À chaque année il y avait la traversée de la gaspésie à ski de fond fin février. Quelques personnalités publiques y participant dont Pascale Bussières, Sophie Faucher, Élise Guilbault, Isabelle Richer etc etc etc. et deux nouvelles présidentes d’honneurs en l’ancienne première ministre Pauline Marois et la journaliste d’actualité Manon Dumais. Cette dernière avait aussi été engagée pour couvrir les activités de cette fameuse traversée de gens particulièrement fortunés (3000$ à l’entré). J’étais un des accompagnateurs du groupe d’environ quatre-vingts-dix personnes visant à leurs donner mon aide durant le trajet. Un groupe composé à 65% de femmes environ âgés de 40 ans et plus pour la plupart. Craignant à prime abord de devoir m’occuper avec plus d’attention des deux nouvelles venues n’étant pas les plus sveltes. Pauline étant âgée de 68 ans et Manon de 49 ans visiblement de classe débutante en terme de ski de fond. Quand même impressionné par leurs rendements les voyant avancer à bonne vitesse ayant le souffle un peu court par contre. Claudine l’instigatrice du projet m’ayant donné comme mission de leurs tenir compagnie les sachant moins à l’aises dans ses conditions hivernales. Discutant avec les deux dames tout le long du trajet apercevant quelques caribous au loin et quelques oiseaux migrateurs au ciel. Les montagnes couvertes de neiges dans la splendeur de forêts vastes et denses. Arrivant au gîte du mont Albert lieu de notre première nuitée.
Les deux femmes d’un intellects hors du commun toujours hyper intéressantes logeant dans une chambre du gîte. Deux chalets à notre dispositions moi logeant dans un avec plusieurs comparses la soirée tout en musique se produisant. Le groupe au complet s’y présentant avec de la musique traditionnelle québecoise et de l’alcool pour réchauffer nos coeurs. Discutant pendant une bonne partie de la soirée avec Sophie Faucher et Élise Guilbault toutes les deux du double de mon âge (28 ans, 5 pieds 6, 156 livres, yeux pers, cheveux châtains avec une carrure athlétique). Sophie brunettes aux yeux bruns de 59 ans avec une poitrine moyenne mesurant 5 pieds 8 environ. Élise blonde aux yeux bruns de 56 ans. Mesurant 5 pieds 7 étant très longiligne avec une petite poitrine. J’avais l’impression qu’elles voulaient s’envoyer en l’air toutes les deux habillées de façon assez sexy. Elise portant un manteau de laine assortie d’un chandail léger noirs puis d’un pantalon beige. Sophie portant une camisole et une brassière noires assortie d’un pantalon léger de couleur bourgogne. Cette dernière étant en couple avec quelqu’un que je pourrais qualifier de fade. Élise célibataire et visiblement en manque. Les deux portant un parfum subtil et doux s’imprégnant à la perfection de leurs personnalités. Mentionnant que Claudine leurs avaient promis de la chair fraîche citant mon nom. Réalisant pour une première fois que la traversée était peut-être aussi une traversée assujettie aux plaisirs libertins. Les deux dames m’amenant à leur chambre pour apparemment discuter. Exprimant leurs désirs de se faire assouvirent dans les minutes se déshabillant. Venant pénétrer Élise en premier enlevant son pantalon et sa petite culotte blanche aussitôt le feu passant au vert.
Les deux femmes voulant se faire prendre rapidement entreprenant Élise dans la position de la levrette. Voulant du sexe rapide et de courte durée éjaculant dans sa bouche après un bref huit minutes d’assouvissement. Élise était super chaude et la pointe de ses petits seins durcie délicat au touchée. Exprimant des oui c’est bon Sophie nous observant tout près en se caressant lentement l’entrejambe toujours en sous vêtement. Sa chatte en feu était quand même assez serrée avec un pubis taillé long à l’intérieur rosé mouillé. Poussant quelques râles en s’agrippant à la couverture du lit son fessier cambré vers le haut. Empoignant à sa demande ses deux poignets dirigés vers l’arrière au bas de son dos en augmentant ma cadence. Lui donnant un bel orgasme la madame visiblement habituée à se faire saillir ainsi. Profitant de ma jeunesse y allant droit au but sans interruption. Gémissant voyant ses orteils se tordre sous ses mouvements de bustier. Ne lui donnant aucun répit ne reprenant que très peu son souffle durant l’ébat à présent terminé. Une femme mature de nature douce, chaude et ferme comme je les aimes. Allant se doucher aussitôt pour ensuite m’occuper de Sophie déjà nue dans le lit les deux jambes bien ouvertes.
Elle parlait beaucoup m’exigeant de lui téter les seins avec gourmandises. Vibrant mon bassin avec force la madame en chaleur haletant déjà. Exprimant un lèche moi la chatte ayant tout d’abord perçu une pénétration vaginale plutôt sèche de son côté voulant être stimulée davantage. M’appliquant à lui bouffer l’entrejambe comme il le fallait la madame gémissant aussitôt. Y insérant deux doigts délicatement durant l’acte faisant ressortir quelques hummmm de sa bouche de façon très convaincante. Exprimant un aller bourre moi maintenant de façon vive et sèche l’empalant de ma tige. Sophie jouissant aussitôt en plantant ses talons aux creux de mes hanches exprimant un Ouiiii c’est bonnnnn Hummmmmm Ouiiiii. Éjaculant rapidement en elle au bout de cinq minutes Sophie empoignant mon fessier fermement de ses mains le griffant même. Goûtant ses seins à nouveau en humectant son cou délicat pour ensuite le lui lécher. Une odeur de femme particulièrement enivrante me donnant le goût de la saillir à nouveau. Me traitant de petit cochon je pourrais être ta mère en venant m’embrasser sur la joue. Mon érection revenue Sophie en profitant pour me chevaucher cette fois ci. La madame bougeant son bassin en vitesse pour me faire éjaculer au bout de quatre minutes. Le vacarme le plus imposant vécu des trois assouvissements terminé par une délicieuse fellation. Sophie goûtant mes semences avalant le tout ne le faisant pas habituellement. M’exigeant d’aller me doucher aussitôt pour regagner mon logis au chalet. Étant des personnalités connues ne voulant être assujetties à des rumeurs à leurs égards.
Me disant que ce n’était que parti remise pour l’instant. M’avouant avoir apprécier la fougue de ma jeunesse. Voulant reproduire l’événement à nouveau durant la semaine.
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