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celine cocufieuse

celine cocufieuse



ch2 Laure
Les jours passaient, notre couple s’installait dans la vie. Céline envisageait de reprendre ses études à Marseille, dès la rentrée prochaine.
Le soir nous nous retrouvions chez nous. Nous faisions chambre à part, mais je la voyais toujours évoluer nue dans la maison. Sa beauté me faisait un plaisir énorme. Je me régalais de voir ses seins et ses fesses. Son corps incroyablement beau et son visage d’ange.
Le bonheur.
N’ayant aucun souci financier, nous partions souvent en week-end, soit en hôtel, soit dans l’une ou l’autre de nos deux maisons que nous avons, à la montagne et à la mer.
Cela dura tous le mois, de juillet ainsi. Nous ne parlions plus de Antoine.
Puis un samedi matin, alors que je prenais mon café dans le jardin, elle vint et me dit :
Ce soir, je reçois.
« Ah bon, qui, je connais tes invités ? »
« Oui, mais il y en a qu’un seul, c’est Antoine »
J’eu un pincement au coeur de jalousie.
« Ah et il vient pour quelques jours ? »
« Non, il vient pour la nuit et nous repartons ensemble à Paris, j’y resterais quelques jours.
J’en fus fort attristé, mais ne le montrais pas.
Antoine arriva à 18 heures.
Dès son entrée, Céline lui sauta au cou et l’embrassa longtemps. Elle mangeait sa bouche et leurs langues se suçaient.
Enfin, ils s’arrêtèrent et Antoine me salua.
« Bonjour, Daniel, Céline m’a tenu informé de votre évolution. Mais j’avoue que malgré le calme apparent, l’esprit évolue. C’est le plus important, pour le sexe vous avez tout le temps devant vous. Toutefois, il fallait que je vienne compléter ce que j’ai commencé »
« Et ça consiste en quoi, dis-je … »
« Ce soir, ce soir, dit-il, calmement »
Nous avons dîné, Céline s’affairait à la cuisine ( très bonne cuisinière, au fait )
Au salon l’ambiance était sympathique et fort amicale.
Lui aussi bien qu’elle était très attentifs et attentionné à mon endroit.
Mais ils se comportaient en amoureux devant moi. S’embrassant, se caressant. Elle, blottie contre lui dans un canapé.
« Bon c’est pas tout, il faut se coucher, nous avons à faire et demain nous partons tôt »
Ils se levèrent et me souhaitèrent bonne nuit et Antoine précisa :
« Daniel, la porte de notre chambre restera ouverte. Tu pourras entendre, ce que je suis venu précisément faire avec Céline, et voir aussi si tu veux »
Ils montèrent à l’étage et je restais quelques minutes.
Je rejoins ma chambre, et déjà les bruits de l’amour parvenaient jusqu’à mes oreilles.
Nu, j’allais devant leur porte. Céline suçait la queue de Antoine. Elle l’avalait plus qu’elle ne la suçait. Vorace et affamée, on voyait très bien son manque depuis un mois.
Antoine la coucha sur le dos. Il la prit sans autre préparation.
« Tu es toute prête mon amour de ma vie. Je te baise bien, toi. »
« oh mon Antoine, prends moi, j’ai attendu cet instant. Fais moi l’amour. Je suis ta femme, ton épouse, je t’aime Antoine, je t’aime, oohh c’est trop bon, je ne vais pas tenir longtemps »
Il la besognait de toute son ardeur.
Durant un long moment Céline jouissait, sans arrêt. Ils s’embrassaient, ne parlaient plus. Ils faisaient l’amour.
« Céline, Céline, je vais jouir, ma chérie, je vais jouir en toi pour que tu sois enceinte, tu vas porter mon enfant … je jouis, Céline, je t’engrosse, c’est merveilleux …. »
Son plaisir, ses soupirs de jouissance furent couverts par les exclamations de Céline.
« Mon chéri, mon mari, mon amour, oui je te veux, je veux etre enceinte de toi, je suis ta femme, je suis à toi, je t’appartiens, viens en moi, viens, donne moi ta semence »Tous ces mots furent dits dans un indescriptible chahut de cris de jouissance qui déclencha la mienne dans un formidable plaisir.
Ils ne bougèrent plus. Ils étaient ainsi, l’un dans l?autre.
3 fois dans la nuit ils recommencèrent. Ils savaient ce qu’ils faisaient et ce qu’ils voulaient.
3 fois il éjacula dans sa chatte.
La troisième fois, il la plia carrément en deux. Les jambes de Céline, touchaient ses propres épaules. Lui complètement enfoncé, en elle.
« Antoine, comme ça, oui, je sens ton gland qui entre dans mon utérus, je te jure je le sens au plus profond de moi. C’est encore plus fort. »
Elle criait son plaisir à son … homme.
Antoine cessa ses mouvements, il plaqua son bassin à celui de Céline. Il ne bougea plus. Il râla :
« Je jouis, je jouis Céline, je déverse mon sperme, en toi, il coule, il gicle dans ta matrice. Tu seras enceinte, tu peux me croire. »
Avant de partir, Céline me parla :
« Je pars mais je vais revenir. C’est ici ma maison, tu es mon gentil chéri que j’aime. Mais je dois partir avec mon mari, pour que je sois enceinte et que nous ayons un enfant.
Que diraient nos parents si je n’étais pas enceinte, n’est-ce pas ?
Et je ne veux pas un enfant de toi, je veux qu’il soit un homme comme Antoine.
Alors, à bientôt, mon chéri. »
Puis ce fut le tour de Antoine :
« Céline à raison. C’est bien de cela dont il s’agit. J’ajouterais quelques précisions.
Elle a omis de te dire, sûrement pour ne pas te blesser, que j’ai interdis que tu la pénètres. Elle est à moi. Je la garde pour moi. »
Ils partirent, ensemble, un taxi les emmena à l’aéroport.
Pas un appel téléphonique, pas un courrier, je n’ai pas eu de nouvelle de Céline de tout le mois d’août, j’ai dit à nos parents qu’elle était partie en vacances dans notre maison de Chamonix.
Je devins complètement fou de jalousie. Les nuits étaient longues à n’en plus finir.
Enfin, le 28 août au matin, je fus réveillé par des bruits dans la maison.
Je descendis et je vis Céline. Je couru vers elle et lui déposer un baiser sur ses lèvres pulpeuses. La serrant dans mes bras à l’étouffer.
« Mon petit chéri est content de me retrouver ? »
« Oui, oui ma chérie, oui, tu m’as beaucoup manqué »
« Parfait, c’est bien, j’apprécie ?
Je la regardai et je notai un changement radical. Ses cheveux étaient coupés.
Elle portait un léger haut moulant sa poitrine, sans soutien gorges.
Sa jupe était en fait une micro jupe, au ras des fesses.
Elle comprit mon étonnement.
« Eh oui, mon cher, j’ai changé de look, sous les insistances de mon mari, Antoine. Il veut me transformer, selon ses dires. Il me veut plus sexy, plus salope, plus pute, m’a-t-il dit. Au fait, Daniel, je t’annonce une excellente nouvelle … Je suis enceinte. Le test est confirmé. »
Mes jambes ne me soutenaient plus et je m’assis dans un fauteuil.
« Et c’est pas tout, c’est pas tout. Nous avons décidé qu’il n’était pas utile que je reprenne mes études. « Tu crois, tu crois que c’est mieux pour toi ? »
« Oui, j’ai envie de bouger … Comme ça je me partagerais entre Marseille et Paris, je pourrais être souvent avec toi et aussi souvent avec Antoine »
Je craquais, je devenais, intérieurement, fou.
Comment pouvait-elle me parlait ainsi, aussi naturellement de Antoine.
Fine, elle devinait la tempête qui était en moi.
Je compris, alors, qu’elle n’était plus dans son rôle, qu’elle n’était plus en « formation » mais qu’elle était. Simplement elle était ce que nous avions tous voulu qu’elle soit.
Une femme libre.
« Mon Daniel, dit-elle, je crois que tu es resté sur la défensive. Nous sommes mariés, je suis Madame …, mais je suis celle que tu voulais. Toi tu seras ce que tu es … Reste près de moi, je t’aime. Mais laisse moi vivre, vivre pour nous, tu ne le regretteras pas. Tu ne t’es pas aperçu que notre vie avait commencé ? »
« Je ne sais pas »
« Comment, tu ne sais pas ? Tu vois bien que je suis celle que tu voulais, non ? Je suis une jeune femme salope, qui te trompe depuis que je te connais. Une femme qui préfère Antoine à toi. Je suis enceinte de mon vrai mari. Pas de toi. Tu es cocu. Je suis enceinte, je porte l’enfant d’Antoine. Je suis sa femme et je l’aime, tu entends, je l’aime ».
Elle avait dit tout ça, sans passion, sans hausser le ton de sa voix. Avec assurance et détermination.
Je resté coi. Elle reprit :
« Tu devrais, pardon, du dois être content, satisfait, d’avoir une jolie et jeune femme près de toi qui te fait souffrir de jalousie. Tu dois te masturber chaque jour en pensant que je suis avec un autre que toi, non ? Tu voulais être cocu, tu l’es. Tu m’as poussé dans les bras de Antoine, j’y suis … et j’y reste. A toi, maintenant, comme je te l’ai dit de prendre des initiatives intéressantes qui me motiveront. Comprends bien que je fais tout ça pour nous, car je sais qu’il ne peut en être autrement. Rejoins moi, dans notre vie, et j’en serais heureuse. »
La journée fut heureuse.
Le soir, Céline, m’invita dans sa chambre.
Nue elle me dit de me coucher près d?elle.
« Caresse mon ventre, bientôt tu le verras grossir. Il y a déjà notre enfant. L’enfant d’ Antoine, soit, mais c’est aussi le tiens. Tu seras son père. Tu seras toujours un vrai cocu, en étant le père de l’enfant qu’un autre à fait à ta femme.
Maintenant, met deux doigt dans ma chatte, tu vas comprendre. Tu sens comme je suis large de mon Antoine. Si tu savais comme il me fait bien l’amour … 2, 3 fois par jour. Il me baise, je le suce, il m’encule. Il me prend de partout, il est infatigable. Tu sais, c’est vrai, à Paris je suis Madame Antoine X. Branle toi, pendant que je te raconte ma vie à Paris. Oui comme ça, tu bandes bien mon chéri, continue, ne t’arrête pas, touche mes seins.
Antoine a permis que tu me touches. Mais il ne veut pas que tu me pénètres.
Je repars dans 1 semaine. Le temps de te préparer à ta nouvelle vie. Je vais rejoindre mon mari qui m’attend.
Alors, chéri, qu’est que tu penses de ta salope et de son vagin élargi. Elle est douce … pour lui. Je sais que tu vas jouir … viens, viens, jouis dans ta main. Oui, oui, apprécie ta condition. Jouis avec ta petite queue. C’est bien mon chéri … ?
Effectivement j’avais jouis de toutes les choses dont me parlait Céline.
Les autres jours, je n’eus pas droit aux mêmes faveurs.
Nous avons rendu visite à mes parents et Céline leur a appris la bonne nouvelle. Nous allions avoir un bébé.
Elle est repartie le lundi suivant. J’avais eu 2 week end avec elle.
J’allais, quelques fois à Paris, mais il m’était interdis de voir Céline.
Comme promis, elle revint chaque mois, pour une semaine.
Les mois passèrent, son gros ventre la fatiguait. Puis au 7ème mois, elle m’annonça qu’elle ne pouvait plus voyager et qu’elle resterait à Paris.
Je ne voyais plus Céline. Elle était … absente. Je souffrais l’enfer.
Mes parents ne comprenaient plus rien. Mais je leur dis que ma vie ne les regardait pas et qu’il reste en dehors de ça.
Un jour au bureau, ma secrétaire m’apporta le courrier, et dans ce courrier, une invitation d’un client parisien pour l’ouverture d’un complexe Mode et class.
Je m’y rendis, car j’avais toujours cette capacité de travail qui me permettait malgré ma détresse de gérer ma société d’import export. J’avais même créé, une sucursale , au Maroc et une au Sénégal.
La soirée animée, me rendait euphorique. Quand soudain, je les vis. Antoine et Céline, elle enceinte jusqu’aux yeux, marchait au bras de Antoine. Je voulus les éviter et partir, mais une amie me prit par le bras et me dit qu’elle voulait me présenter son oncle et sa femme.
Elle m’emmena devant Céline et Antoine.
 » Je vous présente, Daniel, une ami de fraîche date, mais un homme intéressant, plein de dynamisme. Daniel voici mon oncle, Antoine et sa femme, Céline, comme tu peux le voir, ils attendent un heureux évènement. »
Je restais de marbre, ne sachant quoi faire. Antoine me regardait attendant ma réaction.
Ce fût, Céline qui sauva la situation. Elle me tendit la main et dit :
 » Enchantée, Daniel. Très heureuse de vous connaître  »
1 mois plus tard, je rentrais tard chez moi.
Je fus étonné de voir de la lumière. .
J’ouvris la porte fébrilement, n’osant espérer que ce fût Céline.
C’était elle. Ma Céline était là, dans le salon. Elle me fit signe de ne pas faire de bruit. Elle me désignait l’étage et me dit que notre fille dormait.
Elle avait donc accouché, sans rien me dire.
J’étais sur un nuage, des larmes coulèrent de mes yeux. Des larmes de joie de revoir Céline.
Elle me tendit une lettre. La peur au ventre je l’ouvris. Elle était de Antoine.
Salut Daniel, mon cher Daniel. Je te renvoie Céline. C’est fini, ma mission est accomplie. Vous êtes tous les deux, maintenant, prêts à vivre votre vie. Tu sais ce qu’amour et souffrance,signifie.
Céline, elle, est une femme accomplie qui saura te diriger , qui saura diriger votre couple. Vous avez une fille magnifique. Elle s’appelle Laure. Mon 2ème prénom c’est Laurent. Etonnent n’est-ce pas ?
Je vous souhaite longue vie et bonheur.
Adieu
Antoine.
Je tombais à genoux, la lettre dans les mains, je pleurais.
Céline se précipita et essuya mes larmes.
 » C’est fini, c’est fini, dit-elle, je suis là. Calme toi.  »
Petit à petit, nous retrouvions nos repères. Mes parents étaient contents, pour moi.
Céline faisait beaucoup de sport pour retrouver sa sveltesse et son beau corps.
Tout y passer, Sport, massage, sauna, crèmes en quantité astronomiques.
Laure me comblait et je l’aimais comme j’aime sa mère….

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