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Mirna et Pablo (épilogue)

Mirna et Pablo (épilogue)



Mirna et Pablo (épilogue)

En sortant de la « California » de Fred, je me suis pressée de revenir au bal. Je n’y trouvai que Marc.

– Où sont passés, Pablo et Mirna ?
– Là bas… Il me montra du doigt l’endroit où mère et fils étaient en train de discuter.
– Qu’est-ce qu’il se passe ?
– Pablo n’accepte pas que je vienne avec vous…
– Et bien, en principe tout était réglé, non ?
– Honnêtement, je ne sais pas quoi te dire… Ton amie… Bref, elle en as très envie, il me semble.
– Je confirme, elle en as très envie… Mais, son fils, c’est une autre paire de manches.
– Oui, je sais… bon, je crois comprendre. Tu sais, je crois que c’est mieux que j’y aille…
– Non, s’il te plait… Laisse-moi leur parler.

J’y suis allée et avec ce que Mirna me dit, je suis revenue vers Marc :

– Mirna propose que nous rentrions les quatre à l’appartement. Elle va se mettre au lit avec Pablo et restera avec lui jusqu’à que lui, il se soit calmé et il s’endorme.
– Un peu farfelu, non, tout ce montage ?
– Tu as envie de coucher avec Mirna, non ?
– Oui, autant qu’elle, j’en suis sur…
– Alors ? Elle ne nous demande que de patienter quelques minutes…
– Et nous, entretemps ?
– Ecoute, Marc… Je te plais, n’est-ce pas ?
– Oui, beaucoup, aussi…
– Et toi, tu me plais beaucoup… Il y a mille manières de patienter, non ?

Nous fîmes le chemin de retour d’une drôle de façon. Marc et moi, nous nous tenions par la taille, comme si nous étions un vrai couple. Pablo marchait à côté de sa mère, un bras entourant ses épaules. En arrivant à l’appartement, Mirna prit la parole :

– Faites comme chez vous, en s’adressant à Marc et moi. Nous, on va se coucher, hein, Pablo ?
– Bonne nuit, dit Pablo en s’adressant à personne.

Mirna et son fils s’enfermèrent dans leur chambre. Marc et moi restâmes un instant en silence, sans trop savoir que faire. Finalement, Marc prit la parole :

– Comment est-il, Pablo ?
– Dans quel sens ?
– Il m’a paru comprendre que sa mère a une relation i****tueuse avec lui…
– Ça te choque, Marc ?
– Ha ha ha, non… Rien ne me choque à mon âge… Je suis curieux, c’est tout… Et toi ? Tu as déjà couché avec lui ?
– Hum ! Que sais-tu, en fait ? Que t’a raconté, Mirna ?
– Pas grande chose, la vérité… Il faut dire qu’elle est allée droit au but !
– Raconte…
– Veux-tu me baiser ? Elle m’a dit, du tac-au-tac.

On s’était servi à boire, assis sur les tabourets de la cuisine américaine. Je lui ai raconté tout ce que je pouvais lui raconter, de Mirna et Pablo, de moi et Pablo. Les parce que de tous les pourquoi.

– Punaise, Sandra ! Tu me fais bander à bloc !
– Fais-moi voir, ce phénomène de la nature, lui proposai-je, en lui posant la main sur son pantalon.
– Tu as toujours faim, ma belle ?
– Tu ne peux pas savoir à quel point !
– Après ce que tu viens de me dire sur ce garçon, je crains que tu vas être déçue, ponctua Marc avec un zeste d’ironie.
– C’est moi qui dois en juger, de ça… Montre !

Il se déchaussa et enleva son pantalon. Son caleçon était gonflé comme une tente canadienne.

– Enlève tout, s’il te plait. La chemise aussi ! Je veux te voir comme tu m’as vue ce matin.
– Et faire ce que je t’ai vu faire, aussi ?
– Hum… Tu en as, de bonnes idées sous la casquette !

Et il le fit. Il se planta devant moi, totalement à poil, mais… sans aucun poil ! Il était tout bronzé, ce qui me fit déduire tout de suite qu’il avait l’habitude d’aller sur les plages nudistes. Je fixai son sexe. Rien à avoir avec celui de Pablo, mais mon regard de connaisseuse du sujet en question me fit comprendre qu’il possédait un bon instrument de baise : une bite épaisse, décalottée, des veines enflées de flux sanguin, tordue comme le tronc d’un vieux chêne…

– Alors ? Je ne fais pas le poids ?
– Tu fais largement le poids et l’affaire…
– Mais…
– Branle-toi !
– Ici ? M’interrogea avec un sourire malin.
– Oui… pourquoi pas ?
– D’accord… Mais je veux que tu fasses pareil !

Il n’en faut pas beaucoup pour que je me mette à poil et, encore moins, que je suis chaude. Il s’approcha de moi et posa doucement sa main sur mon sein gauche, parcourant de son index la cicatrice qui l’amochait :

– Il m’avait paru remarquer ça, ce matin…
– C’est moche, hein ?
– Non, ce n’est pas moche…

Il se pencha vers ma poitrine et me lécha le sein en suivant la ligne de ma blessure. Puis, il prit le mamelon entre ses dents, le suçotant avec parcimonie :

– Il est encore sensible, tiens !
– Oui, il n’est pas encore mort… Mais, l’autre, il l’est davantage.
– Oh, oui. Ça se voit ! Il est déjà tout érigé, l’autre.

Il interrompit ses caresses et se mit à genoux. Ensuite, il prit mes pieds entre ses mains et les embrassa à plusieurs reprises, commençant par les chevilles et en finissant par les orteils, qu’il fini par sucer, un par un :

– Des pieds de déesse, s’exclama-t-il.
– Merci, mon feetlover !

Il se remit debout, sans les lâcher, et les posa autour de sa queue.
– Branle-moi comme ça, douce merveille !

Bien que la position ne fût pas la plus confortable pour ce genre de cochonneries, mes pieds prirent en étau sa bite et initièrent une gymnastique plus proche d’un exercice de « pilates » que d’une vraie pédi-branlette. Le cul sur le tabouret, mes jambes en trapèze, comme une grenouille, j’offrais à Marc une vision plutôt comique de mon corps. Mais, pour lui, ça en avait l’air d’être tout le contraire :

– Mmm ! Un régal, tes pieds ! Et cette chatte luisante !
– Et poilue !
– Ça, ça peut s’arranger… Caresse-toi, coquine !
– Si je me caresse, je me casse la figure !

La voix de Mirna interrompit notre show particulier :

– Ce petit salaud m’en a mis partout !

Je tournai la tête et vis Mirna s’approcher de nous telle une de trois grâces de Rubens, l’opulente poitrine souillée du lait de son fils :

– Et vous, je vois que vous ne perdez pas votre temps !
– Je comprends, maintenant, comment te débrouilles-tu pour le calmer, ton fiston –commenta Marc.
– Je vous jure que ce n’était pas du tout prévu !
– Mon œil –lui dis-je.
– C’est vrai, ma belle… Il a insisté pour qu’on joue à « call of sex » ou quelque chose comme ça… Il parait qu’une salope lui a appris ce jeu… – dit-elle en approchant ses mamelles embaumées de foutre à mon visage. – Tu reconnais son odeur, hein ?

La température grimpa de quelques degrés. Sans quitter le tabouret, je lapais ses grosses mamelles, là où il y avait des traces de sperme et il y en avait partout. De temps en temps, je lui mordillais les mamelons et elle couinait comme une truie. Soudain, je sentis les mains de Marc qui me saisissaient par la taille. Il me fit descendre du tabouret et demanda à Mirna de s’y asseoir :

– Continue, Sandra… Elle en a jusqu’à son minou – Il me dit en poussant mon dos vers le bas. – Regarde ! Regarde comme elle l’ouvre, rien que pour toi !
– Aggg ! Ah, ouiiii ! Criai-je quand d’un seul coup, fort et profond, il me pénétra.

Enfin ! Enfin, j’avais une bonne bite dans mon con ! J’enfonçai mes ongles dans la chair laiteuse des cuisses de Mirna et ma langue dans son vagin. Les coups de reins implacables de mon prodigieux baiseur faisaient culbuter le tabouret. Mirna hululait comme une louve et Marc grognait comme un porc. Mon amie, que jusqu’à là, elle ouvrait sa chatte avec ses deux mains, les appuya sur le comptoir, derrière elle et souleva ses grosses cuisses pour les poser sur mes épaules. Le piston phallique augmentait son régime. J’arrivais, à peine, à lui lécher le clitoris. Marc me baisait à une cadence infernale :

– Putain ! Ma queue va fondre, là dedans ! C’est bouillant !!!
– Oh, salope ! Oooooh, saloooope ! Bouffe mooooi ! Aaaaaa ! Ouiiiii, je vais jouiiiiirrrr !!!
– Mmmmmm ! Hiiiiiiiiiiii ! Mmmmmmm ! – ça voulait dire, moi, aussi, moi, aussiiii !

Quel orgasme bilatéral ! Pourvu que les négociations entre les pays en conflit se résoudraient de la sorte ! Aux connards du monde entier : Faites l’amour et pas la guerre !

Il sortit de moi, sans avoir joui. J’avais rouspété. Je la voulais en moi, encore et encore. Marc m’embrassa de toute sa bouche et me dit :

– Hum ! Quel bon gout de moule !
– Maintenant, il est à moi, ma cocotte ! Ajouta Mirna.
– Et moi, alors ?
– Toi… Va vite trouver Pablo… Il t’attend pour continuer votre jeu pervers !

En ouvrant la porte de leur chambre, un effluve pesant et moite frappa mes narines. Toute la pièce sentait le sexe. Une petite lampe de chevet qui était restée allumée me permit de voir que Pablo dormait, sur le dos, les mains croisées sur sa poitrine. Son sexe en état de repos était toujours imposant.

– Macarelle ! S’exclama Marc, qui avait voulu jeter un œil avant de s’éclipser dans l’autre chambre avec Mirna.
– Chut ! C’est moi qui vais le réveiller… Va avec ta grosse et baise là comme il faut !
– Putain… quelle bite !

Je chassai Marc de la chambre et restai un moment à contempler ce corps extraordinaire. Je le laisse dormir ? Me dis-je. Non. Pas de question. Je lui écartai les jambes et m’agenouillai à la hauteur de ses jambes. Je lui suçai la verge par de petits coups de langue. Elle sentait très fort. Ça me plaisait davantage. Je la saisis d’une main et me l’engouffrai dans la bouche. Pablo ronronnait, encore endormi. Petit à petit, elle grossissait dans ma chatte buccale. Il se réveilla :

– Maman ?
– Non, bébé… c’est moi, Sandra.
– Où est-elle, ma maman ?
– Tu ne l’entends pas ?

Les murs extra-fins de l’appartement laissaient passer tous les bruits. Marc était déjà en train de la pilonner à fond car on entendait les cris de jouissance de Mirna. Je devais agir rapidement si je ne voulais perdre mon « flag ». En conséquence, je me suis mise à califourchon sur son bassin et me suis enfourchée en lui. J’eus la même sensation que quand on me fiste, l’impression d’être défoncée jusqu’aux entrailles, que mon vagin aller exploser !

– Je te montre…Mmmmm…la suite du jeeeuuuu !

Désormais, de sa bouche ne sortit aucun mot. Seulement des bruits, des grognements, des geignements. Il ne bouchait pas ; il ne me touchait pas. Moi, je faisais tout le boulot. Je me sentais comme une amazone suivant une épreuve de rodéo. Je criais comme rare fois je l’avais fait. Je hurlais aux quatre vents ma jouissance. Une chaine interminable d’orgasmes, comme une décharge de 10000 volts, me secoua de la tête aux pieds. Je finis par m’asseoir sur ce pieu divin, appuyai mes deux mains sur sa poitrine imberbe, empalée jusqu’à l’utérus, ma vulve possédée par le diable en personne, se frottant, en avant et en arrière, contre son pubis :

– Oh, ouiiiii ! Oh, mon Dieu que c’est booooonnnn ! Oui, oui… Aaaaaah !

Ce n’était pas moi qui proférais ces cris, mais Mirna. Pablo les entendit et fit un geste, comme s’il voulait dire quelque chose. Je lui plaquai une main sur sa bouche :

– Laisse Maman tranquille… Elle joue, aussi
– Oh, c’est bon, là… Oh, ouiii, aïe, doucement, là… Aouuuuhhhh !
– Elle a mal… Tu ne l’entends pas ?

Je pris conscience à quel point Pablo était fusionné avec sa mère. Je compris, aussi, que le rapport médical était juste. J’étais en train de baiser avec ce jeune, d’y prendre mon pied, certes, mais imperméable à ses sentiments. J’étais sur le point de jeter l’éponge quand de nouveaux cris retentirent dans la chambre à côté :

– Non ! Ne t’arrête pas ! Encore, encore, encore !!! Éclate-moi le cul !!!
– Tu vois, Pablo… Ta maman, elle aime… Tu lui fais des choses, aussi, par derrière, non ?
– …
– Ça ne te plait pas de jouer avec moi ?
– Si…
– Tu aimerais me donne du plaisir par derrière, à moi, aussi ?
– Comme avec maman ?
– Non, pas exactement… Avec ton zizi…

C’était un scénario que je n’avais pas prévu. Je n’avais pas, sur moi, les lubrifiants nécessaires pour préparer mon petit trou à une telle profanation. Mais, j’avais assez d’expérience comme pour savoir m’en sortir. Et assez de mouille dans ma chatte !

Je me mis à quatre pattes, mon torse bien collé aux draps, le cul cambré vers le haut, mes mains écartn :

– Pablo, mets tes doigts dans mon vagin. Mouille-les bien avec mon jus et ensuite étale-le autour de mon anus. Bien, mmm, comme ça… Maintenant, enfonce-y un doigt et puis un deuxième… Ouiii, comme ça… Encore plus… Oui, bébé, ouiiii… Ecarte-les et tu les sorts lentement ; mais pas complètement !
– Oh, Jésus ! Tu me tues, salauuuud ! Mirna était en train de couronner le sommet de Sodome !
– Tu le vois, Pablo ? Tu vois comme mon petit trou commence à se dilater ?
– Oui, comme maman…
– Remouille tes doigts dans ma chatte, bébé ! Vas-y, sans crainte ! Bieeen ! Recommence avec mon anus… Mets-en trois… Waouh ! Mmmm ! Encore un, ouiii !
– Ouiiiiii ! Ooooooohhhh ! Je jouiiiiiiis !
– Eh, ben, ta douce maman… Mmm ! Maintenant, c’est mon tour !

Je tournai ma tête pour vérifier que mon étalon était toujours dur et prêt. C’était le cas : une vraie machine à baiser !

– Prends-moi fort ! … Ouffff ! Non, pas ma chatte ! Mon cul !

Ce fut extraordinaire. Pablo s’était comporté comme une machine à coudre. Pendant un temps qui me paru très long, il me pilonna le cul, avec des va-et-vient constants, réguliers… Une sodomie « Lento ma non troppo » qui me fit jouir une nouvelle fois, mes cris étouffés contre l’oreiller.

– Oh, putain ! Oui ! Branle-moi avec tes mamelles !!! Oh, putain, que tu es bonne !!!

J’étais franchement épuisée. Comblée comme une chienne. Le nirvana absolu !

– Encore, Sandra ?
– Tu n’as pas éjaculé, Pablo ?
– Non, pas encore…
– Hum ! je n’ai plus de forces, là…
– Maman me dit souvent la même chose…
– Ah, bon ? Et que fait-elle ?
– Elle me caresse avec ses seins…
– C’est bon, c’est bon… ça arrive, aaaaaaaaahhhhhh !!!! Ouvre la bouche, beautéééé !!!
– Ça va être difficile, avec mes petits nichons… Mais, viens, chéri. Je te ferai jouir quand même !

On s’était allongé, l’un à côté de l’autre ; lui, sur le dos, moi, contre lui. Je saisis sa bite de ma main droite et le masturbai. Il ferma les yeux. Les rires de Mirna nous arrivaient, de plus en plus étouffés. Ils avaient fini, à l’évidence. Ma main le branlait à une cadence lente. Je m’endormais…

– Sandra ?
– Oh, pardon ! Tu veux que j’aille plus vite, non ?
– Ce n’est pas ça… Tu crois que ma maman va m’abandonner ?
– Pauvre chou… Arrête de penser de telles âneries. Ta mère ne t’abandonnera jamais…
– Tu le dis pour que je me taise… Je ne suis pas idiot.
– Non, tu n’es pas idiot… Tu es garçon très intelligent. Mais tu dois me croire, ta maman elle sera toujours là.
– …
– Tu veux que j’arrête ?
– Non… Non, ça me plait beaucoup…

Il mit encore cinq bonnes minutes avant de jouir. Ce fut la branlette la plus triste que je n’eus jamais faite. Pablo pleurait, les yeux fermés, geignant comme un enfant malade. Néanmoins, sa tristesse intérieure ne l’empêcha d’éjaculer une nouvelle fois, comme s’il ne l’avait pas fait depuis des jours.

J’éteignis la petite lampe, l’embrassai sur le front et lui souhaitai une bonne nuit, collée à lui, comme une tique.

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