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SHERAZADE AU SAUNA

SHERAZADE AU SAUNA



L’après midi est déjà bien entamée. Je propose à Sherazade de la raccompagner et de la retrouver plus tard pour souper. Elle en est ravie. Je vous laisse imaginer ce que j’en pense.
Rendez vous est pris pour dix neuf heures.

Croyez-moi, je suis à l’heure, propre, douché, rasé et tout le tintouin.
Elle arrive avec un bon quart d’heure de retard.
Comment lui en vouloir, même si je commençais à désespérer.
Elle porte des escarpins très provocateurs, lacés haut sur la cheville. Bas noirs et tailleur blanc.
Humm ! À mon avis une fois au restaurant, inutile de lui demander de se mettre à l’aise et de retirer sa veste. Il ne doit pas y avoir grand-chose dessous et lorsqu’elle se penche pour s’installer dans la voiture, ce que je vois prouve que j’ai raison.
Bon sang, comme elle sent bon. Ses cheveux ont eu droit à un bon lavage et elle les a bouclés en de grandes et belles anglaises. Une fois de plus je la trouve sublime et éclatante de beauté.
Son entrée dans le restaurant ne laisse pas de marbre les hommes présents. D’ailleurs, certain se font discrètement engueuler par leurs épouses ou leurs maitresses.
Bien qu’elle rougisse encore un peu, elle semble être un peu plus à l’aise avec moi, maintenant.
Tout cela ne l’empêche pas d’être parfois ingérable et incorrigible. Comme quand se pauvre serveur vient prendre notre commande et qu’elle se penche outrageusement pour ouvrir le décolleté de sa veste. Le malheureux passe par toutes les couleurs. Et elle de me dire ensuite, rougissante :
« Vous avez vus, je crois bien qu’il bandait ! Hummm ! Je l’aurais bien sucé, moi !»
Il s’en est fallut de peu que je m’étrangle.
La soirée se passe bien, même si elle reluque tous les types. Nous parlons de tout, de rien, de sexe aussi.
Lorsque le serveur m’apporte l’addition, elle fixe son regard sur l’entre jambe du garçon. Du coup, je crois bien que c’est moi qui rougis.
« Sherazade, tu n’as pas honte !? »
« Si, mais je me soigne ! »
Nous éclatons de rire et sortons du restaurant.
« Bon ! Il est peut être temps que je te reconduise. J’espère que tu es satisfaite de ta journée et que nous nous reverrons ? »
« Heuu ! Oui, bien sur, mais… »
« Mais quoi ? »
« Il n’est que… Il n’est que minuit, et… »
« Et ?…Et tu n’a pas envie de rentrer ! Ok ! Qu’aimerais-tu faire ? Danser ?»
J’ai appris le langage de ses joues, de son visage, de son corps et je devine que telle n’est pas son attente.
« Non, j’aimerais… »
« Allons ! Nous sommes amis maintenant, non ? Tu peux me parler sans crainte, tu le sais ? »
« Oui, c’est vrais. Et bien, j’aimerais…J’aimerais…Comme cet après midi, quoi ! »
Je me gratte la tête en faisant une petite grimace et je ne peux m’empêcher de lui dire :
« Encore ? »
Elle me tourne le dos et s’en va d’un pas décidé. Je la ratt**** et la prend par le bras.
« Allons, jeune fille ! Il ne faut pas te vexer comme ça ! Je ne pensais qu’à ta santé, tu sais ? »
« Ma santé physique autant que morale ne passe que par ça. Vous comprenez maintenant ma tourmente permanente, mes petits amis qui s’enfuient, ma vie pourrie ? »
Elle éclate en sanglot. Son désarroi me touche.
Je la serre très fort contre moi pour la consoler et malgré son chagrin, je la sens appuyer son bas ventre au mien.
Son corps fin et ferme contre le mien, me transmet sa chaleur et me rend vulnérable et irrationnel.
« Très bien ! Suis-moi ! »
Je m’attendais à un flot de questions concernant notre destination, mais elle se contente de sécher ses larmes et me suit sans rien dire.

Un petit quart d’heure de voiture et nous voilà devant le guichet d’un sauna du quinzième arrondissement. Vétuste et pas très bien tenu, il n’est pas trop cher, mais en revanche je suis sur d’y trouver ce que nous cherchons…Un maximum d’hommes.
« Avec une cabine, s’il vous plait. »
Le type encaisse les yeux rivés sur un petit téléviseur ou est diffusé un combat de catch. Il me tend deux peignoirs, deux serviettes et une clef accrochée à une ficelle, sans même nous regarder.
Le porte clef indique le numéro douze.
Nous pénétrons dans un couloir étroit et mal éclairé. Sur la gauche, deux autres couloirs finissant en cul de sac, encore plus étroit et encore plus sombre.
Des hommes en peignoirs trainent, nous dévisageant, ou plutôt, dévisagent Sherazade qui une fois de plus a baissée la tête.
Certains n’hésitent pas à porter une main à leur sexe, pour nous signifier leur plaisir de nous voir dans ces murs.
J’entraine mon impétueuse timide dans le premier cul de sac, à la recherche de la cabine numéro douze. Sans succès.
Un vieil homme, petit, chauve, édenté mais souriant, dans un peignoir deux fois trop grand pour lui, nous accoste.
« Quel numéro ? Hein ! Quel numéro ? »
Il m’arrache presque la clef des mains. Ca fait pouffer de rire Sherazade.
« C’est par là ! C’est l’autre allée ! Venez ! Venez ! »
Nous suivons notre guide improvisé qui nous conduit à l’autre couloir vers la porte du fond, entre une rangée d’hommes de plus en plus nombreux et curieux.
« C’est ici le douze ! Dites, je vous ai aidé ! Je peux entrer ? Hein ? Je peux entrer ? »
Je lui prends la clef, ouvre la porte, pousse Sherazade à l’intérieur et me débat pour laisser ce p’tit homme à l’extérieur.
Pour la première fois, j’entend ma belle, rire aux éclats. Son rire est franc, clair comme ses yeux.
« Mais c’est qui ca ? Hihi ! On est ou? Hihi ! »
Je la prends dans mes bras.
« Tu es belle quand tu ris. »
Dans un léger vermillon, elle me répond en plongeant ses grands yeux dans les miens.
« Je ne ris que quand je suis bien. »
Une fois de plus ondulant son bassin avec force contre le mien, elle mange ma bouche avec gourmandise, pour mon plus grand bonheur.
La cabine est grande. Sol et mur en moquette d’un pourpre fatigué, tout comme les couloirs que nous venons de traverser. Une grande banquette de simili cuir rouge, est posée contre le mur. Seul luxe, un grand miroir ou l’on peut se voir en pied, éclairé par une ampoule de soixante watts, pas plus.
« Où sommes-nous Jean ? »
« Dans un petit paradis pour gentille Sherazade. Voilà où nous sommes. »
Elle sursaute.
Des bruits étranges se font entendre du mur qui prolonge la porte. Elle s’en approche.
« Jean ! Regardez ! Le mur est plein de trous ! »
« Tu vas vite comprendre. Haha ! »
Tandis qu’elle s’interroge, je me déshabille et m’installe sur la banquette.
Elle est tellement interrogative qu’elle n’y a même pas fait attention.
Soudain, d’un des orifices surgit un sexe dressé. Puis un autre et un autre.
« Cela se nomme « gloryhole ». Ca te plaît ? »
Question débile. Elle est déjà accroupie à déguster un des membres alors qu’elle en masturbe deux autres.
Tous les orifices sont pris, soit huit sexes qui attendent le bon vouloir de la belle.
Je trouve intéressant de la laisser s’amuser un peu. En moins de cinq minutes elle a déjà savouré et dégusté deux hommes. Je pourrais tout aussi bien la laisser là et la reprendre demain matin. Mais j’ai d’autres projets pour elle.
Je l’att**** par le bras pour la relever.
« Ho non ! Encore un ! Encore un ! »
« Du calme belle enfant ! La nuit ne fait que commencer ! »
Elle découvre ma nudité et se jette à mon cou. Ses baisers ont le gout de l’amour dont elle vient de se délecter. Lorsque je la sens prête à autre chose, je la tourne face au mur.
« Que vois-tu ? »
« Humm ! De belles queues, dures, chaudes, rien que pour moi ! »
« Haha ! Oui, bien sur ! Mais encore ? »
« Des trous plus haut, pleins de trous ! »
« Oui, Sherazade, des trous et autant d’yeux qui te regardent. »
Crédule, elle s’approche d’un trou et bondit en arrière.
« Ho ! Ho mon dieu ! »
« Quoi ? »
« Y a un œil ! Y a un type qui nous regarde ! »
« Hahaha ! Tu es formidable toi ! Je t’adore ! Que dirais-tu de te déshabiller ? »
Sans rien dire, elle recule un peu pour être visible de chaque trou. Ses yeux se rivent sur les sexes tendus et baveux. Puis tout en passant sa langue sur ses lèvres elle commence à ôter les boutons de sa veste.
« As-tu déjà fais un striptease ? »
« Sûrement pas, je suis bien trop timide ! »
« Et bien pourtant, là, tu en fais un et je te trouve plutôt douée. »
« Là, c’est facile. Je ne les vois pas. Je chauffe juste des queues anonymes.»
Je ris en silence pour ne pas la troubler d’avantage.
Le dernier bouton ôté, elle fait glisser sa veste qui tombe à terre.
Ses seins fiers, se dressent vers le mur.
Je vois un sexe jouir seul et disparaitre ensuite, pour être remplacé instantanément par un autre, plus gros, plus fort.
Sherazade se penche et ramasse du foutre encore chaud du bout de son doigt qu’elle porte ensuite à ses lèvres.
Des exclamations, des acclamations et des mugissements traversent le mur devant ce geste.
La salope ! Timide peut être, mais un talent certain pour rendre les hommes fous.
Tout en ondulant doucement, elle passe ses mains dans le dos et descend lentement la fermeture éclair de sa jupe.
Tout comme la veste, elle finie au sol.
Pas de string. Je m’en doutais. Ses jambes et son cul habillés par les bas et les jarretelles sont encore plus appétissants.
Elle se tourne lentement et me fais désormais face. Surprise ! Elle a rasé son minou de près. J’en suis troublé, mais ravis.
Elle est en transe. Elle serre ses seins dans ses mains, mord ses lèvres et a les yeux fermés.
Elle se penche en avant et recule doucement vers le mur de bites bandées. Une d’elles touche sa cuisse. Elle se place et appuis ses fesses dessus.
A la petite grimace qu’elle fait, je devine qu’au moins le gland la pénètre. Mais les coups de cul violents qu’elle donne contre le mur laissent à penser qu’elle en a beaucoup plus en elle.
Elle ouvre la bouche et gémie de plaisir, mais je ne veux pas qu’elle soit souillée de suite.
Je la tire doucement pour la désolidariser du sexe.
Elle tombe à genoux et le regard qu’elle me lance est rempli de reproche et d’incompréhension.
« Pas maintenant ma belle, pas maintenant ! Fini de te déshabiller. »
Elle souffle, se relève et face au mur, retire bas et porte jarretelle.
Des deux peignoirs, l’un est court. Je lui laisse et m’enveloppe dans l’autre. Il lui va bien et met ses jambes en valeur.
J’ouvre la porte pour sortir de la cabine. Le couloir est remplit d’hommes plus ou moins excités. Je ne peux pas leurs en vouloir. J’essaie tout de même de calmer leurs ardeurs au grand mécontentement de ma brune qui caresse en passant chaque sexe qui se présentent sous ses mains. Incorrigible nympho!

« Aller ! Calme-toi. Viens, je vais te faire visiter. »
« Vous êtes déjà venu ici ? »
« Oui, il y a bien longtemps de ça. »
Je lui montre les toilettes, les douches, les deux pièces de sauna et nous descendons au sous sol. Partout cette même moquette pisseuse et passée. Une forte odeur de vieux foutre embaume tous les recoins du lieu. Elle m’en fait la réflexion.
« Hum ! Ca sent quoi ? »
« L’amour ma chérie ! L’amour ! »
« Humm ! C’est enivrant ! J’adore ! »
En bas de l’escalier nous débouchons sur une grande salle de style bistro. Tables de bar et banquettes un peu partout. Au centre une grande table ronde avec des chaises tout autour et un bar qui n’a pas vu de bouteilles et de verres depuis très longtemps.
Je lui fais visiter les salles de détentes avec des matelas simili cuir en plein centre, le tout, murs et couchages, rouge, bien sûr.
Des hommes nous suivent espérant un arrêt dans une des pièces. Je la vois se prendre plusieurs mains au cul, plus ou moins discrètement.
Il me reste un endroit à lui montrer.
Nous contournons une petite estrade ou se trouve un cheval d’arçon usé et deux vélos d’appartement qui ont perdu leurs selles.
Nous y voilà enfin !

Je pousse une porte vitrée. Nous entrons dans un espace aménagé comme une salle de cinéma miniature. Quatre rangées de dix fauteuils et en guise d’écran, un vieux téléviseur qui diffuse un film porno.
Nous nous installons au centre de la rangée du fond.
Les types nous suivent et se placent un peu partout.
Je fais comme si ils n’étaient pas là et enveloppe Sherazade de mon bras. Elle pose sa tête sur mon épaule et regarde le film avec attention.
« Tu aimes les films porno ? »
« Oui…Mais je préfère le faire, mais vous ne voulez pas. »
« Bien sur que si, mais ne trouve tu pas amusant d’exciter ces hommes avant ? Regarde comme ils te désirent ! Ils n’en peuvent plus ! »
Elle tourne ses grands yeux de chat vers moi emplit de concupiscence.
« Moi non plus ! Je n’en peux plus ! »
Elle le dit avec tellement de tendresse dans la voix que je refuse de la faire attendre plus longtemps.
De ma main libre, je défais le nœud de son peignoir que j’écarte doucement.
Son corps fait tache vive dans la salle obscure et en une fraction de seconde, nous sommes submergé par une foule d’hommes, peignoirs ouverts et sexes érigés.
Je dégage ses épaules en faisant glisser le peignoir dans son dos. La voilà offerte, livrée à sa propre folie.
Une pluie de mains couvre déjà son corps, ses seins, ses cuisses et son joli vagin bien propre. Des doigts pénètrent sa bouche. Elle les lèche avec avidité.
Le petit vieux est près d’elle et s’exclame :
« Haaa ! Je viens ! Je jouii ! »
Un jet translucide et liquide vient arroser le bras de la petite.
La chaleur du pauvre liquide qui n’est plus sperme depuis longtemps, réveille chez elle des envies de jus bouillant. Elle se lève et se débarrasse de son peignoir. Elle att**** deux queues au hasard qu’elle masturbe comme une folle.
Elle se penche un peu pour inviter un doigt à pénétrer son anus, alors que sa chatte est déjà écartelée et envahie par nombres de doigts fouilleurs.
Ses seins et ses tétons sont pressés, tirés, tordus et commencent à rougir. Mais rien ne peut arrêter cette fille.
Je m’écarte pour la libérer totalement. A cet instant, il n’y a plus de timidité, plus de raisons, plus de limites non plus. Elle est elle, elle est une. Bombe anatomique prête à épuiser tous ceux qui la touchent.
Elle vide une à une les bourses qui l’entourent par de savantes masturbations et parfois même par un simple regard lubrique ou un baiser gourmand.
Le bas de son corps est couvert de sauce grasse et gluante jusqu’à la ceinture.
Elle se laisse tomber à genoux et ajoute sa bouche à ses armes destructrices.
Entre branles et aspirations forcenées, ses seins, ses épaules, son dos ressemblent désormais au reste du corps. Gluant et gras.
Bien sûr son visage et ses cheveux ont été également largement arrosés, sa chevelure sombre et bouclée ayant beaucoup servie à essuyer les membres vides.
Impossible de lui remettre son peignoir. Je le prends sur mon bras. J’att**** sa main, la relève et la sors de la salle.

C’est une poupée souillée, dégoulinante, spermée de la tête aux pieds qui traverse le bistrot, entre les tables.
De longs filets pendent de son menton et de ses seins. Elle tente de les arrêter de sa main, mais ne fait qu’empirer la situation.
Ce n’est plus que l’ombre d’elle-même. La honte et la timidité l’on rattrapé au grand galop et c’est le visage baissée qu’elle atteint les douches sous les regards pervers et satisfait des hommes qui l’entourent encore.
Je retire mon peignoir et me glisse sous la douche avec elle. Je m’en occupe. Patiemment, avec un bout de savon trouvé par terre, je la nettoie, faisant disparaitre peu à peu les traces outrancières.
Gentiment le petit vieux nous apporte un flacon de shampoing. Je lave ses cheveux, les sèchent sommairement et je peux enfin lui remettre son peignoir. Je fais signe discrètement aux hommes encore massés à la porte des douches, de nous laisser. Ce qu’ils font et ils se dispersent.
Elle est très belle, cheveux mouillés. Même sans maquillage, elle conserve son incontestable beauté royale et divine.
Comme pour me remercier, elle me gratifie d’un de ses baisers magiques. De ceux qui vous font fondre.
« Comment te sens-tu ? »
« Honteuse mais propre. Hihi ! Mes jambes tremblent comme des feuilles. »
« Viens, descendons nous assoir. »
Nous choisissons une table entourée de banquettes dans un petit recoin tranquille.
« J’aimerai bien pouvoir me désaltérer. »
« Je peux aller te chercher une boisson à la caisse. Tu veux ? »
« Ho oui, volontiers. C’est très gentil. Merci. »
« Ok ! Tu n’a rien à craindre, personne ne viendra t’embêter. »
Elle me fait un petit signe de la tête et je remonte à notre cabine prendre de l’argent.
Je bataille un moment avec le gérant qui veut me vendre une canette au prix d’une bouteille de champagne. Je fini par l’obtenir pour le double de sa valeur. Voleur !

Je redescends fier tout de même d’avoir quelque chose de frais à boire.
« Et voilà pour toi ! »
Mais je reste scotché sur place par le tableau qui s’offre à moi.
Elle est allongée sur la table, les jambes hautes perchées sur les épaules d’un jeune type qui la besogne sans vergogne. Son peignoir est grand ouvert et deux hommes lui sucent et lui lèchent les seins, tandis qu’elle les branle. Un quatrième est accroupi au dessus de son visage et lui baise la bouche.
Visiblement, sa fureur sexuelle ne s’éteint jamais.
Je suis tout de même furieux après ses hommes qui ont bien dût la chercher un peu.
Mais le petit vieux les défends avec véhémence.
« Faut pas leurs en vouloir monsieur. Cette fille a le diable au corps si ce n’est pas le diable lui-même. A peine étiez vous monté, qu’elle s’est installée debout au bout de la table. Elle a ouvert son peignoir et elle s’est mise à se branler comme une démente.
Les pauvres gars. Ce ne sont que des hommes. Que voulez-vous y faire ? On peut rien contre les démons ! »
Elle se fait prendre par plusieurs hommes, devant, derrière, sans même s’apercevoir que je suis là, ma canette à la main, comme un con.
Les commissures de ses lèvres laissent échapper du foutre qui coule de nouveau dans ses cheveux.
Sa chatte, son cul, dégueulent à gros bouillons des jus mélangés de ses amants d’un soir.
Je me sens bizarre. Frustré. Abandonné.

Elle se laisse entrainer dans une salle de relaxation par deux hommes, suivit par dix autres au moins, mateurs et baiseurs réunis pour finir cette fantastique nuit.
Pour eux du moins car moi, je crois bien que j’en souffre terriblement.
Je ne peux résister au besoin d’aller voir ce qu’il se passe.
A quatre pattes, elle se fait remplir par les trois trous. Elle est à nouveau couverte de foutre qui coule dans ses cheveux, sur ses hanches, ses bras, ses joues.
Un type se retire de l’antre baveux.
« Vous la voulez ? »
Si je la veux ? Evidemment que je la veux. J’ai besoin de cracher ma colère, mon amour, ma déception. Les sentiments se mélangent dans ma tête.
Je m’installe derrière elle. Je suis certain qu’elle ignore que le membre qui pénètre cette accumulation poisseuse et sirupeuse, m’appartient.
Je laisse éclater mon exaspération et claque à tour de bras les fesses secouées par mes assauts.
Surprise par cette brutalité, elle se retourne et m’aperçoit.
Et là, il se passe une chose incroyable et impensable.
Elle jouit !
Pas une petite jouissance de bazar. Non ! Une jouissance d’exception comme il en arrive rarement.
Elle pousse un cri déchirant tout en basculant sa tête en arrière.
Elle s’écroule sur ses avant bras et hurle de nouveau.
La voir ainsi me rend fou et accélère ma libération.
« Je viens !! Je viens salope ! Haaaaa ! Ouiiiiiiii ! »
Elle me répond et explose.
« Ouiiiiiiiii ! »
Son vagin émet un son étrange, mélange de succion , puis un jet puissant et incontrôlé s’en échappe, éclaboussant mes couilles, mes cuisses, chassant quantité de foutre qui était encore prisonnier de son ventre.
Nous nous effondrons, l’un sur l’autre.
Essoufflée, radieuse semble t’il, elle me chuchote :
« J’ai joui ! Jean ! J’ai joui ! »
« Oui ma Sherazade, tu as joui. »
Ses yeux se mouillent et de m’avouer :
« Oh c’était si bon ! »

Un haut parleur annonce la fermeture de l’établissement dans une demi-heure.
Nous remontons vers les douches.
Plus de savons. Nous nous lavons mutuellement avec le reste du shampoing puis nous retournons dans la cabine pour nous rhabiller.
Je la regarde discrètement remettre ses bas. Son regard a changé. Elle semble fatiguée bien sur, mais je la sens épanouie, différente, joyeuse, heureuse peut-être.
Avant de partir elle désire se rendre aux toilettes. Alors qu’en l’attendant je regarde ma mine défaite dans un miroir, je l’entends soudainement, éclater de rire.
« Hahaha ! Jean ! Regardez ça ! Hahaha ! »
Elle ouvre la porte et je la vois debout, jambes écartées de part et d’autre de la lunette. Elle me désigne son minou. Il bave et coule encore de semences masculine, en longs filets.
« Haha ! Je suis tellement pleine que ça va couler toute la nuit. Haha ! »
J’éclate de rire aussi.

Durant le trajet de retour, elle ne cesse de parler. Une vraie pipelette. Elle rit, me raconte des souvenirs d’enfance, des anecdotes de la vie courante. Plus de trace de timidité ou de honte.
Je fais des tours et des détours. Je n’ai pas envi de la laisser. J’ai peur de la perdre. Pourtant, lorsque arrivés devant chez elle, elle me dit :
« Vous montez prendre un café ? »
« Non ! C’est mieux ainsi, crois moi. »
« Pourquoi ? Je ne vous plais plus ? »
« Bien sur que si, jolie idiote. »
Elle se met à genoux sur son siège, passe ses mains derrière ma nuque qu’elle caresse tendrement. Elle approche lentement son visage du mien. Je me noie dans l’eau de son regard. Ses lèvres frôlent les miennes puis glissent jusqu’à mon oreille.
Elle chuchote.
« Ne m’abandonnez pas. S’il vous plaît ! Ne m’abandonnez pas ! »

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HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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