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Un amour d’esclave – Ch 14.2

Un amour d’esclave – Ch 14.2



La soirée – Princesse, seconde partie

La suite des retrouvailles entre David et Princesse, son ancienne esclave

Bonne lecture, et n’hésitez pas à donner votre avis !

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« J’ai failli m’étrangler en voyant Maitre prendre la cravache des mains de Princesse et faire quelques petits mouvements de poignet dans le vide. Pendant mon dressage, il m’avait répété sans cesse qu’il ne punissait jamais ses soumises sans bonne raison, mais là il était sur le point de flanquer une correction à la cravache à son ancienne esclave, sans que je n’y voie la moindre bonne raison. Qu’est ce qui l’empêcherait de m’en coller une à moi plus tard ??? »

Même si je les aimais toutes deux passionnément comme soumises, Câline et Princesse étaient à l’opposée l’une de l’autre en matière de gouts. Je n’avais pas jugé utile de le préciser en faisant les présentations, mais en voyant l’air dégouté de Câline, je réalisais qu’elle pensait que j’allais punir Princesse.

Câline est psychologique : ce qui l’excite, c’est la soumission, la prise en main… Une cravache, un martinet, ou même ma main sur sa fesse a le don de la terroriser, par contre, assimilant tout cela à la douleur, à la punition et au fait de me décevoir. Princesse en revanche était beaucoup plus physique, et comme elle me l’avait rappelé, un coup de cravache bien placé sur les fesses pouvait lui donner quasiment un orgasme instantané !

« – Maitre, qu’a fait Princesse pour mériter une punition ?
– Punition ? Câline, ce n’est pas une punition… j’aime ça !
– des coups de cravache, pas une punition ?
– Non Câline… C’est comme ça que Princesse fonctionne… Par contre, passe-lui ton collier autour du cou, et tu la verras détaler ! »

Princesse m’a abandonné un petit moment pour aller voir Câline et lui assurer qu’elle était parfaitement saine d’esprit en me demandant de la fesser.

« – Tu sais Câline, j’ai été humiliée au-delà de tout ce que tu peux imaginer. Ça m’excite un petit peu contrairement à ce que dis ton Maitre, mais crois-moi : rien ne me fait autant mouiller qu’un coup de cravache bien placé ! »

Câline a frissonné de terreur, mais son sourire nous a libérés.

« – Moi ce n’est pas mes fesses que fait rougir Maitre pour m’exciter, ce sont mes joues ! J’aime quand il me promène en laisse devant ses fenêtres, ou qu’il me donne à manger dans une gamelle !
– ooooh, je demande à voir ça, tiens ! »

« J’étais un peu plus détendue en voyant Princesse aller s’agenouiller devant Maitre. Ainsi donc elle aimait se faire fesser ! C’était la preuve qu’il me manquait pour réaliser qu’il y en avait pour tous les gouts dans le monde étrange du BDSM. Elle s’est mise bien droite, dans la position que Maitre m’avait apprise : Il Lui avait apprise à elle aussi… Mains croisées derrière la tête, Princesse a soupiré de bonheur en sentant la cravache de Maitre lui caresser le dos.

Rémi à fait un signe à Maitre, puis il Lui a envoyé quelque chose que je n’ai pas pu voir assez longtemps pour deviner de quoi il s’agissait. Je l’ai découvert en entendant Princesse pousser un petit couinement de douleur et en remarquant Maitre qui fermait une pincette sur le téton de Son ancienne esclave. Il a tourné une petite molette pour serrer, jusqu’à ce que Princesse le supplie d’arrêter, la voix cassée par la douleur. Il a attaché une chainette à la pince, qu’Il a faite passer derrière le cou de Princesse, et a mis une seconde pince, à l’autre extrémité.

La chaine cependant était trop courte pour que cette pince atteigne le deuxième téton de Princesse. Qu’à cela ne tienne, Maitre à tout simplement tiré dessus, soulevant le premier sein, puis comme précédemment il a fixé la pince à son mamelon. Les beaux seins de Princesse ne demandaient qu’à reprendre leur place sur sa poitrine, mais la chainette en décidait autrement : mordue par les pinces, tirée vers le haut, la lourde poitrine de Princesse devenait l’instrument de sa propre torture, tirant en permanence sur ses deux tétons.

Le visage radieux de Princesse ne laissait pourtant aucun doute : malgré son sourire crispé, je voyais qu’elle tirait de cette douleur un plaisir authentique, probablement le même que quand Maitre m’exposait ou m’utilisait. »

Après cette petite préparation, Princesse s’est couchée sur mes genoux sur le fauteuil, les fesses au niveau de mes jambes, les mains posées sur le sol devant elle. La tension sur ses seins diminuait légèrement dans cette position, elle devait tout particulièrement apprécier. J’ai pris la cravache qu’elle avait posée sur l’accoudoir, puis dans un premier temps, je me suis contenté de frotter le bout en cuir sur la peau de ses fesses en lui caressant le bas du dos de ma main libre.

Quand je l’ai sentie détendue, j’ai asséné le premier coup. Un claquement a retenti, suivi du cri de Princesse… Son premier cri était toujours un cri de surprise. Elle a poussé un petit couinement de plaisir, puis a commencé à compter les coups.

« – un »

J’ai attendu quelques secondes avant de lui offrir le deuxième. Je profitais de cette sensation unique de voir apparaitre sur ses sublimes fesses la première marque de cravache, un trait rougissant à mesure que son bas ventre se gorgeait de sang sous l’effet de son excitation. Puis, satisfait, j’ai choisi un second angle d’attaque, et j’ai recommencé.

« – deux »

Ce n’est qu’au cinquième coup que Princesse a poussé son premier cri. Un cri de douleur et de plaisir, ce mélange si étrange qu’elle seule savait ressentir !

« – ooooh oui, cinq ! »

Les coups suivants ont fait rougir le reste de ses fesses et le haut de ses cuisses. De cette façon, chaque parcelle de sa peau était à vif et ouvrait la voie à des caresses encore plus plaisantes pour elle. Je me suis limité à une petite dizaine de coups de cravache, pour ne pas la faire monter trop vite, trop rapidement, et risquer de la blesser

« – douze
– bravo ! Toujours aussi courageuse à ce que je vois !
– Merci David ! »

« Le spectacle auquel j’assistait me laissait sans voix. Je pouvais à peine voir la cravache quand Maitre décidait de l’abattre sur les fesses de Princesse : je voyais le mouvement de son poignet, j’entendais le claquement, et j’entendais son cri.

Elle semblait jouir à chaque coup !

Et quand elle comptait, le ton de sa voix suppliait Maitre de lui en mettre un de plus !

Ma seule déception était de ne pas pouvoir voir le visage de Princesse depuis mon fauteuil. J’aurais aimé lire dans son regard ce qu’elle ressentait dans ces moments-là : j’étais sure qu’elle pourrait m’apprendre beaucoup de choses ! Je comblais ma déception en observant les fesses rouges de Princesse : avait-elle mal ? Beaucoup ? Maitre se souvenait il des limites de son ancienne esclave ?

D’une douceur qui contrastait avec la brutalité des coups de cravache, Maitre caressait désormais les jambes de Princesse, remontant de ses mollets à ses fesses rougies, puis subitement, il leva la main et claqua une fesse du plat de la paume en faisant un bruit très fort. Princesse devait s’y attendre, la tendresse devait faire partir de leur jeu, être un signal, car elle ne poussa pas le moindre cri de surprise. A la place, un soupir de plaisir en sentant la main de Maitre passer sur l’autre fesse, même si elle savait pertinemment qu’une nouvelle fessée arriverait bientôt. Nouveau gémissement de plaisir.

Maitre repris la cravache en main, et j’ai été presque déçue qu’il décide d’arrêter d’utiliser sa main pour fesser princesse. Je dois avouer que je trouvais la scène…belle. Pour le plus grand plaisir de Princesse –sans doute, et le mien –c’était sûr, il a glissé le manche de la cravache entre les fesses de Princesse, lui sciant les lèvres avec le bois rêche de l’instrument.

« – serre les fesses »

Princesse a contracté les muscles de son bas ventre, serrant la cravache entre ses fesses. Maitre l’a lâchée, elle n’a pas bougée.

« – Tu sais ce qu’il t’arrive si tu la fait tomber »

Ce n’était pas une question

« – Je suis punie »

C’était une supplication »

J’ai à nouveau abattu ma main sur la fesse de Princesse. Cette fois, tous les muscles de son bas ventre contractés, le claquement n’a pas été aussi sonore, mais par contre la douleur était décuplée. Princesse a poussé un petit cri faible, en recommençant à compter la voix cassée… Quelques fessées plus tard, et sa voix était entrecoupée de sanglots quand elle me parlait.

Craignant d’avoir poussé ses limites un peu trop loin, je retirais donc la cravache, non sans l’avoir à nouveau faite glisser dans son sillon, lui arrachant cette fois un petit cri de plaisir. Je lui caressais les fesses pour la détendre, puis une fois remise de ses émotions, j’ai mis une multitude de petites tapes sur son postérieur qui a rapidement repris sa belle couleur rouge.

Princesse couinait en se tortillant dans tous les sens, entre la douleur de mes fessées, et les chatouilles de ma main qui parcourait son dos. J’ai saisi entre deux doigts la petite chainette qui passait derrière son cou, et j’ai rappelé à son bon souvenir les pinces qui mordaient ses tétons en tirant dessus : sa réaction a été immédiate, elle a poussé un hurlement de douleur qui s’est transformé en gloussement de rire après quelques nouvelles tapes sur les fesses.

« – Salaud, tu aurais pu prévenir »

J’ai de nouveau tiré sur la chainette, cette fois sa réaction m’a encore plus surpris : elle n’a pas seulement couiné, elle a aussi entrouvert ses jambes, m’offrant progressivement une nouvelle cible à l’intérieur de ses cuisses. Je me suis empressé de frapper cette chair délicate qui se dévoilait pour la rappeler à l’ordre. Son cri de plaisir était une véritable invitation à recommencer.

« – un peu de respect Princesse, je ne suis plus ton maitre, mais tu restes une esclave !
– Pardon David… »

J’ai relâché la chainette, et ses jambes se sont refermées. C’était amusant, elle ne semblait pas contrôler ce mouvement… J’ai recommencé à tirer, mais cette fois j’ai maintenu la tension le temps de lui mettre quelques gifles sur chacune des cuisses. Ses gémissements se faisaient de plus en plus forts, et je ne parvenais plus à faire de distinction entre gémissements de plaisir, et gémissements de douleur.

« – Plus fort, plus fort s’il te plait ! »

« Maitre a tiré tellement fort sur la chainette que Princesse a dû relever le haut de son corps pour pouvoir suivre le mouvement : elle n’avait plus que son ventre sur l’accoudoir du fauteuil comme appui. Ses jambes étaient maintenant grandes ouvertes, m’offrant une vue inégalable sur son les lèvres lisses de son sexe, brillante de son excitation.

Choisissant un nouvel angle d’impact, Maitre a claqué sa main sur ce sexe offert, faisant pousser à Princesse un nouveau hurlement –de douleur ou de plaisir je n’en savais plus rien, j’avais perdu toute capacité à les distinguer chez cette femme de plus en plus étonnante ! Toujours est-il qu’elle a immédiatement resserré ses jambes emprisonnant la main de Maitre à cet endroit si sensible.

Il a relâché la chainette, laissant Princesse se remettre lentement de son orgasme, lui caressant les fesses de sa main libre, embrassant délicatement ses pieds qu’elle avait rabattus le long de ses cuisses.

« – tu as joui ?
– presque…
– tu veux jouir ?
– Bien sûr !
– Je veux que Câline te regarde jouir. Qu’elle comprenne tout le plaisir que tu prends dans ces caresses ! »

J’ai sursauté en entendant ces quelques mots échangés entre eux… Non seulement Princesse n’avait pas joui contrairement à je que je pensais, mais en plus Maitre m’invitait dans leur séance. Vu la relation entre eux, j’avais peur d’être une intruse, d’autant que Princesse n’était pas particulièrement excitée à l’idée d’être exposée, si j’avais bien compris.

Elle s’est néanmoins soumise aux demandes de Maitre, et s’est tenue sur le sol en me faisant face. Droite comme un I, les cuisses suffisamment ouverte pour permettre à Maitre de la « caresser » où il le désirerait. Dans une opération qui à eu l’air extrêmement douloureuse pour Princesse, Maitre a détaché une des pinces de son téton, repassé a chaine devant elle, puis replacé la pince où elle se trouvait.

Il a soulevé la chainette, mais Princesse a tout de même dû baisser la tête pour pouvoir la prendre, cette fois entre ses dents. Aussi incroyable que cela puisse paraitre pour moi, la simple action de baisser la tête a semblé plus dur pour Princesse que tout ce qu’elle venait de subir. Alors, plutôt que de garder ses seins en position, ses tétons légèrement pincés, mais la tête basse, elle l’a relevé dans ce qui semblait être un effort surhumain. Je sentais que je ne devais pas voir cette action comme une marque de son masochisme…c’était autre chose…

De la fierté ?

Oui !!! C’était donc ça !!! Depuis que nous étions entrés dans cette pièce, il se dégageait de Princesse une aura que je n’arrivais pas à identifier. Evidemment, je n’aurais jamais pensé à de la fierté venant d’une esclave ! Et pourtant, je découvrais –sans comprendre encore pourquoi, que Princesse était une esclave fière.

Fière de son statut d’esclave ? Improbable, elle qui n’aimait pas être humiliée…

Fière de son endurance ? Je trouvais qu’il y avait de quoi…

Fière d’avoir été l’esclave de Maitre et de le retrouver ? J’en étais presque sure

Ses seins se sont relevés de quelques centimètres, ses tétons tout autant, écartelés entre la traction de la chainette entre ses dents, et le poids de ses seins. J’ai vu une petite larme perler aux yeux de Princesse, mais elle a rapidement été remplacée par un brasier de plaisir quand Maitre lui a déposé un tendre baiser sur la joue.

– Quand tu voudras que je te donne ton orgasme, tu n’as qu’à détacher les pinces de tes tétons, et tu jouiras dans la seconde
– Merci David !

Maitre s’est agenouillé derrière elle et a caressé l’intérieur des cuisses de Princesse, puis y a mis une première gifle. Un soupir a percé entre les dents serrées de l’esclave, pendant que je voyais le plaisir monter dans ses yeux. Après chaque claque, Maitre déposait ses lèvres sur son épaule, attendant un couinement d’impatience avant de passer à la suivante.

Princesse pouvait jouir n’importe quand, mais elle continuait de demander que Maitre maltraite ses belles cuisses. Elle semblait y prendre énormément de plaisir, si bien qu’au bout de quelques claques, elle s’est arquée sur le corps de Maitre, jetant sa poitrine en avant, envoyant sa tête en arrière, étirant encore plus ses tétons, dans une douleur et un plaisir probablement insupportables.

A coté de moi, je voyais mademoiselle Amandine glisser une main dans sa robe pour se caresser. J’étais tellement excitée par la beauté et la sensualité de la scène que j’observais, que j’ai voulu me donner moi aussi du plaisir. Mais me ressaisissant, je réalisais que me masturber à ce moment m’empêcherait de me concentrer sur le spectacle »

Au coup suivant, Princesse s’est de nouveau jetée en arrière, et, sa tête posée sur mon épaule, son regard a croisé le mien. Ses yeux était remplis de larmes tant elle se rendait la séance difficile. Je n’aimais pas qu’elle se pousse à bout comme cela, je sentais que je perdais le contrôle. Chacune de mes claques sur ses cuisses était parfaitement dosée : suffisamment forte pour lui donner ces sensations fortes qu’elle aimait tant, mais pas trop pour ne pas la blesser. En revanche, les réactions de son corps, même si elle ne les contrôlait pas –elle semblait être secouée par un orgasme a chaque fois que je giflais sa cuisse, risquaient de lui faire dépasser ses limites.

Elle a lu mon inquiétude dans mon regard et a décidé de mettre un heureux terme à notre séance. Elle a pris de grandes respirations, toujours appuyée sur mon épaule, enveloppant ses seins dans ses mains. J’étais conscient à quel point la condition que j’avais posé à son orgasme était difficile, et je le regrettais presque. Retirer une pince d’un endroit aussi sensible qu’un téton est bien plus douloureux que l’y mettre, ou bien même de le garder.

Elle a pris trois dernières inspirations très brèves, puis a retiré simultanément les pinces de ses deux tétons en poussant un nouveau hurlement dans lequel la douleur était nettement plus distincte que son plaisir. Pour rééquilibrer ses sensations, j’ai claqué du bout des doigts sur son sexe, juste sur son clitoris, ce qui a déclenché un orgasme d’une puissance que j’avais rarement vue chez elle.

Si je n’avais pas passé mon bras autour de sa poitrine, elle aurait été projetée en avant par ses spasmes de plaisir. Tremblante de tout son corps, elle s’est repliée en boule sur elle-même, m’entrainant dans son mouvement, m’invitant à l’enlacer pendant qu’elle se remettait de son orgasme dévastateur. Entre deux sanglots, Princesse poussait un nouveau râle de plaisir, sa jouissance semblant ne jamais s’arrêter. Puis enfin, éclatant de rire et soupirant de fatigue, après cette séance aussi intense, elle s’est retournée vers moi pour m’embrasser et me remercier.

« – C’est si bon de te revoir ! »

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