Assise sur le divan, Gwendoline ne porte sur elle, qu’une chemise d’homme trouvée dans l’armoire,
elle attend son retour impatiemment en se caressant le minou.
Le voilà qui arrive et n’est pas spécialement heureux de la trouver là,
débraillée sur le canapé… « Gwen t’es sérieuse là, mais à quoi tu joues ?? »
Elle se lève, sans dire un mot, se dirige vers lui, et l’embrasse.
Il se laisse faire, mitigé quant à comment il devrait réagir.
Il apprécie mais ne veut pas compliquer la relation de travail qu’ils ont.
Elle continue de l’embrasser, ses bras autour de son cou. Lui, défait sa veste.
J’ai très envie de lui et je me dis : « Ok, il succombe à la tentation ! ».
Mais je suis rapidement ramenée à la réalité quand il pose sa veste sur mes épaules et me repousse.
Je n’ai pas l’intention de capituler, je suis certaine d’avoir vu l’envie dans ses yeux,
et je n’ai pas rêvé le désir qui, à travers son jeans, a fait tendre sa queue contre le bas de mon ventre.
Sacrée Gwen, encore elle, très chaude, en tentatrice, toujours prête à coquiner.
Déterminée à obtenir ce qu’elle veut, faire craquer son collègue si désiré…
Je jette sa veste par terre, retire ma petite culotte et commence à déboutonner la chemise,
lui dévoilant mes épaules puis mes seins ronds pointant fièrement,
n’attendant que sa bouche pour les soulager.
Les derniers boutons disparaissent et je me retrouve complètement nue devant lui.
Je m’approche doucement et me colle contre son corps, je l’embrasse langoureusement,
mes mains se promènent sur son torse, il me répète comme une litanie:
« non, il ne faut pas, arrête, non Gwen, non… » Mais tout son corps crie le contraire.
Toujours sérieux et professionnel avec moi, il n’a jamais tenté quoi que ce soit,
c’est aussi pour cela que je l’apprécie et le désir tellement !
Loin d’être un mec facile, son vis-à-vis est pourtant sur le point de céder littéralement
aux assauts de la belle blondasse très aguicheuse…
Tout le monde peut craquer, après tout. Même le plus sérieux des gentlemen.
Mes lèvres se promènent sur son cou, pour revenir vers sa bouche,
ma main descend lentement de son torse vers sa queue,
je la sens palpiter en dessous de ma paume à travers son jeans et je n’ai qu’une envie,
c’est de la sortir de ce carcan de tissus. Je sens tout à coup que ses barrières s’effondrent,
il a arrêté de lutter. Il m’embrasse à pleine bouche, me soulève, mes jambes encerclant sa taille,
je sens son sexe dur contre ma vulve déjà bien humide, il me bascule sur le divan et…
Et sa bouche se pose enfin sur mes seins, avec avidité, il passe de l’un à l’autre,
mordille mes tétons , une petite douleur très agréable se répercute jusque dans le creux de mon ventre,
sa main droite s’occupe de mon sein gauche, le caresse, le prend à pleine main,
tandis que sa bouche s’occupe de mon sein droit, le dévore…
Mon bassin bascule vers le sien, cette frénésie s’empare également de moi,
mes mains passent de ses cheveux à son dos pour descendre dans le creux de ses reins
et y exercer une pression afin de le rapprocher encore plus, contre moi.
Je veux sentir sa peau sur la mienne, je soulève son petit pull, il a compris et le retire complètement.
Je passe alors à la boucle de sa ceinture. Je suis tellement impatiente de le goûter, de le sentir,
que je dois m’y reprendre plusieurs fois avant d’enfin arriver à libérer cette queue tant convoitée.
Son jeans et caleçon sur les genoux, il se relève, juste le temps de se déshabiller complètement
et j’en profite pour m’asseoir sur le canapé. Je suis vraiment toute excitée.
J’agrippe ses fesses pour le placer là où je le désire, sa queue face à mon visage.
Elle est déjà bien dressée devant moi, je passe ma langue sur toute sa longueur,
mes mains encore posées sur ses fesses.
Très vite, ses gémissement me confortent dans l’idée qu’il n’a aucunement l’intention de m’arrêter,
bien au contraire, alors je relâche la pression sur son postérieur,
j’empoigne sa queue d’une main et commence à jouer avec ma langue autour de son gland.
Elle tourne encore et encore, s’attarde sur le frein,
redescend jusqu’à la base pour aller explorer ses couilles bien pleines.
Je finis par le prendre complètement en bouche, démarrant lentement et sensuellement mes succions
avant d’augmenter le rythme de ma fellation, petit à petit. J’alterne lent, rapide, lent, rapide…
Ses gémissements m’indiquent qu’il apprécie très fortement cette délicieuse petite gâterie.
Brusquement, il se retire et s’agenouille devant moi, il écarte mes jambes,
dévoilant ma chatte toute lisse et surtout déjà très humide, il me fait basculer légèrement,
rapprochant mon bassin du bord du canapé, plaçant chacune de mes jambes
sur chacune de ses épaules. Bien offerte, je suis à sa merci.
J’attends impatiemment qu’il pose enfin sa bouche sur mes lèvres, sur mon clito,
mais il décide de s’attarder d’abord sur l’intérieur de mes cuisses,
de petits baisers légers comme une caresse, en soufflant sur mon entre jambe de temps en temps.
Cette anticipation est un vrai délice mais un supplice également.
Je finis par crier grâce et le somme presque de me lécher !
Enfin, il finit par capituler. Sa langue parcourt ma chatte sur toute sa longueur, c’est tellement bon.
Il accélère le tempo, place le bout de sa langue à l’entrée de mon vagin,
s’attarde longuement sur mon clitoris, en le prenant entre ses dents et place un doigt, puis deux.
Je sens que je ne tiendrai plus très longtemps, ma respiration s’accélère…
Il va de plus en plus vite avec ses doigts, avec sa bouche, et je finis par crier ma jouissance,
l’inondant de ma mouille. Il a cet air satisfait sur le visage et frotte son nez sur mon pubis.
Continue à frotter son nez en léchant et monte sa langue jusqu’à mon nombril qu’il bisoute.
Il se relève, me donne la main afin que je fasse de même,
m’embrasse avec le goût de mon orgasme sur ses lèvres.
Je veux le sentir en moi maintenant, ne faire plus qu’un avec lui.
Je me retourne, me penche et appuie le haut de mon corps sur l’accoudoir du canapé.
Je tourne la tête, je le regarde avec un sourire coquin qui en dit long sur ce que j’ai envie
qu’il me fasse, je me mordille la lèvre inférieure d’anticipation.
Il se place derrière moi, guide sa queue à l’entrée de mon sexe et frotte son gland sur mon clitoris
pour me préparer à son entrée en moi. Et elle arrive enfin, cette poussée salvatrice,
je le sens prendre lentement possession de ma chatte afin que je profite de cette sensation exquise.
Il place alors ses mains de chaque côté de mes hanches et accélère le rythme,
il me donne de grands coups de bassin vigoureux, me défonce bien, en levrette !
C’est si bon de me faire baiser de la sorte !
Cette sauvagerie m’excite énormément, mes fesses se mettent à bien vibrer en continue !
La chaleur du plaisir et de l’excitation envahit mon corps !
Je le sens, voulant intensifier les chocs de son bassin contre mon cul qu’il claque si fort.
Une de ses mains caresse l’arrondi de mes fesses avant de palper mes seins et terminer entre mes jambes,
stimulant encore plus les contractions effrénés de mon vagin.
À chaque culbutation, un cri s’échappe de ma bouche,
indiquant à mon partenaire combien j’apprécie ce qu’il me fait.
Je suis à nouveau aux portes du 7ème ciel, le plaisir est intense, je jouis comme une folle !
C’est trop bon et je m’efforce de reporter le « final » au plus loin.
Au bout d’un moment, il s’arrête, s’assied sur le canapé, agrippe Gwen brusquement
par les hanches et la soulève afin qu’elle vienne le chevaucher.
C’est à elle de donner la cadence. Elle a envie de prendre son temps mais très vite,
elle accélère les mouvements de son bassin, parce qu’elle ne peut plus attendre,
elle a trop besoin de cette délivrance, atteindre l’orgasme final…
Je le sens entrer et sortir en moi, ses mains agrippant mes fesses pour intensifier le rythme.
Soudain, un orgasme d’une intensité inouïe me transporte littéralement,
je n’arrive plus à penser à rien d’autre qu’ à cette onde de choc qui vient de me traverser,
elle était tellement fort que les contractions de mon vagin ont déclenché sa jouissance à lui aussi,
quasi simultanément !
Après avoir jouit en elle, il s’affale contre le dossier du canapé, elle s’effondre contre son torse.
Impossible pour lui comme pour elle, de bouger. La partie de jambes en l’air est terminée.
Aucun des deux n’a envie, à l’instant, de penser aux conséquences de ce moment torride.
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