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Ne jamais toucher à la meilleure amie d&#03

Ne jamais toucher à la meilleure amie d&#03



C’était y a quelques années, lorsque j’étais encore étudiant. Je m’étais lié d’amitié avec une fille, Clémentine, venant du nord de la France. A plusieurs reprises, nous sommes allés chez elle pour réaliser ses courts-métrages et nous avons donc fait la rencontres de ses amies…
Bien sur, Clémentine avait bien précisé qu’il était hors de question de s’approcher de ses amies, et c’était bien dommage car certaines sont vraiment très jolies. Et puis, chose bizarre mais elles ont toutes un petit gabarit mais toutes des paires de seins… Notamment Camille, sa meilleure amie : 1m55, toute fine des hanches, un petit fessier musclé mais une poitrine tout droit sorti de manga japonais où les filles ont de véritables obus. Et je dois avouer que ses yeux bleus turquoise et ses faux cheveux blonds ne me laissent pas indifférent… Mais je respecte la consigne de Clémentine, au vue de notre amitié… pour l’instant et puis elle est aussi en couple depuis longtemps.

Les amies de Clémentine partent en vacances au début de mois de Juillet et passent en région parisienne pour prendre Clémentine sur le chemin. Et par un heureux hasard, ça tombe sur le jour où mon école organise sa fête de fin d’année, enfin presque vu qu’elle arrive un jour avant. On décide se faire une soirée barbecue et de tous dormir chez un de nos amis possédant une grande maison avec piscine et sauna (tiens tiens… ça me rappelle des souvenirs) comme ça elles pourront profiter des deux soirées.

La première se déroule dans une belle maison dans une banlieue chic de Paris, le genre de maison où il y a suffisamment de chambre pour loger une petite quinzaine de personnes sans être serré et avec certaines chambres réservés au couple… Tout le début de la soirée se passe tranquillement, on parle de tout, on rigole, on boit… les esprits se libèrent et on se met à parler de cul, de fantasmes…
Dans le groupe de filles, l’une d’entres elle est lesbienne et fantasme sur une amie, tout le monde était au courant sauf cette fille et quand celle-ci avoue sous l’emprise de l’alcool qu’elle aimerait le faire avec une fille, tout le monde regarde la lesbienne qui soudain semble captivé par la conversation.
Camille se lève pour répondre à son téléphone, la conversation continue dans un « je n’ai jamais »…

Pour ceux qui ne connaissent pas, le « je n’ai jamais » consiste à faire des phrases du genre : « Je n’ai jamais fait l’amour dans un cinéma » et ceux qui l’ont déjà boivent. Et plus on boit et plus on avoue des choses…

Camille revient très vite et quelqu’un a pris sa place, elle se dirige vers moi et me demande :

« Je peux m’asseoir sur tes genoux ? »
« Bien sur… »

Elle s’assoit donc sur mes genoux sur un regard noir de Clémentine. Car elle n’est pas vraiment assise sur mes genoux. Les coudes posés sur la table, penchée en avant, ses jambes écartés de part et d’autres des miennes, ses fesses callées contre mon bassin et j’ai une merveilleuse vue sur le bas de son dos et le début de son cul.

Le jeu continue et on apprend ainsi que certaines ont déjà pratiqué la sodomie. Ils apprennent tous que je l’ai fait avec une femme de plus de trente ans dans un sauna. On apprend que Clémentine aime les éjaculations faciales. Ils apprennent que je suis naturiste. J’apprends que Camille a déjà été infidèle.

Bref, ce jeu est très pratique pour parler de sexe et des expériences de chacun. Durant le jeu, je dois avouer avoir eu un début d’érection entre les questions, les réponses et les fesses de Camille appuyant sur ma verge et elle doit l’avoir senti vu le petit regard lancé et de son petit mouvement de rein accompagné d’un sourire.
Puis on décide de tous se mettre en maillot de bain pour profiter de la piscine et du sauna. On retrouve donc tous en maillot de bain à jouer dans la piscine, à me chamailler, à se frapper avec des frites de natation puis à aller suer dans le sauna.
Les filles montent sur les épaules des mecs pour se battre, je fais forcément équipe avec Camille… Ma tête entre ses cuisses et l’occasion de se rapprocher, je sais pas pourquoi mais je sens que ce soir, y a une ouverture.
Lors d’un affrontement on s’écroule et on vrille de façon à ce que je me retrouve collé à elle, l’un contre l’autre… Ses seins écrasés contre mon torse… Mes mains sur ses hanches… Etant petite, elle n’a pas pied et enroule ses jambes autour de mon bassin… Vu que les autres se battent et que certains sont dans la cuisine, personne ne nous voit dans cette position… Doucement nos têtes se penchent dans des directions opposés et se rapprochent pour que nos lèvres se touchent et que nos langues se rencontrent.

Petit à petit, on continuent de se caresser de multiplier les petits gestes l’un vers l’autre. Surtout à partir du moment où Clémentine est allé se coucher avec son copain dans une chambre au rez-de-chaussée…
Et après quelques derniers verres… on décide de monter dans une chambre ensemble…

Je m’allonge sur le lit, regardant Camille se rapprocher de moi avec sa démarche, son large sourire. Elle monte sur le lit, enjambant mon corps, penchés sur moi. Avec sûrement l’aide de l’alcool, nos baisers sont sauvages et passionnés. Ses mains caressant mes cheveux, mes mains parcourant son dos, descendant chaque à son petit cul tendu encore emprisonné. Camille commence par déboutonner ma chemise, puis à déposer avec ses lèvres des baisers sur mon torse. Elle ouvre mon pantalon avec ses dents pour découvrir mon sexe, encore caché par mon boxer, en érection.

« Hmmmmm, tu as l’air tendu… »

Je ne répondis, attendant qu’elle se mette à l’œuvre mais une fois mon pantalon retiré, elle revint sur moi pour m’embrasser. Je lui retire ton haut, et très rapidement également lui libère sa poitrine. Je découvre cette paire de seins magnifiques et vraiment énormes… J’insiste vraiment car ça reste une chose qui me marque encore aujourd’hui… Mes mains empoignent sa poitrine, amenant ses tétons à ma bouche. Ma langue tournant sur ses tétons. Elle gémit et son bassin se met à se frotter sur mon sexe encore prisonnier.
A nouveau Camille se met à descendre le long de mon corps, à force de se frotter et ayant un boxer trop petit, mon sexe pointe le bout de son nez… Et ma partenaire ne le manque pas en déposant ses douces lèvres sur mon gland avant de dévoiler toute ma verge et retirant mon boxer. Elle saisit mon sexe pour le guider jusqu’à sa bouche… Elle fit d’abord glisser ses lèvres, tout le long de ma verge, embrassant doucement mon gland; avant de faire glisser sa langue dessus.
Je lui tiens ses longs cheveux blonds sans lui appuyer sur la tête, les pointes de ses cheveux effleurent la peau de mon ventre ce qui me fait frissonner en savourant ces baisers sur mon sexe.

« Mets toi sur le bord du lit… J’veux faire quelque chose… »

Je suis son indication et me place donc sur le bord du lit, mes jambes écartés, mes fesses sur le bord du lit. Camille, sur les genoux par terre, entre mes jambes, mon sexe juste sous ses yeux. Elle se place au dessus, plaçant mon sexe entre ses seins. Elle l’entoure totalement, je sens ses seins compresser ma verge à chacun de ses mouvements…
De bas et haut…
De haut en bas…
J’avais déjà eu la chance d’avoir ce genre de branlette mais jamais avec toute ma verge entre des seins. De plus, à chaque fois que ses seins descendent en bas de ma verge, mon gland ressort et sa bouche l’attend pour l’embrasser…
Elle continue ainsi de longues minutes, peu à peu, je sentais mon corps se contracter, mon plaisir ne cessant de grandir.

« Je prefere te prévenir… Si tu continues comme ça je vais… »

Elle me lance un petit regard en coin.

« C’est peut-être ce que je veux… »
« Mais lors du jeu, tu n’as pas bu ! »
« J’ai menti… »
« Coquine, va ! »

Elle sourit et gobe doucement mon sexe à chaque va et vient de ses seins. Je me détend complément, me laissant glisser la pente de l’orgasme. Je ressens chaque sensation : mes couilles écrasés par ses seins… ma verge compressé par sa poitrine… mon gland caressé par sa langue… Tout mon corps qui se détend puis mon sexe qui se contracte. Ma respiration se bloque. Ce moment où un homme sent qu’il va exploser est tellement agréable…
Elle le ressent et gobe bon gland dans sa bouche lorsque mon sexe expulse ma semence. Je lui tient fermement les cheveux pendant que je la sens avaler…

Une fois fini, elle libère mon sexe et remonte vers moi, elle me chuchote à l’oreille

« Il me semble que tu as bu à la question : « Je n’ai jamais eu ou donner un orgasme en faisant un cunni ? »… Prouves le ! »

Camille remonta tout son corps le long du mien, ses deux gros seins passant sur mon visage, son ventre sur lequel je déposa de tendres baisers. Elle se met debout sur le lit au dessus de moi pour retirer son shorty en dentelle, puis elle descend lentement sur mon visage, ses jambes de chaque coté de ma tête. Son sexe juste au dessus de mes yeux, se rapprochant, ses lèvres gonflés s’écartant, son pubis épilée en ticket de métro juste sous le nez… La chaleur de son sexe sur mes lèvres… Mes mains se posant délicatement sur ses fesses fermes… Ma langue qui sort donner un petit coup…
Hmmmm… le parfum de sa cyprine… La douceur de son sexe… Le son excitant de ses gémissements.

Cette position est parfaite pour explorer chaque recoin de son intimité… Ma langue lape avec fermeté son petit bouton, de plus en plus vite et bien sur dans tous les sens. Camille prend appui contre le mur mais elle ne peut s’empêcher d’onduler son bassin petit à petit. Ma langue tendue s’aventure jusqu’à l’entrée de son vagin… Tourner autour doit être un véritable supplice de plaisir pour elle vu que ces gémissements ne cesse d’augmenter de volume et de fréquence. J’aspire doucement son clitoris pour mieux le lécher mais aussi le faire rouler entre mes dents.
La réaction ne se fait pas attendre, Camille gémit de surprise avant de fondre sur mon visage, elle continua de bouger son bassin sur moi, surement que mon menton lui procurait énormément de plaisir… Sa cyprine coule sur mon visage, elle mouille énormément mais cela m’excite et mon érection repart dans la foulée…
De temps en temps, je lui soulève le cul pour reprendre quand même ma respiration, elle semble en transe. Une de ses mains empoigne sa poitrine, l’autre toujours en appui contre le mur, parfois ses jambes se mettent à trembler, son ventre à vibrer, ses gémissements disparaissent pour un très long :
« Houuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu »

Et lors de ce long soupire de plaisir, elle bouge brutalement le bassin sur mon visage, je n’ai qu’à tendre la langue pour qu’elle vienne se frotter dessus avant de se calmer et de me laisser continuer à la lécher.
Puis ses gémissements disparaissent pour une respiration saccadée, elle tente de se calmer, de garder le contrôle. Je lui soulève les fesses.

« Laisses toi aller si tu veux jouir… »

Sa voix est totalement coupé.

« Depuis tout à l’heure, je joui… mais je veux avoir un orgasme ! Ne t’arrêtes surtout pas ! »

A l’époque, je ne savais pas vraiment que pour les femmes, il y avait une différence… Je recommence donc à la lécher nerveusement; mes doigts plantés dans ses fesses, ma langue tournant sur son clito… Elle m’encourage avec un très excitant…

« Je viens… Continues ! Putain, c’est bon »

Je lui dévore littéralement la chatte, ma bouche aspirant sa cyprine, ma langue lapant son clitoris bien gonflé…. Et soudainement, comme toujours, ca la prend d’un coup ! Tous son corps se contracte, ses cuisses se resserrent sur ma tète, elle se laisse totalement tomber sur ma tète, se frottant énergiquement contre mon visage, me le recouvrant entièrement de sa mouille. Ses doux gémissements se sont transformés en long et sourd râle de plaisir. Durant quelques secondes, je ne pus pas respirer et j’ai du la basculer contre son gré sur le coté pour retrouver l’air libre. Je m’essuya le visage avec l’aide du drap. Elle reprenait doucement sa respiration sans dire un mot… Un peu, inquiet je lui demanda

« Ca va ? Tu te sens bien ? »
« Ho oui… j’espère que tu baises aussi bien que tu lèches… »

Je m’empressa de trouver un de mes préservatifs pour passer au second acte de la soirée…

Je me mis donc à la recherche du petit emballage carré dans une de mes poches de mon jean. Je finis par le trouver et commence à m’enfiler le bout de plastique, le long de ma verge à nouveau au garde à vous. Camille est allongée sur le dos, ses cuisses ouvertes, une main serrant fermement sa poitrine, l’autre caressant doucement son sexe totalement trempé de sa cyprine.
Je m’approche d’elle en tenant mon sexe, nos regards se fixent l’un dans l’autre, au moment ou mon gland vient se poser sur sa chatte. Elle pose ses doigts dessus pour me guider jusqu’à ce que ma queue s’enfonce en elle. Malgré toute sa cyprine, ma verge s’enfonce difficilement. Je suis assis à genoux dressé devant elle, la tenant par ses cuisses ouvertes, la tirant contre moi. Son visage se tord à chaque coup, à chaque va et vient… Se mordant la lèvre inférieur, fronçant ses sourcils, une de ses mains se posent sur le bas de mon ventre comme si elle voulait retenir mes coups.

Je me penche sur elle; posant ma tète dans le creux de son cou. Ses mains s’enroulent autour de ma tète, ses doigts passant dans mes cheveux, Elle relèvent ses cuisses, les enroulant autour de mon bassin et mes mains se posent sur son petit cul bien tendue… Je le lui écarte au maximum, je sens ma verge sur le bout de mes doigts s’enfoncer. Je contrôle totalement mes pénétrations, je joue un peu avec elle… Faisant juste de petits va et vient, sortant mon gland puis le rentrant de plus en plus vite. Je sens sa chatte s’ouvrir et se refermer dessus.
Sa respiration s’accélère, elle me souffle dans l’oreille… J’accélère de plus en plus ! Mon gland entre de quelques centimètres avant de ressortir, puis d’un coup sec, je lui enfonce entièrement mon sexe dur.
Elle lâche un hurlement de plaisir qui doit à ce moment réveiller une bonne partie de la maison.
Je reprend les petits va et vient, elle tente de calmer sa respiration et après plusieurs secondes, je lui remets un coup sec.
A chaque fois, le même hurlement de plaisir… Ma longue queue disparait de plus en plus souvent en elle, avant de reprendre les légères pénétrations, Camille ne contrôle plus ses respirations et se laisse complétement faire. Je me perds un peu dans la rythme et je passe à de longs va et vient, tapant au fond à chaque coup, sentant son ventre se contracter à chaque coup.

Je me redresse, relevant ses jambes, elle pose ses pieds sur mes épaules et je me penche sur elle. Ses yeux s’ouvrent en grand et ses sourcils se froncent lorsqu’elle sens mon sexe appuyer sur les parois de sa chatte. Je suis de plus en plus rapide, de plus en plus bestial. Je pose mon front contre le sien, nos bouches à quelques centimètres l’une de l’autre. Elle se soulève pour m’embrasser torridement pendant que je la pénètre lourdement. Puis elle m’encourage : me demandant de continuer… d’aller plus vite…
J’aime ce moment, où la femme s’abandonne totalement à son plaisir, oubliant tout le reste… Elle crie ses ordres, avant de crier son plaisir dans de long râle de jouissance. Je la sens mouiller encore plus, à chaque coup, un peu plus de sa cyprine coule contre ses fesses.

Mais je commence à fatiguer et je me retire pour m’allonger, elle comprend très bien que c’est à son tour… Je tiens ma verse pour qu’elle vienne s’assoir sur moi, ses mains posées sur mon torse pour se soulever et se laisser glisser doucement sur ma verge. J’admire la vue de son corps empaler sur ma verge, ses lèvres finissent par se poser sur mon corps. Elle se caresse les seins doucement, profitant de ce moment de répit… Mais pour la surprendre, je contracte ma verge appuyant sur son vagin serrée. Elle me regarde surprise par cette sensation.
« Tu veux jouer à ca… »
Je sens toute sa chatte se resserrer sur ma verge, puis elle se penche sur moi à son tour, son petit cul se tend. Mes mains sont inévitablement attirés sur ses fesses… Fesses qu’elle se met à bouger de bas et haut le long de mon bâton. Nos corps vont de plus en plus vite, on s’abandonne au plaisir de l’autre. Je soulève à chaque fois que mon bassin pour aller à la rencontre du sien. Notre plaisir est elle qu’on ne fait pas attention aux bruits dans le reste de la maison…

Soudainement la porte de la chambre s’ouvre et la lumière s’allume. Camille tourne la tète apeuré tandis que je recouvre ses fesses du drap en toute rapidité.

« Putain, Nicolas ! Je vais te tuer ! »

Clémentine venait d’entrer dans la chambre en nuisette, son copain torse nu resta dans le couloir mais nous regardait avec un léger sourire, d’autres personnes étaient dans le couloir et semblaient bien se marrer.

« Je t’avais interdit de… »

Camille, qui tentait de cacher sa poitrine avec son bras.

« Il est pas tout seul, lâche nous là ! On fait ce qu’on veut ! »
« Ouais bien sur et ton copain, il va en penser quoi ! »

A ce moment, Camille se leva, sortant du lit pour se dresser face à sa meilleure amie… Le copain de Clémentine ferma la porte pour éviter que tout le monde ne voit Camille toute nue.

« Il va rien savoir ! il m’a prise pour une conne, il m’a trompé donc je me venge ! »
« Et tu étais obligé de te le faire avec Nico… Avec Nico quoi ! »
« Il est ou le problème ?! Tu as pas couché avec… »
« Oui mais avant Nath… « 
« Je sais mais n’empêche que tu as pas couché avec… »

Je me faisais tout petit dans le lit jusqu’à ce moment.

« Tu voulais… ? Mais moi aussi ! »
« TA GUEULE ! » Là, elles furent parfaitement synchrone.
« Franchement, ca se fait pas pour moi et pour Xav' »
« Mais j’assume… Je fais ce que je veux de mon corps »

Clémentine ne répond pas.

« Non, je peux pas… Je m’en fous, je reste là. »

Elles se fixèrent droit dans les yeux durant de longues secondes, avant que Camille retourna dans le lit, elle retira la couette de mon corps. Pendant la conversation, je me branlais discrètement en matant le corps de Camille mais j’avoue sur celui de Clémentine qui possède le même type de poitrine et sa nuisette était légèrement transparente et courte… Je vis les yeux de Clémentine s’ouvrir à la vue de mon sexe en érection, restant sans voix.

« Va falloir que tu nous regarde finir alors ! »
« Quoi ?! » – lui dis-je.

Elle saisit ma queue et s’empale dessus avant de se pencher pour bien montrer à Clémentine mon sexe disparaitre dans sa meilleure amie.

« Tu n’es qu’une pute… »

Dit Clémentine en sortant de la chambre, Nath et tous les autres durent avoir une magnifique vue très rapide sur le chevauchement de Camille qui s’arrêta quelques secondes après… Elle se coucha sur le coté et avant que je puisse faire quoi que ce soit… Camille se mit à pleurer.

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