Je suis Cindy, une jeune fille de dix-sept ans, habitant une petite commune en Bretagne. Je suis au lycée et dans le cadre de mes études, j’ai un petit stage à faire en entreprise.
Un lundi matin, au cours du mois de mars, je me rends donc pour trois semaines dans une petite agence immobilière à quelques kilomètres de chez moi. Dans cette agence, travaille trois personnes : le patron, un homme de cinquante ans environ ; une salariée, la petite quarantaine, dynamique et accessible ; et enfin un salarié de vingt-neuf ans, beau gosse, propre sur lui, souriant.
Au fil des jours, je discute de plus en plus avec Mathieu, cet homme toujours souriant, qui est d’ailleurs mon maître de stage. Il m’apprend beaucoup de choses au travail et après quelques conversations, on se rend compte qu’il est le cousin de l’une de mes meilleures copines, Angel.
Après deux semaines de stage à discuter énormément mais sans aucune ambiguïté pour ma part, il m’appelle le samedi soir, vers vingt-deux heures, sur mon portable. Ne comprenant pas la raison de cet appel, je décroche en espérant ne pas avoir fait une boulette au boulot.
Au téléphone, j’entends tout d’abord la musique à fond derrière lui. Il parle fort, se présente pensant que je n’avais pas enregistré son numéro. Puis il me dit qu’il fait une soirée chez lui et qu’Angel y est. Il m’appelle pour me proposer de les rejoindre.
Toujours aussi surprise par ce coup de téléphone tardif, je ne me démonte pas et accepte sa proposition. Il me donne son adresse et m’explique comment m’y rendre. Je m’habille correctement et fais la route en scooter. Arrivée à l’adresse qu’il m’a donné, il y a ni voitures, ni musique, ni ambiance festive… Je l’appelle pour le prévenir que je suis devant chez lui mais qu’il n’y a personne.
Il ouvre sa porte d’entrée, souriant comme d’habitude et me fait signe de me garer. Je m’exécute, enlève mon casque et marche vers lui en lui demandant si tout le monde est finalement déjà parti. Il me répond qu’il prenait juste l’apéro avec trois potes et qu’en leur parlant de moi, il a eu envie de m’inviter à boire un verre pour discuter ensemble en dehors du cadre du travail.
Je lui demande pourquoi il y avait de la musique à fond, pourquoi il m’a dit qu’Angel était chez lui… Il me répond en toute franchise que c’était pour que j’ose venir chez lui, car sans cela il savait très bien que j’aurais décliné sa proposition (et il a raison). Il me propose d’entrer, je suis intimidée, surprise, je ne bouge pas, j’hésite. Il me dit de ne pas m’inquiéter, que pour Angel il ne m’a menti qu’à moitié car elle doit passer dans la soirée.
Après un instant de réflexion, je me dis donc que je ne risque rien à boire un verre, tant qu’à m’être déplacée jusque chez lui. Je m’assois sur son canapé, mal à l’aise. Il arrive avec une bouteille de blanc, nous sert un verre et s’assois sur le fauteuil en face de moi. On commence à parler, du boulot d’abord puis de tout et de rien ensuite. Très vite, je suis davantage à l’aise, il faut dire que je ne suis pas longue à boire mon petit verre de blanc, le second descendant tout aussi vite.
Après une heure et demie, et commençant à sentir l’alcool monter, je lui demande ce que fabrique Angel. Il me répond qu’il ne sait pas et qu’il va lui envoyer un message pour voir où elle en est. En allant chercher la deuxième bouteille de blanc, il allume la musique et commence à faire quelques pas de danse histoire de me détendre encore.
Je le regarde donc, il est vêtu d’un jean noir et d’une chemise blanche, classe, beaucoup déboutonné je trouve. Je vois bien le haut de son torse, plutôt musclé et apparemment épilé. Il est en chaussettes noires, ses pieds glissent sur le carrelage quand il danse. Puis il revient évidemment s’assoir, mais cette fois non plus dans le fauteuil, mais sur le canapé, près de moi.
Il me sert un autre verre de blanc, je le vois me regarder de la tête aux pieds, s’arrêtant un instant sur mon décolleté, dont il devait avoir une vue dégagée. En effet, je mesure 1m66 et lui doit faire dans les 1m80 environ. Assis donc tout près de moi, avec le débardeur que je porte, il a une vue plongeante dans mon soutif.
Je fais du 85C et il semble apprécier ce qu’il voit car il me propose de nous lever pour danser un peu. On fait un peu les gamins puis je me lâche un peu trop, avec l’alcool. Il le savait, il l’espérait. Jeune et naïve, je me déhanche et bouge comme j’aime le faire au rythme de la musique. Lui se contente de faire le minimum, bougeant à peine et me relookant désormais sans aucune gêne.
Pour terminer, après plusieurs minutes, il vient se coller derrière moi et bouge son bassin au rythme du mien, son sexe tendu contre mes fesses et ses mains se baladant sur mes hanches, mon ventre. Je décide d’aller me rassoir et il me suit.
Nous recommençons à boire du blanc en discutant. Cela dure un moment et on rigole beaucoup. Ceci dit, toujours pas de nouvelles d’Angel et je suis en scooter. Je commence à appréhender car je ne me vois pas appeler mes parents à cette heure-ci et dans cet état.
Il est une heure du matin, nous avons terminé la deuxième bouteille de blanc et je m’apprête à partir quand il se lève en me proposant avec insistance un dernier verre. Je fini par accepter et il me ramène une liqueur de poire.
Je sais qu’il cherche à me saouler, car il m’encourage à boire vite mon verre. De plus, il est vraiment collé à moi et me regarde sans cesse, ne se gênant pas pour regarder mes seins, mes fesses. Je fini mon verre et lui dis que je vais rentrer. Il me dit d’attendre un peu que l’alcool que je viens de boire redescende car mon dernier verre était un alcool très fort.
Les minutes passent et il est de plus en plus proche. Il a un bras autour de mes épaules, l’autre commence à me caresser un peu le bras, la main… Il continue de me parler de tout et de rien. Je le regarde et j’avoue que je le trouve beau. Je me laisse faire, sans bouger. Je continue de parler comme si je ne vois pas ce qu’il fait.
Il me prend la main et me lève du canapé, me sert dans ses bras et danse un slow, collé à moi. Je sens encore son sexe tendu, cette fois contre mon bas ventre. Cela m’émoustille, je suis en train de mouiller mon string.
Après quelques minutes de slow, il m’embrasse dans le cou, je suis excitée, je le laisse faire. Il le fait très bien. Puis il m’embrasse à pleines lèvres, avec assurance et virilité. On cesse de danser et on continue de s’embrasser, de se toucher, debout, au milieu du salon.
Il m’allonge sur son canapé et pose lui juste un genou dessus, entre mes jambes. Il est sur moi, m’embrasse et me tient les bras. Il place désormais sa tête dans mon décolleté, embrasse le dessus de mes seins avec passion puis mets ses mains sur mon ventre, sous mon débardeur et commence à le soulever.
Ses mains empoignent mon soutif, il sert fort mes seins. Je décide de ne pas faire la timide et tellement excitée (entre autres par l’alcool sans aucun doute), je mets ma main sur son entrejambe et touche son sexe à travers son pantalon.
Son sexe est toujours aussi tendu, je le caresse un peu. Sa réaction ne s’est pas fait attendre puisque dans la minute, complètement excité, il enlève son pantalon et son boxer, ainsi que mon débardeur et mon soutif.
Il est allongé sur moi, nous nous embrassons à pleine bouche, il déboutonne mon jean et baisse ma braguette. Il me demande la permission et m’enlève mon pantalon. Je suis donc en string sur son canapé, allongée sur le dos.
Son sexe est à l’entrée du mien, je sens sa queue appuyer contre mon string. C’est alors qu’il embrasse mes seins, mon ventre, puis mes cuisses, juste en dessous de mon string. Je le sais, je suis trempée. Il embrasse mon pubis en la baissant, puis le haut de mon clitoris et un coup de langue sur mes lèvres en me la retirant.
Je lui enlève sa chemise, nous sommes nus l’un sur l’autre. Il me demande si je prends la pilule. Je lui fais un signe de la tête pour le lui confirmer. On s’embrasse, son sexe est dur, au-dessus de mon ventre, sans le toucher. Il est allongé sur moi mais tient sur ses coudes, il regarde énormément mes seins avec envie.
Après quelques minutes de tension, il se baisse et longe mon corps pour mettre sa tête entre mes jambes. Sa langue joue entre mes lèvres, avant de venir titiller mon clitoris. Pendant qu’il s’en occupe, il place deux doigts dans ma chatte humide. Je gémis sous les lents allers-retours de ses doigts contrastant avec le rythme rapide de sa langue qui tourne autour du clitoris sans relâche jusqu’à que je jouisse après une quinzaine de minutes de bonheur.
Je reprends ma respiration quelques secondes, son regard ne quitte pas mes seins et ses mains les empoignent toujours aussi fermement. Je décide de le retourner et de passer au-dessus de lui. Je l’embrasse un peu avant de descendre à mon tour, je découvre là un sexe de très belle taille. Un calibre que je ne connais pas encore, il doit faire dix-huit centimètres à vue d’œil.
Bien décidée à lui montrer de quoi je suis capable, je prends d’abord ses boules en bouche, l’une après l’autre puis les lèche du bout de la langue. Je remonte ensuite le long de son long sexe très dur, je le lèche de bas en haut puis de haut en bas pendant deux à trois minutes avant de prendre son gland en bouche.
Je prends ensuite bien plus que son gland et peut-être grâce à l’alcool, je me lâche sans problème. Je prends le maximum de son sexe en bouche et même très vite, au fond de ma gorge. Il gémit fort, pousse un peu sur ma tête avec ses mains pour m’encourager à en prendre toujours plus, et plus longtemps. Après quelques minutes, il se met debout et me dirige pour m’assoir sur le canapé. J’ai le visage devant son sexe, je le prends en bouche et il fait lui-même des allers-retours très rapides avant de me laisser à nouveau prendre le contrôle.
Après lui aussi une quinzaine de minutes de gâterie, il m’allonge sur le canapé, sur le côté, face au dossier et vient se placer derrière moi. Il positionne son sexe à l’entrée du mien et me prend en cuillère. Je sens son sexe élargir un peu ma chatte, dans cette position malgré ma chatte trempée j’ai quand même un peu mal par les brutaux qu’il me met.
Cela ne dure que trois ou quatre minutes dans cette position mais il était temps que cela s’arrête tant ma chatte est trop étroite pour l’accueillir ainsi. Il sort et me met sur le dos, il me prend en missionnaire, mes jambes sur ses épaules. Il me pénètre très profondément mais dans cette position, les sensations sont meilleures. Je prends beaucoup de plaisir et je crie sous cette pénétration brutale mais très agréable. Seuls les coups vraiment trop forts me font mal tant il vient loin en moi.
Cela dure peut-être dix minutes, avant que je décide de le retourner à mon tour et de lui monter dessus. J’ai un peu mal en m’empalant dessus mais après seulement quelques minutes à me déchaîner comme une folle sur sa bite, j’atteins l’orgasme. Je suis face à lui, ses mains sur mes hanches, trempée, ma cyprine coule même un peu sur mes cuisses.
Il n’est pas long à me retourner, il est sur moi, bouge à peine son bassin mais déjà je commence à gémir de plaisir à nouveau. Viennent quelques coups espacés, mais pendant lesquels il sort presque entièrement son sexe avant de le remettre entièrement en moi à chaque coup de rein. Puis il me retourne, me met sur le ventre et soulève mes fesses pour me mettre à quatre pattes. Il me prend en levrette, assez tendrement, je prends du plaisir mais la position nous fait un peu galérer sur le canapé jusqu’à qu’il se mette plus ou moins debout, me prenant comme une chienne, avec des coups très, très forts. Je hurle, c’est si bon !
Il se met ensuite debout et me tourne face au dossier, il me prend ainsi, en levrette. Ma tête cogne plusieurs fois contre le dossier tant il me démonte. Je fini par atteindre une nouvelle fois un orgasme brutal avant de l’entendre à son tour jouir dans un râle très fort. Je sens plusieurs giclées en moi. Nous sommes épuisés, il est trois heures du matin. Il s’allonge sur moi, je sens son sexe diminuer petit à petit.
Il me propose ensuite de monter dans sa chambre. J’accepte et je m’endors très vite. Le lendemain matin, je me réveille après lui. Nous nous saluons et je refais la soirée dans ma tête. Je suis en string et soutif mais mes vêtements sont toujours en bas, sur son canapé. Je lui dis timidement que je vais rentrer chez moi et me lève du lit terriblement mal à l’aise.
En arrivant en bas, je m’habille vite et fuis son regard. Lui est toujours souriant, en boxer et t-shirt. Il me propose de prendre un café avec lui, ce que je décline poliment. Je rentre chez moi et passe une partie de mon dimanche au lit.
La semaine suivante, la dernière de mon stage, nous nous sommes très bien entendus. Quelques mains aux fesses, des tentatives de suçons quand nous étions seulement tous les deux mais rien d’autre.
Depuis, on s’est croisé plusieurs fois dans la rue, en boîte, au bar, et nous entendons toujours très bien. Il m’a proposé quelques mois après cette fameuse nuit de sortir avec lui, ce que j’ai refusé par rapport à la différence d’âge et a ensuite plusieurs fois envoyé un message pour prendre des nouvelles.
Désormais, nous nous saluons quand on se croise et discutons un peu, il s’est marié et a deux enfants. De mon côté, cette nuit reste comme l’un de mes meilleurs souvenirs sexe.
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