Chapitre 2 : Je ne résiste pas !
– Marylou ! Mais c’est du porno que tu regarde !
Sans paraitre surprise elle me répond tranquillement :
– Il n’y a rien de bon à la télé, que des trucs à l’eau de rose. J’aime mieux un des pornos de maman.
Elle tourne sa tête vers moi et ajoute :
– T’inquiètes pas, tout va bien, Maman me permet de regarder ses DVD.
– Quoi ! Chantale te permet de regarder des films pornos? Dis-je incrédule.
– Il me semble que tu es encore trop jeune mademoiselle !
– Non je ne le suis pas ! m’assure-t-elle. J’ai la majorité sexuelle et on se gène pas avec les copines à branler la bite de notre petit ami.
Je reste muet devant de telles affirmations et elle rajoute :
– Téléphone à maman si tu ne me crois pas. D’ailleurs nous regardons assez souvent du porno ensemble!
Malgré ses paroles, Marylou descend du divan et retire le DVD du lecteur. La télévision revient à des programmes normaux et je respire mieux en poussant un soupir de soulagement quand ma nièce passe devant moi et monte à l’étage.
Assis sur le canapé et prenant ma tête dans mes mains je pense d’une façon égrillarde a ma nièce qui regarde des gens baiser à la télévision et je me demande si je dois prévenir sa mère de ce qui vient de se passer.
Je présume que Marylou est allée dans sa chambre, mais je découvre mon erreur lorsqu’elle revient dans la pièce avec un autre DVD.
Je l’a regarde avec un air étonné et la bouche ouverte et je la vois glisser le disque dans le lecteur.
Elle s’approche de moi et elle saute sur mes genoux en disant :
– Celui-ci c’est mon DVD préféré! Et j’aime bien me mettre sur tes genoux comme quand j’étais petite.
Avant que je prononce un mot, elle appuie sur le bouton play de la télécommande et elle se cale contre ma poitrine. Je suppose que le film a été piraté parce qu’il commence immédiatement sans aucun des titres d’ouverture normale ou publicités et quelques secondes après une très attrayante brune est entrain de sucer une belle bite.
Marylou me sort de la vision pornographique car elle se tortille sur ses cuisses pour se mettre à l’aise.
Je suis sûr qu’elle doit bien sentir ma queue en érection sous son petit cul et cognant sa main sur son genou elle laisse tomber la télécommande sur le sol.
– Ah, merde, dit-elle, en se penchant en avant pour la ramasser.
Ce mouvement soulève vers le haut sa courte jupe courte et son petit trou du cul rose est maintenant sous mes yeux écarquillés et émerveillés de la beauté de ses fesses.
En effet, mon adorable nièce n’a plus sa culotte et comme elle est pliée vers le bas, je peux admirer la fente et les lèvres gonflées de sa chatte.
Ramassant la télécommande, elle la jette sur le siège à côté de moi et se redresse. Elle se réinstalle sur mes cuisses en tortillant un peu des fesses et le dos reposant sur ma poitrine elle prend mes deux mains et les mets autour de sa taille.
– Voila, c’est bien mieux comme ça. dit-elle.
– C’est aussi comme ça que maman et moi on regarde un porno!
L’image de ma belle sœur et de sa fille regardant ensemble, du porno hard, combiné avec les pitreries de la jeune fille sur l’écran qui, maintenant, se fait baiser avec vigueur, n’arrange en rien mon érection que je ne peux contrôler.
Marylou continue à se tortiller sur moi, et elle se frotte maintenant sur ma bite complètement dure dans mon pantalon.
Ma queue en complète érection est maintenant entre ses jambes et ce n’est pas le mince tissu du jogging qui peu retenir son gonflement. Elle ne reste pas une seconde tranquille et murmure continuellement des « OOOOh » et « Aaaah », qui ne sont pas fait pour faire baisser ma tension.
Le film semble être divisé en histoires distinctes, et quand le gars qui baise la brune a retiré sa bite de sa chatte et pulvérisé son sperme sur tout son visage, Marylou glousse et se retourne pour me regarder :
– J’aime quand ils font ça, dit-elle avec bonheur. Je parie que cette crème blanche a bon goût parce que j’ai vu beaucoup de filles la manger et l’avaler.
J’avale ma salive et indépendamment de ma volonté j’acquiesce en hochant de la tête et ma nièce se retourne vers l’écran.
Le film passe au noir avec un dégradé et quelques secondes plus tard, l’histoire suivante commence. C’est une version plus lente car le film commence sur une superbe fille blonde entrain de faire bronzette à côté d’une piscine avec personne d’autre en vue. Elle ne porte que le bas d’un bikini et ses mamelons sont déjà bien pointés sur de belles rondeurs et la caméra zoom sur elles. Elle gémit doucement quand sa main glisse sous le tissu du bikini et caresse les lèvres de sa fente encore cachée.
Marylou saute d’un seul coup de mes jambes et dit :
– Je vais chercher un soda. Tu en veux un?
Tout ce qui pourrait faire baisser ma température est le bienvenu, et je hoche la tête avec impatience. Lorsqu’elle se précipite vers la cuisine, je regarde l’énorme bosse sous mon jogging et je vois une tache d’humidité a l’avant de ce grand renflement. Je sais que je suis très excité, mais je suis quand même surpris par l’ampleur de la tache et posant mon doigt sur elle je sens que ça colle sur ma peau et que ce n’est donc pas une fuite de ma part.
Approchant mon doigt sous mon nez j’ai la confirmation que c’est le jus de Marylou et j’en frissonne à cette pensée. Quand Marylou revient, avec une canette de soda dans chaque main, ses yeux se portent immédiatement sur la tache sombre sur mon pantalon.
Elle n’a aucun doute sur la cause du désordre et elle me regarde en disant :
– Désolé mon oncle, je crois bien que je suis responsable de cela. Mais tu l’es aussi un peu car, quand je suis assise sur les cuisses de maman, elle n’a pas un gros machin qui frotte entre mes fesses.
Comme un imbécile heureux je l’a rassure que tout va bien et que ce n’est pas trop grave. Marylou sourit et baissant sa voix elle me dit :
– Tu ne le diras pas à maman, mais je préfère être assise sur tes cuisses avec ta grosse bosse au milieu!
Elle prend une serviette en papier sur la table basse et je me raidis lorsque ses doigts essayent de frotter la tache. Le fait qu’elle frotte également ses doigts au-dessus du nœud sensible de ma bite me fait gémir et elle rit franchement avec bonheur.
Elle murmure:
– Tu as une bite bien dure, comme l’homme que l’on voit dans le film.
Je lève la tète et je vois que la blonde est maintenant assise à califourchon sur les genoux d’un homme et qu’elle fait monter et descendre son cul sur un énorme braquemart enfoncé dans sa chatte.
Regardant à nouveau ma petite cochonne de nièce, je l’a vois tirer mon l’élastique de mon jogging et ses doigts farfouillent à l’intérieur.
Comme je ne porte pas de sous-vêtements, mon effrontée de nièce peut palper et surtout voir mes attributs et je reste impuissant à arrêter sa main toute chaude et ses doigts qui entourent ma queue bien raide. Pas satisfaite de voir et de toucher juste ma bite, Marylou descend autant qu’elle le peut le devant de mon jogging et coince la ceinture sous mes couilles.
Devant ma bite impressionnante Marylou se lèche ses lèvres et son petit cœur bat sauvagement. La colonne d’acier, massive et,de presque 20 cm, se redresse à la verticale et elle regarde les yeux brillant cette chose magnifique en caressant chaque partie de cette surface chaude pour les graver dans sa mémoire.
Maintenant je suis convaincu que c’est une vraie salope qui doit aimer le sexe !
Néanmoins je m’efforce encore à corriger cette situation plus que délicate pour moi!
– Marylou, tu ne dois pas te comporter ainsi. S’il te plaît… arrête… je suis ton oncle…je t’aime et je……
Je ne sais plus quoi dire. J’ajoute quand même :
– nous ne dirons rien à ta maman de ce qui s’est passé. Ce sera notre secret, mais arrête de me provoquer !
Ma coquine de nièce ne me répond pas et malgré moi je gémis quand ses doigts commencent à me caresser d’une façon plus explicite.
– Marylou … et sans conviction… s’il te plaît arrête de faire ça… t’es trop jeune pour jouer à la petite pute… et je suis ton oncle, ce n’est pas raisonnable…. Tu dois arrêter. Lâche mon sexe.
Ma voix n’est qu’un murmure et mes mains ne font rien, pour stopper cette jeune l****a, quand je regarde la main de ma trop jolie nièce sur ma bite.
Et ensuite, au fond de moi, c’est une énorme déception lorsque Marylou sourit en me regardant et me dit:
– Bon … oncle Dany, je retire ma main…
Elle retire son emprise sur ma bite et je ferme les yeux en reposant ma tête sur le dos du divan, pensant que l’incident est clos.
Je me trompe lourdement et j’ouvre grand mes yeux lorsque Marylou saute sur mes genoux. Cette fois-ci, elle est face à moi et ses genoux de chaque coté de mes cuisses. J’ouvre la bouche pour protester, mais tout ce qui sort de ma gorge est un fort gémissement quand je sens la fente humide de cette dévergondée toucher l’extrémité de ma queue.
Malgré qu’un petit démon en moi me pousse à la laisser faire, j’articule dans un souffle :
– Aaah non, Marylou, on ne peut pas faire ça !
Et ma nièce avec un petit sourire répond :
– Ce n’est pas agréable… ? Oncle Dany.
Ses hanches basculent en arrière et en avant et je peux sentir son jus coulé sur la tête de ma bite. je sens également une pré-jouissance au bout de mon gland ajoutant ainsi de la crème à la cyprine de sa chatte.
La sensation, de cette jeune chatte contre ma queue est merveilleuse et je retiens désespérément mon envie de soulever l’avant de sa jupe pour regarder ce spectacle érotique au diable.
Bien que maintenant je sais que Marylou ne j’opposerai pas a ce geste je crois encore naïvement que cela n’ira pas plus loin et que je ne dois rien faire pour l’encourager. Je me rappelle qu’elle a utilisé mes doigts sur sa chatte le jour de mon arrivée, et j’espère qu’après avoir frotté sa chatte grande ouverte sur sa bite, elle cessera d’elle-même encore une fois quand elle aura pris son plaisir.
Avec cette pensée en tète, j’essaye frénétiquement d’en ignorer une autre qui me suggère de la prendre par les épaules et pour appuyer dessus et faire entrer mon sexe dans sa petite chatte d’amour.
C’est tellement bizarre d’avoir une moitié de mon cerveau qui pense comme un ange et l’autre moitié comme un démon qui dit doucement :
– Vas-y, baise là!
Marylou arrête le va et vient de ses hanches et sent bien que mon gland presse directement le milieu de son sexe. Son visage change brutalement d’expression, et voyant son expression je crains le pire et en gémissant je dis:
– Mon Dieu, non… Loulou…
Inconsciemment j’utilise le diminutif que j’utilisais lorsqu’elle était petite fille.
– Loulou…ne fait pas ça mon bébé. Ne fais surtout pas ça… arrête… on n’a pas le droit.
Retrouvant son sourire l’adolescente Marylou me répond comme précédemment :
– Chut… t’es pas bien… oncle Dany, » dit-elle.
Et toujours en me souriant et en mordillant sa lèvre inférieure elle augmente la pression de sa chatte sur sa bite.
Mes yeux se portent entre ses cuisses et comme la jupette est remontée très haut, je peux admirer les lèvres de sa petite chatte qui entourent le bout de queue complètement plaquée sur sa chatte.
Je ne peux m’empêcher de gémir bruyamment de nouveau et je ferme les yeux. Ce n’est pas cette vision des plus érotique qui va m’aider à résister aux avances de ma nièce d’autant que celle-ci ne fais rien pour.
Elle accentue la pression sur ma queue bouillante comme si elle veut tester ma résistance à la douceur des lèvres de sa chatte.
Une seconde plus tard, elle appuie aussi fort qu’elle le peut, et je sens comme une piqure lorsque les grandes lèvres s’écartent, puis c’est au tour des petite lèvres, et enfin mon gland pénètre dans ce puits d’amour extrêmement brulant et serré.
Marylou pousse un cri de triomphe et elle reste immobile pendant quelques secondes pour savourer la sensation d’avoir une vraie et grosse bite au fond de sa chatte d’adolescente.
Lorsque je réalise que ma bite l’a pénétrée, j’halète :
– Stop Marylou, maintenant il faut te retirer. S’il te plaît ma chérie… retire toi.
Avant même qu’elle ouvre sa bouche pour répondre, il savait ce qu’elle allait dire.
– C’n’est pas bien… ? Oncle chéri…
Voila qu’on se donne mutuellement des chéris !
Bien sur, cette adorable petite garce n’a pas l’intention d’obéir et elle le sait, tout comme moi, que je peux facilement me retirer moi-même si j’en avais la volonté.
Avec un lent basculant de ses hanches, mon amour de nièce permet à ma queue de pénétrer millimètre par millimètre dans son étroit conduit et je reste impuissant à lui résister.
Elle a au moins 15 cm de ma bite à l’intérieur de son corps quand elle soulève vers le haut le bas de sa jupe et qu’elle regarde comment nous sommes encastrés l’un dans l’autre. Moi aussi je regarde un des spectacles les plus pornographiques que je n’ai encore jamais vu, et j’ai la bouche sèche.
Mon phallus en pleine érection est couvert de son jus, et je vois un petit filet de cette substance gluante et collante courir vers le bas de ma bite et sur mes couilles.
Je peux aussi sentir mon pré-sperme qui suinte du bout de mon gland, mais il n’y a pas moyen d’arrêter tous ces écoulements et je réalise que Marylou doit être trempée. Levant ma tète je vois Marylou qui me fixe avec un regard extatique et brûlant de désir vraiment très excitant.
Je suis quand même étonné qu’une jeune fille de son âge, et qui plus est ma nièce, peut être aussi précoce et excitée par ce qu’elle fait.
Elle reprend le mouvement de balancement de ses hanches et avale encore un peu plus loin ma grosse bite dans son trou bouillant.
Sa fente est tellement écartelée autour de mon pieu pour accueillir le diamètre de ma bite que s’en est presque obscène, mais elle continue ses mouvements jusqu’à ce qu’elle prenne encore quelques centimètres de plus dans son corps et je sens maintenant que j’arrive au fond du trou et que mon gland frappe l’utérus de mon amour de petite salope de nièce.
La partie Ange de mon moi intérieur essaye une dernière fois de mettre un terme à cette folle chevauchée et regardant ma nièce dans les yeux je lui dis doucement :
– Arrête… Marylou. Nous ne pouvons pas faire çà… je t’aime trop mon bébé d’amour!
Mais vraiment sans conviction.
– Tu n’es vraiment pas bien…. oncle chéri…
répond-elle comme je m’en doutais et, je baisse les armes et j’accepte ma défaite.
Et le démon qui est en moi se lâche ! Regardant fixement ma trop sexy nièce je cri :
– baise-moi ma petite salope. Frotte ta chatte brulante sur ma bite… monte et descend sur mon pieu… jusqu’à ce que je te fasse hurler de plaisir et que je te remplisse de ma crème d’amour.
Souriante jusqu’aux oreilles, Marylou dit:
– Bien… a tes ordres… oncle Dany.
Ma l****a déclenche elle-même la cavalcade sur ma queue, elle se soulève jusqu’à ce que ma bite soit presque hors de sa chatte et soupirant de plaisir elle redescend lentement pour profiter pleinement de la pénétration de cette belle queue en elle.
En répétant ses mouvements, progressivement elle accélère jusqu’à ce qu’elle me baise avec un rythme très rapide. On entend tous les deux les bruits de frottements et de clapotis à l’intérieur de sa chatte et elle n’arrête pas de geindre doucement.
– Ça va, ma louloute …?
– Ouiiiiii…haaa…c’est gros dans ma chatte… ta queue, elle est énorme, je la sens dans mon ventre, mais qu’est ce que c’est bon, ça frotte partout, c’est booooonnnn …..
Tandis que je la laisse se faire du bien, je sens bien que ma nièce étant tellement serrée que je ne vais pas pouvoir tenir très longtemps avant que j’envoie toute ma sauce.
Appuyant ma main sur son ventre plat, je sonde la partie supérieure de sa fente avec mon doigt et je m’étonne que son clitoris soit si facile à trouver.
Très dur et complètement hors de son fourreau, le bourgeon sensible est glissant avec son jus et elle gémit plus fort sous mes doigts qui frottent son clitoris.
En quelques secondes, mon amour de nièce gémie continuellement et elle regarde vers le bas ce que font ses doigts.
L’excitation la submerge lui arrachant de petits cris, mais son plaisir s’amplifie aussi.
Elle ne s’arrête pas de rebondir pour encore bien sentir ma queue qui va et vient dans son corps, jusqu’à sa jouissance qui explose profondément à l’intérieur de celui ci.
Elle crie, tremble violemment quand mon sperme gicle dans sa chatte en feu et un terrible orgasme la terrasse.
La pression sur ma bite bien profondément enfoncée dans son trou a augmenté son plaisir vicieux et je sers mes dents quand mon foutre sort de ma queue et gicle dans la chatte de Marylou. Quatre jets puissants s’écrasent dans cette petite chatte de jeune fille et sont suivi d’un certain nombre moins important avant que mes couilles soient vides.
Affalé sur le canapé et haletant après cette jouissance et tout à coup très effrayé par les conséquences de ce que je viens de faire, je tiens néanmoins toujours Marylou bien droite sur ma queue qui ne débande pas et elle continue de jouir en laissant son corps vibré du plaisir qu’elle prend sur la bite de son oncle.
Après qu’elle a récupéré et que sa chatte ne vibre plus, elle ouvre les yeux, et elle semble être très heureuse de rester assise sur ma queue qui commence à ramollir, mais je me décide et doucement je la soulève et la pose par terre.
Elle regarde les longs filets brillant de sperme qui coulent de sa chatte et prend cette crème sur son doigt et le met dans sa bouche en aspirant. Elle laisse le jus s’écouler sur ses papilles gustatives, un sourire apparait sur son visage et elle dit :
– Huumm, c’est bon. Je savais bien que ce serait bon! J’aime le gout de ton sirop de corps d’homme, mon tonton d’amour !
Assis devant-elle je vois sa chatte restée ouverte et légèrement meurtrie. Je mets mes mains sur mes yeux et je ne me sens pas très bien car ma culpabilité se fait sentir dans le creux de mon estomac et je ne peux plus supporter de regarder ma nièce. Je voudrais maintenant d’une façon ou d’une autre remonter le temps, mais au lieu de ça, Marylou me tapote gentiment le bras et dit :
– C’était vachement bon, hein… oncle Dany ? Tu aimes les petites salopes comme moi…?
Je prends une profonde inspiration et regarde mon adorable nièce. La jupe de Marylou est retombée et cache maintenant son sexe, et elle ressemble à une adolescente normale ce qui me rend encore plus conscient de ce que je viens de faire.
– Nous n’aurions pas du faire ça Marylou, dits-je, en secouant la tête. Je suis désole. Tellement désolé…
– Oui… nous aurions dû… A-t-elle corrigé en enlevant volontairement la négation.
– Mais c’était vraiment cool. Tu n’as pas apprécié que je me transforme en petite salope à Tonton?
– Peu importe si j’ai aimé ça ou pas, dis-je avec patience, et avec le ton qu’un adulte utilise pour assoir son autorité :
– C’est très mal, et nous serions tous les deux dans un beau pétrin si ta mère apprend ce que nous avons fait !
– Pourquoi…Puisque nous ne dirons rien à personne.
Répond ma nièce avec son plus beau sourire.
Je pousse un énorme soupir de soulagement, mais Marylou veux toujours une réponse à sa question initiale.
Me regardant attentivement, elle me demande à nouveau,
– Répond moi mon oncle. As-tu apprécié cette baise avec moi?
– Oui, Marylou, J’ai beaucoup apprécié, vraiment !
Satisfait, mon amour de nièce me sourit et m’embrasse tendrement sur lèvres puis se lève en disant :
– Je crois bien qu’il faut que je prenne un bain maintenant ! Je t’aime tonton chéri…
Je reste là, plongé dans mes pensées. Je viens de baiser ma nièce. L’histoire se répète, mais avec sa mère nous n’avons pas, à l’époque, commis irréparable !
Par contre, quand il n’y avait personne dans la maison je ne me gênais pas de la regarder dans son bain et même de le prendre ensemble…
Dois-je aller aider Marylou à prendre son bain ?
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