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un rëve de cocu

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Voici un rêve que j’ai fait qui m’a fortement troublé.
Ma femme et moi venions d’avoir notre séance de soins relaxants et massages, et nous sortions de nos douches respectives. Tous les deux, nous nous retrouvions dans le couloir avec pour seul habit un peignoir de coton blanc. Nous échangions un regard complice et un petit baiser. Nous entrâmes dans un grand vestiaire. Sur notre gauche se trouvait une rangée de casiers et sur notre droite au centre se trouvait un énorme pouf, suffisamment grand pour accueillir au moins cinq personnes. Nous nous dirigions vers le pouf et nous nous y installâmes l’un à côté de l’autre. Le pouf était confortable et nous étions pratiquement allongés. Heureusement que nos peignoir étaient correctement ceinturés.
Nous nous tenions l’un à côté de l’autre, nos mains tendrement enlacées. Je commençais doucement à somnoler. Je susurrai à l’oreille de ma femme que peut être nous devrions retourner dans notre chambre pour profiter un peu de ce temps de tranquillité. Mais la torpeur me gagna. Dans un demi-rêve, entre veille et conscience, je vis un homme entrer dans le vestiaire par le couloir d’où nous venions. Il était grand et bien bâti, il ne nous regarda pas et se dirigea tout droit vers son casier. Il se déshabilla comme si nous n’étions pas là, peut-être qu’il ne nous avait pas vus. Il rangea ses affaires et se retrouva nu. Je remarquai un tatouage tribal sur sa cuisse droite.
A ce moment-là, il se retourna vers nous et nous regarda. Maintenant face à nous, je pu voir son sexe entouré d’une toison parfaitement entretenue. Sa virilité était encore au repos mais elle était déjà impressionnante. Je me demandai pourquoi il nous regardait soudainement, enfin surtout ma femme. Et je compris qu’il avait constaté que ma femme ne l’avais pas quitté des yeux depuis son entrée. Le regard de l’homme resta planté pendant un long moment dans celui de ma femme. Ce moment se prolongea et dans mon demi-sommeil, je sentis la main de ma femme doucement se desserrer et glisser hors de la mienne. Je ne retins pas sa main, je n’y arrivai pas ou n’en avais pas envie. Dans le même temps, et à mon plus grand étonnement, je vis les jambes de ma femme s’écarter doucement, tout doucement. Le peignoir suivit le mouvement de ses jambes et s’écarta aussi doucement pour exposer sans pudeur son intimité. Je n’y croyais pas, elle était vraiment en train de lui montrer son sexe, elle qui est d’habitude si pudique, si passive.
Allongé à côté d’elle, je ne savais si je rêvais ou si c’était la réalité, j’étais comme dans un état second et j’étais paralysé. A côté de moi, ma femme avait maintenant, de façon complètement impudique, les jambes largement écartées. Elle dévoilait ainsi à cet inconnu sa petite toison qu’elle avait pris soin de délicatement raccourcir le matin même, ainsi que sa vulve toute lisse. Je cru même que son autre main se faufilait vers son bas-ventre et commençait à caresser son clitoris. L’homme n’avait pas bougé et continuait à regarder ma femme. Son sexe cependant commençait à réagir. Tout à coup, je sentais que je m’enfonçais un peu plus dans le pouf et entre mes paupières lourdes de sommeil je vis ma femme se lever. Elle se levait dans un mouvement souple et divin et elle le rejoignit. Elle marcha vers lui en prenant tout son temps. D’une main, je vis qu’elle desserrait sa ceinture de peignoir qui doucement tomba au sol. Son peignoir, toujours sur ces épaules, balançait au rythme de son déhanché qu’elle exagéra au fur et à mesure qu’elle avancait vers lui. Délicatement le peignoir glissa de ses épaules à ses bras pour enfin complètement tomber par terre.
Hallucinant, ma femme était complètement nue devant un autre homme. Il leva la main le long du bras de ma femme et délicatement redescendit, caressant du revers de sa main son bras. De son autre main, il caressa délicatement le sein gauche de ma femme et lui pinça le téton durcit par l’excitation.
Ma femme s’agenouilla devant lui et commença à flatter le sexe de cet inconnu. Elle caressa respectueusement sa bite avant de la prendre complètement en main pour la mettre au garde à vous. L’homme descendit ses mains le long du visage de ma femme et lui caressa doucement les joues. Ma femme décida de baiser ce sexe dressé devant elle, et commença à le lécher. D’abord le gland, puis de haut en bas avant de l’avaler goulument.
Dans mon état second, je m’aperçus que c’était la première fois que je la voyais faire une fellation avec autant d’envie, elle qui d’habitude n’aimait pas trop ce genre de pratique. Au visage de notre inconnu je sentis qu’il appréciait la gâterie. Mais il en voulait plus. Il la fit se relever et sa main descendit le long du ventre de ma femme. Elle écarta timidement les jambes pour lui laisser libre accès à sa vulve. Il la caressa, glissa ses doigts et y pénétra ses doigts. Elle rejeta la tête en arrière et commença à plier les genoux sous les assauts répétés. Puis il la retourna vers les cassiers pour qu’elle y pose les mains. Il la cambra et lui fit écarter les jambes. Il se plaça derrière elle et la pénétra sans égard. Elle poussa son cul en arrière à la rencontre de son sexe puis se cambra de plus belle pour bien sentir sa queue en elle. Il la besogna pendant un moment avant de la retourner et de la porter. Ils se dirigèrent vers moi, il la portait dans ses bras. Elle se laissa faire et passa ses bras autour de son cou le visage caché dans le creux de son cou. En fait, il ne venait pas vers moi mais pour le pouf et il comptait bien en profiter. Au passage il ramassa son peignoir. Il posa ma femme à côté du pouf et plaça le peignoir sur celui-ci. Puis Il allongea ma femme sur le peignoir à côté de moi comme si je n’existais pas. Elle écarta d’elle-même les jambes pour lui donner plein accès à sa chatte déjà bien luisante de désir et ouvert de plaisir. Il s’agenouilla entre ses jambes et rentra, comme au ralenti, sa queue dans la chatte de ma femme qui s’ouvrait sur son passage pour l’absorber complètement. Elle gémit de plaisir, mais pas trop fort pour ne pas me « réveiller ». Il l’a pris de plus en plus sauvagement et elle se pinça les lèvres mais j’entendis quand même ces « humm, humm ». Alors dans un chuchotement elle lui dit : « Prends-moi à fond ! Met la moi bien profond ! ». Ce qu’il fit dans l’instant et ce à quoi elle répondit : « Oui, comme ça tout au fond ! ». Ma femme releva et écarta ses jambes afin de lui faciliter la pénétration pour qu’elle soit la plus profonde possible. Il la pilonna de toute sa longueur, accentua ces va et vient en elle, sortit sa bite presque complètement avant de la replonger au plus profond de sa chatte. Ils continuèrent comme ça tous les deux pendant un temps infini. Puis l’homme se pencha vers elle et lui murmura dans le creux de l’oreille : « Je ne vais pas tarder à venir, je vais sortir de ton sexe et je vais venir sur tes seins ».
A ma plus grande surprise, ma femme se cambra encore plus et resserra ses jambes autour de lui. Puis dans un souffle quasi inaudible, elle lui dit : « non, reste en moi. Viens en moi. »
Alors dans un dernier mouvement encore plus bestial, l’inconnu haussa le rythme et dans un râle il vida ses couilles en plusieurs longs jets dans la chatte de ma femme, au plus profond de son intimité, dans ce sanctuaire que moi seul avait jusque-là été.
Puis dans un dernier échange entre eux deux, il se leva et partit s’habiller pour repartir d’où il était venu. Alors on se retrouvit tous deux dans ce vestiaire, seul, comme dans un rêve, tous les deux allongés sur le pouf. D’ailleurs était-ce réel ou un simple rêve ? Puis soudain ma respiration repartit, je sortis de ma léthargie comme sorti d’une longue apnée. Je regardais à côté de moi et vis ma femme allongée, les yeux fermés. Elle avait son peignoir replié sur elle. Ce n’était donc qu’un rêve. Je me tournais sur le côté pour me rapprocher d’elle, mon rêve m’avais bien chauffé, je caressais du revers de la main son flanc au travers du peignoir et en suivant le sein jusqu’à la hanche, tendrement. Je descendis encore un peu pour entrer en contact avec la cuisse nue de ma femme. J’entendis sa respiration, lente, comme si elle dormait. Ma main remontait vers l’intérieur de sa cuisse puis remontait encore. Elle écarta légèrement les jambes me donnant accès à sa petite chatte. Mes doigts vinrent caresser sa vulve gonflée. Mes doigts découvrirent son intimité déjà bien humide et son clito me semblait bien dressé. Serait-elle excitée, elle aussi ? Je continuai mon exploration et descendis encore plus bas vers l’entrée de sa grosse aux trésors. Là, je sentis qu’elle était déjà ouverte, ses lèvres étaient trop humides, trop glissantes, son clitoris trop dur, sa vulve bien trop gonflée. Je glissais mon doigt dans sa fente, la sensation n’était pas la même que d’habitude, c’était plus liquide et visqueux. Cette fois-ci c’est sûr, le liquide qui s’écoule n’était pas uniquement sa mouille. Alors ce n’était pas un rêve, elle l’avait vraiment fait.

Ce rêve m’a particulièrement excité et troublé.

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