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Pierre, notre voyeur

Pierre, notre voyeur



Sophie s’offre à Pierre

Devant ce geste d’acceptation de Sophie, je me relève pour retourner m’asseoir et profiter du spectacle. Pierre affiche un sourire de vainqueur.
— Embrasse-la. Embrasse ma verge, Sophie.
Le visage de Pierre se tord de plaisir. Il souhaitait que Sophie dépose des baisers sur ses glands et sur sa hampe, mais Sophie a décidé de le surprendre. Elle enferme son gland dans sa bouche et fait tourbillonner sa langue dessus. Elle roule un patin à sa bite. Pierre est parcouru de tremblement. Il est électrisé par la sensation qu’elle lui offre. Sophie finit par abandonner son gland pour déposer un baiser bruyant sur sa pointe. Elle fait glisser sa langue sous son pénis jusqu’à ses bourses qu’elle se met à lécher avant de les aspirer pour les faire entrer dans sa bouche, faisant pousser à chaque fois un petit cri à Pierre.
— Putain, quel pied ! Tu es une déesse Sophie.
— Et tu n’as encore rien vu.
Sophie s’amuse avec Pierre. Elle est agenouillée à ses pieds, il la tient par les cheveux, telle une soumise, mais c’est bien elle qui a le contrôle de la situation. Elle n’arrête pas de lécher son pénis, de l’embrasser, de lui faire des suçons, y dépose de légers coups de dent. Elle finit par tendre la langue et la poser sur son gland pour le diriger dans tous les sens comme elle le souhaite. Pierre est haletant, il lutte pour ne pas se laisser emporter par le plaisir qu’il lui donne et éjaculer trop vite.
— Pierre, regarde-la dans les yeux.
Pierre baisse ses yeux vers Sophie qui le regarde. Il se fixe un long moment, puis Sophie s’avance vers sa verge, elle enroule ses lèvres sur son gland qu’elle fait doucement plonger vers le fond de sa bouche. Pierre ne la quitte pas des yeux. Je le vois brusquement se tendre et se mettre sur la pointe des pieds.
— On ne t’a jamais autant avalé ?
— Non, jamais. C’est dément !
— Attends la suite.
Et Sophie continue sa progression sous les yeux de plus en plus écarquillés de Pierre, elle fait visiter à son gland le fond de sa gorge. Sophie s’arrête quelques centimètres avant la fin. Elle a avalé ma longueur de bite, mais a du mal à faire entrer le reste. Elle commence à reculer jusqu’à avoir le gland au bord des lèvres avant de le reprendre en bouche. Elle fait plusieurs allers retour excessivement lents pour torturer Pierre. Néanmoins, je remarque que progressivement elle l’avale de plus en plus.
— Oh Putain ! OUIIII !
Pierre est comme un fou, Sophie vient de poser ses lèvres sur son pubis. Elle l’a avalé en entier et elle maintient de longues secondes la position. Sophie le recrache lentement et se lance dans une fellation molle en me lançant un bref coup d’œil.
— Hum, Pierre, si je t’ai confié la queue-de-cheval de Sophie, c’est pour t’en servir. Je crois t’avoir montré comment l’utiliser.
Pierre me lance un sourire béat avant de se baisser vers Sophie qui continuait de le sucer sans entrain. Pierre enroule ses mains dans la chevelure de ma femme, puis lorsque son gland est sur le point de ressortir il la tire violemment vers lui et enfonce sa bite en entier dans sa bouche. Pierre pousse un long gémissement avant de se lancer dans une série de pénétrations furieuses. Il ne se retient plus, la bête est libérée. Il baise la bouche de Sophie, produisant des bruits de sucions indécents.
Les mots me manquent pour décrire ce que j’éprouve devant cette scène, de voir ma femme, ma Sophie se faire limer la bouche par un autre homme à peine plus d’un mètre de moi. Mon pénis est dur comme du béton. Je profite encore un instant de ce spectacle avant de me rapprocher. Je vais m’accroupir derrière Sophie qui tressaute en sentant ma main se poser sur sa vulve. Elle est trempée. Je frotte sa chatte pour étaler sa mouille avant de m’arrêter et de plonger directement deux doigts dans son vagin. Sophie gémit sur la bite de Pierre qui ne ralentit toujours pas le rythme. Je force Sophie à écarter un peu plus les cuisses et à se redresser un peu. Elle n’a aucune idée de ce que je compte lui faire et cela la fait frémir un peu plus. Je m’allonge dans l’herbe et viens placer ma tête sous sa chatte. Je fais redescendre Sophie pour qu’elle s’assoie sur ma bouche grande ouverte. Ma langue pénètre son vagin comme une petite bite. Je la lèche aussi loin que je peux, j’appuie de toutes mes forces la pointe de ma langue sur ses parois vaginales. Sophie coule dans ma bouche. Elle est haletante, elle va bientôt être emportée par un orgasme. J’ai l’impression que Pierre n’est pas loin de jouir lui aussi. Je gifle subitement les fesses de Sophie qui pousse un cri étouffer en se redressant légèrement avant de retomber sur ma bouche. Je la claque une dizaine de fois pour notre plus grand plaisir à tous les trois.
— Putain, je vais jouir, Sophie ! Je vais tout envoyer au fond de ta bouche ! ARGH ! OUI ! PUTAIN !
Pierre explose au fond de la gorge de Sophie qui se met à aspirer tout ce qu’il lui envoie, ce qui a pour effet de le faire gémir un peu plus fort. Pierre finit par se figer, plongé en entier en elle. C’est à cet instant que Sophie est emportée par son orgasme. La bite de Pierre ne suffit pas à étouffer complètement ses gémissements et je la sens se lâcher dans ma bouche qu’elle remplit de mouille.
Pierre finit par la relâcher. Il fait quelques pas en arrière et se retrouve le cul par terre. Son orgasme lui a scié les jambes. Je profite de ce moment pour m’extraire de sous Sophie et venir prendre sa place. Encore étourdie par sa jouissance, elle n’a pas la force de faire quoi que ce soit et elle se retrouve avec ma bite dressée qui lime sa bouche. Il ne me faut qu’une dizaine de va-et-vient furieux avant de jouir à mon tour et de lui faire boire sa deuxième ration de sperme de la soirée.

Après ce premier round particulièrement jouissif, j’aide Sophie à se relever. Je l’invite à rentrer dans la maison d’une claque sonore sur ses fesses qui la fait pousser un petit cri et me lancer un coup d’œil mutin. Elle a aussi pour effet de tirer Pierre de sa torpeur et il nous suit dans la maison.
Pendant qu’ils vont s’installer dans notre salon, je vais à la cuisine pour prendre trois verres et la bouteille de champagne que Pierre nous a offerte. De retour dans le salon, je retrouve Sophie assise dans le fauteuil sous le regard dévorant de Pierre qui est sur la banquette à côté d’elle.
— Eh bien, Sophie, que fais-tu là ? Pourquoi négliges-tu ainsi notre hôte ?
Sophie me sourit légèrement avant de se lever et de se pencher au-dessus de Pierre ses seins à quelques centimètres de son visage et de se laisser tomber à côté de lui, ses jambes au-dessus de son sexe à moitié bandé. Je nous sers tous les trois avant de m’asseoir sur le fauteuil où était Sophie.

Nos verres vides je demande à Pierre s’il en reveut. Il me dit oui et je me lève pour le resservir. Il me regarde avec étonnement en me voyant ignorer son verre pour me rapprocher de Sophie.
— Cambre-toi, chérie. Pierre a soif.
Sophie m’obéit sans comprendre où je veux en venir. Elle pousse un léger gloussement quand elle sent le champagne couler sur ses seins. Lorsque j’arrête de verser, Pierre se jette sur elle. Il lèche chaque parcelle de sa poitrine, elle aspire ses tétons, tout ça sous les soupirs de Sophie. Quand il ne reste plus une trace de champagne, Pierre se relève le sourire aux lèvres. J’annonce à mon tour que j’ai soif et Sophie garde la pose pour une nouvelle inspection approfondie de sa poitrine.
— Délicieux, ce champagne.
— J’ai encore soif moi aussi, déclare Sophie.
— Ne t’en fais pas, il en reste de quoi boire deux fois.
Je verse une partie du fond de la bouteille sur ma verge sous les rires de Sophie. Une fois son « verre » servi, elle s’approche de moi et prend mon pénis à demi bandé en bouche. Elle m’aspire avec avidité avant de me recracher pour me lécher sur toute la longueur, sans oublier mes bourses. Quand elle en a fini avec moi, ma verge est fièrement dressée. Je tends la bouteille à Pierre qui se lève fièrement avant de finir le champagne sur son pénis tendu après le spectacle que nous venons de lui offrir. Comme pour moi, Sophie lui offre une fellation majestueuse qu’il commente comme dans le jardin avec de bruyantes exclamations. Visiblement fière de l’état dans lequel elle le met, Sophie le gratifie même d’une gorge profonde qui le fait hurler de bonheur.
Ce spectacle de ma femme faisant une fellation à un autre homme a le don d’entretenir mon érection.
— Allez, ça suffit, Sophie. Si tu continues, tu vas le faire cracher.
Sophie abandonne Pierre après une dernière visite de son gland au fond de sa gorge. Alors que Pierre est encore chancelant, Sophie retourne s’asseoir sur la banquette.
— Pierre, va vérifier si notre belle salope est prête à se faire baiser.
Comprenant mes attentes, Sophie s’allonge entièrement sur le canapé en écartant les cuisses. Sans hésiter un instant, Pierre se penche vers cette chatte déjà brillante de plaisir. Sophie ne le quitte pas des yeux alors que ses lèvres se posent sur les siennes. Il embrasse sa chatte avec tendresse, il dépose des baisers sur tout son pubis avant de s’arrêter sur son clitoris. Il le suce, l’aspire avec gourmandise jusqu’à ce qu’il soit bien dressé. Il reste un moment admiratif devant ce merveilleux spectacle avant de replonger dessus. Il le lèche, lui donne de légers coups de dent qui font gémir Sophie.
— Hum, c’est bon. Tu es doué avec ta langue, Pierre. Maintenant, fais-lui visiter mon vagin.
Pierre lui obéit sans attendre un instant et plonge sa langue en elle. Il la visite avec minutie, aspire toute la mouille qu’elle lui offre.
— Elle est prête ?
— Je pense.
Je me rapproche de Sophie et plonge sans ménagement deux doigts au fond de sa chatte, ce qui la fait pousser un violent gémissement.
— Hum, chaude et humide.
Je fais se redresser ma femme pour qu’elle soit assise et je tire sur ses fesses pour mettre sa chatte au bord de la banquette. Je lui écarte en grand les cuisses avant de présenter mon pénis à l’entrée de son vagin. Je la pénètre d’un coup sec et m’enfonce jusqu’à la garde. Je ressors aussitôt d’elle pour replonger avec la même force. Je lui donne une vingtaine de coups de bite avant d’abandonner ses cuisses et me tourner vers Pierre.
— À toi maintenant.
Pierre ne se fait pas prier et s’agenouille devant ma femme. Il tient sa verge dans une main et fait glisser le gland à l’entrée de sa chatte avant de l’enfoncer doucement. Pierre se montre tendre avec elle, il veut savourer cette première pénétration. Il plonge en elle très lentement pour la prendre en entier. Il fait ainsi une vingtaine de va-et-vient avant que je lui demande de laisser sa place. Une fois de plus, je la prends avec force. Le début de notre ballet de coups de reins a commencé. Nous nous relayons avec Pierre dans Sophie, retardant ainsi notre éjaculation pour bien profiter d’elle. De son côté, Sophie est au septième ciel, elle n’arrête pas de jouir, elle savoure avec délice ces deux différentes queues qui la pénètrent à un rythme différent.
Nous la baisons ainsi pendant de nombreuses minutes en variant les positions. Sophie est désormais en levrette sur le bord du canapé quand Pierre annonce qu’il va bientôt jouir.
— Vas-y, remplis-la, elle n’attend que ça.
Pierre referme ses mains sur les hanches de Sophie afin d’accélérer le rythme. L’arrivée de sa jouissance a levé ses barrières et il la prend avec force. Ses coups de reins résonnent dans tout le salon. Sophie est haletante, elle n’est pas loin de l’orgasme elle aussi. Malheureusement pour elle, Pierre se fige au fond de sa chatte. Il hurle comme un fou en éjaculant.
— PUTAIN ! OUI ! OUI ! OH, OUI SOPHIE, JE TE REMPLIE !
Pierre est haletant. Il se désaccouple mollement de Sophie. Sans hésiter un instant, je prends sa place, je me moque de plonger dans une chatte souiller de son sperme, je veux jouir et faire jouir ma femme. Je la prends comme un fou, je démonte sa chatte comme un dément sous les yeux exorbités de Pierre. Le plaisir de Sophie ne tarde pas à exploser et je la suis à mon tour.
— OUIIII, PATRICK !
— ARGH OUIII, SALOPE !
J’inonde un peu plus son vagin de sperme. Je reste en Sophie le temps que son orgasme soit terminé puis je me dégage. Pierre me rejoint immédiatement pour venir assister à ce spectacle ruisselant de nos spermes. Un jus que je ne veux pas voir perdre. Je m’agenouille derrière ma femme et fouille avec vigueur en plongeant deux doigts dans son vagin. Je récupère une bonne dose de nos foutres mélangés que je vais faire boire dans ma main à Sophie. Je la regarde se délecter de ce nectar pendant que Pierre la fouille à son tour. Je regarde avec plaisirs ma femme laper dans sa main.
— Une vraie chienne en train de boire le jus de ses maîtres. T’aimes ça, ma salope ? dis-je.
Sophie donne un dernier coup de langue dans la main de Pierre avant de lever des yeux de chienne en chaleur.
— Hum, j’ai l’impression que notre chienne a encore soif. Qu’est-ce que tu en penses, Pierre ?
— Je crois qu’elle va encore nous boire de nombreuses fois ce soir.
— Ce soir et demain. Tu restes dormir chez nous. Notre belle chienne doit se familiariser avec son nouveau maître.
Parfaitement entrée dans son rôle et y prenant un plaisir certain, Sophie nous regarde de ses yeux emplis de luxure en se léchant les lèvres.

Raconter en détail le reste de notre soirée et du lendemain serait facétieux et long. Tout ce qu’il faut en retenir c’est que nous avons baisé tous les trois dans toutes les pièces de la maison, sauf la chambre de notre fils, comme des animaux en rut. Devant ce déchaînement sexuel, Pierre n’a pas tardé à abandonner toute retenue pour se mettre à insulter et fesser ma femme pour son plus grand plaisir. Sophie a perdu pied, elle s’offre librement à son délire sexuel.
Pour dire au revoir à Pierre, elle l’accompagne jusqu’à sa voiture où il la tringle littéralement sur le capot. Elle prend un pied terrible à se faire prendre ainsi en pleine journée. Elle aurait ameuté tous nos voisins avec ses hurlements si Pierre ne l’embrassait pas avec tant d’avidité.
Elle finit par me rejoindre chancelante, les cuisses ruisselantes de sperme. Je la serre contre moi et nous saluons Pierre qui s’en va, convaincu que nous nous reverrons pour renouveler l’expérience.
Une prochaine rencontre que j’entends rendre encore plus mémorable. Tandis que je pelote les fesses de Sophie, je m’imagine déjà en train de prendre son pucelage anal sous les yeux de Pierre.

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