Apres avoir débarrassé la table et fait la vaisselle comme me l’avait demandé ma femme, elle me dit d’aller l’attendre dans le lit tout nu et les yeux fermés. Je monte donc à l’étage puis me déshabille, et me glisse sous les draps froids en attendant bien sagement l’arrivée de ma dulcinée. L’attente est un moment très excitant car je sais qu’elle va venir pour me donner du plaisir mais quand, comment, et ce petit sourire ravageur qu’elle m’a adressé avant de monter les marches fait que je bande comme un âne, a l’idée de l’imaginée entrain de se préparer pour une folle partie de jambe en l’air. Le temps me paru une éternité avant d’entendre la porte s’ouvrir, puis sans prévenir elle vira les draps, laissant apparaître mon corps recroquevillé en chair de poule au milieu du lit.
« A quatre pattes », je m’exécute.
« Ce soir tu n’as pas le droit de te toucher, pas le droit de me regarder et pas le droit de jouir sans mon autorisation »
Ouah, ca commence fort ce soir. Sa voix est très posée, très calme mais autoritaire et directive, ce qui augmente l’effet de soumission que ces paroles m’ont faites, et évidemment je suis encore plus au garde à vous, toujours à quatre pattes au milieu du lit.
Sa main se pose sur mes cotes, descend sur ma hanche avant de remonter très rapidement jusqu’à ma nuque qu’elle serre fermement me faisant pencher la tête dans les draps et me cambrer encore un peu plus.
« – Voilà, c’est comme ca que je veux te voir ce soir, disponible et soumis, prêt à me donner tout ce que je veux sans commentaire ou réticence de ta part. C’est compris ??
– Oui.
– Oui quoi, oui qui ??? Puisque que tu n’as pas l’air bavard je vais te faire parler moi ! Tu vas me dire ce que j’attends de toi, si tu réussi tu auras une récompenses, si tu rates une punition.
– Je dois être disponible et soumis, prêt a tout pour vous, madame.
– C’est bien tu comprends vite, je vais te montrer que si tu es bien sage, bien docile, tu auras des récompenses au delà de ce que tu peux imaginer d’accord? Je suis sur que tu vas adorer!! »
Nous avons l’habitude de jouer a ce genre de jeux, mais cette fois elle a l’air, plus sur d’elle, plus déterminée, et surtout plus dominante, et je me sens déjà a sa merci, prêt a tout pour la satisfaire, la contenter. Soudain je sens ses mains sur mes fesses, elles épousent parfaitement la rondeur de « mon p’tit » cul d’après ma femme, et s’insinuent entre mes deux lobes pour mieux les écarter et accéder a mon anus. Sa bouche se pose alors juste à coté de mon petit trou et commence à virevolter autour en faisant une multitude de baiser jusqu’à ce que je sente sa langue humidifier et jouer avec les plis de mon anus. Il est très rare que ma femme m’accorde cette caresse, et je ne peux retenir un couinement de satisfaction lorsque le bout de sa langue commence a cherché l’entrée de ma porte. Elle mouille abondamment mon anus avec sa salive, puis se retire et viens a hauteur de mon oreille pour me chuchoter :
« – Dis-moi ce que je veux entendre si tu veux que je continue à lécher ton p’tit cul !
– Je dois être disponible et soumis pour vous madame.
– Ah, non ce n’est pas tout a fait ca, mais fait attention tu n’as que deux tentatives a chaque fois que je te pose une question, et si tu ne réussi pas à me satisfaire tu iras passer le reste de la nuit tout seul dans la chambre d’ami sans te toucher, sans jouir et sans me regarder, pendant que moi je serai dans notre lit à me donner du plaisir avec nos godes. Alors? J’attends.
– …Je dois être disponible et soumis….prêt à tous vous donner, madame.
– Voila qui est mieux petit coquin. »
Et le contact salvateur de sa langue sur mon anus repris de plus belle, allant toujours plus loin à l’intérieur, et me dilatant petit a petit. Ensuite, je la senti bouger un peu puis plus rien jusqu’à ce que son doigt vienne remplacer sa langue, massant l’entrée de mon petit trou avec patience et tendresse, se retirant lorsque je cherchai à venir a la rencontre de son doigt. La tête toujours enfouie dans les draps je me permis de lui dire ce que je ressentais :
« – Oh madame c’est bon, j’aime quand vous vous occuper de moi comme ça.
– Je vois que tu aimes ça tu cherches à avaler mon doigt, mais c’est moi qui décide et c’est maintenant que je te le mets » dit elle en l’enfonçant en entier. Il y avait quelque chose de jubilatoire dans sa voix, le fait de maitriser complètement mes émotions et mon corps à sa guise avait l’air de la transcender.
« – Oui madame c’est bon, vous êtes trop bonne pour moi, je vous aime vous êtes ma déesse.
– Hum mais tu en veux tout de suite plus toi, hein? Tiens prend ça, avec deux doigts c’est meilleur ?
– Oui madame c’est meilleur, vous me faites vraiment du bien.
– Mais je le vois bien ta petite bite n’arrête pas de s’agiter quand je suis tout au fond comme ça !
– Oh oui. »
Et là en une fraction de seconde, plus aucun contact avec ma maitresse, alors que j’étais en plein pic de plaisir. Laissez-moi vous dire qu’à ce moment j’aurai fait n’importe quoi pouvant la faire revenir, j’étais comme en manque.
« – Alors comme ça, quand c’est meilleur tu oublies les consignes ? Eh bien alors tu vas me montrer ce que tu sais faire avec ta p’tite bite! Redresse-toi sur tes genoux. Allez branle toi maintenant. Tu aimes te branler ?
– Oui madame.
– Tant mieux parce que tu vas te branler juste devant moi pendant que je vais me donner du plaisir, mais interdiction de jouir sinon tu connais la sanction, n’est ce pas ?
– Oui madame, j’irai finir la nuit dans la chambre d’ami.
– C’est ça tout seul dans la chambre d’ami avec ta p’tite bite et ton p’tit cul tout vide pendant que moi je me mettrai des godes. D’ailleurs ouvre les yeux mais ne regarde pas mon visage et choisi le premier qui vas me faire jouir.
Humm il gros celui la hein, c’est autre chose que ta p’tite bite hein, tu l’as bien choisi il me rempli bien humm, toi tu pourras jamais me remplir autant, t’es juste bon a te branler devant ta femme, ou à prendre des godes dans le cul hein. Allez dis le.
– Oui madame, j’ai une petite bite et je ne peux que me branler devant vous. »
Autant vous dire que je commençais vraiment à être chaud comme la braise, et de voir ma femme se masturber devant moi avec un gode en me traitant de p’tite bite, était si excitant que je n’allai pas tenir longtemps. Mais je devais me contrôler pour ne pas jouir car même si j’aurai eu la trique toute la nuit dans la chambre d’ami, je préférai de loin être dans le lit conjugal aux ordres de ma femme et à ses petits soins. Elle caressait ses seins gonflés par le désir d’une main et jouait avec le gode de l’autre, parfois elle le ressortait et se caressait le clitoris avec en le faisant tapoter sur son sexe. Cherchant a toujours me rabaisser un peu plus elle m’ordonna de lécher le gode avant de le replonger dans son sexe, plusieurs fois de suite, elle faisait des commentaires sur moi et me disait :
« – Tu aimes sucer la bite qui va faire jouir ta femme, c’est bien lèche bien. Tu aimerais être a sa place hein, ou alors tu préfèrerais l’avoir dans le cul peut être ??
– Les deux, madame.
– Arrête de te branler tout de suite. Puisque tu veux la sentir tu vas te goder tout seul, allez vas y, montre moi que tu aimes avoir une bite dans le cul pendant que ta femme se fait jouir. »
Toujours à genoux sur le lit devant ma femme que je ne devais regarder, je faisais de lents et profonds va et viens à l’intérieur de mon fondement, la bite pointé vers le ciel, tandis qu’elle approchait de l’orgasme en se caressant frénétiquement l’entrejambe tout en me traitant de p’tite bite. Celui ci fut foudroyant, elle remua son bassin dans tous les sens comme si elle recevait des décharges électriques, et cria sa jouissance pendant au moins une minute. Quelques instants après elle rouvrit les yeux et me vit la contempler, alors elle se leva sur le lit et me dit :
« – Tu ne devais pas me regarder, et pourquoi as tu arrêté de te goder le cul ??? Tu n’es décidément pas très sage mais je vais te faire comprendre moi. Allez reprends ta position de soumis. Voila la tête dans les draps et le cul bien haut, c’est bien. »
Je sentis un peu de froid sur mon anus, puis quelque chose venir forcer l’entrée. Doucement mais surement cette chose continuait sa progression jusqu’à ce que je sente comme un disque appuyer sur mes fesses, ce qui me permit de reconnaître le plug que nous avions acheté il y a quelques temps. Une fois bien au fond, ma maitresse saisit mes couilles et les remonta tendrement vers mon anus, dévoilant ainsi ma bite.
« – Je vais te branler a fond, mais a chaque fois que tu sentiras la jouissance qui approche, tu me le diras le plus tard possible et je te laisserai là sans te toucher et sans avoir joui d’accord ?? Je veux que tu me dises ce que tu ressens ok ? Et ne t’avise pas de jouir sinon ….
– Oui madame. »
Et elle commença une branlette qui vu mon état d’excitation n’allait pas durer longtemps, si bien qu’au bout de quelques minutes je lui dis que j’allais bientôt jouir. Alors elle me laissa la sans aucun contact et sans bruit, j’étais comme fou, complètement frustrer je reculai mes fesses pour chercher le contact de sa main en l’implorant de me toucher, mais a la place d’une caresse, je pris une belle fessée qui claqua sur ma fesse droite et dans ma tête comme un coup de tonnerre.
Puis plus rien pendant une minute qui me parue une éternité, jusqu’ a ce qu’elle reprenne là où elle s était arrêtée, c’est à dire à me branler très énergiquement. Elle répéta ce jeu plusieurs fois, me rendant toujours un peu plus frustrer et avide de plaisir, sans oublier les commentaires coquins qu’elle faisait du style : Tu aimes te faire branler avec un gode dans le cul hein, tu voudrais que je te fasse jouir hein, mais ta bite ne m’intéresse pas, elle ne me sert à rien mon pauvre chéri, elle est trop petite !
Après au moins un quart d’heure de ce traitement, j’étais complètement a sa merci et je la vénérai, je lui disais qu’elle était ma reine, qu’elle pouvait faire de moi ce qu’elle voulait, je serai son jouet, qu’elle avait tout les droits sur moi etc… Dans ces moments là, je serai prêt à tout pour elle, mais réellement à tout faire, à tout dire, l’état de frustration dans lequel elle me laisse me rend comme affamé, avide de plaisir, ne répondant pulque aux pulsions qui se succèdent.
J’entendais dans sa voix tout le plaisir qu’elle prenait à contrôler mon excitation, puis sans prévenir elle commença à jouer avec le plug qui était toujours planter dans mon anus, elle me dilatait bien et s’amusait à le ressortir complètement pour le rentrer aussitôt jusqu’au bout. Après plusieurs passages elle commença à accélérer la cadence jusqu’à ce qu’elle me baise complètement, et rapidement me gratifiant toujours de petits mots qui me rappelaient ma place de soumis :
« – Tu aimes te faire enculer par ta femme hein, tu aimes les grosses bites hein dis le que tu aimes les grosses bites!
– Oui madame j’aime les grosses bites.
– C’est sur que vu la tienne, ca doit te faire rêver des grosses bites hein ?
– Oui madame c’est bon.
– Tu veux que je t’encule avec ma grosse bite ?
– Vous le faites déjà madame, et c’est vraiment trop bon !
– Ah non, là je te gode le cul mon petit chéri mais tu vas voir, je vais réellement te baiser, d’accord ? Je vais te baiser comme on baise une femme d’accord ? Tu vas bien sentir mon bassin qui claque sur ton cul, tu vas voir je suis sur que tu vas adorer !!! »
Alors elle retira le plug de mes fesses, me laissant une sensation de vide très frustrante, et surtout l’impression d’un courant d’air a l’intérieur de moi. J’étais comme en manque, il fallait que je sente quelque chose venir me remplir le fondement, j’étais assoiffé, affamé.
Après quelques minutes d’attente pendant lesquelles je miaulai ou la suppliai pour avoir droit a ses faveurs, je la sentie se pencher tout près de mon oreille pour me dire :
« – Je vais te baiser comme une femme, je vais te faire hurler de plaisir, mais si jamais tu jouis avant que je t’en ai donné l’ordre tu finiras la nuit tout seul dans la chambre d’amis pendant que tu m’entendras jouir sans arrêt d’accord ?
– Oui madame, mais s’il vous plait, prenez moi, s’il vous plait je vous en supplie je n’en peux plus, je veux me faire baiser !! »
Elle se plaça derrière moi, ses mains parcourait mon dos de mes fesses a ma nuque, me faisant frissonner de bonheur, puis elle plaqua son bassin contre mes fesses en s’accrochant a mes hanches et je senti alors son gros membre dans ma raie. C’était vraiment très excitant après toute ces attentes successives, d’avoir enfin le contact de son corps sur le mien, moi toujours a quatre pattes au milieu du lit et la tête dans les draps avec les yeux fermés. Je savourai cet instant, lorsqu’elle se décolla de moi et je la sentie prendre en main son sexe factice pour venir le tapoter contre le mien, c’était délicieux surtout quand elle a branlé les deux sexes en même temps, comparant au passage la taille de son sexe avec ma petite bite :
« Regarde la tienne tient presque dans ma main, alors que la mienne je ne la cache même pas avec mes deux mains ! Allez regarde un peu la différence, rend toi compte du petit bout que tu as comparé au gros que tu vas prendre dans les fesses. »
Je remontai un peu mes épaules la tête toujours vers le bas, ouvrit les yeux, et effectivement le spectacle était sans appel, avec mes boules qui tombaient sur ma bite elle paraissait encore plus petite que je ne l’imaginai a coté du sexe impérial de ma maitresse qui trônait fièrement a l’entrée de mon postérieur. Après toute ces frustrations et ces humiliations je me sentais vraiment inferieur, et cela renforçait mon attitude soumise et dévouée, ayant bien conscience que c’est elle qui dirigeait les opérations à sa guise, m’utilisant comme un jouet avec lequel elle peut tout faire pour son plaisir.
Perdu dans la contemplation de ses deux sexes, démesurément différents, je la vis prendre en main sa bite et pointé le gland contre mon anus sans appuyer. Son autre main posée sur ma hanche elle me dit :
« – Allez tu vas me montrer que tu as envie de cette bite mon petit chéri, tu vas t’empaler dessus tout seul comme un grand d’accord, mais je veux que tu la prenne en entier hein, tu poussera jusqu’à ce que tu sentes mon bassin et après, tu ne bouges plus c’est moi qui imprimerai la cadence que tu sois content ou pas, et n’oubli pas : pas le droit de te toucher pas le droit de jouir et pas le droit d’ouvrir les yeux sans ma permission sinon, tu dégages dans la chambre d’amis. C’est bien compris ?
– Oui madame.
– Allez vas y, voila, c’est bien. Oh mais tu es gourmand, tu as déjà pris tout le gland mon chéri. Allez continue sans t’arrêter, tu vas voir, tu vas l’aimer cette grosse bite.
– Oh oui madame, elle est grosse.
– Mais c’est ce qu’il te faut, hein ?
– Oui c’est ce qu’il me faut madame.
– Allez encore un petit effort tu en es déjà a la moitié, et puis tu aimes ca hein, j’en suis sur que tu aimes, ca ce voit a ta bite même si elle est petite je vois bien qu’elle réagi quand tu en prends un peu plus.
-Oui madame, c’est bon, oh… c’est bon, oui j’aime ca !!!
– Tu aimes quoi ?
– J’aime quand vous m’enculer madame, c’est trop bon !
– Mais non ce n’est pas moi qui t’encule, c’est ton p’tit cul qui viens a la rencontre de ma grosse bite. Mais tu vas voir quand elle sera bien au fond, là je vais te baiser comme tu aimes.
– Oh oui madame.
– C’est comment que tu aimes être baisé ?
– Bien a fond madame.
– Mais encore ?
– Par votre grosse bite madame.
– Ca je le sais déjà, allez quoi d’autre, je te rappelle que tu n’as droit qu’a deux réponses, alors applique toi, si tu ne veux pas que je te jette dans la chambre d’ami !
– Heu,…. Oh…..madame je vous sens…
– Alors maintenant que tu as tout pris, tu ne bouges plus, et si tu veux que je te baise, dis-moi comment tu aimes être baisé. »
A cet instant je crois bien que mon cerveau n’arrivait plus à réfléchir correctement, ma respiration était courte et rapide, mon cœur battait la chamade, j’avais chaud et j’entendais le sang taper dans mes tempes à toute allure. Ne sachant plus quoi dire et encore moins quoi faire, et ayant trop peur de briser cet instant, je restai là sans bouger à suffoquer. Ma femme du se rendre compte de ma détresse et n’étant pas sadique, mais jouant ce jeu pour notre plaisir a tout les deux, je la sentie se pencher sur mon dos et me susurrer a l’oreille :
« – Eh ben alors tu es perdu ?
– Je ne sais plus madame, je ne sais plus…
– Calme toi je vais t’aider, car moi je sais ce que tu aimes n’est ce pas ?
– Oui madame vous savez tout, vous êtes ma reine !!
– Ce que tu aimes c’est être baisé comme une ch….
– Comme une chienne madame. »
A peine ai-je eu le temps de finir ma phrase, que je senti sa bite commencée à sortir quasiment complètement pour rentrer aussitôt au plus profond de corps, me perforant littéralement, ce qui fis sauter les derniers verrous que je pouvais encore avoir.
« – Oh oui madame c’est bon de se faire baiser comme une chienne.
– Mais c’est ce que tu es n’est ce pas, une petite chienne qui adore prendre des coups de bites hein ?
– Oui madame, vous êtes trop bonnes, faites de moi ce que vous voulez, je vous appartiens…
– Allez prends ça, et ça, et ça !!! Tu l’aimes ma grosse bite elle te fait du bien hein, tu la sens bien ?
– Oui madame, encore plus fort, je la sens bien !!! »
Et accrochant ses deux mains a mes hanches, elle commença un torride va et viens, agrémenté de commentaires tout aussi torrides qui me faisaient fondre en larmes. Je n’arrivai plus à gérer tant de bonheur et de plaisir, si bien que je haletai sous les coups de butoir de ma femme qui ne se souciait visiblement pas de moi, mais du plaisir qu’elle avait à me prendre, à m’en faire pleurer de bonheur. Elle se déchaina ainsi à l’intérieur de mon cul durant de longues minutes, je ne me rappel plus très bien des propos qu’elle a pu tenir a ce moment là, mais se dont je me rappel ce sont ces derniers mots avant ma jouissance :
« – Allez p’tite bite maintenant tu peux te toucher, tu as trente secondes, pour te faire gicler et pas plus. 30, 29, 28, 27…
– Oh maitresse, c’est trop bon, maitresse,…maitresse…
– 24, 23, 22, allez salope, fait gicler ta p’tite bite pendant que ta femme te baise ! C’est ca que tu aimes hein, dis le !! 18, 17…
– Oui j’aime me faire baiser par ma femme, c’est trop bon. Oh…. oh…. oh ouiiiiiiiiiiii
– C’est bien petite chienne, allez fais couler ta p’tite bite, la mienne elle est dans ton p’tit cul de salope ! »
Terrassé par un orgasme comme je n’en avais jamais eu, je criai ma jouissance un long moment, pendant lequel je ne me rappel pas grand-chose. Au bout de quelques minutes, je senti ma femme se retirer de mon anus très lentement ; la sensation était partagée, d’un coté je n’avais vraiment pas envie que cette bite qui m’a donnée tant de plaisir se retire me laissant vide, et d’un autre il fallait que cette séance s’arrête sans quoi je risquai de tomber dans les pommes. Mais ma femme n’avait visiblement pas prévue d’en rester là, et une fois sortie de mes fesses elle me dit :
« – Oh mais tu as taché tous les draps avec ta p’tite bite, elle est petite mais elle a bien giclé ! Allez maintenant tu vas nettoyer les draps avec ta langue. »
Je restai à quatre pattes un peu surpris de sa demande et les yeux toujours fermés.
« – Eh oh, tu es sourd ou quoi, tu peux encore allez dans la chambre d’amis si tu n’es pas sage !
– Non madame s’il vous plait.
– Alors dépêche-toi, lèche ton sperme sur les draps et avale-le sans rien perdre.
– Oui madame. »
Je descendis alors doucement vers le lieu de mon éjaculation et tira la langue afin récupérer un peu de mon sperme, pendant que j’entendais ma femme se masturber.
« – Non pas comme ça je ne vois rien, allonge toi à plat ventre la tête sur le coté et lèche ! »
Cette situation avait vraiment l’air de l’exciter, alors je m’appliquai à faire de mon mieux pour que le spectacle la contente.
« -Voila c’est bien, allez lèche ton sperme, c’est bon ?
– Oui madame.
– Alors tu le boiras plus souvent dorénavant. Allez avale tout ton sperme p’tite bite ! »
Je pouvais l’imaginer juste devant moi, à quelques centimètres de mon visage se trouvait sa chatte qu’elle caressait frénétiquement, j’entendais le bruit de sa mouille signe que le spectacle que je lui donnai lui plaisait.
Une fois tout nettoyé elle me fit mettre sur le dos au milieu du lit, et vint se positionner à califourchon au dessus de mon visage, me disant d’une voix très exciter :
« Tire la langue et laisse moi faire. »
Je m’exécute et je sens la chaleur de son sexe se poser sur ma langue, elle se frotte sur mon visage, et je bois sa mouille qui est très abondante, preuve que ma soumission l’a autant excitée que moi. De mon coté malgré un orgasme ravageur je bande toujours aussi fort, et le fait d’être utiliser ainsi par femme, ne fait que renforcer cette situation.
Maintenant elle commence vraiment à se masturber sur tout mon visage, la pointe de mon nez s’écrasant contre son anus, tandis que ma langue titille son clitoris. Elle prend vraiment du plaisir à me dominer ainsi, et elle recommence a m’humilier :
« Alors p’tit bite, c’était bon de se faire démonter le cul ? Tu as aimé hein ? T’imagine si tu avais une grosse bite comme ça, tu pourrais me faire hurler, mais non je suis obligée de me frotter sur ta bouche pour jouir. Et en plus ça te fait bander ça hein ! Allez p’tite bite, branle toi, vas y, branle toi petit pd. T’aime te faire enculer hein, t’es qu’une salope et moi je suis ta reine ! Allez p’tite bite, je veux te voir gicler, sinon c’est fini je t’enculerai plus jamais. Allez, allez salope !!! »
Et à force d’humiliation et de me branler comme un fou je fini par jouir sur mon ventre en même temps que ma femme qui tomba sur moi en criant son bonheur ; la tète toujours coincé entre ses jambes je léchais le fruit de sa jouissance.
Après quelques minutes à rester sans bouger pour récupérer, ma femme vient se coller contre mon torse et m’embrasser tendrement, en remontant la couette sur nous pour une nuit de sommeil réparateur, a deux dans le lit conjugal.
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