesses qui commençèrent déjà à chauffer. Mon maitre en tête nous passâmes les rideaux de velours et là je découvris un donjon avec les murs en pierres ornés de chaines et d’objets de tortures en tout genre. La salle devait faire au moins 200 mètres carré et de massives portes en bois donnaient visiblement sur d’autres pièces. Deux hommes discutaient autour d’un pilori, l’un se faisant sucer tandis que l’autre s’enfonçait entre les reins de la même jeune femme. Cette dernière était prisonnière du pilori et ne pouvait se soustraire. Du coté du bar, un homme buvait un verre tout en arborant un sexe fièrement son sexe dressé à travers l’ouverture de la braguette. À ses pieds un jeune homme tenu en laisse lui léchait les couilles. Mon maitre me guida jusqu’à la croix de saint André et me faisant relever, il m’y attacha face au mur. Je sentis alors la morsure d’un fouet, que mon maitre semblait maitriser sans aucune difficulté, s’abattre sur mes fesses et mon dos. Mon maitre s’acharnait sur moi me faisant crier et hurler ma douleur. Mon dos et mes fesses zébrés par la morsure du fouet me brulaient littéralement. Une femme dans la quarantaine profitant que mon maitre venait de s’arrêter de me fouetter, vint m’embrasser forçant mes lèvres avec sa langue. Elle tenait, de manière nonchalente un jeune homme de tout juste vingt ans, en laisse. Il se déplaçait lui aussi à quatre pattes, totalement nu si ce n’était le gros collier en cuir qu’il portait autour du cou et le plug anal planté entre ses fesses. Sa maitresse de son coté était vétu d’une robe fourreau rouge qui moulait son magnifique corps de manière indécente. On se rendait facilement compte que cette dernière était nue sous sa robe si ce n’est une père de bas et un porte jarettelles. On pouvait en effet distinguer la forme sous le tissu de la robe. Mon maitre me détacha alors et la maitresse face face à moi en relevant sa robe sur ses hanches m’ordonna de venir la lécher. Je jetais un regard à mon maitre ne sachant qu’elle attitude adoptée. Je reçus un coup sur mes fesses de sa part alors qu’il m’intima d’obéir et de ne surtout pas lui faire honte.
J’approchais donc mes lèvres de ses lèvres plus intime et me livrait à un cunilingus. Pendant ce temps mon maitre me cinglais les fesses avec une cravache. J’avais le cul en feu et je pensais que je n’allais plus pouvoir m’assoir avant un long moment. La maitresse me tenait fermement la tête plaquée contre sa chatte suintante de plaisir. Au bout de quelques minutes les coups s’arrêtèrent et je se sentis un sexe se glisser entre mes fesses et forcer mon anus. Le gland de mon maitre pénétra en moi lentement puis d’un coup il s’enfonça tout en profondeur, ses couilles plaquées contre mon postérieur en feu. Il se mit à me défoncer à grands coups de reins, m’arrachant des gémissements de douleurs. Pourtant malgré la douleur j’éprouvais du plaisir surtout lorsque je sentis l’autre soumis se glisser sous moi pour att****r mes couilles avec sa bouche et me les sucer. Mon sexe essaya de se dresser mais toujours prisonnier de la cage il ne pouvait se redresser. J’entendis des commentaires autour de moi me concernant du style « quelle belle petite chienne ». On félicitait mon maitre lui demandant si eux aussi pouvait m’essayer. Mon maitre répondit que j’étais là pour ça et qu’il ne fallait surtout pas hésiter à me punir si je refusais d’obéir. La maitresse se crispa alors que je continuais de jouer avec son clitoris avec ma langue. Je sentais ses ongles se planter dans mon cuir chevelu me plaquant encore plus contre son sexe. Elle laissa alors sa place et je dus sucer une succession de queues de toutes les tailles. Pendant ce temps mon maitre se déchainait entre mes reins. Il accéléra la cadence juste avant de jouir au plus profond de mon cul. Je sentais son éjaculation en moi tandis que dans ma bouche et sur mon visage je recevais également de bons jets de sperme des autres maitres présents. Je me sentais salie et humiliée. Je dégoulinais littéralement de sperme. D’ailleurs l’autre soumis vint me lécher pour en récupérer le plus possible avant de venir m’embrasser. Je me retrouvais avec sa langue qui poussais vers ma bouche le jus ainsi récupérer. J’entendais les commentaires graveleux et humiliant à mon encontre mais cela ne me génais pas vraiment car je voyais le sourire satisfait de mon maitre. Une jeune femme blonde en tenue de latex s’approcha de lui. Elle portait un loup sur son visage et je ne pouvais voir que ses yeux bleus rieurs. Elle s’accrocha à son cou et l’embrassa sur la bouche en me regardant. Mon maitre s’écarta avec elle pour discuter et pendant ce temps je me retrouva à lécher sur le sol les traces de sperme sous le controle de la maitresse que j’avais honoré de ma langue. J’observais mon maitre du coin de l’oeil et je le vis passer une main sous la jupe de la jeune femme qui écarta les cuisses aussitot les cuisses pour lui faciliter l’accès. Elle semblait apprécier ce que mon maitre lui faisait. Elle finit par jouir debout, les jambes tremblantes. Mon maitre ressortit sa main et me fit signe de venir. Arrivée à se pieds il me donna à lécher sa main poisseuse du jus de la belle inconnue. Je l’entendis remercier mon maitre et sa voix me dit quelque chose. De son coté mon maitre une fois sa main propre se saisit de ma laisse et se dirigea vers la sortie tirant sur mon collier. Il s’arrêta juste pour prendre nos manteaux au vestiaire et enfiler le sien mais il refusa que j’enfile le mien. Je me retrouvais donc dans la rue en guepiere et ballet boots dans la rue. Heureusement il faisait nuit et il n’y avait personne quand nous sortimes dehors. Un taxi était garé devant l’entrée le long du trottoir. Il s’agissait de mon chauffeur habituel qui sourit en me voyant sortir dans la rue. Il sortit pour nous ouvrir la porte et je vis que son pantalon était gonflé au niveau de son entrejambe. Mon maitre, lui, me fit assoir à l’intérieur, ce qui fut assez douloureux pour moi au vu de l’état de mes fesses. Il referma la porte pour discuter avec le taxi. Celui-ci écoutait tout en me jetant des regards lubriques de temps en temps. Puis mon maitre lui remis mon imper et fis demi tour pour partir de l’autre coté. Le chauffeur remonta dans son taxi et démarra pour me ramener chez moi. Il s’arrêta au bord d’un chemin désert à l’orée d’un bois et me fit sortir de sa voiture là je dus le sucer quelques instant à genoux sur les gravillons. Il avait sorti son téléphone et fis plusieurs photos. Puis il me fit allonger le buste sur le capot et il me prit sur le capot de son taxi tout en filmant la scène. Je le sentis se frayer un chemin entre mes reins et me défoncer lui aussi ma chatte anale. Il ne fut pas long à venir dans mon cul. Le sperme commençait à couler le long de mes jambes, mon anus béait. Je remontais en voiture et le taxi me déposa finalement devant chez moi. Je me précipitais avec difficultés à cause de mes chaussures dans mon batiment sous le rire goguenard de mon chauffeur. Là je me précipitais dans l’ascenseur priant pour ne croiser personne.
Hélas alors que la porte de l’ascenseur se refermait je vis une main se glisser dans l’ouverture et ma jolie voisine monta elle aussi. Elle sourit en me voyant en guépière, l’imper à la main. J’étais mortifiée et je n’osais lever mes yeux vers elle. D’ailleurs je ne sus quoi répondre quand elle me dit : « j’espère que la soirée c’est bien passée, tes boots te vont très bien. Elle te font un cul d’enfer ».
Là à ma plus grande stupéfaction elle posa sa main sur ma fesse et elle la caressa doucement. Cela me fit frissonner malgré la douleur encore présente sur la partie charnue de mon anatomie. Elle rajouta ensuite : « Je pense que ça doit être encore douloureux, tu vas avoir du mal à marcher demain ».
Je tombais des nues qu’est ce qui m’arrivait ? Comment savait elle ?
La porte s’ouvrit sur notre étage et je me précipitais dans mon appartement. C’est en refermant la porte que j’osais finalement relever la tête et croiser son regard, de beaux yeux bleus rieurs.
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